FR2911775A1 - Corps tubulaire pour un batonnet d'application ou de nettoyage, concu apte a contenir un liquide. - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un corps tubulaire (2) pour un bâtonnet d'application ou de nettoyage, conçu apte à contenir un liquide destiné à s'écouler par une première extrémité (3) ouverte, ledit corps tubulaire (2) étant conçu apte à être obturé à l'autre de ses extrémités dite deuxième extrémité (5), et comportant au moins une zone sécable (10), et conçu apte à recevoir, à la première (3) ou/et deuxième (5) extrémité un embout applicateur.Elle se caractérise en ce que ladite zone sécable (10) s'étend longitudinalement le long dudit corps tubulaire (2).L'invention concerne encore un bâtonnet d'application ou de nettoyage comportant au moins un tel corps tubulaire.

Description

La présente invention concerne un corps tubulaire pour un bâtonnet

d'application ou de nettoyage, conçu apte à contenir un liquide destiné à s'écouler par une première extrémité ouverte, ledit corps tubulaire étant conçu apte à être obturé à l'autre de ses extrémités dite deuxième extrémité, et comportant au moins une zone sécable, et conçu apte à recevoir, à la première ou/et deuxième extrémité un embout applicateur. L'invention concerne encore un bâtonnet d'application ou de nettoyage.

La présente invention entre dans le domaine des produits d'hygiène à usage externe. L'invention concerne plus particulièrement les corps tubulaires servant d'armature à des bâtonnets d'application ou de nettoyage, utilisés sous la dénomination générale de coton- tige, munis, à l'une ou à leurs deux extrémités, d'embouts applicateurs en matériau absorbant ou de pansement, tel que du coton hydrophile, de la gaze, ou analogue. Selon la texture du matériau absorbant, un tel coton-tige peut être utilisé pour le nettoyage de plaies, le nettoyage d'une zone avant un soin, l'application de produits liquides ou visqueux, le démaquillage, le nettoyage de conduits creux, ou autre. De telles applications sont connues en usage cosmétique, para-médical, vétérinaire, voire même pour des travaux de précision, tels que la mécanique de précision ou l'horlogerie par exemple. Pour la dépose ou l'application d'un liquide sur une zone déterminée, on connaît des bâtonnets creux contenant un liquide, par exemple un désinfectant ou un produit nettoyant. Ce liquide est destiné à être déposé, ou/et à imbiber un applicateur en matériau absorbant situé à une première extrémité du bâtonnet. A la deuxième extrémité du bâtonnet opposée à cette première extrémité, ce liquide est arrêté par un bouchon conçu apte à assurer le maintien du produit dans le bâtonnet, ou par une réalisation particulière de cette extrémité, par scellement, fusion, soudage, collage, pincement ou autre.

Au voisinage de cette deuxième extrémité, le bâtonnet comporte une zone sécable, permettant, à la façon d'une ampoule de verre dont une première extrémité est déjà ouverte, de laisser écouler le liquide qu'elle contient par cette première extrémité, quand on procède à l'ouverture et la mise en pression atmosphérique de la deuxième extrémité. Cette zone sécable est, souvent, délicate à rompre, en raison d'une exécution imparfaite. L'opérateur risque alors de mal casser le bâtonnet, voire de se blesser, en raison de la création de portions tranchantes lors de la rupture du bâtonnet. Ceci est particulièrement rédhibitoire pour toutes les utilisations liées à l'hygiène, notamment en environnement stérile ou de haute propreté. Enfin, il convient de remarquer que l'utilisateur ne dispose pas toujours de ses deux mains, pour procéder au sectionnement du bâtonnet, soit en raison de soins cosmétiques, d'hygiène ou paramédicaux précisément à appliquer à l'une des deux mains, soit en raison de l'indisponibilité d'une des deux mains pour maintenir un organe, ou manipuler un autre instrument ou un autre produit. Dans le cas de contenants de grande capacité, notamment à usage vétérinaire, il arrive fréquemment que l'utilisateur n'ait pas besoin de délivrer la totalité du produit contenu dans le réservoir que constitue le corps tubulaire. Or on ne connaît à ce jour que des bâtonnets comportant une zone sécable à l'extrémité opposée à celle par laquelle on déverse le produit pour son utilisation, de sorte qu'en effectuant un appel d'air, on déverse la totalité de la quantité de liquide que contient le bâtonnet d'application ou de nettoyage. Le document WO 03/030681 décrit un bâtonnet qui est muni de plusieurs zones sécables: un groupe de zones sécables est disposé à chaque extrémité du bâtonnet, ce qui rend possible l'utilisation réversible de ce bâtonnet par écoulement du liquide à une extrémité quelconque, chaque groupe de zones sécables étant constitué de plusieurs gorges parallèles et rapprochées, soit perpendiculaires à l'axe de révolution du bâtonnet, soit obliques par rapport à ce dernier. Toutefois cette disposition ne permet pas d'effectuer un quelconque dosage de la quantité de liquide déversée. L'invention a pour but de pallier les inconvénients de l'état de la technique en apportant une solution fiable et bon marché à ces problèmes, en mettant à la disposition de l'opérateur un bâtonnet d'application ou de nettoyage facile à sectionner, sans risque de mauvais sectionnement, ou de blessure, facile à manipuler d'une seule main. Dans un mode avantageux de réalisation de l'invention, 10 cette solution permet, en outre, de choisir, sur la longueur du corps tubulaire, l'endroit du sectionnement. A cet effet, l'invention concerne un corps tubulaire pour un bâtonnet d'application ou de nettoyage, conçu apte à contenir un liquide destiné à s'écouler par une première extrémité 15 ouverte, ledit corps tubulaire étant conçu apte à être obturé à l'autre de ses extrémités dite deuxième extrémité, et comportant au moins une zone sécable, et conçu apte à recevoir, à la première ou/et deuxième extrémité un embout applicateur, caractérisé par le fait que ladite zone sécable s'étend 20 longitudinalement le long dudit corps tubulaire. Selon une autre caractéristique de l'invention, la rupture au niveau de la zone sécable est partielle. Selon une caractéristique de l'invention, ladite zone sécable est en spirale ou hélicoïdale. 25 Selon une caractéristique de l'invention, ladite zone sécable adopte un contour ouvert. Selon une caractéristique de l'invention, une zone sécable est disposée à proximité de ladite deuxième extrémité dudit corps tubulaire. 30 Selon une caractéristique de l'invention, ledit corps tubulaire comporte plusieurs zones sécables séparées l'une de l'autre. Selon une caractéristique de l'invention, ledit corps tubulaire comporte, de part et d'autre de ladite zone sécable, 35 des moyens d'accrochage conçus aptes à coopérer avec un matériau d'enrobage.

L'invention concerne encore un bâtonnet d'application ou de nettoyage comportant au moins un tel corps tubulaire. D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront de la description détaillée qui va suivre des modes de réalisation non limitatifs de l'invention, en référence aux figures annexées dans lesquelles : la figure 1 représente, de façon schématique et en perspective, un corps tubulaire selon l'invention, dans un premier mode de réalisation; la figure 2 représente, de façon schématique et en perspective, un corps tubulaire selon l'invention, dans un deuxième mode de réalisation; la figure 3 représente, de façon schématique et en perspective, un corps tubulaire selon l'invention, dans un troisième mode de réalisation; la figure 4 représente, de façon schématique et en perspective, un détail de réalisation d'un corps tubulaire selon l'invention; L'invention entre dans le domaine des produits d'hygiène à 20 usage externe. L'invention concerne plus particulièrement un corps tubulaire 2, notamment pour constituer l'armature d'un bâtonnet d'application ou de nettoyage 1, non représenté sur les figures. L'invention concerne encore un bâtonnet d'application ou de 25 nettoyage 1 incorporant un tel corps tubulaire 2. Tel que visible sur la figure 3, le corps tubulaire 2 comporte une première extrémité ouverte 3. Cette première extrémité 3 peut être munie d'un embout applicateur 4, non représenté sur les figures, en matériau absorbant ou de 30 pansement, tel que du coton hydrophile, de la gaze, ou analogue. Elle peut aussi être munie d'un accessoire tel qu'un pinceau, une brosse, une éponge, une forme en mousse, ou une boule de coton de gros diamètre, ou autre. On comprendra qu'un embout applicateur d'un tel bâtonnet 35 d'application ou de nettoyage peut naturellement être utilisé aussi bien pour l'application de produit, que pour l'enlèvement 15 de produit grâce aux propriétés absorbantes du matériau constituant cet embout. Le corps tubulaire 2 est encore conçu pour être muni, à une deuxième extrémité 5, d'un embout applicateur 6, non représenté sur les figures, ou d'un accessoire, tout comme la première extrémité. Selon l'usage auquel est destiné le bâtonnet d'application 1, cet embout applicateur 4 ou 6, usuellement de forme ellipsoïdale, peut encore être de forme conique, sphérique, cylindrique, ou autre. Le corps tubulaire 2 est conçu apte à contenir au moins un liquide 7, non représenté sur les figures. A cet effet, le corps tubulaire 2 est conçu apte à être obturé, par exemple du côté de sa deuxième extrémité 5, par un moyen d'obturation permanent 8, non représenté sur les figures, tel qu'un bouchon, ou encore une soudure ou un collage du corps tubulaire 2 sur lui-même ou avec un corps étranger, ou analogue. Le liquide 7 est alors maintenu dans le corps tubulaire 2, dont il n'occupe qu'une partie, et a une tension surfacique telle qu'il ne s'écoule pas, et reste confiné dans le corps tubulaire 2 sous l'effet de la pression atmosphérique. Le liquide 7, est, avantageusement, du côté de la première extrémité, confiné à l'aide d'une phase 9, non représentée sur les figures, de matériau liquide ou visqueux, de tension superficielle et de viscosité différentes de celles du liquide de service, formant barrière pour éviter la pollution ou l'évaporation de celui-ci, et dite bouchon liquide. Le corps tubulaire 2 comporte au moins une zone sécable 10, de moindre résistance, conçue apte à être rompue sous l'application d'un effort manuel exercé avec une composante perpendiculaire à l'axe du corps tubulaire 2, au voisinage de la zone sécable 10. Dans le cas usuel où cette zone sécable 10 est à proximité de l'extrémité 5 obturée, lors de la rupture de la zone sécable 10, la mise sous pression atmosphérique du liquide 7, du côté de la deuxième extrémité 5, permet l'écoulement du liquide 7 par gravité, vers la première extrémité 3 et l'embout applicateur 4 dont celle-ci est éventuellement munie. Dans un mode préféré de réalisation, la rupture de la zone sécable 10 est partielle de façon à permettre le maintien solidaire de la deuxième extrémité 5 avec le corps tubulaire 2 après la rupture de la zone sécable 10. La zone sécable 10 est préférentiellement réalisée sous la forme d'une section réduite, telle qu'une gorge partiellement ou totalement de révolution. A diamètre égal de corps tubulaire, pour une même profondeur d'une telle gorge, la section restante, quand on diminue l'épaisseur du corps tubulaire 2, est réduite d'autant, ce qui se traduit par une facilité accrue pour l'opérateur de procéder à la rupture de la zone sécable 10. La zone sécable 10 peut notamment être conçue sous la forme d'une amorce de rupture, avec un ou plusieurs profils fermés ou non. Dans le cas d'un profil fermé on peut réaliser une gorge s'inscrivant dans un plan perpendiculaire ou oblique par rapport à l'axe du corps tubulaire 2, ou encore un profil développé tel qu'un huit, ou analogue. Dans le cas d'un profil ouvert, les modes de réalisation préférés sont constitués par des gorges incomplètes, dont l'angle d'ouverture est facilement réglable sur la ligne de fabrication, ou encore par des profils en spirale, hélicoïdale ou analogue. La réalisation de cette zone sécable est, avantageusement, faite par mise en rotation du corps tubulaire 2, et mise en contact de ce dernier avec un ou plusieurs outils disposés perpendiculairement ou/et obliquement par rapport à son axe de révolution. Tel que visible sur la figure 1, dans une exécution préférée, la zone sécable 10 se développe le long d'un contour ouvert, dont les extrémités sont limitées par deux plans P1 et P2 localement perpendiculaires au corps tubulaire, et qui sont distants l'un de l'autre selon la direction longitudinale du corps tubulaire 2.

On notera, à ce propos, que si les figures représentent un corps tubulaire cylindrique pour la clarté de la représentation, le corps cylindrique 2 selon l'invention peut prendre diverses formes, avec notamment des variations de section permettant de constituer un ou des réservoirs de liquide de volumes appropriés, et qu'il peut se développer autour d'un contour gauche, notamment une courbe. La zone sécable 10 peut, encore, tel que visible sur la figure 2 dans un deuxième mode de réalisation, résulter de la combinaison de plusieurs amorces de rupture 101, 102, dans une zone particulière.

Certaines applications nécessitent l'implantation de plusieurs zones sécables 10 sur le corps tubulaire 2, tel que visible sur la figure 3. Dans une application préférée, tel que visible sur la figure 4, le corps tubulaire 2 comporte, de part et d'autre de chaque zone sécable 10, des moyens d'accrochage 11 aptes à coopérer avec un matériau d'enrobage. De façon avantageuse et particulièrement économique, ces moyens d'accrochage 11 sont constitués par un relief saillant ou/et creux ménagé sur le corps tubulaire 2, par exemple par l'action d'outils tranchants, ou chauffants, ou de déformation, comme un moletage ou analogue. Ce relief peut notamment prendre la forme de crans de révolution ou non, ou encore de gorges de révolution, ou obliques, ou autres. De façon préférée, ce relief est réalisé par mise en rotation du corps tubulaire 2, et mise en contact de ce dernier avec un ou plusieurs outils disposés perpendiculairement ou/et obliquement par rapport à son axe de révolution. Dans une exécution préférée de l'invention, ces moyens d'accrochage 11 s'étendent, de chaque côté de chaque zone sécable 10, sur une longueur au moins égale au diamètre du corps tubulaire 2. Ils offrent ainsi une surface de contact suffisante pour permettre le bon accrochage d'un matériau d'enrobage. Dans l'utilisation préférentielle d'un corps tubulaire 2 selon l'invention pour un bâtonnet d'application ou de nettoyage, la conception de ce corps est particulièrement orientée pour faciliter la manipulation de ce bâtonnet par l'opérateur, notamment avec une seule main. La conception, notamment en hélice, de la zone sécable 10 facilite sa rupture sous l'action d'un seul doigt, les autres doigts maintenant et dirigeant le corps tubulaire 2, pour le déversement et l'application du liquide 7 à l'endroit précis désiré. Dans un troisième mode de réalisation, tel que visible sur la figure 3, le corps tubulaire 2 comporte plusieurs zones sécables 10A, 10B, séparées l'une de l'autre. Cette disposition permet, en particulier dans les cas de corps tubulaires de grande contenance, par exemple pour des applicateurs à usage vétérinaire, de ne libérer qu'une partie du liquide 7 que peut contenir le corps 2, si la consommation immédiate de l'ensemble n'est pas requise. Ceci permet ainsi l'économie du reste du produit, qui reste prêt à être déversé, en une ou plusieurs fois selon le nombre de zones sécables subsistant du côté de la deuxième extrémité fermée 5. Beaucoup de médicaments ou de produits pour diverses applications cosmétiques, vétérinaires, esthétiques (colle durcisseur pour ongle, colorants pour cheveux), techniques (colles à séchage rapide) ou autres, nécessitent un stockage séparé pour conserver les propriétés intégrales des molécules ou des actifs faisant partie de la formule et empêcher toute réaction entre eux avant leur mélange, et exigent un mélange de plusieurs substances juste avant l'application pour permettre la conduite de la réaction requise entre eux juste au moment opportun. Aussi, dans un autre mode encore de réalisation, non représenté sur la figure, un même corps tubulaire 2 contient successivement plusieurs produits liquides 7 différents. Ces liquides sont alors séparés les uns des autres par des phases de matériaux liquides ou visqueux analogues à celle 9 décrite ci-dessus pour préserver le liquide 7, dites bouchons liquides, et préférentiellement constituées de matériau silicone. Dans un premier cas de figure ils sont destinés à être mélangés après la rupture d'une zone sécable unique 10. Dans un deuxième cas de figure, de tels bouchons liquides sont situés chacun au niveau d'une zone sécable 10 différente : il est ainsi possible, par rupture successive des différentes zones sécables, de séquencer l'écoulement des différents produits selon leur ordre logique d'application. Cet agencement permet de traiter, avec un seul applicateur, un processus complet, au lieu de requérir plusieurs applicateurs déversés successivement. Dans un autre mode particulier de réalisation, non représenté sur les figures, le bâtonnet d'application 1 comporte une pluralité de corps tubulaires primaires selon l'invention. Ces corps tubulaires primaires peuvent, selon le cas, être insérés l'un dans l'autre, ou être juxtaposés de façon sensiblement parallèle pour former un faisceau, ou encore être assemblés en combinant ces deux modes, c'est-à-dire sous la forme d'un faisceau comprenant des tubes insérés les uns dans les autres, ou bien d'un tube dans lequel est inséré au moins un tel faisceau. Chacun de ces corps tubulaires primaires est apte à contenir un liquide primaire particulier, et comporte une zone sécable. La juxtaposition de ces corps tubulaires primaires est effectuée de façon à juxtaposer leurs zones sécables, pour former une zone de rupture unique au niveau du bâtonnet 1, de façon à ce que l'opérateur n'ait à effectuer qu'une seule manoeuvre de rupture, de la même façon que s'il manipule un corps tubulaire 2 unique. C'est pourquoi il est essentiel que la zone sécable 10 de chacun d'eux soit facile à rompre, et ne requière pas une précision de l'opérateur quant à la zone de rupture. De façon préférée, ces corps tubulaires primaires contiennent des liquides ou produits différents, qui sont mélangés, lors de la rupture, au niveau de la première extrémité 3 du bâtonnet 1, ou de l'embout 4 que comporte éventuellement cette même première extrémité 3. Chaque corps tubulaire primaire contient la juste quantité nécessaire pour obtenir un mélange dans les proportions exactes, qui sont souvent très précises, en particulier dans le cas d'adhésifs. Une telle application de l'invention permet, en conditionnant de petites quantités, d'éviter le gaspillage fréquent dans le cas de confection de mélanges multi-composants réalisés à partir de conditionnements différents, souvent en excès, et dont une partie est inutilisable, et pallie évidemment le problème du dosage qui est toujours difficile à effectuer avec précision et propreté dans ce genre de mélange.

Dans un mode de réalisation préféré, le' corps tubulaire 2 est réalisé dans un matériau serai-translucide, de façon à protéger la photo-sensibilité du ou des liquides 7 face aux rayons ultra-violets et autres, et à assurer sa bonne conservation dans le temps.

Dans une variante de réalisation, le corps tubulaire 2 du bâtonnet est coloré, ou encore muni d'un étiquetage ou d'un marquage d'identification du liquide qu'il contient, afin de faciliter l'identification de ce dernier.

Dans une autre variante, il comporte au moins un trait longitudinal de repérage sur sa longueur. Ce trait longitudinal peut être imprimé, sérigraphié, venir d'extrusion dans l'épaisseur du corps tubulaire, ou encore en relief ou en dépression, par gravure, déformation ou analogue. Ce trait peut avantageusement être coloré.

Chaque combinaison de couleurs de tube, et/ou de traits longitudinaux, et/ou de couleurs d'applicateur correspond à une application particulière. Les différentes combinaisons sont repérées dans un tableau. L'identification du bâtonnet 1 est facile et immédiate. La gestion est facilitée.

On comprend encore que, chaque fois qu'on évoque un liquide dans la description qui précède, ceci concerne tout aussi bien un produit pulvérulent apte à s'écouler dans un corps tubulaire.

Dans une exécution particulière, la zone sécable 10 adopte un contour fermé sans symétrie de révolution autour de l'axe du corps tubulaire 2.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux exemples illustrés et décrits précédemment qui peuvent présenter des variantes et modifications sans pour autant sortir du cadre de l'invention.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Corps tubulaire (2) pour un bâtonnet d'application ou de nettoyage, conçu apte à contenir un liquide destiné à s'écouler par une première extrémité (3) ouverte, ledit corps tubulaire (2) étant conçu apte à être obturé à l'autre de ses extrémités dite deuxième extrémité (5), et comportant au moins une zone sécable (10), et conçu apte à recevoir, à la première (3) ou/et deuxième (5) extrémité un embout applicateur, caractérisé par le fait que ladite zone sécable (10) s'étend longitudinalement le long dudit corps tubulaire (2).

2. Corps tubulaire (2) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la rupture au niveau de la zone sécable (10) est partielle.

3. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que ladite zone sécable (10) est en spirale ou hélicoïdale.

4. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que ladite zone sécable (10) adopte un contour fermé sans symétrie de révolution autour de l'axe dudit corps tubulaire (2).

5. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que ladite zone sécable (10) adopte un contour ouvert.

6. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'une zone sécable (10) est disposée à proximité de ladite deuxième extrémité (5) dudit corps tubulaire (2).

7. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications 30 précédentes, caractérisé par le fait qu'il comporte, de part et d'autre de ladite zone sécable (10), des moyens d'accrochage {11) conçus aptes à coopérer avec un matériau d'enrobage.

8. Corps tubulaire (2) selon la revendication précédente, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'accrochage (11) 35 sont constitués par un relief ménagé sur ledit corps tubulaire (2). 11

9. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications 7 ou 8, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'accrochage (11) s'étendent, de chaque côté de ladite zone sécable (10), sur une longueur au moins égale au diamètre dudit corps tubulaire (2).

10. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'il comporte plusieurs zones sécables (10) séparées l'une de l'autre.

11. Corps tubulaire (2) selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait qu'il comporte au moins un 10 trait longitudinal de repérage sur sa longueur.

12. Bâtonnet d'application ou de nettoyage comportant au moins un corps tubulaire (2) selon l'une quelconque des revendications précédentes.