FR2701360A1 - Pièce préformée, notamment flan pour chausson intérieur. - Google Patents
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Abstract
L'invention a pour objet une pièce préformée, notamment flan pour chausson intérieur ou éléments partiels de flan pour un tel chausson intérieur,comprenant des couches superficielles, disposées à distance l'une de l'autre, et, entre ces dernières, une couche intermédiaire en mousse synthétique, ces couches étant toutes réunies au moyen d'une couche de liaison de façon à former un élément sandwich, caractérisée en ce que la couche centrale (21), qui a une épaisseur initiale pratiquement uniforme, est comprimée, au moins le long de la ligne de contour (31) du flan (32) d'une pièce de chausson intérieur, jusqu'à une épaisseur intérieure à 0,5 mm sous une application de pression de température, en ce que les couches superficielles (16, 17) sont maintenues par la mousse synthétique (20) dans cette position à la température ambiante et en ce qu'un bord de coupe s'étend dans la zone comprimée de la mousse synthétique et a aussi pour objet un procédé de fabrication de pièces préformées, notamment chaussons intérieurs, par exemple pour chaussures comportant une coquille extérieure en matière plastique, telles que chaussures de ski, chaussures de travail et analogues, selon lequel on lie une plaque formée d'une couche centrale en matière plastique à deux couches superficielles, on comprime et on découpe ensuite le flan.
Description
L'invention concerne une pièce préformée, notamment flan pour chausson
intérieur ou éléments partiels de flan pour un tel chausson intérieur, comprenant
des couches superficielles, disposées à distance l'une de l'autre, et, entre ces der-
nières, une couche intermédiaire en mousse synthétique, ces couches étant toutes réunies au moyen d'une couche de liaison de façon à former un élément sandwich,
ainsi qu'un procédé de fabrication de telles pièces préformées.
Dans des chaussures, notamment des chaussures de sport ou de travail qui comprennent souvent des parties de coquille, parties de tige, etc constituées de pièces préformées en matière plastique rigide, on utilise des chaussons intérieurs,
destinés à recevoir le pied de l'utilisateur, qui permettent une adaptation aux parti-
cularités anatomiques du pied et donc une répartition avantageuse de la pression
et qui, grâce aux matières utilisées, assurent l'isolation thermique et la ventilation.
A cet effet, on utilise souvent des matières cellulaires ou mousses, ainsi que des
matières textiles ou des combinaisons de matières plastiques et de matières tex-
tiles Conformément à une réalisation connue, correspondant au document DE-A-
2 638 994, pour obtenir une forme adaptée convenable, on fabrique ces chaus-
sons intérieurs à partir d'un très grand nombre de pièces élémentaires En outre, ces chaussons intérieurs comportent des logements pour des pièces rapportées
supplémentaires, afin d'utiliser à volonté des matières ayant des propriétés élas-
tiques différentes, par exemple dans la zone de la semelle, dans la zone de la malléole, etc Dans cette réalisation, la fabrication de tels chaussons intérieurs est
complexe et par conséquent très onéreuse Par ailleurs, les nombreux emplace-
ments de liaison entre les pièces élémentaires constituent une gêne à l'endroit de
la surface de contact entre le chausson intérieur et le pied.
Dans d'autres réalisations connues, les chaussons intérieurs sont pourvus de compartiments d'air dans lesquels de l'air comprimé est injecté, afin d'adapter ainsi le chausson intérieur au contour du pied Il est par ailleurs souvent prévu aussi de remplir de tels compartiments d'une mousse à plusieurs composants, afin
d'obtenir un contour adapté au pied qui soit permanent Dans ces chaussons inté-
rieurs aussi, un très grand nombre de pièces élémentaires est nécessaire pour leur fabrication, de sorte qu'ils sont chers et qu'il se présente en outre le risque d'une
usure prématurée due à un endommagement des compartiments.
L'invention a pour but de fournir un chausson intérieur qui ne soit constitué que d'un très petit nombre de pièces élémentaires et dans lequel ces pièces soient
préformées avant leur assemblage Elle doit en outre fournir un procédé, fournis-
sant la projection développée d'un chausson intérieur ou permettant d'obtenir un flan pour un tel chausson intérieur, dont certaines opérations soient supprimées et
qui permette une liaison et une forme à trois dimensions du flan qui soient perma-
nentes. Conformément à l'invention, ce but est atteint par une pièce préformée, du type défini dans le préambule, caractérisée en ce que la couche centrale, qui a une épaisseur initiale pratiquement uniforme, est comprimée, au moins le long de la ligne de contour du flan d'une pièce de chausson intérieur, jusqu'à une épaisseur inférieure à 0,5 mm sous une application de pression et de température, en ce que les couches superficielles sont maintenues par la mousse synthétique dans cette position à la température ambiante et en ce qu'un bord de coupe s'étend dans la
zone comprimée de la mousse synthétique.
Une telle pièce préformée a l'avantage surprenant qu'on obtient ainsi, en une opération de fabrication, une projection développée, d'un seul tenant, du flan qui est nécessaire pour réaliser le chausson intérieur et qui, à l'endroit des lignes
de contour constituant les emplacements de liaison, est mis en forme d'une ma-
nière permanente de façon à former des parties cousues sans bourrelet, ce qui permet ainsi d'obtenir une liaison permanente entre les couches superficielles et
un scellement de la couche de mousse disposée entre ces couches superficielles.
Il est possible d'envisager aussi un développement selon lequel la couche centrale est comprimée à une épaisseur plus faible que l'épaisseur initiale à l'intérieur de la ligne de contour de la pièce de chausson intérieur et le long de zones de mise en forme et/ou de raidissement, ce qui permet d'obtenir une mise en forme à trois dimensions qui est adaptée aux particularités anatomiques du pied de l'utilisateur et grâce à laquelle les pièces supplémentaires, telles que par exemple
des rembourrages, peuvent être supprimées.
Suivant un autre développement avantageux, il peut être prévu que, dans la zone de la ligne de contour, il soit disposé des bandes continues qui s'étendent vers l'intérieur à partir des bords latéraux et dans lesquelles la couche centrale est comprimée à une épaisseur plus faible que dans les zones voisines, ce qui fournit des zones correspondant à des liaisons par chevauchement au moyen desquelles
on obtient une résistance mécanique élevée.
Suivant un développement avantageux, il peut être prévu que, dans la zone
des parties marginales se raccordant aux couches superficielles, la mousse syn-
thétique soit comprimée par des moyens mécaniques et thermiques de façon à posséder un poids spécifique plus élevé que celui de la zone intérieure de la
couche centrale, ce qui permet d'obtenir un effet d'appui pour les couches superfi-
cielles et donc d'atteindre une meilleure répartition de la pression exercée par les
efforts appliqués sur la couche intermédiaire.
Suivant un développement avantageux, il peut être prévu que l'une des couches superficielles ait une forme courbe à trois dimensions qui est tournée vers l'autre couche superficielle, ce qui permet d'obtenir une adaptation aux différents
efforts superficiels auxquels le chausson intérieur formé à partir de la pièce préfor-
mée est soumis.
Il est possible aussi d'envisager un développement selon lequel le flan est formé par la projection développée d'une pièce de tige, étant donné qu'on évite de ce fait des emplacements de liaison dans la zone du mollet ou du tendon d'Achille qui sont sensibles aux efforts de pression. On peut envisager aussi un développement selon lequel le flan est formé de la projection développée d'une pièce de tige et d'une pièce d'avant-pied, étant donné que le nombre des pièces formées constituant le chausson intérieur est
ainsi réduit.
Un développement selon lequet le flan constitue une pièce développée du chausson intérieur qui est d'un seul tenant est aussi possible, étant donné que les moyens nécessaires de fabrication et de montage permettant la fabrication ou la
réalisation du chausson intérieur sont ainsi réduits.
Suivant un développement avantageux conforme à l'invention, il peut être
prévu que des éléments de renfort, par exemple des pièces rapportées, soient pla-
cés dans la zone de l'une des deux couches superficielles ou entre une couche
superficielle et la couche centrale de sorte que des zones particulièrement sou-
mises à des efforts sont armées d'une manière permanente de façon à supporter
ces efforts et qu'il ne se présente donc pas d'efforts localisés ponctuels.
Les éléments de renfort peuvent être constitués de filets, grilles, tissus, mate-
lassages de plumes ou fibres en métal, matières minérales ou substances synthé-
tiques et naturelles, notamment fibres de verre, fibres de graphite, fibres de laine et
analogues, l'utilisation des matières appropriées pour les éléments de renfort per-
mettant d'obtenir une adaptation aux différentes conditions d'utilisation d'une ma-
nière conforme au type d'emploi prévu.
Suivant un autre développement, il est avantageux aussi de prévoir que la densité ou le poids spécifique de la mousse synthétique de la couche centrale ou des zones marginales de la couche centrale soit réparti différemment sur l'étendue de la surface du flan, de sorte qu'une combinaison des pièces préformées avec
d'autres éléments peut souvent ne plus avoir de raison d'être.
Suivant un développement selon lequel des zones partielles du flan sont renforcées au moyen d'une couche supplémentaire déposée sur l'une des deux couches superficielles permet de s'opposer d'une manière localisée à une usure prématurée moyennant l'agencement d'une couche supplémentaire servant de
renfort.
Conformément à un développement avantageux selon lequel une couche intermédiaire en matière plastique, notamment en mousse synthétique à module d'élasticité élevé, notamment une mousse souple, est disposée entre la couche supplémentaire et la couche superficielle la plus proche de cette dernière, il est possible de doubler par-dessous les zones renforcées, au moyen d'une matière à
élasticité élevée, afin d'obtenir ainsi une plus grande aptitude d'adaptation.
Un développement avantageux selon lequel la couche supplémentaire et/ou la couche intermédiaire sont réunies à la couche superficielle et/ou entre elles au moyen de couches de collage et de scellement, notamment en poudre adhésive sèche, feuilles à fusion ou feuilles imprégnées rapportées permet de maintenir à un
niveau réduit les moyens de fabrication nécessaires pour préparer la pièce préfor-
mée, au moyen de couches supplémentaires ou intermédiaires ayant une disposi-
tion localisée.
Un développement selon lequel la couche supplémentaire est liée à la couche superficielle au moyen de la matière plastique de la couche intermédiaire,
associée à cette couche superficielle, qui est mise en forme par des moyens mé-
caniques et/ou thermiques permet d'éviter des adhésifs supplémentaires, ainsi que
des dispositifs techniques servant à mettre en place des matières supplémentaires.
On peut envisager aussi un développement selon lequel la couche supplé-
mentaire et/ou la couche intermédiaire sont disposées dans une partie en retrait des couches superficielles du flan et sont reliées à la couche superficielle au moyen de la couche intermédiaire comprimée par des moyens mécaniques ou thermiques, ce qui permet de mettre aussi les couches supplémentaires et/ou
couches intermédiaires en place dans des zones de la pièce préformée pour les-
quelles une modification du profil d'épaisseur n'est pas possible.
Un développement avantageux selon lequel le poids spécifique ou la den-
sité de la couche intermédiaire est plus faible dans la zone d'une partie en retrait
de la couche superficielle que dans les zones voisines de cette dernière compor-
tant une couche intermédiaire comprimée par des moyens mécaniques et ther-
miques permet d'obtenir un équilibre en ce qui concerne le comportement élas-
tique entre des zones à élasticité plus élevée et des zones à élasticité plus faible.
Suivant un développement avantageux, il peut être prévu que la couche centrale et/ou la couche intermédiaire soient éventuellement constituées d'une
mousse synthétique à cellules ouvertes, ce qui permet d'obtenir un effet de ventila-
tion grâce auquel il se produit aussi une évacuation d'humidité ou d'air à teneur
élevée en humidité.
On peut envisager un développement selon lequel le choix spécifique de la mousse synthétique de la couche centrale et/ou de la couche intermédiaire est plus
faible dans la zone intérieure que dans les zones marginales, les zones margi-
nales possédant toutefois de préférence un poids spécifique au moins trois fois
plus grand que celui de la zone intérieure, ce qui permet d'obtenir un effet de sou-
tien pour le pied placé dans le chausson intérieur, même dans des zones intermé-
diaires dans lesquelles l'effet de serrage qui est exercé sur le pied par le moyen de
serrage par l'intermédiaire de la coquille en matière plastique rigide est plus faible.
Un développement selon lequel la couche centrale est formée d'une mousse
souple, par exemple mousse synthétique de polyéther ou de polyester, ayant no-
tamment un poids spécifique compris entre 10 kg/m 3 et 150 kg/m 3, de préférence égal à 60 kg/m 3 permet de tenir compte des poids différents des utilisateurs.
Suivant un développement avantageux, il est prévu que les couche superfi-
cielles et/ou la couche centrale soient perméables à l'air, mais de préférence dé-
pourvues d'humidité et qu'au moins l'une des couches superficielles et/ou au
moins l'une des zones marginales soient pourvues d'une imprégnation supplé-
l O mentaire dépourvue d'humidité, ce qui permet de porter le chausson intérieur avec
plus de confort, même pour une utilisation prolongée ou dans des conditions clima-
tiques extrêmes, telles que changement de température, humidité, etc Une adaptation individuelle aux conditions d'utilisation est obtenue au
moyen d'un développement selon lequel la couche superficielle est en cuir synthé-
tique, cuir, feutre, velours ou tissu, produit tricoté, filet ou matelassage de fils ou
fibres en métal, matière plastique, fibres naturelles ou synthétiques.
L'invention concerne aussi un procédé de fabrication de pièces préformées, notamment chaussons intérieurs, par exemple pour chaussures comportant une coquille extérieure en matière plastique, telles que chaussures de ski, chaussures
de travail et analogues, selon lequel on lie une plaque, formée d'une couche cen-
trale en matière plastique, notamment en mousse synthétique, à deux couches su-
perficielles, de préférence en une matière différente, éventuellement avec
l'interposition de couches adhésives, la plaque ayant une épaisseur continue.
Le but que l'invention vise à atteindre est obtenu par le fait qu'on comprime,
jusqu'à une épaisseur inférieure à 0,5 mm, la ligne de contour du flan en compri-
mant la matière plastique de la couche centrale, par élévation de température de la mousse synthétique au moyen de moules chauffants ou en utilisant un champ H F,
puis en appliquant un effort de compression ou avec l'application ultérieure ou si-
multanée d'un effort de compression, et on maintient cette ligne de contour en contact jusqu'à ce que la structure cellulaire, mise en forme et formée au moyen de la compression mécanique et thermique, se soit solidifiée au point que les deux couches superficielles conservent à la température ambiante la position voulue pour elles, et par le fait qu'on découpe ensuite le flan à l'emporte-pièce dans la
plaque, le long de la ligne de contour.
Ce procédé présente l'avantage surprenant qu'au moyen de l'action méca-
nique et thermique sur la structure cellulaire de la mousse synthétique disposée entre les couches superficielles, on obtient, d'une part, la liaison et le scellement permanents des couches superficielles dans la zone marginale ou le long des
bords de coupe, mais aussi une mise en forme à trois dimensions qui est perma-
nente et se maintient, tout en conservant les propriétés d'isolation et
d'amortissement de la mousse synthétique au moyen des couches superficielles.
Suivant d'autres développements avantageux du procédé, il peut être prévu que: simultanément à la réalisation de la ligne de contour, on comprime le flan
dans différentes zones de sa surface, de façon à les amener à différentes épais-
seurs, en élevant la température de la matière plastique de la couche centrale et en appliquant en même temps une pression, et que cette compression de la couche centrale ait lieu en même temps que la réalisation de la délimitation extérieure du flan, qu'on élève la température de la plaque en même temps qu'on réalise la ligne de délimitation du flan et éventuellement en même temps qu'on réalise les zones en retrait et les zones de renfort dans les autres parties de la surface, et qu'en appliquant une force de compression, on comprime la couche centrale dans les zones marginales de façon à les amener à un poids spécifique ou une densité plus élevé que celui ou celle de la zone intérieure et qu'on réalise une projection développée pour une partie ou pour la totalité du chausson intérieur et on comprime la matière plastique de la couche centrale
jusqu'à une épaisseur inférieure à 0,5 mm le long de la ligne de contour de la pro-
jection développée, tout en élevant en même temps la température de la plaque et en la soumettant à une pression, à la suite de quoi on maintient dans cette position les couches superficielles, dans la zone de la ligne de contour, jusqu'à ce qu'un point de solidification ou point de fluage de la matière plastique soit franchi vers le bas, de sorte que les deux couches superficielles sont maintenues à la température
ambiante dans la position choisie au préalable entre elles.
Afin de faciliter la compréhension de l'invention, cette dernière est exposée
ci-après en détail à l'aide d'exemples de réalisation représentés aux dessins.
On voit:
à la figure 1, une vue en perspective d'un chausson intérieur suivant une re-
présentation schématique très simplifiée, à la figure 2, une vue de côté, partiellement en coupe, du chausson intérieur de la figure 1, à la figure 3, une vue de face du chausson intérieur des figures 1 et 2, en
coupe suivant la ligne 11 I-111 de la figure 2, cette vue montrant une zone de chevau-
chement et de liaison entre différentes zones de la ligne de contour d'un flan, à la figure 4, un flan correspondant au chausson intérieur des figures 1 à 3, à la figure 5, une vue en coupe du flan de la figure 4 suivant la ligne V-V de cette figure,
à la figure 6, une autre réalisation d'un flan correspondant au chausson inté-
rieur, à la figure 7, une vue en coupe du flan de la figure 6 suivant la ligne VII-V Il de cette dernière, la figure montrant des éléments rapportés de renfort disposés entre les couches superficielles, à la figure 8, une zone partielle d'une autre réalisation d'un chausson intérieur conforme à l'invention comportant une couche supplémentaire disposée en sus des couches superficielles, à la figure 9, une vue de face, en coupe, d'une zone partielle d'un chausson
intérieur, dans la zone de la couche centrale comprimée avec une intensité diffé-
rente, cette vue représentant schématiquement la structure cellulaire, à la figure 10, une vue de face, en coupe, d'une zone partielle d'une autre réalisation d'un chausson intérieur conforme à l'invention comportant une couche intermédiaire, disposée sur la couche superficielle, et une couche supplémentaire recouvrant cette couche intermédiaire, à la figure 11, une vue de face, en coupe, d'une zone partielle d'une autre réalisation d'un chausson intérieur conforme à l'invention comportant des couches intermédiaire et supplémentaire comprimées d'une manière différente, à la figure 12, une vue de face, en coupe, d'une zone partielle du chausson intérieur conforme à l'invention, dans la zone marginale et dans le cas d'une couche centrale comprimée par des moyens thermiques, et
à la figure 13, une variante de réalisation d'un flan en plusieurs parties cor-
respondant au chausson intérieur.
Les figures 1 à 3 représentent un chausson intérieur 1 associé à un pied 2.
Le chausson intérieur 1 comprend une partie de tige 3 qui est délimitée par une zone marginale 4 de tibia La partie de tige 3, qui entoure en partie le pied 2, se
prolonge par une partie d'avant-pied 5 La partie d'avant-pied 5 est liée à une par-
tie latérale d'avant-pied 8 à la fois dans une zone de cou-de-pied 6 et dans une zone de malléole 7, de préférence au moyen d'une couture 9, en formant ainsi un
logement fermé pour le pied 2.
La partie de tige 3 et la partie d'avant-pied 5 sont fermées en direction d'une surface d'appui 10 au moyen d'une partie de semelle 11 En outre, dans une zone d'orteils 12, la partie latérale d'avant-pied 8 et la partie d'avant-pied 5 sont liées aussi au moyen de la couture 9 Dans la zone du talon 13 du pied ou du tendon d'Achille, le chausson intérieur comprend une partie de tige arrière 14 qui n'est liée qu'en partie à la partie latérale d'avant-pied 8 et à la partie de tige 3, de sorte qu'il se forme une ouverture 15 suffisamment grande pour l'introduction du pied 2 dans le chausson intérieur 1 Ainsi que les figures 2 et 3 le montrent mieux, la structure
du matériau utilisé pour le chausson intérieur 1 comporte plusieurs couches.
Les matières préférées utilisées pour les couches superficielles 16 et 17 sont notamment des feuilles de matière plastique, cuir synthétique, cuir 18, tissu textile 19 et produit tricoté Une couche centrale 21, de préférence en mousse synthétique comporte une structure à cellules ouvertes, le poids spécifique étant compris
entre 10 kg/m 3 et 150 kg/M 3, de préférence égal à 60 kg/m 3.
En soumettant la couche centrale 21 à une action thermique et une action mécanique, on obtient une mise en forme de cette couche, de sorte qu'il se forme, avec des valeurs différentes suivant les endroits, un espacement 22 entre les couches superficielles 16 et 17 du chausson intérieur 1 à l'état fini, l'espacement 22 dans la partie de semelle 11 étant par exemple inférieur à l'espacement 23 io dans la zone de cou- de-pied 6 ou dans la zone marginale 4 de tibia Par ailleurs, des parties repoussées 26 sont formées, de préférence au moyen d'une mise en forme thermique et mécanique, dans des zones de transition 24 et aussi dans une zone de recouvrement 25, d'une façon telle qu'il se forme une ligne de pliage 27 par exemple dans la zone de transition de la partie d'avant-pied 5 à la partie de
semelle 11 Par ailleurs, dans la zone de chevauchement 25, les parties repous-
sées 26 assurent une liaison sans bourrelet entre des zones adjacentes, grâce à la couture 9 qui ne crée aucun emplacement de pression sur le pied 2 qui puisse être gênant. Les figure 4 et 5 représentent une projection développée 28 du chausson
intérieur 1 Cette projection développée 28 englobe la partie de semelle 11, la par-
tie de tige arrière 14, la partie de tige 3, la partie d'avant-pied 5 et la partie latérale d'avant-pied 8 Ainsi qu'on peut le constater d'après cette vue de dessus d'une surface intérieure 29 de la projection développée 28, cette dernière est pourvue d'épaulements 30 et de parties repoussées 26 réparties sur la couche superficielle 17 Les épaulements 30 permettent que, par exemple le long d'une ligne de
contour 31 et notamment dans les parties se recouvrant dans la zone de chevau-
chement 25, la couche superficielle intérieure 17 soit repoussée en direction de la
couche superficielle extérieure 16 ou que la couche superficielle extérieure 16 pré-
sente un épaulement en direction de la couche superficielle intérieure 17, de sorte
que ces zones se chevauchent sans bourrelet.
Les épaulements 30 sont de préférence situés dans la zone de cou-de-pied 6 de la partie d'avant-pied 5 ou de la partie latérale d'avant-pied 8 et dans la zone d'orteils 12, ainsi qu'à l'endroit de la transition avec la partie de semelle 11 et, ainsi
que cela a déjà été indiqué, ils permettent le chevauchement des susdites parties.
Une partie repoussée 26 est par exemple située à l'endroit de la transition de la
partie d'avant-pied 5 avec la partie de semelle 11.
Ainsi que, par ailleurs, la figure 5 montre mieux, un flan 32 comporte, entre les deux couches superficielles 16 et 17, des épaisseurs 33, 34 qui sont différentes
pour les différentes zones, la couche centrale 21, située entre les couches superfi-
cielles, présentant à cet effet une épaisseur variable obtenue par mise en forme thermique et mécanique On constate par exemple que la partie de semelle 11, qui supporte une charge plus élevée, comporte une couche centrale 21 plus fortement
comprimée, et donc une épaisseur 33 plus petite, que les autres zones du flan 32.
En particulier, la partie de tige 3, dans laquelle un effet d'isolation plus intense doit par exemple être obtenu entre la malléole et la coquille en matière plastique de la
chaussure de ski ou de travail, comporte une plus grande épaisseur 34.
Afin d'accroître la résistance au déchirement entre les couches superficielles 16 et 17 et la couche centrale 21, il peut être prévu une augmentation de densité ou de poids spécifique de la couche centrale 21 dans des zones marginales 35, également au moyen d'une mise en forme mécanique et thermique réalisée en
même temps que la mise en forme des autres zones du flan 32.
De ce fait, la structure de la matière plastique, notamment de la mousse synthétique 20, est plus dense dans une zone 36 de collage et de liaison avec les couches superficielles 16 et 17, ce qui permet d'obtenir une meilleure répartition des charges ponctuelles sur une plus grande surface, cette meilleure répartition
s'opposant à un décollement des différentes couches.
A l'endroit des épaulements 30, la couche centrale 21 est délimitée vers
l'extérieur par l'une des couches superficielles 16 et 17 A sa frontière avec la sur-
face intérieure des couches superficielles 16 et 17, la couche centrale 21 comporte
une zone marginale 37 ayant une densité plus élevée La couche superficielle in-
térieure 17 et la couche superficielle extérieure 16 sont situées à distance l'une de
l'autre, la distance 38 diminuant en direction de la partie de semelle 11 Cette dimi-
nution de la distance résulte du fait que la couche superficielle intérieure 17
s'étend d'une manière inclinée vis-à-vis de la couche superficielle extérieure 16.
La partie repoussée 16, ou une partie rétrécie de forme étagée, est prévue en di-
rection de la partie de semelle 11, de sorte que, dans la zone de cette partie de semelle 11, la couche superficielle intérieure 17 s'étend à peu près parallèlement à
la couche superficielle extérieure 16.
Le long de la ligne de contour 31, les couches superficielles 16 et 17 sont disposées à une distance l'une de l'autre qui est de l'ordre de grandeur d'environ 1
à 0,2 mm, de préférence 0,5 mm, au moyen d'une compression thermique appro-
priée Ceci signifie que, dans cette zone, la couche centrale 21 est amenée, au moins en surface, dans un état plastique sous l'effet de l'application d'une action thermique et aussi d'une action mécanique et que, du fait de la compression des parois et voiles cellulaires plastifiés en surface, une couche 39 de collage et de scellement forme, après la solidification, un mince film de matière plastique entre les couches superficielles 16 et 17 Cela empêche aussi un scellement dans la zone marginale et donc de préférence une pénétration d'humidité dans la zone de
la ligne de contour 31 ou ligne de coupe.
Les figures 6 et 7 représentent une autre réalisation de la projection déve- loppée 28 et de la section transversale du flan 32 servant pour le
chausson inté-
rieur 1, cette autre réalisation englobant la partie de semelle 11, la partie de tige arrière 14, la partie de tige 3, la partie d'avant-pied 5 et la partie latérale d'avant-
pied 8.
Dans ce cas, à la différence de la figure 4, la partie de tige arrière 14 est réa-
lisée solidaire, au formage, d'une zone de talon 40 de la partie latérale d'avant-
pied 8 Ainsi qu'on peut le constater en outre d'après cette vue de dessus de la
surface intérieure 29 du flan 32, la partie d'avant-pied 5 et la partie latérale d'avant-
pied 8 comportent l'une et l'autre, dans la zone de malléole 7, des parties rappor-
tées 41 Ces parties rapportées 41 sont par exemple formées d'une matière cellu-
laire qui a un poids spécifique différent de celui de la matière cellulaire de la couche centrale 21 Il est possible que, dans la zone de la partie rapportée 41, la couche centrale 21 ait été retirée localement par des moyens mécaniques et que la
partie rapportée 41 soit emboîtée, et éventuellement collée ou soudée, dans le lo-
gement ainsi formé Cela permet d'adapter éventuellement diverses zones du
chausson intérieur 1 à des conditions d'effort différentes.
Le flan 32 comporte des épaulements 30 à l'endroit de sa ligne de contour 31, notamment sur la partie de tige 3, la partie d'avant-pied 5 et la partie latérale
d'avant-pied 8 Dans ces parties qui se recouvrent, la couche superficielle inté-
rieure 17 est disposée en retrait en direction de la couche superficielle extérieure 16 ou cette couche superficielle extérieure 16 est disposée en retrait en direction
de la couche superficielle intérieure 17.
Dans la zone marginale de tibia 4 de la partie de tige 3, il est prévu un bord 42 qui a un autre poids spécifique que la partie de tige 3 et qui s'étend jusqu'à la
zone de tendon d'Achille 43.
La figure 8 représente une zone partielle du chausson intérieur 1 qui est constituée des couches superficielles 16 et 17, par exemple formées d'un cuir 18 et d'un tissu textile 19, et de la mousse synthétique 20 disposée entre ces couches
superficielles Le chausson intérieur 1 comporte, par exemple dans la zone de ten-
don d'Achille 43, une partie comprimée 44 grâce à laquelle la surface intérieure 29 présente une partie repoussée 45 en forme de cuvette La partie comprimée 44 est par exemple obtenue sous l'action de la température, par exemple au moyen de plaques de mise en forme à haute fréquence ou chauffées, et de la pression, de sorte que, dans cette zone, en raison de l'affaissement ou de la compression de la structure cellulaire qui est maintenu jusqu'au refroidissement, grâce au collage obtenu lors du ramollissement, on obtient une rigidification permanente de la structure cellulaire Cela permet d'atteindre aussi un poids spécifique plus élevé de 1 1
la mousse synthétique 20 qui fournit un effet plus intense de soutien pour le pied.
Pour compenser les particularités anatomiques du pied dans la zone de ten-
don d'Achille 43, on applique une couche intermédiaire 46 en mousse synthétique 47 dans la zone de la partie comprimée 44 et sur sa surface intérieure 29, par exemple par collage, soudage, formation d'une mousse, etc, cette couche inter- médiaire 46 ayant un poids spécifique ou une élasticité qui diffère de celui ou celle de la mousse synthétique 20 de la couche centrale 21, tandis qu'en direction d'une
surface 48 qui est tournée vers le pied, cette même couche intermédiaire 46 com-
porte une couche de couverture 49, par exemple un tissu, produit tricoté ou mate-
lassage 50 La liaison entre la couche de couverture 49 et la couche superficielle
17 peut par exemple s'obtenir au moyen d'un adhésif 51 On peut toutefois envisa-
ger aussi un traitement thermique qui est exécuté tout en appliquant en même temps une pression, éventuellement avec l'interposition d'une feuille adhésive ou d'un adhésif fondant à chaud, de sorte que la liaison s'effectue par fusion de la mousse synthétique 47 et qu'après le refroidissement, on obtient une adhérence entre la couche superficielle 17 et la couche de couverture 49, d'une part, et la
mousse synthétique 47, d'autre part.
La figure 9 représente la partie comprimée 44, prévue pour le chausson in-
térieur 1, qui a par exemple été produite par application de température et de pression Ainsi que cela est représenté schématiquement par les limites de grain de la mousse cellulaire 20, la compression thermique réalise une mise en forme de la mousse synthétique 20 à cellules ouvertes Cela modifie donc la structure à trois dimensions de la mousse synthétique 20 dans la partie comprimée 44, tandis que
les actions qui influent par exemple sur le poids spécifique de la mousse synthé-
tique 20 peuvent être influencées en fonction de la matière, de la température ap-
pliquée et de l'application de pression Il est donc possible de ménager en même
temps des parties repoussées 45 qui sont adaptées aux particularités anato-
miques, ainsi que d'influer en même temps sur la distance 38 entre les couches
superficielles 16 et 17.
L'application d'une température permettant la mise en forme ou la déforma-
tion de la mousse synthétique, tout en exerçant une pression, peut s'obtenir au
moyen de plaques de pression chauffées électriquement et/ou au moyen de va-
peur d'eau, des dispositifs de réglage permettant de maintenir une gamme de tem-
pératures qui est appropriée à la mise en forme.
Pour réaliser une élévation de température de la mousse synthétique en vue de sa mise en forme thermique, il est possible d'envisager aussi d'utiliser des champs de rayonnement à haute fréquence, la zone d'action pouvant ainsi être déterminée à l'avance d'une manière très précise et des zones délimitées d'une
manière exacte pouvant, en cas de besoin, être mises en forme.
La compression de la structure cellulaire qui résulte de l'application de tem-
pérature et de pression permet d'augmenter le poids spécifique par endroits, par exemple dans les zones marginales ou dans des zones centrales isolées Cela permet d'influer sur la structure cellulaire, notamment de réduire les distances entre des parois cellulaires voisines, cette opération, qu'on appelle aussi craquage thermique, se déroulant à une température à laquelle il se produit une déformation
permanente de la structure cellulaire et à laquelle, grâce au choix de la tempéra-
ture, il se produit, par exemple notamment dans les zones marginales ou sur les surfaces de coupe du flan 32, une fusion partielle de la couche centrale 21 et donc
1 o une liaison à l'état fondu entre les couches superficielles 16 et 17.
Le traitement thermique permet d'adapter le flan 32 à des particularités anatomiques différentes des pieds et d'associer plusieurs gammes de pointures à
* une taille de coquille de la chaussure extérieure.
Les figures 10 et 11 représentent d'autres variantes de réalisation d'un flan
constitué des couches superficielles 16 et 17 et de la mousse synthétique 20 dis-
posée entre ces dernières, avec des couches intermédiaires 46 et des couches de couverture 49 disposées par endroits Des couches supplémentaires 52 en une ou plusieurs épaisseurs sont disposées entre la couche superficielle 17 tournée vers
la surface intérieure 29 et la couche de couverture 49, ou entre la couche intermé-
diaire 46 et la couche de couverture 49, ces couches supplémentaires 52 consti-
tuant par exemple des couches de répartition de pression 53 Il est ainsi possible, dans la zone o les efforts sont plus élevés, d'obtenir l'indéformabilité nécessaire entre le pied et le chausson intérieur 1 et d'y répartir les forces appliquées, d'une
manière optimale et d'une façon ménageant le pied.
La figure 12 représente la réalisation prévue à l'endroit de la zone marginale du chausson intérieur 1 Les couches superficielles 16 et 17, avec la mousse synthétique 20 disposée entre ces dernières, sont comprimées le long de la partie marginale 35, entre une partie inférieure de moule 54 et une partie supérieure de
moule 55 et moyennant l'application d'une pression exercée suivant la flèche 56.
La partie inférieure de moule 54 et la partie supérieure de moule 55 comportent en même temps, dans la zone de la partie marginale 35, des éléments chauffants 57 au moyen desquels la partie inférieure de moule 54 et la partie supérieure de moule 55 sont amenées dans un domaine de température dans lequel la mousse synthétique 20 passe à l'état plastique Ainsi, dans une zone de liaison 58, la mousse synthétique 20 est comprimée jusqu'à une épaisseur 59 qui est comprise entre 1 et 0, 2 mm, de préférence égale à 0,5 mm environ, de sorte que les couches
superficielles 16 et 17 reposent presque l'une sur l'autre et que la mousse synthé-
tique 20 fondue réalise une liaison adhésive 60 qui, après la solidification, assure
une liaison permanente entre les couches superficielles 16 et 17.
Par ailleurs, il est possible, simultanément à l'opération de compression le long de la partie marginale 35, de déplacer une lame tranchante 61 en direction de la partie inférieure de moule 54 le long d'une surface périphérique extérieure 62 de la partie supérieure de moule 55, suivant la flèche 63, et donc de découper le flan 32 dans la zone de liaison 58 d'une manière conforme aux dimensions extérieures voulues. La figure 13 représente une réalisation d'un flan destiné à constituer le chausson intérieur 1 qui est en plusieurs parties Par exemple, un élément partiel de flan 64 est constitué de la partie latérale d'avant-pied 8 et de la partie de tige 3 et la partie de tige arrière 14 qui sont liées à cette dernière d'un seul tenant, tandis
qu'un autre élément partiel de flan 65 comprend une autre partie latérale d'avant-
pied 66 et la partie de semelle 11 liée à cette dernière d'un seul tenant Pour former le chausson intérieur 1, on lie entre eux les éléments partiels de flan 64 et 65 dans la zone de talon 40, aux endroits o des épaulements 30 sont disposés en regard
l'un de l'autre, la liaison s'effectuant par exemple par piquage, collage, etc La par-
tie repoussée 26 correspondant au contour extérieur du pied 2 est par exemple disposée dans la zone de transition entre la partie latérale d'avant-pied 66 et la partie de semelle 11, ce qui permet de former la ligne de pliage 27 qui facilite la
mise en forme.
Ainsi que cela a déjà été décrit précédemment, outre la liaison réalisée dans la zone de talon 40, il est aussi prévu, ainsi que cela a déjà été décrit, une liaison des parties latérales d'avant-pied 8 et 66 entre elles dans la zone d'orteils 12 et la zone de cou-de-pied 6, tandis que la partie de tige arrière 14 est aussi mise en
forme en direction de la partie de tige 3 et est fixée dans la zone de talon 40.
Bien entendu, outre les réalisations représentées pour les flans d'un seul te-
nant ou en plusieurs parties, on peut envisager aussi une série d'autres formes de
flan ayant des paramètres géométriques différents On peut, bien entendu, envisa-
ger aussi des flans qui comportent plus de deux éléments partiels de flan.
On doit encore mentionner le fait que, pour une meilleure représentation du
chausson intérieur conforme à l'invention, les figures sont présentées d'une ma-
nière partiellement schématique et que les parties ne sont pas proportionnelles entre elles Des parties isolées des exemples de réalisation décrits peuvent aussi
constituer des solutions indépendantes conformes à l'invention.
Ce sont surtout les réalisations représentées aux figures 1, 2, 3, 4, 5; 6, 7 8; 9; 10; i 1; 12; 13 qui peuvent faire l'objet de solutions indépendantes conformes à l'invention Les buts à atteindre et les solutions, conformes à
l'invention, qui les concernent, ressortent des descriptions détaillées de ces figures.
Claims (22)
1 Pièce préformée, notamment flan pour chausson intérieur ou éléments
partiels de flan pour un tel chausson intérieur, comprenant des couches superfi-
cielles, disposées à distance l'une de l'autre, et, entre ces dernières, une couche intermédiaire en mousse synthétique, ces couches étant toutes réunies au moyen d'une couche de liaison de façon à former un élément sandwich, caractérisée en ce que la couche centrale ( 21), qui a une épaisseur initiale pratiquement uniforme, est comprimée, au moins le long de la ligne de contour ( 31) du flan ( 32) d'une pièce de chausson intérieur, jusqu'à une épaisseur inférieure à 0,5 mm sous une application de pression et de température, en ce que les couches superficielles ( 16, 17) sont maintenues par la mousse synthétique ( 20) dans cette position à la
température ambiante et en ce qu'un bord de coupe s'étend dans la zone compri-
mée de la mousse synthétique.
2 Pièce préformée suivant la revendication 1, caractérisée en ce que la couche centrale ( 21) est comprimée à une épaisseur plus faible que l'épaisseur initiale à l'intérieur de la ligne de contour ( 31) de la pièce de chausson intérieur et
le long de zones de mise en forme et/ou de raidissement.
3 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 et 2, caractérisée en
ce que, dans la zone de la ligne de contour ( 31), il est disposé des bandes conti-
nues qui s'étendent vers l'intérieur à partir des bords latéraux et dans lesquelles la couche centrale ( 21) est comprimée à une épaisseur plus faible que dans les
zones voisines.
4 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce
que, dans la zone des parties marginales ( 37) se raccordant aux couches superfi-
cielles ( 16, 17), la mousse synthétique ( 20) est comprimée par des moyens méca-
niques et thermiques de façon à posséder un poids spécifique plus élevé que celui
de la zone intérieure de la couche centrale ( 21).
Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce
que l'une des couches superficielles ( 16, 17) a une forme courbe à trois dimen-
sions qui est tournée vers l'autre couche superficielle ( 16, 17).
6 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce
que le flan ( 32) est formé par la projection développée ( 28) d'une pièce de tige ( 3).
7 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 6, caractérisée en ce
que le flan ( 32) est formé de la projection développée ( 28) d'une pièce de tige ( 3)
et d'une pièce d'avant-pied ( 5).
8 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce
que le flan ( 32) constitue une pièce développée ( 28) du chausson intérieur ( 1) qui
est d'un seul tenant.
9 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce
que des éléments de renfort, par exemple des pièces rapportées ( 41), sont placés dans la zone de l'une des deux couches superficielles ( 16, 17) ou entre une
couche superficielle ( 16, 17) et la couche centrale ( 21).
Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 9, caractérisée en
ce que les éléments de renfort sont constitués de filets, grilles, tissus, matelassages de plumes ou fibres en métal, matières minérales ou substances synthétiques et
naturelles, notamment fibres de verre, fibres de graphite, fibres de laine et ana-
logues.
11 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 10, caractérisée en
go ce que la densité ou le poids spécifique de la mousse synthétique ( 20) de la couche centrale ( 21) ou des zones marginales ( 35) de la couche centrale ( 21) est
réparti différemment sur l'étendue de la surface du flan ( 32).
12 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 11, caractérisée en
ce que des zones partielles du flan ( 32) sont renforcées au moyen d'une couche
supplémentaire ( 52) déposée sur l'une des deux couches superficielles ( 16, 17).
13 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 12, caractérisée en
ce qu'une couche intermédiaire ( 46) en matière plastique, notamment en mousse synthétique ( 47) à module d'élasticité élevé, notamment une mousse souple, est disposée entre la couche supplémentaire ( 52) et la couche superficielle ( 16,17) la
plus proche de cette dernière.
14 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 13, caractérisée en
ce que la couche supplémentaire ( 52) et/ou la couche intermédiaire ( 46) sont ré-
unies à la couche superficielle ( 16, 17) et/ou entre elles au moyen de couches de
collage et de scellement ( 39), notamment en poudre adhésive sèche, feuilles à fu-
sion ou feuilles imprégnées rapportées.
Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 14, caractérisée en
ce que la couche supplémentaire ( 52) est liée à la couche superficielle ( 16, 17) au moyen de la matière plastique de la couche intermédiaire ( 46), associée à cette couche superficielle, qui est mise en forme par des moyens mécaniques et/ou
thermiques.
16 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 15, caractérisée en
ce que la couche supplémentaire ( 52) et/ou la couche intermédiaire ( 46) sont dis-
posées dans une partie en retrait des couches superficielles ( 16, 17) du flan ( 32) et sont reliées à la couche superficielle ( 16, 17) au moyen de la couche intermédiaire
( 46) comprimée par des moyens mécaniques ou thermiques.
17 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 16, caractérisée en
ce que le poids spécifique ou la densité de la couche intermédiaire ( 46) est plus faible dans la zone d'une partie en retrait de la couche superficielle ( 16, 17) que dans les zones voisines de cette dernière comportant une couche intermédiaire
( 46) comprimée par des moyens mécaniques et thermiques.
18 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 17, caractérisée en
ce que la couche centrale ( 21) et/ou la couche intermédiaire ( 46) sont éventuelle-
ment constituées d'une mousse synthétique ( 47) à cellules ouvertes.
19 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 18, caractérisée en
ce que le choix spécifique de la mousse synthétique ( 20, 47) de la couche centrale ( 21) et/ou de la couche intermédiaire ( 46) est plus faible dans la zone intérieure que dans les zones marginales ( 37), les zones marginales ( 37) possédant toutefois de préférence un poids spécifique au moins trois fois plus grand que celui de la
zone intérieure.
Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 19, caractérisée en
ce que la couche centrale ( 21) est formée d'une mousse souple, par exemple
mousse synthétique de polyéther ou de polyester, ayant notamment un poids spé-
cifique compris entre 10 kg/m 3 et 150 kg/m 3, de préférence égal à 60 kg/m 3.
21 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 20, caractérisée en
ce que les couche superficielles ( 16, 17) et/ou la couche centrale ( 21) sont per-
méables à l'air, mais de préférence dépourvues d'humidité.
22 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 21, caractérisée en
ce qu'au moins l'une des couches superficielles ( 16, 17) et/ou au moins l'une des
zones marginales ( 37) sont pourvues d'une imprégnation supplémentaire dépour-
vue d'humidité.
23 Pièce préformée suivant l'une des revendications 1 à 22, caractérisée en
ce que la couche superficielle ( 16, 17) est en cuir synthétique, cuir ( 18), feutre, ve-
lours ou tissu ( 19), produit tricoté, filet ou matelassage de fils ou fibres en métal,
matière plastique, fibres naturelles ou synthétiques.
24 Procédé de fabrication de pièces préformées, notamment chaussons in-
térieurs, par exemple pour chaussures comportant une coquille extérieure en ma-
tière plastique, telles que chaussures de ski, chaussures de travail et analogues, selon lequel on lie une plaque, formée d'une couche centrale en matière plastique, notamment en mousse synthétique, à deux couches superficielles, de préférence
en une matière différente, éventuellement avec l'interposition de couches adhé-
sives, la plaque ayant une épaisseur continue, caractérisé en ce qu'on comprime,
jusqu'à une épaisseur inférieure à 0,5 mm, la ligne de contour du flan en compri-
mant la matière plastique de la couche centrale, par élévation de température de la mousse synthétique au moyen de moules chauffants ou en utilisant un champ H F,
puis en appliquant un effort de compression ou avec l'application ultérieure ou si-
multanée d'un effort de compression, et on maintient cette ligne de contour en contact jusqu'à ce que la structure cellulaire, mise en forme et formée au moyen de la compression mécanique et thermique, se soit solidifiée au point que les deux couches superficielles conservent à la température ambiante la position voulue pour elles, et en ce qu'on découpe ensuite le flan à l'emporte-pièce dans la plaque,
le long de la ligne de contour.
Procédé suivant la revendication 24, caractérisé en ce que, simultané-
ment à la réalisation de la ligne de contour, on comprime le flan dans différentes zones de sa surface, de façon à les amener à différentes épaisseurs, en élevant la température de la matière plastique de la couche centrale et en appliquant en même temps une pression et en ce que cette compression de la couche centrale a
lieu en même temps que la réalisation de la délimitation extérieure du flan.
26 Procédé suivant l'une des revendications 24 et 25, caractérisé en ce
qu'on élève la température de la plaque en même temps qu'on réalise la ligne de délimitation du flan et éventuellement en même temps qu'on réalise les zones en retrait et les zones de renfort dans les autres parties de la surface et en ce qu'en appliquant une force de compression, on comprime la couche centrale dans les zones marginales de façon à les amener à un poids spécifique ou une densité plus
élevé que celui ou celle de la zone intérieure.
27 Procédé suivant l'une des revendications 24 à 26, caractérisé en ce
qu'une projection développée pour une partie ou pour la totalité du chausson inté-
rieur et en ce qu'on comprime la matière plastique de la couche centrale jusqu'à une épaisseur inférieure à 0,5 mm le long de la ligne de contour de la projection développée, tout en élevant en même temps la température de la plaque et en la soumettant à une pression, à la suite de quoi on maintient dans cette position les couches superficielles, dans la zone de la ligne de contour, jusqu'à ce qu'un point de solidification ou point de fluage de la matière plastique soit franchi vers le bas, de sorte que les deux couches superficielles sont maintenues à la température
ambiante dans la position choisie au préalable entre elles.
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