FR3021869A1 - Tete de massage et appareil de massage mettant en œuvre une telle tete - Google Patents

Abstract

Cette tête de massage comprend un boitier définissant une chambre interne au sein de laquelle est formé un pli cutané lorsqu'elle est appliquée sur la peau d'un patient, ledit pli venant en contact avec les bords inférieurs de la chambre. Cette chambre est définie par deux parois latérales (12, 13) et par deux parois transversales, au moins l'une desdites parois transversales étant constituée d'un clapet (10) susceptible d'être animé d'un mouvement de pivotement, de telle sorte à induire le rapprochement et l'éloignement l'un de l'autre du bord inférieur (16) desdites parois transversales au contact du pli cutané. Le clapet (10) est articulé au voisinage de son extrémité supérieure sur les parois latérales (12, 13). Le pivotement du clapet (10) est obtenu au moyen d'un motoréducteur monté fixe à l'intérieur dudit clapet, et dont l'arbre de sortie entraine une came en rotation, reçue dans un chemin de came solidaire de l'une des parois latérales de la chambre interne.

Description

TETE DE MASSAGE ET APPAREIL DE MASSAGE METTANT EN OEUVRE UNE TELLE TETE DOMAINE DE L'INVENTION La présente invention concerne une tête de massage perfectionnée, destinée à la mobilisation du tissu cutané. Elle concerne également un appareil de massage mettant en oeuvre une telle tête.

L'objectif recherché par la présente invention réside essentiellement dans la réalisation de manière simple et efficace des opérations de massage ce, aussi bien sur des êtres humains que sur des animaux, tendant notamment à optimiser la stimulation mécanique dudit tissu cutané lors de l'opération de pincement.

ETAT ANTERIEUR DE LA TECHNIQUE Différentes techniques de massage sont connues, dont la mise en oeuvre dépend des traitements à réaliser. De manière générale, ces techniques visent à exercer sur le patient des contraintes faisant appel à des phénomènes de pression et/ou de pincement sur ou du tissu cutané. Afin de faciliter l'action du praticien, on a proposé un grand nombre de dispositifs. Parmi ces dispositifs, on a tout d'abord proposé la mise en oeuvre d'appareils faisant appel à une simple action mécanique, par exemple au moyen d'ensembles comportant des billes ou boules montées sur un boitier support, permettant le cas échéant de distribuer ou d'appliquer de manière concomitante un produit de traitement de type crème ou gel, tel que par exemple décrit dans le document FR A 1 225 094. On a également proposé de substituer à ce traitement mécanique un traitement d'aspiration de la peau du patient. A cet effet, les appareils de massage en question mettent en oeuvre une tête de traitement reliée à un circuit d'aspiration, ladite tête de traitement étant constituée par un boitier définissant une chambre interne à l'intérieur de laquelle débouche le circuit d'aspiration. Lorsque cette tête de massage est appliquée contre le corps du patient, et en raison de l'aspiration générée par le circuit d'aspiration, il se forme un pli cutané à l'intérieur de la chambre interne, pli cutané qui s'appuie contre le bord périphérique de ladite chambre interne. L'action mécanique quant à elle peut être exercée par des rouleaux ou des billes qui permettent d'exercer concomitamment à l'aspiration sur le corps du patient, une action de pression et/ou de déplacement et/ou de friction, notamment par vibration. Les solutions proposées dans ce contexte conduisent à des ensembles complexes, délicats à mettre en oeuvre, et qui ne donnent pas entière satisfaction sur le plan des résultats. Il a également été proposé des appareils de massage susceptibles de reproduire de manière simple des massages de type palper-rouler, c'est-à-dire consistant à exercer sur le patient une action continue, provoquant non seulement un pincement localisé du tissu cutané, mais également un déplacement progressif de la zone pincée de manière à provoquer un roulage dudit pli cutané et ce, tout en exerçant une pression (voir par exemple EP-A-0 224 422).

Les appareils décrits, par exemple dans ce document, comportent un boitier actionnable manuellement à l'intérieur duquel sont montés deux rouleaux parallèles, montés libres en rotation ou entrainés positivement en rotation à l'intérieur du boitier. Ces rouleaux peuvent être montés sur le boitier à entraxe fixe, ou au contraire sont susceptibles de pouvoir s'écarter et se rapprocher automatiquement l'un de l'autre lors de l'opération de massage, ledit boitier étant lui-même relié à des moyens d'aspiration permettant de créer une dépression entre lesdits rouleaux lorsque la tête munie de ces différents éléments est appliquée contre le corps du patient, de façon à former un pli cutané en appui contre la surface des rouleaux.

Dans le document EP 0 917 452, on a proposé de remplacer les rouleaux en question par deux cloisons rapportées à l'intérieur du boitier, articulées au sein de ce dernier de telle sorte à pouvoir être animées d'un mouvement de pivotement, ledit boitier étant, là encore relié à une source d'aspiration. Sous l'action de l'aspiration, il se créé un pli cutané venant s'insérer entre les deux cloisons à l'intérieur du boitier. En raison de la progression dans un sens ou dans l'autre de la tête de massage munie d'un tel dispositif contre la peau du patient, le pli de peau ainsi formé subit un pincement saccadé. En l'absence de contrainte, les deux cloisons sont maintenues écartées l'une de l'autre par exemple au moyen de ressorts ou d'aimants, le pivotement desdites cloisons et donc le rapprochement de l'une par rapport à l'autre résultant de l'effet du vide et/ou de la dépression générée à l'intérieur du boitier.

Si un tel dispositif donne satisfaction, en revanche, il s'avère qu'en raison des fuites inéluctables entre le bord inférieur du boitier et la peau du patient contre laquelle il s'applique, le vide ou la dépression peut être rompu rapidement, affectant ce faisant l'efficacité du traitement, et notamment l'action de pincement résultant des deux cloisons. Au surplus, il n'est pas rare qu'en raison de la dépression générée au sein de la chambre interne du boitier, on observe un coincement de l'une ou des deux cloisons, affectant alors de manière plus importante l'efficacité du traitement. Il résulte donc que la stimulation tangentielle du pli cutané résultant de l'action du bord inférieur desdites cloisons ou clapets est insuffisante, et que le pincement recherché n'a pas systématiquement l'efficacité voulue. L'objectif recherché par la présente invention est donc d'optimiser cette stimulation mécanique inhérente au pincement.

EXPOSE DE L'INVENTION A cet effet, la présente invention vise une tête de massage comprenant un boitier définissant une chambre interne au sein de laquelle est formé un pli cutané lorsqu'elle est appliquée sur la peau d'un patient, ledit pli venant en contact avec les bords inférieurs de la chambre, ladite chambre étant définie par deux parois latérales et par deux parois transversales, au moins l'une desdites parois transversales étant constituée d'un clapet susceptible d'être animé d'un mouvement de pivotement, de telle sorte à induire le rapprochement et l'éloignement l'un de l'autre du bord inférieur desdites parois transversales au contact du pli cutané. Selon l'invention, le clapet est articulé au voisinage de son extrémité supérieure sur les parois latérales.

En outre, le pivotement du clapet est obtenu au moyen d'un motoréducteur monté fixe à l'intérieur dudit clapet, et dont l'arbre de sortie entraine une came en rotation, reçue dans un chemin de came solidaire de l'une des parois latérales de la chambre interne.

En d'autres termes, l'invention consiste à motoriser l'action du ou des clapets et donc à ne plus rendre dépendant le rapprochement ou l'éloignement du bord inférieur du ou des clapets l'un de l'autre sous la seule action du vide, de telle sorte à assurer, quelles que soient les circonstances, un pincement effectif du pli cutané. Le pli cutané résulte donc de l'accroche mécanique engendrée par le bord inférieur libre desdits clapets. A cet effet, ceux-ci sont avantageusement revêtus d'un matériau à coefficient de frottement élevé, tel que par exemple en élastomère. Ce faisant, on reproduit de manière efficace la technique dite du «pincer de Jacquet » consistant à réaliser une succession de pressions dans toute la profondeur de la peau et en tous sens. La mise en oeuvre de l'actionnement mécanique du ou des clapets pour réaliser ce pli cutané présente l'avantage de garantir le retour des clapets à leur position d'origine, contrairement aux dispositifs de l'art antérieur ne mettant en oeuvre que l'aspiration, susceptible ainsi que rappelé supra, d'aboutir au collage desdits clapets entre eux annulant toute action de pincement de la tête de massage. Selon l'invention, la paroi latérale opposée à celle recevant les chemins de came peut recevoir une carte électronique reliée à un connecteur, accessible au niveau de l'extrémité supérieure de ladite paroi latérale. Ce faisant, il est possible d'acheminer au niveau de ce connecteur l'énergie électrique nécessaire pour engendrer le fonctionnement du motoréducteur intégré au sein dudit clapet.

Selon une autre caractéristique de l'invention, la tête de massage est constituée de deux modules, munis de moyens aptes à permettre leur solidarisation réversible l'un à l'autre. Ce faisant, outre l'accessibilité optimisée à l'intérieur de la chambre interne qu'ils définissent, et corollairement la possibilité de procéder au changement des pièces constitutives de la tête, il est également possible d'assurer un nettoyage optimisé des différents constituants de cette dernière. Selon une autre caractéristique de l'invention, la tête de massage reçoit un volet d'étanchéité en zone supérieure de la chambre interne, apte à venir se loger dans des logements prévus à cet effet. Ce faisant, on optimise l'efficacité de la tête de massage par la double action du pincement inhérent aux clapets d'une part et de la dépression générée au sein de la chambre d'autre part, lorsque celle-ci est effectivement reliée à une source d'aspiration.

L'invention concerne également un dispositif de massage mettant en oeuvre une telle tête de massage. Ce dispositif de massage comporte une source d'énergie propre à actionner le motoréducteur intégré dans le ou les clapets de la tête de massage. Ce dispositif de massage est également susceptible de comprendre une source de vide ou de dépression associé à la tête de massage, et débouchant en son sein. BREVE DESCRIPTION DES FIGURES La manière dont l'invention peut être réalisée et les avantages qui en découlent ressortiront mieux de l'exemple de réalisation qui suit, donné à titre indicatif et non limitatif à l'appui des figures annexées. La figure 1 est une représentation schématique en perspective de la tête de massage conforme à l'invention.

La figure 2 est une vue schématique en perspective éclatée d'un module entrant dans la constitution de la tête de massage de l'invention, vue de l'un des côtés de celui-ci. La figure 3 est une vue schématique en perspective éclatée dudit module vu de l'autre côté. La figure 4 est une vue détaillée de la figure 3.

La figure 5 est une représentation schématique du clapet constitutif de la tête de massage conforme à l'invention en vue éclatée. La figure 6 est une vue schématique en perspective de ladite demi-tête de massage, illustrant principalement l'alimentation électrique du motoréducteur intégré dans le clapet.

DESCRIPTION DETAILLEE DE L'INVENTION On a donc illustré en relation avec la figure 1 une vue schématique de la tête de massage 1 conforme à l'invention.

Celle-ci est constituée par la solidarisation entre eux de deux modules 2, 3, ladite solidarisation étant avantageusement réversible. Ces modules définissent, lorsqu'ils sont associés l'un à l'autre, une chambre interne à l'intérieur de laquelle vient se former un pli cutané.

Cette chambre interne est elle-même définie par deux parois latérales, par deux parois transversales, outre par un fond 4. La face opposée au fond est ouverte, pour justement permettre la formation du pli cutané à l'intérieur de la chambre interne.

La tête de massage est également pourvue de capots 5, articulés au voisinage la partie supérieure des parois transversales, et destinés à constituer des pièces de verrouillage des modules entre eux, et en outre sur la partie supérieure de la tête de massage (non représentée).

Ces capots 5 sont chacun munis de saillies 6, destinées à venir s'encastrer dans des évidements correspondants 7, ménagés à cet effet au niveau de la paroi de fond, afin de favoriser la solidarisation des deux modules entre eux d'une part, et sur la partie supérieure de la tête de massage d'autre part.

Cette solidarisation est au demeurant décrite dans la demande de brevet déposée concomitamment avec la présente demande, et davantage orientée vers le caractère modulaire de la tête de massage. Selon une caractéristique de l'invention, la tête de massage comprend au moins un clapet 10 articulé au voisinage de son extrémité supérieure sur les parois latérales 12 et 13 de l'un des modules 2, 3 définissant la tête de massage. En d'autres termes, ledit clapet constitue partie à tout le moins de la paroi transversale évoquée supra. A cet effet, le clapet 10 comporte un axe pivot 14, dont les deux extrémités sont reçues dans un logement 15 ménagé au niveau de chacune des deux faces latérales 12 et 13. Ce clapet 10 présente une hauteur correspondant sensiblement à celle de la chambre interne définie par la tête de massage. Cependant, il dépasse légèrement de l'extrémité inférieure des parois latérales, afin d'optimiser l'action de pincement.

Ce clapet 10 présente un bord inférieur 16 arrondi, avantageusement revêtu d'un matériau élastomère aux fins d'optimiser la friction et corolairement l'action de pincement lorsque la tête de massage est en contact avec la peau du patient.35 Les parois latérales 12 et 13 présentent un volume interne permettant de recevoir respectivement, d'une part un circuit électronique, dont la fonction sera décrite ultérieurement, et d'autre part un chemin de came comme illustré au sein des figures 3 et 4. Ce volume est obturé par une plaque 17 (voir figure 3) et 18 (voir figure 6) aux fins de la protection des éléments contenus dans lesdits volumes. Ces plaques 17 et 18 sont simplement encliquetées mécaniquement de manière tout à fait traditionnelle sur la périphérie. On a représenté en relation avec la figure 5 une vue éclatée du clapet 10 caractéristique de l'invention. Celui-ci présente une section transversale en forme d'hippodrome. Au sein du volume ainsi défini, sont logés un moteur 20 actionnant un réducteur 21, dont on a représenté par la référence 22 l'arbre de sortie du réducteur 21. De fait, le couple moteur 20 - réducteur 21 est solidarisé à une plaque latérale 23, fixée par exemple au moyen de vis 24 sur l'une des parois du clapet 10. Une autre plaque 25 vient obturer l'autre paroi du clapet, également solidarisée à ce dernier au moyen de vis 26. On a représenté au sein de la figure 3 une première vue de la paroi latérale 12 intégrant des éléments mécaniques propres à permettre, en coopération avec le motoréducteur 20, 21 le pivotement dudit clapet 10. Plus spécifiquement, a été illustré au sein de cette figure 3 un chemin de came 30 en l'espèce constitué par une lumière 31 rectiligne. Au sein de la figure 4, apparaissent de manière plus précise les différents éléments mécaniques permettant le pivotement dudit clapet 10. Ainsi donc, l'arbre de sortie 22 du réducteur 21, en l'espèce de section transversale triangulaire, est reçu dans un orifice de forme correspondante 33 ménagé au sein d'une came 32. Cette came 32 est en fait constituée de deux cylindres, respectivement 34 et 36, séparés l'un de l'autre par une portion linéaire. Le cylindre 36 vient coopérer avec la lumière rectiligne 31 décrite précédemment.

L'arbre de sortie 22 du motoréducteur 20, 21 vient dans les faits coopérer avec le cylindre 34 de la came 32, ledit cylindre 34 traversant la paroi latérale 12 par une lumière 35 de forme en arc de cercle.35 On conçoit dès lors que lorsque le réducteur 21, actionné par le moteur 20 entraine en rotation l'arbre de sortie 22, il engendre la rotation de la came 32. En raison de la coopération de celle-ci avec le chemin de came 31, la rotation de la came 32 entraine le déplacement relatif de l'extrémité inférieure du clapet 10, sous la forme du pivotement de celui-ci par rapport à son axe d'articulation 14. On assure donc la mobilisation du clapet 10 qui pivote autour de son axe d'articulation 14 de manière motorisée. Corolairement, l'alimentation électrique du moteur 20 peut être assurée au moyen d'une carte électronique 40, fixée dans l'autre paroi latérale 13, et alimentée électriquement au moyen d'un connecteur 41 débouchant au niveau d'une lumière traversante 42 ménagée à cet effet à l'extrémité supérieure du volume défini par la paroi latérale 13. Ce connecteur 41 coopère avec un connecteur de forme complémentaire (non représenté), intégré au niveau de la tête de massage.

De par la mise en oeuvre d'une telle carte électronique 40, il est de fait envisageable de prévoir toute sorte de séquence de fonctionnement du clapet 10, en fonction du traitement envisagé. Il est notamment possible de régler la vitesse du pivotement, et la fréquence de battement du ou des clapets.

Selon l'invention, et comme déjà évoqué supra, la tête de massage est constituée de deux modules 2, 3 susceptibles d'être solidarisés réversiblement l'un à l'autre. A cet effet, chacun des modules comporte en zone supérieure d'une part et en zone inférieure des parois latérales d'autre part, des moyens mécaniques, de solidarisation respectivement mâles 50 et 51, et femelles 52 et 53.

Parallèlement, lorsque la tête de massage est montée sur un dispositif de massage muni d'une source d'aspiration, il est défini un orifice 54 par l'assemblage des modules entre eux, au niveau duquel débouche la zone de mise en communication avec la source de dépression. Dans une telle configuration, et afin d'optimiser l'étanchéité aux fins de favoriser la formation du pli cutané, on munit l'extrémité supérieure de la chambre interne définie par la tête de massage, d'un clapet 60, reçu dans des logements 61 ménagés au niveau de la paroi interne des parois latérales 12 et 13, comme représenté sur la figure 6. Afin de favoriser l'étanchéité au sein de la chambre interne, on munit le plan de joint de chacun des modules 2, 3 d'un joint d'étanchéité 62, reçu dans un logement 63 prévu à cet effet.

Comme déjà indiqué, l'un au moins des clapets est motorisé. Cependant, selon une version avantageuse de l'invention, les deux parois transversales définissant avec les parois latérales la chambre interne de la tête de massage, sont chacune constituées d'un clapet motorisé, du type de celui décrit précédemment.

On conçoit que de par la mise en oeuvre de tels clapets motorisés au moyen d'un motoréducteur intégré au sein de l'un ou de chacun des deux clapets, on optimise de manière déterminante l'action du pincement de ceux-ci sur le pli cutané, indépendamment de toute source de dépression. On favorise notamment la formation du pli cutané. Au surplus, on peut réaliser des effets de lifting sur la peau traitée puisque simultanément avec le pincement de la peau entre les clapets, c'est-à-dire lorsque ceux-ci sont en position rapprochée l'un de l'autre, on induit une traction sur le pli de peau ainsi pincé, permettant ce faisant de travailler l'élasticité, la tonicité et la fermeté de la peau.

En raison de ces différents moyens, on aboutit à une action de mécanisation du tissu conjonctif nettement plus efficace, notamment pour le raffermissement de la peau, le drainage et la réduction des volumes graisseux que les dispositifs de l'art antérieur.

Claims (7)

1. REVENDICATIONS1. Tête de massage comprenant un boitier définissant une chambre interne au sein de laquelle est formé un pli cutané lorsqu'elle est appliquée sur la peau d'un patient, ledit pli venant en contact avec les bords inférieurs de la chambre, ladite chambre étant définie par deux parois latérales (12, 13) et par deux parois transversales, au moins l'une desdites parois transversales étant constituée d'un clapet (10) susceptible d'être animé d'un mouvement de pivotement, de telle sorte à induire le rapprochement et l'éloignement l'un de l'autre du bord inférieur desdites parois transversales au contact du pli cutané, caractérisée : - en ce que ledit au moins un clapet (10) est articulé au voisinage de son extrémité supérieure sur les parois latérales (12, 13) ; - et en ce que le pivotement du clapet (10) est obtenu au moyen d'un motoréducteur (20, 21) monté fixe à l'intérieur dudit clapet, et dont l'arbre de sortie (22) entraine une came (32) en rotation, reçue dans un chemin de came (31) solidaire de l'une des parois latérales de la chambre interne.
2. 2. Tête de massage selon la revendication 1, caractérisée en ce que le bord inférieur libre (16) du ou des clapets (10) est revêtu d'un matériau à coefficient de frottement élevé, tel que par exemple en élastomère.
3. 3. Tête de massage selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisée en ce que la paroi latérale opposée à celle recevant les chemins de came reçoit une carte électronique (40) reliée à un connecteur (41), accessible au niveau de l'extrémité supérieure de ladite paroi latérale.
4. 4. Tête de massage selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce qu'elle est constituée de deux modules (2, 3), munis de moyens (51, 52, 53, 54) aptes à permettre leur solidarisation réversible l'un à l'autre.
5. 5. Tête de massage selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu'elle reçoit un volet d'étanchéité (60) en zone supérieure de la chambre interne définie en son sein, apte à venir se loger dans des logements (61) prévus à cet effet.35
6. 6. Dispositif de massage mettant en oeuvre une telle tête de massage selon l'une des revendications 1 à 5, et comportant une source d'énergie électrique propre à actionner un moteur (20) actionnant le motoréducteur (21).
7. 7. Dispositif de massage selon la revendication 6, caractérisé en ce qu'il comporte une source de vide ou de dépression associé à la tête de massage, et débouchant en son sein.