FR3060503A1 - Perche de traction d'un dispositif de remontee mecanique d'une piste de ski, adaptee a une traction en position laterale ou en position frontale d'une personne - Google Patents

Abstract

L'invention concerne une perche de traction (1) d'un dispositif de remontée mécanique d'une piste de ski, du type téléski pour la traction d'une personne, présentant une partie inférieure incurvée (3) délimitant une concavité (30) incluant une surface d'appui (31) destinée à tracter une personne, la partie inférieure incurvée comprenant une rallonge (32) mobile entre : - une position d'extension minimale pour fournir une surface d'appui étroite adaptée à une traction en position latérale d'une personne par l'une de ses hanches ; - une position d'extension maximale pour fournir une surface d'appui large adaptée à une traction en position frontale d'une personne par son fessier.

Description

Le domaine de l’invention est celui de la conception et de la fabrication des remontées mécanique pour station de ski.

L’invention concerne plus précisément les perches de traction du type téléski pour la traction d’une seule personne.

Dans le domaine de l’invention, les téléskis comprennent un ensemble de perches tractées qui présentent le plus souvent sur leur extrémité inférieure une assise perpendiculaire à la perche. De telles perches tractées sont adaptées aux utilisateurs de skis. Ce type d’assise n’est cependant pas adapté aux utilisateurs de planches pour surfer sur la neige, ci-après nommées « snowboard », car ils ne peuvent glisser confortablement que de manière latérale.

Pour utiliser de telles perches, les utilisateurs de telles planches, nommés « snowboardeurs >> par la suite, doivent soit défaire un pied de leur snowboard pour être tracté frontalement, soit maintenir l’assise sur l’intérieur de l’une de leur cuisse et être tracté latéralement. Dans les deux cas, le snowboardeur est tracté dans une position inconfortable et instable.

A cet inconfort s’ajoute aussi le stress lié au risque de chute.

On connaît notamment trois types de perches tractées :

- la « J-bar >> ;

- le téléski avec rondelle ;

- la«T-bar».

La « J-bar >>, prenant la forme d’un J, est une perche qui se place sous les fesses du skieur. Cette perche présente une assise extrêmement mince et longue.

Une telle « J-bar >> n’est pas adaptée pour les snowboardeurs car elle est trop instable lorsqu’on se place latéralement. En effet, la perche est trop mince et donc la surface en contact avec le snowboardeur est trop faible. Les snowboardeurs sont parfois même obligés de se faire tracter seulement à l’aide des mains posées sur la perche, avec les bras tendus.

Une telle position est très fatigante et augmente considérablement le risque de chute.

Le téléski avec rondelle est très pratique pour les skieurs. En effet, les skieurs placent cette perche entre leurs jambes et la rondelle vient alors prendre appui contre leurs fessiers. Cependant, là aussi, dans le cadre de l’utilisation d’une telle perche tractée par des snowboardeurs, la situation devient inconfortable. En effet, les snowboardeurs doivent eux aussi placer la rondelle entre leurs jambes, ce qui les oblige à déchausser un pied de leur snowboard.

Par conséquent, la plupart des snowboardeurs perdent leur équilibre dès le début de la montée lorsqu’ils sont tractés par une perche de traction pourvue d’une rondelle.

Enfin, la « T-bar >> permet à deux skieurs de se faire tracter en même temps, ce qui garantit une attente plus faible lors de la montée. Comme la « J-bar >>, elle se place sous les fesses des skieurs. Cette perche possède ainsi les mêmes inconvénients pour les snowboardeurs, du fait que la surface en contact avec le snowboardeur est trop faible. De plus, lorsqu’une telle « T-bar >> est utilisée par un seul skieur, celui-ci est déstabilisé par la différence de poids, et par le fait qu’il ne se trouve pas dans l’axe de la perche.

On connaît également une perche de traction telle que décrite dans le document de brevet français publié sous le numéro FR2732936B1.

Une telle perche de traction est destinée à la remontée d’une personne. Cette perche de traction comprend des moyens de couplage à un câble de tracteur par l’une de ces extrémités hautes. Et une partie inférieure qui s’incurve pour délimiter une concavité. Dans l’alignement de la partie supérieure de la perche, la partie inférieure incurvée présente une assise du type rondelle pratiquement perpendiculaire à l’extrémité haute de la perche. Grâce à une telle perche, un skieur peut placer l’assise entre ses jambes et remonter la piste de la même manière que pour une perche à rondelle. Un snowboardeur, quant à lui, peut se lover dans la partie inférieure incurvée de manière à faire reposer la rondelle sur l’une de ses fesses. La perche de traction permet ainsi la remontée du snowboardeur.

Une telle perche de traction présente néanmoins comme inconvénient de ne pas permettre une traction parfaite du snowboardeur. En effet, le confort de traction du snowboardeur n’est pas optimal, la traction n’étant pas latérale et ce dernier étant ainsi dans une position d’instabilité.

On connaît encore la perche de traction qui combine une partie incurvée et une partie basse qui présente une rondelle classique. Une telle perche de traction est décrite dans le document de brevet publié sous le numéro ES2149095A1.

Cette perche de traction comporte une partie intermédiaire présentant une forme incurvée dans laquelle un snowboardeur peut venir se loger. La perche présente également une partie inférieure s’étendant essentiellement selon l’axe de la perche de traction et qui présente une rondelle à son extrémité. Un skieur peut alors simplement placer la barre de traction entre ses jambes et laisser la rondelle venir en appui sous ses fesses.

Une telle perche est sensée être adaptée à un snowboardeur. Cependant, ces derniers ont une prise en main difficile de ce type de perche. Aussi, un snowboardeur tracté par ce type de perche se retrouve en position d’instabilité.

L’invention a notamment pour objectif de pallier les inconvénients de l’art antérieur.

Plus précisément, l’invention a pour objectif de proposer une perche de traction qui permette à un skieur ou à snowboardeur d’être tractée de manière confortable.

L’invention a également pour objectif de proposer une telle perche de traction qui optimise la traction de ses utilisateurs pour ne pas les mettre dans des situations d’instabilité.

Ces objectifs, ainsi que d’autres qui apparaîtront par la suite, sont atteints grâce à l’invention qui a pour objet une perche de traction d’un dispositif de remontée mécanique d’une piste de ski, du type téléski pour la traction d’une personne, présentant :

- des moyens de couplage à un câble tracteur, le moyen de couplage étant présenté par une extrémité haute de la perche de traction ;

- une partie inférieure incurvée délimitant une concavité incluant une surface d’appui destinée à tracter une personne, caractérisée en ce que la partie inférieure incurvée comprend une rallonge mobile entre :

- une position d’extension minimale pour fournir une surface d’appui étroite adaptée à une traction en position latérale d’une personne par l’une de ses hanches ;

- une position d’extension maximale pour fournir une surface d’appui large adaptée à une traction en position frontale d’une personne par son fessier.

Une perche de traction selon l’invention est particulièrement adaptée à la traction en position frontale de skieurs, ainsi qu’à la traction en position latérale d’une personne équipée d’un snowboard.

En effet, grâce à la conception de la perche de traction, cette dernière peut présenter une surface d’appui étroite sur laquelle une personne peut laisser reposer l’une de ses hanches pour être tractée latéralement. Aussi, lorsque la rallonge est en position d’extension, la surface d’appui est large et permet à une personne de laisser reposer ses fesses pour être tractée.

De manière complémentaire, du fait de la rallonge mobile entre une position d’extension minimale et une position d’extension maximale, la perche de traction selon l’invention permet de présenter plusieurs configurations optimisant le confort de traction pour des personnes présentant des morphologies bien différentes.

Avantageusement, la perche de traction comporte des moyens de rappel de la rallonge dans sa position d’extension minimale.

Grâce à de tels moyens de rappel de la rallonge dans sa position d’extension minimale, la partie inférieure tend toujours à présenter une surface d’appui étroite. De cette façon, le maintien apporté par la perche de traction est optimisé. En effet, par exemple, un snowboardeur logé dans la partie inférieure incurvée qui délimite une cavité, repose alors sur la surface d’appui avec la rallonge qui tend à se rétracter de manière à lui enserrer une hanche.

Préférentiellement, la rallonge est montée mobile selon une translation curviligne s’étendant sensiblement dans le prolongement de la courbure de la partie inférieure incurvée.

Grâce à une telle rallonge mobile selon une translation curviligne, la surface d’appui tend toujours à avoir une forme incurvée optimisant le confort des personnes tractées.

Selon une caractéristique avantageuse, la rallonge présente un épaulement terminal orienté vers l’intérieur de la concavité.

Un tel épaulement terminal permet d’exercer une pression latérale sur les hanches d’un skieur tracté, ou sur une partie avant de la hanche d’un snowboardeur tracté.

Cet épaulement terminal permet aussi de limiter la rétractation de la rallonge à l’intérieur de la partie inférieure.

Préférentiellement, l’épaulement terminal présente une poignée de traction de la rallonge.

Une telle poignée de traction permet de simplifier la manipulation de la perche de traction selon l’invention, et notamment lors du réglage de la position de la rallonge mobile.

Selon une caractéristique avantageuse, la perche de traction comporte une poignée de préhension.

Cette poignée de préhension permet à un skieur ou à un snowboardeur tractés par la perche de traction de se tenir plus aisément à ladite perche de traction, en plus d’avoir l’une de ses hanches ou son fessier tracté.

Selon un mode de réalisation préféré de l’invention, la perche de traction comporte un bâti monobloc intégrant la partie inférieur incurvée qui présente :

- dans une section haute, en direction de l’extrémité haute de la perche de traction, la poignée de préhension sous la forme d’une lumière ;

- dans une section basse, la surface d’appui.

Une telle conception monobloc permet d’optimiser le processus de fabrication et la durée de vie de la perche de traction.

Aussi, grâce à la lumière, le poids de la perche de traction peut être considérablement réduit.

Avantageusement, en position d’extension minimale, la surface d’appui incluse dans la concavité présente une hauteur sensiblement égale à la largeur de la surface d’appui étroite.

Grâce à une telle hauteur, un snowboardeur tracté par la perche de traction selon l’invention a une assise lui permettant d’avoir une meilleure stabilité, et ce snowboardeur est ainsi moins enclin à faire une chute sous l’effet de la traction exercée par la perche de traction.

Préférentiellement, la perche de traction présente une forme nonlatéralisée.

Grâce à une telle forme non latéralisée, la perche de traction selon l’invention peut être utilisée de manière indifférente, en venant entourer le skieur ou le snowboardeur soit par la droite, soit par la gauche.

Cette conception permet aux pratiquants d’un de ces sports de glisse d’utiliser la perche de traction de la manière qui lui convient.

D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d’un mode de réalisation préférentiel de l’invention, donné à titre d’exemple illustratif et non limitatif, et des dessins annexés parmi lesquels :

- la figure 1 est une représentation schématique de la traction d’un skieur par une perche de traction selon l’invention ;

- la figure 2 est une représentation schématique de la traction d’un snowboardeur par une perche de traction selon l’invention ;

- la figure 3 est une vue latérale d’une perche selon l’invention ;

- les figures 4a et 4b sont des représentations schématiques selon une vue en perspective d’une perche de traction avec une rallonge respectivement dans une position d’extension minimale et dans une position d’extension maximale ;

- les figures 5a et 5b sont des représentations schématiques selon une vue de face d’une perche de traction avec une rallonge respectivement dans une position d’extension minimale et dans une position d’extension maximale.

Tel que l’on peut l’observer sur les figures 1 et 2, la perche de traction 1 selon l’invention, d’un dispositif de remontées mécaniques d’une piste de skis, est du type téléski pour la traction d’une personne. Cette perche permet de présenter :

- une surface d’appui étroite qui est adaptée à la traction en position latérale d’une personne par l’une de ses hanches (figure

2), ou

- une surface d’appui large qui est adaptée à la traction en position frontale d’une personne par son fessier (figure 1).

Cette perche est ainsi adaptée à la traction d’un skieur ou d’un snowboardeur.

En référence aux figures 3, à 5b, une perche de traction 1 présente des moyens de couplage 2 à un câble tracteur. Ces moyens de couplage sont présentés par l’extrémité haute de la perche de traction.

La perche de traction 1 comporte également une partie inférieure incurvée 3. Cette partie inférieure incurvée 3 délimite une concavité 30 qui permet à une personne de venir s’y loger.

Cette concavité 30 inclut une surface d’appui 31 qui est destinée à tracter une personne. Cette surface d’appui permet d’exercer une traction essentiellement en direction de l’extrémité haute de la perche.

Selon le principe de l’invention, la partie inférieure incurvée 3 comprend une rallonge 32.

La rallonge 32 est mobile entre une position d’extension minimale et une position d’extension maximale.

Dans sa position d’extension minimale, représentée par les figures 4a et 5a, la surface d’appui 31 n’est pas prolongée par la rallonge 32, et la perche de traction présente une surface d’appui étroite qui, tel qu’expliqué précédemment, est adaptée à la traction en position latérale d’une personne par l’une de ses hanches, et ainsi à la traction d’un snowboardeur.

Dans la position d’extension maximale de la rallonge 32, tel que représenté par les figures 4b et 5b, la perche de traction 1 présente une surface d’appui large qui est ainsi adaptée à la traction en position frontale d’une personne par son fessier, et ainsi à la traction d’un skieur.

Selon le principe d’utilisation de la perche de traction, quel que soit la position prise par la rallonge, une personne désirant être tractée par la perche de traction doit se loger à l’intérieur de la concavité.

Ensuite, dans le cas où cette personne doit être tractée d’une manière latérale, elle positionne l’une de ses hanches sur la surface d’appui qui est formée par une partie de la concavité. Dans le cas où cette personne désire être tractée de manière frontale, elle doit alors se loger dans la concavité et positionner la surface d’appui sur son fessier.

Selon le présent mode de réalisation, et tel qu’illustré par les figures 5a et 5b, la perche de traction comporte des moyens de rappel 4 de la rallonge 32 dans sa position d’extension minimale. En conséquence, une fois que la perche de traction est relâchée par un utilisateur, la rallonge tend à revenir dans sa position d’extension minimale. Ces moyens de rappel de la rallonge 32 dans sa position d’extension minimale permettent également d’exercer une tension tendant à diminuer la surface d’appui. De cette manière, un snowboardeur tendra toujours à se positionner bien à l’intérieur de la concavité pour être tracté.

Tel qu’illustré par les figures 4a à 5b, la rallonge 32 est montée mobile selon une translation curviligne qui s’étend sensiblement dans le prolongement de la courbure de la partie inférieure incurvée 3. De cette manière, la rallonge 32 permet de conserver une surface d’appui 31 concave.

Cette rallonge 32 présente également un épaulement terminal 320 qui est orienté vers l’intérieur de la cavité 30. Tel qu’illustré par les figures 1, 2, 3, 4a et 4b, cet épaulement terminal 320 présente une poignée de traction 321. Cette poignée de traction permet à une personne qui se saisit de la perche de traction selon l’invention de tirer sur la rallonge à partir de la position d’extension minimale jusqu’à une position d’extension désirée, ou jusqu’à la position d’extension maximale.

Selon le présent mode de réalisation, une fois cette personne positionnée dans la concavité et reposant sur la surface d’appui, cette personne peut alors relâcher la poignée de traction et les moyens de rappel de la rallonge viennent alors rétrécir la surface d’appui jusqu’à ce que l’épaulement arrive en contact avec le corps de la personne.

Tel que l’on peut l’observer sur les figures 1, 2 et 3, 4a et 4b, la perche de traction comporte également une poignée de préhension 5. Cette poignée permet à une personne, tel qu’illustré par les figures 1 et 2, d’assurer sa traction par la perche de traction.

La perche de traction selon l’invention comporte un bâti monobloc 6. Ce bâti monobloc intègre la partie inférieure incurvée 3.

Dans la section haute de la partie inférieure incurvée 3, le bâti monobloc présente en direction de l’extrémité haute de la perche de traction, la poignée de préhension 5. Cette poignée de préhension 5 est alors formée dans le bâti monobloc par l’intermédiaire d’une lumière 60.

Dans la section basse de la partie inférieure incurvée 3, le bâti monobloc présente également la surface d’appui 31. Cette surface d’appui 31 est alors complétée par la rallonge qui est alors montée coulissante par rapport au bâti monobloc 6.

Tel que l’on peut l’observer sur les figures 3 et 5a, en position d’extension minimale, la surface d’appui 31 incluse dans la concavité 30 présente une hauteur sensiblement égale à la largeur de la surface d’appui étroite. De cette manière, tel qu’illustré par la figure 2, un snowboardeur tracté latéralement par sa hanche dispose d’une surface d’appui étroite qui présente une hauteur lui permettant d’être stable et tracté d’une manière confortable.

Selon le présent mode de réalisation illustré par la figure 3, la perche de traction présente une forme non latéralisée. De cette manière, un snowboardeur peut être tracté indifféremment par sa hanche droite ou sa hanche gauche tout en ayant son fessier en contact avec la partie inférieure incurvée (le snowboardeur étant logé dans la concavité).

Claims (9)

1. REVENDICATIONS

   Perche de traction (1) d’un dispositif de remontée mécanique d’une piste de ski, du type téléski pour la traction d’une personne, présentant :

   - des moyens de couplage (
2. 2) à un câble tracteur, le moyen de couplage étant présenté par une extrémité haute de la perche de traction ;

   - une partie inférieure incurvée (
3. 3) délimitant une concavité (30) incluant une surface d’appui (31) destinée à tracter une personne, caractérisée en ce que la partie inférieure incurvée comprend une rallonge (32) mobile entre :

   - une position d’extension minimale pour fournir une surface d’appui étroite adaptée à une traction en position latérale d’une personne par l’une de ses hanches ;

   - une position d’extension maximale pour fournir une surface d’appui large adaptée à une traction en position frontale d’une personne par son fessier.

   Perche de traction (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce qu’elle comporte des moyens de rappel (
4. 4) de la rallonge (32) dans sa position d’extension minimale.

   Perche de traction (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la rallonge (32) est montée mobile selon une translation curviligne s’étendant sensiblement dans le prolongement de la courbure de la partie inférieure incurvée (3).

   Perche de traction (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la rallonge (32) présente un épaulement terminal (320) orienté vers l’intérieur de la concavité (30).
5. 5. Perche de traction (1) selon la revendication précédente, caractérisée en ce que l’épaulement terminal (320) présente une poignée de traction (321) de la rallonge (32).

   5
6. 6. Perche de traction (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu’elle comporte une poignée de préhension (5).
7. 7. Perche de traction (1) selon la revendication précédente, caractérisée

   10 en ce qu’elle comporte un bâti monobloc (6) intégrant la partie inférieur incurvée (3) qui présente :

   - dans une section haute, en direction de l’extrémité haute de la perche de traction, la poignée de préhension (5) sous la forme d’une lumière (60) ;

   15 - dans une section basse, la surface d’appui (31).
8. 8. Perche de traction (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu’en position d’extension minimale, la surface d’appui (31) incluse dans la concavité (30) présente une

   20 hauteur sensiblement égale à la largeur de la surface d’appui étroite.
9. 9. Perche de traction (1) selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu’elle présente une forme nonlatéralisée.