FR3059481A1 - Boite d'encastrement pour appareillages electriques, notamment boite point de centre - Google Patents

Abstract

Boîte d'encastrement (1), notamment pour loger des appareillages électriques et plus particulièrement au moins un module de connexion électrique de type DCL, comportant : -un corps creux (10) formant une cavité interne qui est délimitée par un fond (13), une paroi périphérique et une ouverture (11) opposée au fond (13), -un socle (4) apte à obturer l'ouverture et associé de manière amovible au corps (10), -un module de connexion électrique (2) adapté pour être agencé dans la cavité en position associée du socle (4) au corps creux (10), et -un fût (5) destiné à accueillir un organe d'ancrage (3) du type piton, caractérisée en ce que le fût (5) est solidaire du socle (4), en particulier en faisant saillie par rapport à une face (40) du socle (4), face dite interne qui est destinée à être en regard de la cavité en position montée du socle.

Description

Titulaire(s) : B L M DISTRIBUTION (BASE LOGISTIQUE MARCHANDE ET DE DISTRIBUTION) Société à responsabilité limitée.

Demande(s) d’extension

Mandataire(s) : AQUINOV.

BOITE D'ENCASTREMENT POUR APPAREILLAGES ELECTRIQUES, NOTAMMENT BOITE POINT DE CENTRE.

FR 3 059 481 - A1

Boîte d'encastrement (1), notamment pour loger des appareillages électriques et plus particulièrement au moins un module de connexion électrique de type DCL, comportant:

-un corps creux (10) formant une cavité interne qui est délimitée par un fond (13), une paroi périphérique et une ouverture (11) opposée au fond (13),

-un socle (4) apte à obturer l'ouverture et associé de manière amovible au corps (10),

-un module de connexion électrique (2) adapté pour être agencé dans la cavité en position associée du socle (4) au corps creux (10), et

-un fût (5) destiné à accueillir un organe d'ancrage (3) du type piton, caractérisée en ce que le fût (5) est solidaire du socle (4), en particulier en faisant saillie par rapport à une face (40) du socle (4), face dite interne qui est destinée à être en regard de la cavité en position montée du socle.

BOITE D'ENCASTREMENT POUR APPAREILLAGES ELECTRIQUES, NOTAMMENT BOITE POINT

DE CENTRE

La présente invention concerne une boîte d'encastrement pour loger des appareillages, en particulier électriques du type prises, interrupteurs, détecteurs, modules électroniques, et plus particulièrement une boîte d'encastrement et de connexion électrique de luminaire pour plafond, dite encore « boîte point de centre » pour plafond ou boîte DCL pour plafond (DCL pour « Dispositif de Connexion pour Luminaire »).

Une boîte DCL pour plafond est destinée à connecter électriquement et suspendre un luminaire à un plafond. Une telle boîte répond notamment à la norme française NF C15100. Elle comporte de manière connue un corps creux formant une cavité intérieure qui est délimitée par un fond, une paroi périphérique cylindrique de préférence circulaire, et une ouverture d'accès opposée au fond, ainsi que des moyens de fixation associés à la paroi périphérique pour fixer la boîte dans le plafond. L'ouverture de la boîte est fermé via un cache d'obturation dit encore « socle DCL » qui comporte un module de connexion électrique comprenant trois bornes de connexion électrique, la phase, la terre et le neutre, destinées à être connectées à des fils électriques issus du plafond et traversant le fond de la boîte via des orifices de passage adaptés. En position fermée du socle sur la boîte d'encastrement, le module de connexion électrique est logé dans la cavité de la boîte. Quant à la fixation du luminaire, celle-ci est assurée par un piton qui traverse le socle via un orifice central et est vissé dans un fût en matière isolante, solidaire du corps creux de la boîte. Le fût s'étend dans la cavité intérieure de la boîte, selon l'axe médian cylindrique et selon toute sa profondeur, et traverse le fond de la boîte pour faire saillie sur l'extérieur, dans le plafond, sous la forme d'un étrier qui permet si besoin de fixer de manière complémentaire la boîte à une suspente du plafond pour garantir un transfert de charge du piton.

Cependant, le volume disponible dans la cavité du corps creux de la boîte est restreint et le module de connexion électrique de forme parallélépipédique est agencé à l'étroit, du fait que le fût traverse toute la partie centrale de la cavité.

Le fût est particulièrement gênant pour accéder aux différentes bornes de connexion du module de connexion électrique, et encore davantage à la borne du milieu correspondant à la terre, disposée en outre légèrement plus basse que les autres.

De plus, l'accès malaisé au module de connexion nécessite d'avoir préalablement dévissé et retirer le piton, ce qui constitue un risque de perte de ce dernier.

La connexion électrique est donc non seulement fastidieuse mais est très vite fatigante pour l'électricien, d'autant plus lorsque ce dernier doit multiplier les gestes de mise en oeuvre pour connecter plusieurs boîtes dans une ou plusieurs pièces d'une habitation, voire même de plusieurs habitations. Se posent également des risques de troubles musculosquelettiques notamment du cou, pour les professionnels qui présentent leurs bras en l'air avec la tête penchée afin d'assurer les gestes répétés de fixation de la boîte et de raccordement électrique.

L'invention a donc pour but de proposer une boîte d'encastrement qui ne présente pas les inconvénients précités, et permet une connexion électrique du module aisée et rapide de mise en oeuvre, évitant accessoirement tout risque de perte du piton.

Selon l'invention, la boîte d'encastrement, notamment pour loger des appareillages électriques et plus particulièrement au moins un module de connexion électrique, comporte :

un corps creux formant une cavité interne qui est délimitée par un fond, une paroi périphérique et une ouverture opposée au fond, un socle apte à obturer l'ouverture et associé de manière amovible au corps, un module de connexion électrique (comprenant des bornes de connexion électrique), le module étant adapté pour être agencé dans la cavité en position associée du socle au corps creux, et un fût destiné à accueillir un organe d'ancrage du type piton pour suspendre un luminaire, et est caractérisée en ce que le fût est solidaire du socle, en particulier en faisant saillie par rapport à une face du socle, la face dite interne qui est destinée à être en regard de la cavité en position montée du socle.

Ainsi, en rendant solidaire du socle, le fût devant accueillir le piton, l'accès à l'intérieur de la cavité du corps creux de la boîte d'encastrement est d'une part rendu bien plus aisé, et engendre d'autre part un volume d'accueil pour la cavité plus important. Il devient bien plus aisé et rapide pour l'électricien de raccorder les fils électriques au module de connexion électrique, puisque l'intérieur de la cavité est totalement libre.

Dans la suite de la description, les termes « interne » et « externe » qualifient des éléments disposés respectivement vers l'intérieur du dispositif et en regard de l'environnement extérieur. Les termes « haut », « bas », « inférieur », « supérieur » s'entendent en qualifiant des éléments de la boîte d'encastrement lorsque celle-ci est disposée selon une installation normale d'utilisation, c'est-à-dire encastrée dans un plafond.

Le fût présente une direction longitudinale qui est transversale au plan général du socle. Avantageusement, le fût s'étend depuis le centre du socle et débouche sur la face opposée du socle en un orifice central.

Selon une caractéristique, le module de connexion électrique est associé au socle, en particulier en faisant saillie depuis la face interne du socle, le module s'étendant parallèlement au fût (le module et le fût étant agencés à proximité l'un de l'autre), et le fût présentant une longueur qui est inférieure à la longueur/hauteur du module, en particulier est inférieure au plan contenant les bornes de connexion électrique du module ou au plan le plus bas contenant au moins une borne de connexion électrique.

Par conséquent, le fût présente une longueur telle que son extrémité distale opposée à celle associée au socle (à la face interne du socle) ne dépasse pas du module, en particulier ne dépasse pas des bornes de connexion électrique, de préférence est située dans un plan en dessous de la borne de connexion électrique la plus basse du module, cette borne étant généralement la borne centrale correspondant à la terre.

La boîte d'encastrement ainsi fabriquée rend un accès bien plus commode aux bornes de connexion du module, sans que l'utilisateur devant raccorder des fils électriques auxdites bornes ne soit gêner par le fût logeant le piton.

Le montage des fils étant ainsi grandement facilité par un accès direct aux bornes de connexion électrique, l'utilisateur n'a plus de risque d'adopter de position inconfortable. En outre, l'utilisateur gagne en qualité et temps de montage.

De préférence, le fût est issu du moulage du socle, le socle étant fabriqué en un matériau plastique, en particulier en une matière plastique rigide telle qu'en polypropylène (PP). Du fait d'une longueur de fût bien moins importante que celle de l'art antérieur pour lequel le fût est logé à l'intérieur et selon toute la profondeur du corps creux, la fabrication du socle d'obturation comprenant le fût, et donc la fabrication de la boîte nécessitent moins de matière plastique, ce qui permet d'économiser en coût de matière première.

Selon une autre caractéristique, la boîte d'encastrement comporte un organe d'accrochage du type piton, qui présente un corps coopérant avec le fût pour sa fixation dans ledit fût, et une terminaison libre adaptée à l'accrochage/la suspension d'un luminaire. Le corps de l'organe d'accrochage présente une longueur adaptée pour correspondre au plus à la longueur du fût.

Ainsi, le piton en position montée dans le fût selon l'invention ne traverse pas la cavité du corps creux contrairement à l'art antérieur. Il ne constitue donc plus une gêne pour l'utilisateur lorsqu'il doit raccorder les fils électriques. Le piton peut rester engagé, associé au fût l'accueillant même lorsque le raccordement des fils n'est pas encore fait ou durant le raccordement, empêchant tout risque de perte du piton par l'utilisateur.

De plus, le piton ainsi solidarisé au socle constitue avantageusement un moyen de préhension pour le socle, permettant de saisir le socle et le manipuler sans risque que l'installateur ne le salisse, le socle étant en matière plastique blanc.

Selon encore une autre caractéristique, le socle de la boîte d'encastrement comporte des orifices traversants pour le passage de moyens de fixation du type vis afin de fixer ledit socle au corps creux, de préférence le socle comportant deux orifices symétriques par rapport au centre du socle, et de préférence chaque orifice présente une forme en trou de serrure pour ménager deux trous en continuité de deux diamètres différents, un de diamètre plus grand que celui de la tête de vis à associer, et l'autre de diamètre plus petit que celui de ladite tête de vis. Les moyens de fixation du socle, du type vis, sont engagés dans des logements adaptés agencés dans la cavité du corps creux.

De préférence, les orifices sont ménagés dans des renfoncements dans l'épaisseur du socle (au niveau de la face externe du socle) afin que les têtes de vis de fixation ne fassent pas saillie par rapport à la face externe du socle, et le socle comporte des cache-vis aptes à se loger dans les renfoncements pour recouvrir les moyens de fixation (les têtes de vis), les cache-vis étant amovibles, ou bien solidaires du socle et mobiles par articulation.

Selon une autre caractéristique, le module de connexion électrique comporte des entrées de connexion électrique qui débouchent sur la face externe du socle, lesdites entrées étant destinées à coopérer avec/recevoir, de préférence par enfichage, des contacts électriques d'une douille électrique pour luminaire.

Avantageusement, la boîte d'encastrement peut comporter un logement d'accueil supplémentaire pour au moins un appareillage électrique, ledit logement étant associé latéralement à la paroi périphérique du corps creux et débouche sur la cavité du corps creux, de préférence le logement ne faisant pas saillie au-delà du fond du corps creux.

Selon un mode de réalisation particulier, le logement d'accueil supplémentaire comprend d'une part une base rigide pour son association au corps creux et délimitant la partie (face) ouverte du logement, et d'autre part une poche, de préférence, en matériau souple qui est solidaire de la base rigide (à l'opposé de la partie ouverte) et forme une paroi périphérique fermée pour le volume (intérieur) dudit logement d'accueil.

De préférence, le corps creux de la boîte d'encastrement est de forme cylindrique et présente une section intérieure sensiblement circulaire, tandis que le logement d'accueil, y compris avec la poche souple, présente une forme générale parallélépipédique, en particulier oblongue.

Le corps creux et le logement d'accueil supplémentaire sont fabriqués par moulage. Ils sont associés l'un à l'autre par thermo-soudage ou bien sont amovibles l'un par rapport à l'autre en étant associés par des moyens d'assemblage amovible et de coopération mutuelle.

Dans cette dernière variante d'association amovible du logement d'accueil supplémentaire au corps creux, chacun du corps creux et du logement d'accueil comprend des moyens qui sont aptes à coopérer mécaniquement et mutuellement avec les moyens de l'autre, sans moyens extérieurs (rapportés) de fixation.

Selon une caractéristique, les moyens d'assemblage amovible et de coopération mutuelle comportent au moins un, de préférence deux éléments mâles agencés sur le logement d'accueil supplémentaire, et au moins un, de préférence deux éléments femelles agencés dans le corps creux.

Les moyens d'assemblage amovible et de coopération mutuelle coopèrent mécaniquement par engagement mutuel tel que par translation et/ou rotation et/ou encliquetage et/ou clipsage et/ou agrafage. Avantageusement, la coopération mécanique est exempte de moyens d'interface rapportés et ne nécessite aucun outil.

Dans un exemple de mode de réalisation, les moyens de coopération mutuelle comprennent deux glissières espacées ménagées dans le corps creux, et deux nervures espacées disposées sur/solidaires de la base du logement d'accueil supplémentaire, les nervures étant destinées à être engagées par translation dans les glissières. De préférence, les glissières sont agencées sur la face interne de la paroi périphérique du corps creux dans deux plans opposés par rapport à l'axe médian longitudinal du corps creux, tandis que les nervures sont constituées par deux rebords faisant saillie vers l'extérieur par rapport à la base du logement d'accueil supplémentaire et au niveau du plan de la partie ouverte dudit logement supplémentaire.

De préférence, la partie ouverte de la base du logement est à pan incliné, de sorte que l'un des côtés du logement est plus haut que le côté opposé, engendrant un accès plus aisé vers l'intérieur du logement supplémentaire lorsque ce dernier est assemblé au corps creux. En effet, cette configuration agrandit le passage entre la cavité intérieure du corps creux et l'intérieur du logement d'accueil supplémentaire. II devient alors très commode d'introduire un appareillage électrique tel qu'un module électronique dans la cavité du corps creux lorsque le socle n'est pas encore associé, puis d'amener ledit appareillage à l'intérieur du logement d'accueil supplémentaire, en le faisant pivoter. De même, l'appareillage peut aisément être ultérieurement retiré hors du logement et donc hors de la boîte d'encastrement lorsque cette dernière a déjà été encastrée, pour être contrôlé ou changé. Selon une autre caractéristique, le corps creux de la boîte d'encastrement comporte des opercules défonçables (en matière souple) qui permettent d'ouvrir localement des passages pour les conducteurs électriques/ gaines électriques à connecter au module électrique disposé dans le corps creux de la boîte d'encastrement.

Selon encore une autre caractéristique, le corps creux comporte des logements d'accueil pour des moyens de fixation, du type vis, afin de fixer la boîte d'encastrement, et d'autres logements d'accueil destinés à accueillir des moyens de fixation, tels que des vis, d'un appareillage à loger dans la cavité, ces autres logements pour moyens de fixation étant agencés symétriquement sur deux côtés opposés de la cavité, de préférence le corps creux comportant en outre des passages additionnels d'accueil de moyens de fixation de l'appareillage, lesdits passages étant agencés de manière opposée et dans des plans sensiblement perpendiculaires aux plans contenant lesdits autres logements d'accueil pour moyens de fixation. Le corps creux utilisé pour la boîte d'encastrement de l'invention, en particulier pour une application de boîte d'encastrement DCL pour plafond, est celui usuel d'une boîte d'encastrement utilisé pour une paroi murale, lesdits autres logements d'accueil pour moyens de fixation servant non pas à la fixation d'un appareillage à l'intérieur de la cavité mais à la fixation du socle au corps creux de la boîte d'encastrement.

Par ailleurs, la boîte d'encastrement de l'invention ci-dessus est configurée de façon que l'organe d'accrochage (le piton) et la fixation du socle par vis au corps creux puissent suspendre un poids d'au plus 25 kg. Afin d'assurer une reprise de charge pour des poids supérieurs à 25 kg, la boîte peut comprendre un système de reprise de charge associé au fond du corps creux, notamment la boîte comprend un étrier amovible, de préférence fixé par clipsage après les deux faces opposées du fond du corps creux à travers un trou central du fond du corps creux, le trou constituant en particulier un opercule défonçable.

L'invention est également relative à un socle de dispositif de connexion pour luminaire, dit socle DCL, comportant un module de connexion électrique associé à l'une des faces du socle, un orifice central destiné au passage d'un organe d'accrochage du type piton, caractérisé en ce qu'il comporte un fût solidaire de la face du socle portant le module et agencé en regard de l'orifice central, le fût étant destiné à accueillir l'organe d'accrochage, de préférence le socle comportant l'organe d'accrochage en position montée dans le fût.

Le socle est tel que le module s'étend parallèlement au fût et le fût présente une longueur qui est inférieure à la longueur/hauteur du module, en particulier est inférieure au plan contenant des bornes de connexion électrique agencées dans le module ou au plan le plus bas contenant au moins une borne de connexion électrique.

Selon une autre caractéristique, le socle est tel qu'il comporte des orifices traversants pour le passage de moyens de fixation du type vis, de préférence le socle comportant deux orifices symétriques par rapport au centre du socle, et de préférence chaque orifice présentant une forme en trou de serrure pour ménager deux trous en continuité de deux diamètres différents, un de diamètre plus grand que celui de la tête de vis à associer, et l'autre de diamètre plus petit que celui de ladite tête de vis. Lesdits orifices sont ménagés dans des renfoncements de l'épaisseur du socle, et le socle comporte des cache-vis aptes à se loger dans les renfoncements, les cache-vis étant amovibles, ou bien solidaires du socle et mobiles par articulation.

Enfin, l'invention porte sur un kit de distribution commerciale d'une boîte d'encastrement telle que revendiquée par l'invention, de préférence le kit comprenant une boîte d'encastrement selon l'invention avec un système de reprise de charge destiné à être associé au fond du corps creux à travers un trou central du fond du corps creux, le trou étant formé de préférence d'un opercule défonçable, le système de reprise de charge comportant un étrier amovible apte à être fixé dans le trou central du fond du corps creux, un filin et une pièce d'interface de fixation du filin à l'étrier.

La présente invention est maintenant décrite à l'aide d'exemples uniquement illustratifs et nullement limitatifs de la portée de l'invention, et à partir des illustrations ci-jointes, dans lesquelles :

- La figure 1 représente une vue de l'intérieur d'une boîte d'encastrement point de centre selon l'invention, avec son socle en position dissociée du corps creux, le corps creux étant montré en vue de dessus, tandis que le socle est montré en perspective ;

- La figure 2 est une vue en perspective de l'extérieur de la boîte de la figure 1, en montrant d'une part schématiquement l'arrière du corps creux (sans les moyens de fixation du corps creux) et d'autre part la face externe du socle ;

- La figure 3 est vue de dessus de la face interne du socle de la figure 1 ;

- La figure 4 est une vue dessus de la face externe du socle, le piton n'étant pas monté ;

- La figure 5 correspond à la figure 4 avec le piton monté et montrant des cache-vis en deux positions, respectivement ouverte et fermée ;

- Les figures 6A à 6B illustrent schématiquement la boîte d'encastrement de l'invention fixée à un plafond, respectivement avant fixation du socle et après raccordement électrique et fixation du socle;

- Les figures 7A et 7B sont des vues en perspective, respectivement de côté et de face, d'une variante d'une boîte d'encastrement point de centre de l'invention comprenant un logement d'accueil supplémentaire ;

- La figure 8 illustre une vue en perspective d'un kit d'une boîte d'encastrement de l'invention et d'un système de reprise de charge.

La boîte d'encastrement 1 de l'invention illustrée sur les figures 1, 2, 6A, 6B et 8, constitue une boîte dite « point de centre » ou « boîte DCL ». Elle est destinée à être encastrée dans un plafond P (figure 6B) pour loger des appareillages électriques et/ou électroniques, notamment au moins un module de connexion électrique 2 (nommé usuellement fiche DCL ou fiche-douille DCL) en vue de brancher électriquement un luminaire à suspendre après un organe d'accrochage 3 du type piton destiné à être associé à la boîte d'encastrement.

La boîte d'encastrement 1 comporte au moins un corps creux 10 de forme générale cylindrique et doté d'une ouverture 11, et un socle 4 formant notamment un cache d'obturation apte à fermer l'ouverture 11.

Le corps creux 10 est de préférence à section sensiblement circulaire extérieurement et intérieurement. II présente une cavité interne 12 délimitée par un fond 13, une paroi périphérique 14 cylindrique et l'ouverture 11 opposée au fond 13, l'ouverture permettant à l'utilisateur d'accéder à la cavité interne 12.

De plus, la paroi périphérique 14 comporte dans le plan de l'ouverture, une collerette périphérique 15. Cette collerette 15 est suffisamment large pour recouvrir un éventuel jeu fait lors du perçage du plafond pour y loger et fixer le corps creux de la boîte d'encastrement.

Le corps creux 10 est de préférence en matière plastique rigide, par exemple en polypropylène (PP), et fabriqué par moulage.

A titre d'exemple nullement limitatif, les dimensions du corps creux 10 sont de 67 mm pour le diamètre intérieur de la cavité 12, de 47 ou 50 mm pour la profondeur du corps creux, la profondeur correspondant à la dimension longitudinale du corps cylindrique, et de 73 ou 83 mm pour la dimension extérieure la plus grande considérée dans le plan de la collerette

15.

En regard de la figure 2, le corps 10 de la boîte d'encastrement comporte des opercules défonçables 16, par exemple au nombre de quatre, en matière plastique souple telle qu'un élastomère thermoplastique (TPE), par exemple un polystyrène-b-poly(éthylène-butylène)b-polystyrène (SEBS), et agencés à cheval sur le fond 13 et la paroi périphérique 14. Ces opercules défonçables 16 sont en soi connus. Ils sont obtenus également par moulage selon une bi-injection.

Le socle 4 présente une section qui correspond à la section de l'ouverture 11 du corps creux 10, ici circulaire.

Le socle 4 comporte un corps discoïdal présentant une face interne 40 destinée à être en regard de la cavité 12 du corps creux en position montée du socle, et une face opposée externe 41 destinée à être tournée vers l'extérieur, parallèlement au plafond en position montée du socle et depuis laquelle la tête 30 du piton 3 fait saillie.

Le corps du socle 4 est de préférence fabriqué par moulage. II est en matière plastique rigide tel qu'en PP.

Le socle 4 porte le module de connexion électrique 2.

Le module 2 est ici de forme parallélépipédique et fait saillie selon une extension longitudinale et perpendiculaire par rapport à la face interne 40 du socle d'obturation (figure 1). Par ailleurs, il traverse l'épaisseur du socle 4 et débouche sensiblement coplanairement à la face externe 41 (figure 2).

En position montée du socle 4 sur le corps creux 10 (figure 6A), le module 2 est logé dans la cavité interne 12, parallèlement à l'axe longitudinal cylindrique du corps creux.

Le module 2 est doté de trois bornes de connexion électrique 20 à 22, qui sortent de manière adjacente sur une face longitudinale du module parallélépipédique, en particulier sur la face en regard de l'axe central du socle. L'axe central du socle est l'axe médian transversal au plan discoïdal du socle.

De préférence, la borne médiane 21 qui correspond au neutre est légèrement plus basse que les deux autres bornes 20 et 22 correspondant respectivement à la phase et au neutre, c'està-dire que la borne médiane est positionnée dans un plan en-dessous du plan des deux autres bornes.

De plus, le module 2 comprend de manière connue, des sorties de connexion électrique 23 à 25 (figure 4) débouchant du côté de la face externe 41 du socle de protection 4, et destinées à coopérer avec une douille électrique non illustrée d'un luminaire destiné à être fixé/suspendu au piton 3.

Selon l'invention, la boîte d'encastrement 1 comporte un fût 5 d'accueil du piton 3, le fût étant associé au socle 4 (figures 1, 2 et 6B).

Le fût 5 est de préférence issu du moulage du corps du socle d'obturation.

Le fût 5 s'étend en saillie depuis le centre de la face interne 40 du socle, perpendiculairement au plan de ladite face, et parallèlement au module 2.

Le fût 5 présente deux extrémités distales 50 et 51. L'extrémité 50 (figures 1 et 4) est solidaire de la face interne 40, et débouche via un orifice 42 formé dans l'épaisseur du socle 2, coplanairement à la face externe 41 du socle. L'orifice 42 donne sur l'extérieur de la boîte en position montée du socle sur le corps creux, afin de pouvoir y introduire le piton 3. L'autre extrémité 51 du fût 5 est en saillie de la face interne 40 sans dépasser de l'extrémité libre du module 2.

Plus particulièrement, le fût 5 présente une longueur inférieure à la longueur/hauteur du module 2, et de préférence comprend son extrémité distale en saillie 51 se terminant dans un plan situé en-dessous de la borne de connexion la plus basse du module, ici de la borne médiane 21.

A titre d'exemple, le module 2 présente une hauteur de 37 mm, tandis que le fût 5 possède une longueur/hauteur de 27 mm.

Ainsi, le fût 5 peut loger le piton 3 alors même que le raccordement de fils électriques 6 (figure 6A) au module 2 n'est pas encore fait, et même lorsque le raccordement des fils est en cours, ce qui évite la perte du piton.

Par conséquent, la boîte d'encastrement de l'invention permet de laisser constamment solidaire le piton 3 du socle 4, à toutes les étapes de l'installation de la boîte et du raccordement électrique.

En outre, la présence du fût 5 ne gêne nullement le raccordement des fils 6 aux bornes 20 à 22 du module 2.

La fixation du piton 3 dans le fût 5 est obtenue en vissant le corps fileté du piton dans l'intérieur lisse du fût dont la matière plastique est adaptée pour assurer un ancrage par vissage. En variante, le fût peut être taraudé pour coopérer avec le filetage du corps du piton

3.

Enfin, le socle 4 est fixé au corps creux 10 par des moyens de fixation 7 du type vis qui traversent l'épaisseur du socle et sont engagés dans des logements appropriés 70 du corps creux (figure 6B).

Avantageusement, le corps creux 10 de la boîte d'encastrement de l'invention pour plafond peut être constitué d'un corps creux usuel pour boîte d'encastrement pour paroi murale. Les logements précités 70 des vis de fixation du socle 4 constituent les logements usuels des vis de fixation d'un appareillage électrique à loger dans le corps creux lorsque la boîte est utilisée pour une paroi murale.

Pour le passage des vis 7, le socle 4 comporte deux orifices 43 et 44 symétriquement opposés par rapport au centre du socle (figures 1 et 3).

Avantageusement, lors du montage du socle 4 contre le corps creux 10, les orifices 43 et 44 sont mis en regard des têtes de vis 7 sans avoir eu à retirer préalablement les vis. En effet, chaque orifice 43 et 44 présente préférentiellement une forme en trou de serrure pour ménager deux trous coplanaires, contigus et débouchant l'un dans l'autre, l'un des trous étant de diamètre plus important que le diamètre d'une tête de vis tandis que l'autre trou présente un diamètre inférieur à la tête de vis.

En regard des figures 4 et 5, par sécurité et esthétisme, des cache-vis 45 sont de préférence associés aux orifices 43 et 44 du socle 4 pour cacher les têtes des vis de fixation 7, une fois le socle 4 fixé (vissé) au corps creux 10.

La figure 5 montre deux cache-vis 45 aptes à coopérer respectivement avec les deux orifices 43 et 44, l'un des caches étant agencé en position ouverte faisant apparaître l'orifice 43, tandis que l'autre cache est en position fermée obturant l'orifice 44.

En position montée des cache-vis 45 (position qui cache les têtes des vis 7), les cache-vis sont de préférence coplanaires avec la face externe 41. Aussi, les orifices 43 et 44 sont ménagés de préférence dans des renfoncements/évidements 43a et 44a formés dans l'épaisseur du socle 4 (figures 2 et 5), les cache-vis 45 venant se loger dans lesdits renfoncements 43a et 44a (figure 5 sur laquelle est visible le cache-vis en position fermée). Les cache-vis 45 sont soit amovibles et associés par clipsage, soit dans une variante préférée telle qu'illustrée sur la figure 5, solidaires de la face externe 41 du socle et mobiles en étant articulés par pivotement autour d'un axe 46 solidaire de l'épaisseur du socle 4 et perpendiculaire au plan général discoïdal dudit socle.

L'installation de la boîte d'encastrement 1 de l'invention et son raccordement électrique sont à présent décrits.

Le corps creux 10 de la boîte d'encastrement est installé dans le plafond P sans le socle 4 assemblé. Préalablement a été percé l'un des opercules 16 du fond 13 du corps creux pour le passage des fils 6. La fixation du corps creux 10 se fait de manière usuelle et n'est pas décrite plus en détail ici, en vissant des vis de fixation 8 (figure 1) qui sont solidaires du corps creux et comportent des pattes de fixation externes au corps creux venant en butée par agrippement contre l'intérieur du plafond.

La figure 6A illustre le corps creux 10 schématiquement installé, la collerette 15 étant plaquée contre le plafond P (contre la face extérieure du plafond).

Puis, le socle 4 est amené à proximité de la cavité interne 12 pour effectuer le raccordement des fils 6 aux trois bornes de connexion électrique du module 2.

Une fois le raccordement électrique effectué, est mise en œuvre la fixation du socle 4.

Le socle 4 est amené contre la collerette 15 du corps creux 10, et tel que le trou de plus gros diamètre de chaque orifice 43 et 44 soit en regard de chaque tête de vis 7. Puis en plaquant le socle 4 contre la collerette 15, chaque tête de vis étant engagée dans le plus gros trou de chaque orifice 43, 44, on effectue une légère rotation du socle 4 de façon à introduire le corps de chaque vis 7 dans le plus petit trou de chaque orifice 43, 44, la tête de vis étant en saillie dudit trou. On peut alors visser chacune des vis pour fixer fermement le socle 4 tel qu'illustré schématiquement sur la figure 6B.

Le socle 4 de l'invention est dédié à obturer la partie ouverte de la boîte d'encastrement fixée au plafond.

La boîte d'encastrement 1 peut bien entendu présenter diverses formes.

Sur les figures 7A et 7B est illustrée une variante de forme de la boîte d'encastrement 1 de l'invention. La boîte 1 comporte non seulement le corps creux cylindrique 10 mais également un logement d'accueil supplémentaire 9 solidaire latéralement de la paroi périphérique 13 du corps creux, ledit logement 9 pouvant accueillir un appareillage électrique supplémentaire, par exemple un module électronique dédié à la commande du luminaire à fixer et suspendre à la boîte d'encastrement 1.

Le logement d'accueil supplémentaire 9 est associé au corps creux 10 de manière latérale à la paroi périphérique 12 tout en étant coplanaire au fond 13 pour ne pas augmenter la profondeur de la boîte d'encastrement 1.

Le logement d'accueil supplémentaire 9 est conçu pour que son volume intérieur débouche sur la cavité interne 12 du corps creux, l'accès se faisant via l'ouverture 11 du corps creux et sa cavité interne 12.

Le logement d'accueil supplémentaire 9 forme un corps creux définissant un volume d'accueil fermé en sa périphérie hormis sur la totalité de l'une de ses faces pour ménager une embouchure d'accès vers l'intérieur du volume d'accueil et coopérant avec la cavité interne 12.

Dans un mode de réalisation préféré, le logement d'accueil supplémentaire 9 comporte d'une part une base rigide 90 en matière plastique du type PP et obtenu par moulage, et d'autre part une poche 91 prolongeant la base 90 et constituée d'une enveloppe souple en matière plastique du type SEBS, obtenue également par moulage selon une bi-injection.

Le corps du logement d'accueil supplémentaire 9 est de préférence de forme générale parallélépipédique et en particulier oblongue.

La poche 91 est avantageusement souple pour faciliter la mise en œuvre de la boîte d'encastrement 1 quant à son installation dans le plafond. En effet, la boîte 1 est encastrée en recroquevillant préalablement la poche souple 91 dans la cavité 12 du corps creux 10, le corps creux 10 est alors positionné dans le plafond, puis la poche 91 est dépliée vers l'extérieur de la boîte, à l'opposé de la cavité 12 pour épouser le volume creux du plafond latéralement au corps creux 10.

La base 90 permet la fixation du logement d'accueil supplémentaire 9 au corps creux 10.

La fixation est obtenue soit par thermo-soudage, soit par fixation amovible.

Pour une fixation amovible, des moyens de coopération mutuelle sont intégrés d'une part au corps creux 10, et d'autre part à la base 90 du logement d'accueil supplémentaire 9, lesdits moyens étant du type mâle-femelle et coopérant mécaniquement par engagement mutuel, tel que par translation et/ou rotation et/ou encliquetage et/ou clipsage et/ou agrafage.

A titres d'exemples dimensionnels, le logement 9 présente une longueur de 95 mm, une largeur de 50 mm et une profondeur (dimension parallèle à l'axe cylindrique du corps creux 10) de 33 mm.

Enfin, pour assurer une reprise de charge du piton 3, la boîte d'encastrement de l'invention peut comprendre un système de reprise/de transfert de charge. En regard de la figure 8, le système de reprise de charge est associé au fond 13 du corps creux, notamment comprend un étrier 31 amovible, une pièce d'interface 32, et un filin 33.

L'étrier 31 est de préférence fixé par clipsage, le fond 13 comportant dans son centre un trou 17 pour l'association de l'étrier. L'étrier 31 est distinct du fût 5 d'accueil du piton. L'étrier 31 s'étend selon sa plus grande extension parallèlement au fond 13.

L'étrier amovible 31 est en deux parties 31a et 31b, la première des parties 31a étant destinée à être engagée dans le trou 17 depuis l'intérieur de la cavité 12 et faisant saillie via une portion 31c au niveau de la face opposée du fond 13 à l'extérieur du corps 10, tandis que la seconde partie 31b est destinée à être clipsée par l'extérieur sur la portion en saillie 31c de la première partie 31a, ce qui assure un maintien ferme de l'étrier après le fond 13. La portion 31d de la première partie 31a de l'étrier, qui est destinée à être agencée à l'intérieur de la cavité 12 s'étend dans un plan parallèle au fond 13 pour laisser un volume libre à l'intérieur de la cavité dans une direction perpendiculaire au fond 13. De plus, la portion en saillie 31c de la première partie 31a possède un taraudage pour y visser la pièce d'interface 32 destinée à la fixation du filin/câble 33 qui assurera la reprise de charge du piton 3, le filin étant par exemple destiné à être fixé à une poutre de l'habitation.

Claims (15)

1. REVENDICATIONS

   1. Boîte d'encastrement (1), notamment pour loger des appareillages électriques et plus particulièrement au moins un module de connexion électrique de type DCL, comportant

   - un corps creux (10) formant une cavité interne (12) qui est délimitée par un fond (13), une paroi périphérique (14) et une ouverture (11) opposée au fond (13),

   - un socle (4) apte à obturer l'ouverture et associé de manière amovible au corps (10),

   - un module de connexion électrique (2) adapté pour être agencé dans la cavité (12) en position associée du socle (4) au corps creux (10), et

   - un fût (5) destiné à accueillir un organe d'ancrage (3) du type piton, caractérisée en ce que le fût (5) est solidaire du socle (4), en particulier en faisant saillie par rapport à une face (40) du socle (4), face dite interne qui est destinée à être en regard de la cavité (12) en position montée du socle.
2. 2. Boite d'encastrement selon la revendication 1, caractérisée en ce que le fût (5) présente une direction longitudinale qui est transversale au plan général du socle (4), le fût s'étendant depuis le centre du socle et débouchant sur la face opposée du socle en un orifice central (42).
3. 3. Boite d'encastrement selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce que le module de connexion électrique (2) est associé au socle (4), en particulier en faisant saillie depuis la face interne (40) du socle, le module (2) s'étendant parallèlement au fût (5) et le fût (5) présentant une longueur qui est inférieure à la longueur/hauteur du module (2), en particulier est inférieure au plan contenant des bornes de connexion électrique (20, 21, 22) agencées dans le module (2) ou au plan le plus bas contenant au moins une borne de connexion électrique (21).
4. 4. Boîte d'encastrement selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'il comporte un organe d'accrochage (3) du type piton, qui présente un corps fileté coopérant avec le fût (5) et une terminaison libre (30) adaptée à l'accrochage/la suspension d'un luminaire.
5. 5. Boîte d'encastrement selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le socle (4) comporte des orifices traversants (43, 44) pour le passage de moyens de fixation (7) du type vis, de préférence le socle comportant deux orifices symétriques par rapport au centre du socle, et de préférence chaque orifice (43, 44) présente une forme en trou de serrure pour ménager deux trous en continuité de deux diamètres différents, un de diamètre plus grand que celui de la tête de vis à associer, et l'autre de diamètre plus petit que celui de ladite tête de vis.
6. 6. Boîte d'encastrement selon la revendication précédente, caractérisée en ce que les orifices (43, 44) sont ménagés dans des renfoncements (43a, 44a) dans l'épaisseur du socle, et en ce que le socle (4) comporte des cache-vis (45) aptes à se loger dans les renfoncements (43a, 44a) pour recouvrir les moyens de fixation, les cache-vis étant amovibles, ou bien solidaires du socle et mobiles par articulation.
7. 7. Boîte d'encastrement selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comporte un logement d'accueil supplémentaire (9) pour au moins un appareillage électrique, ledit logement étant associé latéralement à la paroi périphérique (14) du corps creux (10) et débouche sur la cavité du corps creux, de préférence le logement ne faisant pas saillie au-delà du fond du corps creux.
8. 8. Boîte d'encastrement selon la revendication précédente, caractérisée en ce que le logement d'accueil supplémentaire (9) comprend d'une part une base rigide (90) pour son association au corps creux (10), et d'autre part une poche (91), de préférence en matériau souple, qui est solidaire de la base rigide (90).
9. 9. Boîte d'encastrement selon la revendication 7 ou 8, caractérisée en ce que le corps creux (10) et le logement d'accueil supplémentaire (9) sont fabriqués par moulage, et sont associés l'un à l'autre par thermo-soudage ou bien sont amovibles l'un par rapport à l'autre en étant associés par des moyens d'assemblage amovible et de coopération mutuelle.
10. 10. Boîte d'encastrement selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comprend un système de reprise de charge (31, 32, 33) associé au fond (13) du corps creux, notamment elle comprend un étrier amovible (31), de préférence fixé par clipsage après les deux faces opposées du fond (13) du corps creux à travers un trou central (17) du fond du corps creux, le trou constituant en particulier un opercule défonçable.
11. 11. Socle (4) de dispositif de connexion pour luminaire comportant un module de connexion électrique (2) associé à l'une des faces (40) du socle, un orifice central (42) destiné au passage d'un organe d'accrochage (3) du type piton, caractérisé en ce qu'il comporte un fût (5) solidaire de la face (40) du socle (4) portant le module (2) et agencé en regard de l'orifice central (42), le fût étant destiné à accueillir l'organe d'accrochage (3), de préférence le socle (4) comportant l'organe d'accrochage (3) en position montée dans le fût (5).
12. 12. Socle selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le module (2) s'étend parallèlement au fût (5) et le fût (5) présente une longueur qui est inférieure à la longueur/hauteur du module (2), en particulier est inférieure au plan contenant des bornes de connexion électrique (20, 21, 22) agencées dans le module (2) ou au plan le plus bas contenant au moins une borne de connexion électrique (21).
13. 13. Socle selon la revendication 11 ou 12, caractérisé en ce qu'il comporte des orifices traversants (43, 44) pour le passage de moyens de fixation du type vis, de préférence le socle comportant deux orifices symétriques par rapport au centre du socle, et de préférence chaque orifice (43, 44) présentant une forme en trou de serrure pour ménager deux trous en continuité de deux diamètres différents, un de diamètre plus grand que celui de la tête de vis à associer, et l'autre de diamètre plus petit que celui de ladite tête de vis.
14. 14. Socle selon la revendication précédente, caractérisé en ce que les orifices (43, 44) sont ménagés dans des renfoncements (43a, 44a) de l'épaisseur du socle, et le socle comporte des cache-vis (45) aptes à se loger dans les renfoncements, les cache-vis étant amovibles, ou bien solidaires du socle et mobiles par articulation.
15. 15. Kit de distribution commerciale d'une boîte d'encastrement (1) selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, de préférence le kit comprenant la boîte d'encastrement avec un système de reprise de charge destiné à être associé au fond (13) du corps creux (10) à travers un trou central (17) du fond du corps creux, le trou (17) étant formé de préférence d'un opercule défonçable, le système de reprise de charge comportant un étrier amovible (31) apte à être fixé dans le trou central (17), un filin (33) et une pièce d'interface (32) de fixation du filin à l'étrier.