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FR2855360A1 - Procede d'alimentation d'un filament de chauffage d'un tube a rayons x et tube a rayons x correspondant - Google Patents

Procede d'alimentation d'un filament de chauffage d'un tube a rayons x et tube a rayons x correspondant Download PDF

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FR2855360A1
FR2855360A1 FR0350162A FR0350162A FR2855360A1 FR 2855360 A1 FR2855360 A1 FR 2855360A1 FR 0350162 A FR0350162 A FR 0350162A FR 0350162 A FR0350162 A FR 0350162A FR 2855360 A1 FR2855360 A1 FR 2855360A1
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FR
France
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heating
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FR0350162A
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Patrick Chretien
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GE Medical Systems Global Technology Co LLC
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    • H05G1/00X-ray apparatus involving X-ray tubes; Circuits therefor
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    • H05G1/34Anode current, heater current or heater voltage of X-ray tube

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  • Health & Medical Sciences (AREA)
  • General Health & Medical Sciences (AREA)
  • Toxicology (AREA)
  • X-Ray Techniques (AREA)

Abstract

On règle le problème lié à la constante de temps (16) de chauffage d'une cathode d'un tube à rayons X. On montre que pour atteindre plus rapidement une valeur de courant de service il ne suffit pas d'effectuer pendant une période (13) préalable un échauffement plus rapide à l'aide d'une surintensité (ib) d'un courant de chauffage. On montre que la valeur de cette surintensité doit être fonction à la fois d'un courant (ich0) de maintien de chauffage préexistant et d'un courant (ip) de service à utiliser par la suite. Pour avoir alors à se passer de réaliser une cartographie de toutes les possibilités d'utilisation du tube, on propose un modèle d'évolution de température de cathode. On montre que ce modèle est particulièrement simple et qu'il suffit de calculer quatre paramètres.

Description

Procédé d'alimentation d'un filament de chauffage d'un tube à rayons X et
tube à rayons X correspondant
La présente invention a pour objet un procédé d'alimentation d'un 5 filament de chauffage d'une cathode d'un tube à rayons X. Elle est plus particulièrement destinée à être utilisée dans le domaine médical et, dans celui-ci, en particulier dans des applications de type vasculaire. Le but de l'invention est d'améliorer la qualité des images produites avec de tels tubes à rayons X. L'invention concerne aussi les tubes à rayons X eux-mêmes.
Pour l'acquisition d'une image radiologique, on soumet un corps d'un patient à une irradiation de rayons X, qui le traversent, qui sont partiellement atténués dans le corps de ce patient et dont on relève l'irradiation restante sur un détecteur: un film ou un détecteur électronique. Plutôt que d'utiliser des sources à rayons X solides, on utilise des tubes électroniques 15 susceptibles de les produire. En effet ces tubes électroniques sont plus souples. Ils permettent d'imposer d'une part la dureté des rayons X produits (liée à leur énergie et donc à la fréquence du rayonnement photonique), et d'autre part le débit des rayons X produits.
Le débit des rayons X est choisi en fonction de ce que la révélation de 20 la mesure se réalise par une intégration énergétique de l'énergie collectée sur le détecteur. Par ailleurs, pour simplifier, plus le patient est gros plus le débit doit être important pour qu'une partie significative des rayons atteigne le détecteur. Le détecteur ayant une dynamique énergétique de révélation, il importe donc que la quantité moyenne d'énergie reçue par le détecteur, par 25 élément de surface, soit située au milieu de cette dynamique (ou à une valeur attendue) afin que le contraste de l'image soit distribué au mieux. En effet, si l'énergie cumulée est trop forte, le détecteur est saturé, il y a perte de contraste pour les parties transparentes du corps du patient. A l'opposé, si l'énergie reçue est trop faible, le détecteur est sous exposé, il y a perte de 30 contraste pour les parties les plus épaisses du corps du patient.
Autant la dureté des rayons X est principalement commandée par la haute tension qui règne entre une anode et une cathode du tube, autant le débit des rayons X dépend principalement du courant de chauffage de l'anode. Pour la dureté, on comprend que des électrons arrachés à la 35 cathode viendront percuter l'anode à d'autant plus grande vitesse que la haute tension est haute. Cette percussion conduit à la production de rayons X de haute valeur énergétique. Ceci étant, le nombre de ces électrons susceptibles d'être arrachés de la cathode pour être projetés sur l'anode dépend bien entendu surtout de l'état d'excitation de la cathode, qui lui5 même dépend de son état thermique. En définitive le débit du courant de tube, directement lié au débit du rayonnement X, est ainsi lié à la température de la cathode.
La réalisation d'une radiographie et plus généralement d'un examen radiologique nécessite donc, une fois que le patient a été mis en position 10 intermédiaire entre le tube et le détecteur, de faire émettre par le tube une irradiation pendant une pose. La durée de la pose est un autre facteur, multiplicatif, du cumul de l'énergie relevée sur le détecteur. Pour des raisons d'usure trop rapide de la cathode, par arrachement spontané d'électrons, il est connu de ne chauffer la cathode qu'au moment o celle-ci doit émettre. 15 En pratique, la cathode peut être maintenue à une température bien inférieure à la haute température (autour de 4000 K) qui est sa température de service.
La sollicitation impulsionnelle du tube rencontre alors une difficulté liée à la constante de temps thermique d'échauffement de la cathode. Celle20 ci retarde la mise en température. Une cathode à température trop basse émettrait un courant de tube trop faible et, pour une durée donnée d'une irradiation, l'énergie cumulée des rayons X émise serait différente de l'énergie cumulée attendue.
Pour remédier à ce problème, il est connu, préalablement à l'impulsion 25 d'émission, de préchauffer la cathode pour qu'elle atteigne sa température de service. Ce préchauffage est cependant assez lent et il prend de l'ordre de 4 à 5 secondes. Une telle lenteur est bien entendue inacceptable dans certains domaines, en particulier dans le domaine vasculaire pour lequel, en même temps qu'un cliché radiographique des distributions artérielles et 30 veineuses du corps est saisi, un produit de contraste est envoyé dans le sang du patient. Ce produit de contraste s'y répand, sous la forme d'une onde, imposée par le battement cardiaque. Autrement dit, le contraste amélioré n'est visible que fugitivement pendant une durée proche d'une seconde et à une date qui est aléatoire liée à la date de l'injection et qui en 35 tout cas est peu compatible avec la durée d'attente de 4 ou 5 secondes.
Il est connu, pour remédier à ce problème, de passer de la valeur d'un courant électrique de maintien (permettant un chauffage de maintien de la cathode) à un courant de service (correspondant à un débit de rayons X attendu) par une impulsion de courte durée imposant une surintensité au 5 courant de chauffage. Pour une même constante de temps thermique, l'évolution en température de la cathode est alors bien plus rapide. Après une durée de cette surintensité calibrée, en général de 400 millisecondes, on impose le courant de chauffage de la cathode à une valeur de service. Cette valeur de service est intermédiaire entre la valeur du courant de maintien et 10 celle de la surintensité.
En général au bout d'une période de stabilisation postérieure, dans un exemple elle aussi de 400 millisecondes, on peut effectuer l'irradiation proprement dite. Celle-ci, selon les technologies de tubes employés peut être provoquée soit par la commutation de la haute tension entre anode et 15 cathode, soit par la commutation d'une tension d'une grille de commande interposée entre la cathode et l'anode. Une telle démarche donne de bons résultats, en tout cas meilleurs que ceux obtenus lorsque la surintensité provisoire n'est pas appliquée.
Toutefois, les exigences modernes de maîtrise du débit sont plus 20 fortes. Notamment, il est prévu que le débit moyen du tube pendant la durée de l'impulsion soit contenu dans une fenêtre de + 10 % autour d'une valeur moyenne attendue. Or, on s'est rendu compte que malgré la surintensité des disparités importantes se produisaient et que le courant de tube ne pouvait pas être maîtrisé avec la précision souhaitée.
Dans l'invention, pour remédier à ce problème, on a pu mesurer qu'en fait la surintensité ne devait pas être imposée une fois pour toutes en valeur et en durée mais devait dépendre d'une part du courant de service à atteindre (celui auquel la température de service de la cathode doit être stabilisée), et d'autre part devait être fonction du courant de maintien 30 préalable à la surintensité. En pilotant alors la valeur de la surintensité (dans un exemple pour une durée donnée de cette surintensité) , on est alors parvenu à faire en sorte que le courant de tube moyen pendant la durée de l'irradiation X utile soit contenu dans une fenêtre de + 1,5 % autour du courant attendu, c'est à dire tout à fait conforme aux attentes.
Dans un perfectionnement, plutôt que de procéder par empirisme et de tabuler la valeur de la surintensité en fonction du courant de maintien et du courant de service, on a réussi à établir un modèle analytique particulièrement simple, permettant un calcul précis, et qui a l'avantage d'être transposable d'un tube à l'autre. En effet, d'un tube à rayons X à un autre, 5 même s'il s'agit d'un même modèle, des différences de nature conduisent à des comportements différents qui ne permettent plus de respecter la tolérance envisagée ci-dessus. Plutôt alors que d'avoir à retracer pour chaque tube une cartographie de ses différents comportements, on préfère au cours d'une série relativement simple d'expériences déterminer les 10 paramètres du modèle qui le concerne. Les paramètres de modèle d'un tube sont propres à ce tube. Le modèle est commun à tous les tubes. En agissant ainsi, on résout un problème de précision d'utilisation du tube à rayons X et un problème d'industrialisation qui tient compte des disparités des tubes obtenus.
L'invention a donc pour objet un procédé d'alimentation d'un filament de chauffage d'une cathode d'un tube à rayons X dans lequel, pour réaliser une pose dans un examen radiologique, - on chauffe le filament à une température de maintien à l'aide d'un courant de chauffage dont l'intensité a une valeur de maintien, - on soumet le filament de chauffage à une surintensité du courant de chauffage pendant une période précédant la pose, et - on soumet, après cette période, le filament de chauffage à un courant dont l'intensité a une valeur intermédiaire entre la valeur de maintien et celle de la surintensité, caractérisé en ce que - on détermine la valeur de la surintensité, pose par pose, en fonction de la valeur de maintien et de la valeur intermédiaire.
L'invention a donc aussi pour objet un tube à rayons X muni d'une cathode avec filament de chauffage, d'une anode, d'un dispositif 30 d'alimentation de ce filament et de moyens pour chauffer le filament de chauffage à une température de maintien à l'aide d'un courant de chauffage dont l'intensité a une valeur de maintien, pour soumettre le filament de chauffage à une surintensité du courant de chauffage pendant une période précédant une pose, et pour soumettre, après cette période, le filament de 35 chauffage à un courant dont l'intensité a une valeur intermédiaire entre la valeur de maintien et celle de la surintensité, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens pour déterminer la valeur de la surintensité, pose par pose, en fonction de la valeur de maintien et de la valeur intermédiaire.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit 5 et à l'examen des figures qui l'accompagnent. Celles-ci ne sont présentées qu'à titre indicatif et nullement limitatif de l'invention. Les figures montrent: - Figure 1: une représentation schématique d'un tube à rayons X utilisable pour mettre en oeuvre le procédé de l'invention; - Figure 2: une représentation schématique des étapes de 10 préchauffage et de surchauffe de la cathode au moment de la réalisation d'une pose; - Figure 3: le principe d'élaboration des paramètres de réglages et une fois ces paramètres connus, du réglage des tubes à rayons X pour réaliser des clichés attendus; - Figures 4 à 8: des diagrammes permettant de donner une meilleure explication du procédé de l'invention.
La figure 1 montre un tube à rayons X 1 utilisable pour mettre en ceuvre le procédé de l'invention. Le tube 1 comporte une cathode 2 et une anode 3, par exemple du type tournante. La cathode 2 est soit une cathode 20 directe soit une cathode indirecte. Elle est ici représentée par son filament de chauffage. Soumises à une haute tension l'une par rapport à l'autre, la cathode 2 émet des électrons à grande vitesse qui en venant frapper une cible de l'anode 3 provoquent l'émission par cette cible d'un rayonnement X 4 qui est utilisé pour effectuer une radiographie, dans le domaine médical 25 notamment. Le tube 1 comporte par ailleurs un dispositif de commande 5 formé par un microprocesseur 6 en relation par l'intermédiaire d'un bus 7 d'adresses, de données, et de commandes avec une interface 8 d'entrée sortie, avec une mémoire programme 9 et avec une mémoire de données 10.
L'interface 8 d'entrée sortie est prévue par ailleurs pour recevoir des 30 commandes d'une interface homme machine, non représentée, permettant d'imposer un fonctionnement désiré du tube 1. Un programme 11 contenu dans la mémoire 9 permet de faire exécuter par le microprocesseur 6 une suite d'opérations telles que le rayonnement X 4 soit rigoureusement fixé à une valeur attendue.
Notamment dans le domaine d'une radiographie de type vasculaire, figure 2, il est prévu qu'un courant de maintien de chauffage ichO soit imposé en permanence sur l'interface d'entrée sortie 8 pour alimenter le filament 2 de la cathode. La figure 2 montre, en dessous du diagramme temporel du courant de chauffage, un diagramme de température 0 de la cathode. En 5 dessous du diagramme 0, est représenté le courant de tube i tube, dit aussi courant d'anode, qui est directement représentatif du débit des rayons X 4.
D'une manière connue, avant une pose 12 pendant laquelle une irradiation est réellement effectuée, il est connu de préchauffer la cathode 2 par un courant de surintensité ib pendant une période 13 donnée, dans un exemple 10 de 400 millisecondes. Dans la suite de l'exposé, on retiendra cette durée de 400 millisecondes. Mais on montrera par la suite comment il est possible notamment avec le modèle de choisir une autre durée. La durée de 400 millisecondes est une durée cependant préférée parce qu'elle correspond à une sollicitation normale de la cathode 2.
Après la période 13 pendant laquelle est appliquée la surintensité, on peut provoquer la pose 12. Cependant, dans l'état de la technique, on préfère attendre une durée 14 de stabilisation, dans un exemple elle aussi de 400 millisecondes, avant de réaliser la pose 12 proprement dite. Avec l'invention une telle durée 14 peut ne pas être obligatoire. Pendant la durée 20 14 de stabilisation, et pendant la durée de la pose 12, le courant de cathode ip est un courant avec une valeur intermédiaire entre la valeur ichO du courant de maintien et la valeur ib de la surintensité.
La figure 2 montre encore, d'une manière schématique, I'intérêt d'utiliser une période 13 de surintensité. En effet, si une telle période 13 de 25 surintensité n'était pas utilisée, la température de la cathode rejoindrait sa température stabilisée 15 avec une évolution lente 16 liée à sa constante thermique. Par contre, du fait de la surintensité, et en considérant approximativement une même constante thermique, on constate que la température de service 15 est atteinte au bout de la durée de surintensité 13, 30 bien antérieure à la date du début de la pose 12. De ce fait, on est sûr avec une surintensité d'atteindre avec plus de rigueur la température de stabilisation 15.
Dans l'invention toutefois, on s'est rendu compte que cette surintensité, dans la mesure o elle était déterminée une fois pour toutes, 35 quelles que soient les valeurs des courants préalables ichO de maintien et quelles que soient les valeurs des courants ip intermédiaires de service, n'était pas satisfaisante et conduisait à une dispersion trop importante des valeurs moyennes des courants de service pendant la durée de la pose 12.
Dans l'invention, on rend la valeur 17 de la surintensité ib pendant la durée 5 13 fonction de la valeur 18 du courant ichO de maintien préalable à la pose 12 et de la valeur 19 du courant ip de service (de valeur intermédiaire) utilisable pendant la pose 12. Cette dépendance est liée à la durée de la période 13.
Bien entendu, un tel procédé et un tel dispositif sont particulièrement 10 intéressants lorsque l'examen à pratiquer est un examen de type vasculaire, pour lequel la détermination de la date de la pose 12 doit être aléatoire, et pour lequel il convient de réduire au maximum les durées de préparation, voire à se passer de la durée 14 de stabilisation. En effet d'une manière schématique on a montré sur la figure 2 que la constante de temps 20 de 15 préchauffage due à la surintensité 17 permettait d'atteindre la température de service 15 exactement à la fin de la période 13.
La figure 3 montre le programme qui est mis en oeuvre par le circuit 5 pour conduire à un réglage précis et attendu de la température de service.
Un premier sous programme 21 reçoit des informations de durée 22 de la 20 période 13, de durée 23 de la période 14, et de valeur 24 du courant de maintien (de la valeur 18). Le sous programme 21 reçoit par ailleurs une information 25 ich max indiquant la valeur d'un courant de chauffage à ne pas dépasser sous peine de dégrader la cathode 2. Le sous programme 21 du programme 11 calcule donc, pour la durée 22 de la période 13, la valeur 25 17 de surintensité appelée ci-après ib, comme i boost pour courant de surintensité. Le sous programme 21 est en fait le modèle selon l'invention de calcul de surintensité du filament.
Le programme 11 comporte par ailleurs un autre sous programme 26 permettant de modéliser le comportement du courant de chauffage en 30 fonction d'une information 27 de haute tension à appliquer et d'un courant de tube 28 attendu. Le sous programme 26 produit donc une information ip, de valeur ip 19, indiquant la valeur du courant de service à utiliser pour chauffer la cathode 2. Selon l'invention, le sous programme 21 reçoit également l'information ip pour permettre le calcul de la surintensité ib 17. Une fois ces 35 différents éléments calculés, un sous programme 29 du programme 11 permet de commander effectivement la cathode 2 et l'anode 3 avec les valeurs calculées. Le tube 1 est alors sollicité en fonction des différents paramètres et la pose 12 est produite. A l'aide d'un sous programme 30, on mesure ensuite la réalité du courant de tube produit (et son équivalent im en 5 courant de chauffage) pendant la pose 12. On la compare à la valeur attendue ip. Ce faisant, on dispose d'un moyen pour ajuster les paramètres du sous programme 21 afin que la valeur im soit égale à la valeur ip, tube par tube.
En pratique, chaque installation, en sortie de fabrication, est munie du 10 sous programme 21 paramétré par des paramètres standards et ces paramètres standards sont ajustés au cours d'une phase de calibration de l'installation, sur un nombre limité d'expérimentations. Puis, une fois que les paramètres sont ajustés, I'installation est livrée au client. Eventuellement il est possible au cours du vieillissement de l'installation de modifier à l'aide du 15 programme 30, de temps à autres ou périodiquement, les paramètres du sous programme 21. Il est envisageable toutefois de livrer une installation dans laquelle le programme 11 ne comporterait pas le sous programme 30, le paramétrage ayant été fait en usine une fois pour toutes.
La figure 4 montre un diagramme de correspondance entre la 20 température 0 du filament et un courant de tube équivalent. Du relevé de la figure 4, il est possible de déduire une formule de conversion de la température 0 de l'anode en un courant de tube équivalent lequ. Cette formule est la formule 1: lequ = cae4 + 9o3 + y82 + ôe + À . Avec cette formule 1, il est ensuite possible de réaliser une simulation du comportement du 25 filament pour une durée prévue, par exemple 400 millisecondes dans le cas préféré, de la période 13 de surintensité. Cette simulation tient compte de la résistivité du filament, de la nature du matériau qui la constitue, et de données physiques qui permettent d'en connaître la température à l'issue. La figure 5a montre d'une part l'évolution du filament en température pendant la 30 surintensité 13, et d'autre part la valeur ip, équivalente à la température atteinte 013 à l'issue de la durée 13.
Les courbes montrées sur la figure 5b montrent les résultats de cette simulation chacune en fonction d'une valeur du courant ib. Il y a neuf courbes représentées, paramétrées en fonction de la valeur ichO du courant de 35 maintien préalable à la période 13. Les courbes ont très grossièrement l'allure d'une portion de parabole montrant que le courant ip attendu est au moins fonction d'un deuxième degré du courant ib. Par ailleurs bien entendu un courant de service attendu, ligne horizontale du diagramme 5b, est d'autant plus rapidement atteint que le courant de surintensité est plus 5 important. Ou encore, moins le courant de maintien est élevé, plus le courant de surintensité pendant l'impulsion 13 doit être important.
La figure 6 montre, pour certaines des conditions de la figure 5b, la mesure im du courant de chauffage mesuré correspondant aux expérimentations de la figure 5b.
La figure 7 représente les éléments qui ont permis de déterminer un modèle préféré de simulation. Le modèle permet de simplifier, pour un tube, la détermination du courant de surintensité ib sans avoir à se lancer, pour ce tube et donc pour chacun des tubes qui seraient produits, à la cartographie représentée par la figure 5b. Cette cartographie serait d'une part longue et 15 fastidieuse à acquérir, et d'autre part pourrait nécessiter soit une occupation mémoire très importante soit conduire à des nécessités d'interpolation plus complexes pour obtenir la précision requise.
Dans l'invention, on s'est rendu compte que le problème provenait de l'évolution de la constante de temps de chauffage du filament du fait des 20 différentes conditions dans lesquelles il était sollicité. On a alors eu pour idée de mesurer la dérivée de la valeur du courant de chauffage. En effet, le courant de chauffage dépend de la résistivité du filament de cathode, qui elle-même dépend de la température de la cathode qui ellemême évolue dans le temps. Au cours de la période 13, l'énergie thermique transférée à la 25 cathode 2 n'est donc pas constante et conduit à la constante de temps. Cette évolution tient compte par ailleurs des dissipations techniques qui se produisent en permanence. On a même eu l'idée de normaliser cette dérivée par rapport à la différence devant résulter entre le courant de surintensité ib et le courant i obtenu. La courbe 7 montre l'allure de cette évolution, notée 30 1/, pour un intervalle semi-ouvert de valeurs comprises entre ichO courant de chauffage et la valeur ib. L'intervalle est semi ouvert car, pour i =- ib, la normalisation conduit à une valeur infinie. Les courbes ont été représentées pour des couples de valeur montrés à droite du graphe de la figure 7.
Ces courbes qui montrent une asymptote lorsque i devient proche de 35 ib ont globalement la forme d'une droite et ont conduit à l'interprétation d'une linéarité de l'évolution. En effet, si la constante de temps thermique T du filament n'avait pas varié avec la température, on aurait pu écrire formule 2.
ip = ib - ( ib - iO) * exp ( -t/t), avec Tc constant, soit dip/dt = ( ib iO) * exp ( -t/' ) /' soit dip/dt = ( ib - ip)/r soit 1/' =dip/dt/(ib-ip) Avec un modèle du premier ordre on obtiendrait une constante pour 1/c, ce qui n'est pas vérifié avec le modèle représenté puisque globalement les courbes conduisent à la formule 3: 1/T = di/dt / ( ib - i) = a + b*ib + i*(c + d*ib), soit ip = ib - ib- iO (T (ib)/ T (iO)) . (e t /T.'(ib) 1) + 1 avec.T(ib)= 1/ ( a + b * ib + c * ib + d * ib * ib), et avec.t(iO)= 1/ ( a + b * ib + c * iO + d * ib * iO), En agissant ainsi, on a réduit la complexité du modèle à un modèle simple avec quatre coefficients a b c d. Il n'a pas été utile de prendre en considération un cinquième coefficient prenant en considération le carré du courant de surintensité et ou le carré du courant de maintien. On pourrait montrer que la prise en considération de ces autres variables serait sans 20 intérêt par rapport à la précision attendue qui est de l'ordre de 1,5 %. A ce titre, la figure 8 montre avec des courbes très finement mélangées, pour le modèle et la mesure, la valeur du courant de service calculée d'une part et mesurée d'autre part en fonction de la valeur du courant de surintensité et ce pour deux exemples de courant de maintien ichO à 2,5 et 3,5 ampères 25 respectivement.
Les expériences ont montré que le modèle ainsi calculé était valable avec une efficacité de l'ordre de 1,5 % bien supérieure aux 10 % attendus.
Dans un exemple, les paramètres a b c d ont pour valeurs, selon que la cathode produit un petit foyer ou un gros foyer sur l'anode: 30 petit foyer: a=-0.9658 b=0.0504 c=0.4072 d=0.0124 gros foyer: a=-0.4045 b=0. 0416 c=0.2663 d=0.0215 Comme on peut le voir, le calcul préconisé par la formule 3 ne permet pas d'obtenir directement la valeur du courant ib de surintensité connaissant le courant de service ip et le courant de chauffage de maintien ichO. Dans la 35 pratique, on procède alors par itération en prenant une valeur qu'on sait être par excès du courant de chauffage et une valeur qu'on sait être par défaut du courant de chauffage. Par exemple, la valeur qu'on sait être par excès du courant de chauffage est la valeur du courant de chauffage maximale ich max. La valeur qu'on sait être par défaut est la valeur du courant de 5 chauffage de maintien ichO. Puis on procède par dichotomie. Par exemple, on calcule la valeur du courant de chauffage résultant d'un choix d'un courant de surintensité intermédiaire, par exemple égal à la demie somme des deux valeurs par excès et défaut. En fonction de l'écart constaté entre la valeur du courant de service calculé et la valeur désirée, on modifie 10 progressivement la valeur du courant de surintensité pour calculer une nouvelle valeur du courant de service qui soit plus proche du courant de service attendu qu'une valeur calculée précédente. On arrête le calcul lorsque l'erreur est inférieure à un seuil, par exemple fixé à 3mA. En pratique, au bout de trois ou quatre itérations, qui peuvent être très rapides 15 parce que le calcul est quand même assez simple, on obtient la valeur du courant de surintensité. L'ensemble de ce calcul tient facilement dans une durée de calcul inférieure à la milliseconde avec un processeur moderne tournant au Gigahertz. L'erreur est ainsi calculée en déterminant la valeur de la surintensité en fonction d'un modèle retenu d'évolution du courant de 20 chauffage. Le modèle retenu d'évolution produit une minimisation d'une erreur d'un courant de tube entre un courant de tube attendu pour le tube à rayons X et un courant de tube obtenu. En pratique, le courant de tube peut être remplacé par son courant équivalent de chauffage (pour une haute tension donnée).

Claims (7)

REVENDICATIONS
1 - Procédé d'alimentation d'un filament (2) de chauffage d'une cathode d'un tube (1) à rayons X dans lequel, pour réaliser une pose (12) dans un examen radiologique, - on chauffe (18) le filament à une température de maintien à l'aide d'un courant de chauffage dont l'intensité a une valeur de maintien, - on soumet le filament de chauffage à une surintensité (17) du courant de chauffage pendant une période (13) précédant la pose, et on soumet, après cette période, le filament de chauffage à un courant dont l'intensité a une valeur intermédiaire (19) entre la valeur de maintien et celle de la surintensité, caractérisé en ce que - on détermine (21) la valeur de la surintensité, pose par pose, en 15 fonction de la valeur de maintien (22-24) et de la valeur intermédiaire (ip).
2 - Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'examen radiologique est un examen vasculaire.
3 - Procédé selon l'une des revendications 1 à 2, caractérisé en ce que on détermine la valeur de la surintensité en fonction d'un modèle retenu d'évolution du courant de chauffage, - le modèle retenu d'évolution est un modèle qui produit une minimisation d'une erreur d'un courant de tube entre un courant de tube attendu pour le tube à rayons X et un courant de tube obtenu.
4 - Procédé selon la revendication 3, caractérisé en ce que - le modèle comporte les équations suivantes ip = ib - ib -iO (Tc (ib)/'X (iO)) . (e t/I.'(ib) 1) + 1 avec.'(ib)= 1/ ( a + b * ib + c * ib + d * ib * ib), et avec.t(iO)=1 / ( a + b * ib + c * iO + d * ib * iO), etenceque - on détermine la valeur de surintensité ib par itérations, connaissant la valeur iO du courant maintien, et la valeur ip intermédiaire.
- Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce que les paramètres a, b, c, et d ont comme valeurs, selon que la cathode produit un 35 petit foyer ou un gros foyer sur l'anode: petit foyer: a=-0.9658 b=0.0504 c=0. 4072 d=0.0124 gros foyer: a=-0.4045 b=0.0416 c=0.2663 d=0.0215 6 - Procédé selon l'une des revendications 4 à 5, caractérisé en ce que - on détermine les paramètres a, b, c, et d par minimisation d'une erreur constatée entre un courant de tube attendu et un courant de tube constaté.
- Procédé selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que - la période a une durée de 400 millisecondes.
6 - Procédé selon la revendication 5, caractérisé en ce que - la période précède la pose par une durée (14) de stabilisation, de préférence de 400 millisecondes.
7 - Tube (1) à rayons X muni d'une cathode avec filament (2) de 15 chauffage, d'une anode (3), d'un dispositif (8) d'alimentation de ce filament et de moyens (5) pour chauffer le filament de chauffage à une température de maintien à l'aide d'un courant de chauffage dont l'intensité a une valeur de maintien, pour soumettre le filament de chauffage à une surintensité du courant de chauffage pendant une période précédant une pose, et pour 20 soumettre, après cette période, le filament de chauffage à un courant dont l'intensité a une valeur intermédiaire entre la valeur de maintien et celle de la surintensité, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (21) pour déterminer la valeur de la surintensité, pose par pose, en fonction de la valeur de maintien et de la valeur intermédiaire.
8 - Tube selon la revendication 7, caractérisé en ce que les moyens pour déterminer comportent un modèle retenu d'évolution du courant de chauffage, le modèle retenu d'évolution étant un modèle qui produit une minimisation d'une erreur d'un courant de tube entre un courant de tube attendu pour le tube à rayons X et un courant de tube obtenu. 30 9 - Tube selon la revendication 8, caractérisé en ce que - le modèle met en oeuvre les équations suivantes ip = ib - ib -iO (t (ib)/ T (iO)). (e t/.t(ib) 1) + 1 avec.'(ib)= 1/ (a + b * ib + c * ib + d * ib * ib) , et 35 avec.T(iO)= 1 / ( a + b * ib + c * iO + d * ib * iO) , - et détermine la valeur de surintensité ib par itérations, connaissant la valeur iO du courant maintien, et la valeur ip intermédiaire.
- Tube selon la revendication 9, caractérisé en ce que les paramètres a, b, c, et d ont comme valeurs, selon que la cathode produit un petit foyer ou un gros foyer sur l'anode: petit foyer: a=-0.9658 b=0.0504 c=0.4072 d=0.0124 gros foyer: a=-0.4045 b=0.0416 c=0.2663 d=0.0215
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