La présente invention concerne une table à sièges escamotables incorporés.
Elle a plus particulièrement pour objet un ensemble comprenant une table
comportant un plateau porté par une structure fixe, par exemple un piétement
et au moins un siège muni d'un accoudoir qui se prolonge pour venir s'engager
dans des moyens de guidage prévus sous le plateau de la table. Grâce à cette
disposition, le siège qui demeure solidaire de la table peut prendre deux
positions à savoir, une position déployée pour permettre à une personne de
s'asseoir à la table, et une position rétractée dans laquelle le siège est au moins
partiellement escamoté sous la table.
D'une façon générale, on sait qu'il a été déjà proposé des tables équipées de
sièges escamotables.
Ainsi, par exemple, le brevet US D 956 617 décrit un fauteuil pour enfant dont
les deux bras sont conçus de manière à coulisser dans des glissières prévues
sous le plateau de la table. Le fauteuil qui ne comprend pas de pied se trouve
donc suspendu à la table et peut prendre une position déployée permettant à un
enfant de s'asseoir et une position escamotée, repliée sous la table. Il est clair
que cette solution ne convient que pour des enfants relativement légers que
l'on doit porter pour les mettre en place dans le siège.
Le brevet US 5 673 968 concerne une table à jeux associés à des tabourets
pouvant s'escamoter sous le plateau de la table grâce à une tige horizontale,
solidaire du pied du tabouret, qui s'engage dans des moyens de coulissement
prévus sous le plateau de la table.
L'inconvénient de cette solution consiste en ce que le tabouret se trouve à
hauteur de la face inférieure de la table et qu'en conséquence l'utilisateur peut
difficilement engager ses jambes sous la table.
On a également proposé d'autres solutions dans lesquelles le plateau de la table
se trouve supporté par des sièges disposés à sa périphérie. Toutefois, ces
solutions sont en général peu commodes et ne permettent pas un véritable
escamotage des sièges.
De même, le demandeur a déjà proposé, notamment dans les brevets
FR 00 7675 et FR 00 15282, une table à sièges escamotables dans laquelle les
sièges sont montés sur un piétement équipé d'une pluralité de roues et
comprennent chacun un accoudoir dont un prolongement s'engage dans une
glissière prévue sous la table. Néanmoins, cette solution, qui fait intervenir
pour chaque siège un piétement multi-roues auto-stable, est relativement
complexe et relativement coûteuse.
L'invention a donc, plus particulièrement, pour but de supprimer ces
inconvénients en réduisant au strict minimum la structure du siège et en
prévoyant un siège monopied monté sur un dispositif de roulement au sol
monoaxe à une ou plusieurs roues.
Il s'avère que, pour parvenir à ce résultat, il est nécessaire de résoudre le
problème dû au fait que le siège à tendance à basculer autour de l'axe du
dispositif de roulement et exerce donc une contrainte relativement importante
sur la glissière dans laquelle s'engage le prolongement du bras. Cette
contrainte est d'autant plus importante que le centre de gravité de l'ensemble
siège/utilisateur se trouve déporté par rapport à la glissière. En raison de cette
contrainte qui s'exerce transversalement à l'axe de la glissière, lorsqu'un
utilisateur est assis sur le siège, le prolongement du bras tend à se coincer dans
la glissière et l'utilisateur ne peut plus avancer ou reculer son siège.
L'invention résout ce problème grâce au fait que la glissière est montée sous la
face inférieure du plateau de la table grâce à des moyens élastiques lui
permettant de s'autoaligner sur le bras lorsque celui-ci est soumis à une
contrainte transversale.
Avantageusement, le châssis du siège pourra être réalisé à l'aide d'un profilé
unique coudé, de manière à présenter une première partie verticale constituant
la colonne du pied, une première partie horizontale servant de support à
l'assise, une deuxième partie verticale servant de support du dossier, une
deuxième partie horizontale, axée perpendiculairement à la première partie
horizontale, qui sert d'élément de liaison du bras et une troisième partie
horizontale qui s'étend perpendiculairement à la deuxième partie horizontale
pour constituer le bras ainsi que son prolongement.
Le profilé utilisé pourra être réalisé en métal et présenter une section droite,
ronde ou carrée.
Néanmoins, il pourra être réalisé en une autre matière, par exemple, une
matière composite ou en bois. Il pourra être tubulaire ou être plein.
En variante, le châssis pourra être réalisé en plusieurs éléments assemblés
éventuellement différents les uns des autres.
De même, l'assise et le dossier pourront être fixés sur le châssis par
l'intermédiaire de pattes de fixation. Ils pourront être séparés ou regroupés en
un seul élément.
Eventuellement, le siège pourra être porté par un élément allongé venant
s'engager télescopiquement dans la première partie verticale du châssis de
manière à permettre son réglage en hauteur.
Selon une autre caractéristique de l'invention, la susdite glissière comprend
deux bagues coaxiales, axialement fendues et situées à une distance
prédéterminée l'une de l'autre. Ces deux bagues sont portées par un même
support conçu pour venir se monter sur la face inférieure du plateau de la table
par l'intermédiaire d'un bloc en matière élastique telle que, par exemple, du
caoutchouc ou un élastomère.
Grâce à ces dispositions, les occupants des sièges peuvent avancer et reculer
leur siège à convenance, sans effort. Ils peuvent ensuite repousser les sièges en
position escamotée sous la table.
Bien entendu, pour éviter que la table se déplace, lorsque les sièges sont
actionnés, notamment lorsque les accoudoirs viennent en butée dans les paliers
de guidage, cette table devra être relativement lourde de manière à opposer
une inertie importante ou bien elle pourra être fixée au sol ou contre une
cloison.
Avantageusement, les sièges pourront être montés basculants autour de l'axe
des glissières. Dans ce cas, des moyens pourront être prévus pour maintenir les
sièges en position basculée, lorsqu'ils se trouvent en position escamotée sous
la table.
Cette solution permet non seulement de supprimer l'encombrement des sièges,
mais également de faciliter le nettoyage du sol sous la table, grâce au fait que
les pieds des sièges ne portent plus sur le sol et se trouvent à une hauteur de
celui-ci suffisante pour permettre le passage de moyens de nettoyage.
L'invention s'applique aussi bien aux petites tables, par exemple à des tables
de cuisine ou de restaurant, qu'à des grandes tables de cantine ou de cafétéria.
Il est clair que les avantages concernant la facilité de nettoyage et le
rangement sont plus évidents dans des grandes salles ou généralement les
sièges classiques ont tendance à se disperser.
Des modes d'exécution de l'invention seront décrits ci-après, à titre d'exemples
non limitatifs, avec référence aux dessins annexés dans lesquels :
Les figures 1 et 2 sont deux vues en perspective de deux sièges réalisés
conformément à l'invention ; Les figures 3 et 4 sont deux vues en perspective de deux tables,
respectivement rectangulaires et circulaires équipées de sièges selon
l'invention ; Les figures 5 à 8 sont des vues de dessus montrant différents modes
d'implantation des sièges pour des tables rectangulaires (figures 5 à 7)
et pour des tables circulaires ou polygonales (figure 8) ; La figure 9 est une vue en coupe, dans un plan vertical, d'un siège
relevable sous le plateau d'une table ; La figure 10 est une vue, en coupe partielle, selon A-A de la figure 9 ; Les figures 11 et 12 sont des coupes transversales, à plus grande
échelle, de la glissière visible sur la figure 9, en position fermée (fig.
11) et en position ouverte (fig. 12) La figure 13 est une coupe partielle verticale selon B-B de la figure 9 ; La figure 14 est une coupe horizontale selon C-C de la figure 13.
Dans l'exemple représenté sur la figure 1, le siège comprend un châssis réalisé
à l'aide d'un tube de section circulaire, coudé à angle droit en quatre
emplacements de manière à obtenir successivement :
- une première partie verticale 1 dont l'extrémité inférieure porte des
moyens de roulage au sol 2 comportant une paire de roues coaxiales 3
protégées dans leur partie supérieure par un carter 4 de forme
cylindrique ouvert dans sa partie inférieure. Ces moyens de roulage au
sol 2 pourront éventuellement comprendre une tige qui s'engage
télescopiquement ou qui se visse dans la première partie verticale 1 du
tube de manière à pouvoir obtenir un réglage en hauteur de l'ensemble
du siège,
- une première partie horizontale 5 sur laquelle vient se fixer l'assise 6
du siège. Cette fixation peut s'effectuer au moyen d'éléments de
fixation rigide 7 ou même par l'intermédiaire de moyens élastiques. La
hauteur de cette assise 6 pourra être décalée de manière à permettre un
chevauchement des assises 6 de deux sièges en vis à vis,
- une deuxième partie verticale 8 sur laquelle vient se fixer le dossier 9
du siège. Ici aussi cette fixation 10 peut être rigide ou être souple grâce
à une liaison élastique,
- une deuxième partie horizontale 11 d'une longueur légèrement
supérieure à une demi-largeur du dossier 9,
- une troisième partie horizontale 12 qui constitue un bras du siège et
qui se prolonge pour venir s'engager dans une glissière 13 montée
sous le plateau 14 d'une table (représentée ici en traits interrompus).
Conformément à l'invention, la glissière 13 est montée sous le plateau 14 de la
table par l'intermédiaire d'une liaison élastique 15 (figures. 10 à 12).
Dans cet exemple, elle comprend une platine inférieure 16, de forme
rectangulaire, portant d'un côté deux bagues élastiques coaxiales 17, 18,
fendues dans lesquelles s'engage le prolongement du bras et fixée, de l'autre
côté, sur l'une des faces d'un bloc de matière élastique 19, par exemple, en
caoutchouc ou en élastomère. Ce bloc est lui-même solidaire d'une platine
supérieure 20 permettant la fixation par vissage de la glissière 13 sur la face
inférieure du plateau 14.
Avantageusement, les deux bagues 17, 18 pourront être réalisées par pliage et
cintrage des ailes d'une plaque de tôle d'acier découpée en forme de H. Elles
pourront être au moins partiellement recouvertes d'un revêtement 21 en un
matériau antifriction tel que, par exemple, une matière fluorocarbonnée
(figures 11 et 12).
Dans ce cas, les deux bagues 17, 18 sont solidarisées l'une à l'autre par l'âme
de la forme en H. La fixation de cette âme sur la platine inférieure est ensuite
obtenue par moyen de fixation classique (soudure, vissage, rivetage...) avec
adjonction éventuelle d'une plaque de renfort.
En alternative, les deux bagues 17, 18 pourront être réalisées séparément à
l'aide d'une bande de tôle repliée et cintrée de manière à obtenir de part et
d'autre d'une âme centrale deux portions 22 repliées vers le centre puis deux
portions cintrées 23 délimitant un volume cylindrique ouvert en deux
emplacements diamétralement opposés. Dans ce cas, les âmes des deux bagues
17, 18 pourront être fixées sur la platine 16 grâce à une plaque de fixation 24
commune aux deux bagues (fig. 10 et 11).
De préférence, l'extrémité libre du prolongement du bras (troisième partie
horizontale 12) pourra comprendre une collerette 25 destinée à venir en butée
axiale sur la bague intérieure 17 pour éviter l'extraction du siège. Dans ce cas,
le montage ou l'extraction des sièges ne pourra s'effectuer que grâce à un outil
spécial tel que, par exemple, le rond avec embout conique 26 représenté figure
12 qui permet d'obtenir une ouverture des bagues 17, 18 suffisante pour
permettre le passage de l'extrémité du prolongement muni de sa collerette 25.
Comme précédemment mentionné, le siège précédemment décrit peut se
monter sur des tables de forme et de dimensions variées.
Ainsi, il peut, par exemple, se monter sur des petites tables TR de forme
rectangulaire, à pied central PC, comme dans l'exemple illustré sur les figures
3 et 5.
Dans cet exemple, la table TR est équipée de deux paires de sièges S1,S2-S'1,
S'2, les sièges de chacune des paires étant disposés côte à côte le long d'un
bord longitudinal du plateau de la table TR.
Dans ce cas, les bras des deux sièges homologues, S1,S'1-S2, S'2, en vis à vis
des deux paires sont respectivement de type droit-gauche de manière à ce que
les glissières soient disposées sensiblement au même niveau dans la région
centrale de la table TR.
Dans l'exemple représenté figure 6, la table TA de forme rectangulaire
allongée est fixée par l'un de ses petits côtés à un mur M.
Dans ce cas, chaque grand côté de la table TA est équipé de trois sièges CH1 à
CH3 d'un même type (droit ou gauche) les sièges CH1 à CH3 affectés à l'un des
côtés étant de type différent de celui des sièges CH'1 à CH'3 affectés à l'autre
côté. Les glissières associées à chaque paire de sièges en vis à vis CH1,CH'1-CH2,CH'2-CH3,CH'3
sont disposées de manière à ce que les prolongements des
bras coulissent sensiblement côte à côte, selon un axe parallèle à l'axe
transversal de symétrie de la table TA. De même que dans l'exemple
représenté sur la figure 3, en position rétractée, les sièges homologues
CH1,CH'1-CH2,CH'2-CH3,CH'3 se chevauchent légèrement.
Dans cet exemple, les sièges CH1,CH'1-CH2,CH'2-CH3,CH'3 possèdent un
châssis similaire à celui du siège représenté sur la figure 2 qui diffère de celui
représenté figure 1 en ce que :
- La première partie horizontale 5' est soudée à angle droit à l'extrémité
supérieure de la première partie verticale 1'.
- L'assise circulaire 6' est montée sur un axe vertical 28 qui s'engage
télescopiquement (ou vient se visser) dans la première partie
verticale 1', de manière à permettre une rotation de l'assise 6' et/ou un
réglage en hauteur avec éventuellement une suspension élastique.
Les figures 13 et 14 montrent un mode d'exécution d'un dispositif de
suspension et de réglage en hauteur de l'assise.
Dans cet exemple, l'axe vertical 28 comprend :
- une première portion cylindrique P1 de diamètre correspondant
sensiblement au diamètre intérieur d'un palier PA1 monté à l'extrémité
supérieure de la première partie verticale 1',
- une seconde portion cylindrique P2 de diamètre inférieur à celui de la
première portion P1,
- une troisième portion cylindrique P3 tubulaire dont le diamètre
extérieur est sensiblement égal au diamètre intérieur d'un palier PA2
prévu dans la première partie tubulaire 1', à environ un tiers de la
hauteur de celui-ci.
Par ailleurs, la première partie tubulaire 1' du châssis est refermée dans sa
partie inférieure par un bouchon 29 et comprend, au niveau de la deuxième
portion cylindrique de l'axe, deux lumières oblongues diamétralement
opposées L1,L2.
Dans l'espace compris entre la première partie tubulaire 1' et la deuxième
portion cylindrique P2 sont disposées deux butées réglables BR1, BR2 en forme
de demi-anneau sur lesquelles viennent se visser deux vis à tête crantées V1, V2
qui passent respectivement dans les deux lumières L1L2.
Grâce à cette disposition, les deux butées BR1, BR2 peuvent être réglées en
hauteur et fixées à la hauteur désirée par vissage des vis V1, V2 pour limiter la
course de l'axe 28 entre une position haute (appui de la butée BR2 contre
l'épaulement entre la deuxième portion P2 et la troisième portion P3) et une
position basse (appui de la butée BR1 contre l'épaulement entre la première
portion P1 et la deuxième portion P2).
Un ressort hélicoïdal 30, prenant appui sur le bouchon 29 et dans le fond de la
troisième portion tubulaire P3 de l'axe 28, permet d'assurer une suspension
élastique.
La figure 7 montre un mode d'implantation des sièges autour d'une table à
plateau carré de petites dimensions. Dans cet exemple, chacun des côtés du
plateau de la table est équipé d'un siège d'un même type dont le prolongement
du bras s'étend parallèlement et à faible distance du côté du plateau situé à
droite du siège.
La figure 8 montre un mode d'implantation des sièges (ici huit sièges) autour
d'une table à plateau circulaire (ou polygonal). Selon ce mode d'implantation,
les glissières G1 à G8 sont uniformément réparties autour du plateau de la table
et sont orientées de manière à ce que les prolongements des bras soient axés
tangentiellement à un cercle C concentrique à la circonférence du tableau de la
table.
Bien entendu l'invention ne se limite pas à un nombre déterminé de sièges (ici
huit) équipant la même table. Ainsi la table ne pourrait comprendre que six
sièges comme illustré sur la figure 4.
Un avantage important des solutions précédement décrites consiste en ce
qu'elle permet d'effectuer un basculement du siège autour de l'axe de la
glissière. L'invention utilise cette propriété pour faciliter le nettoyage du sol
sous la table lorsque les sièges sont en position escamotée.
A cet effet, l'invention prévoit pour chaque siège un dispositif d'accrochage
fixé sous la table servant à maintenir le siège en position basculée. Comme
représenté figure 9, ce dispositif d'accrochage 32 peut consister en une pièce
comprenant un corps 33 venant se fixer sous le plateau de la table et une aile
34 qui s'étend obliquement vers le bas en direction de la glissière 13.
Ainsi, pour obtenir la fixation du siège en position relevée, l'opérateur doit
basculer le siège avant d'atteindre la position rétractée puis, sans changer son
orientation, l'amener en position rétractée. Au cours de ce déplacement, le
bord de l'assise 6' du siège s'engage au-dessus de l'aile oblique 34 du dispositif
d'accrochage 32, de sorte qu'en position rétractée le siège se trouve retenu en
position basculée. Dans cette position, l'extrémité inférieure du pied (moyens
de roulage 2) se trouve à une hauteur suffisante pour que l'on puisse effectuer
un nettoyage du sol. Pour ramener le siège à sa position initiale, il suffit
ensuite d'effectuer sur le siège une traction en direction de sa position
déployée de manière à provoquer un désengagement de l'assise 6' du siège et
du dispositif d'accrochage 32.
Dans l'exemple représenté sur la figure 7, les moyens d'accrochage sont
constitués par des protubérances, ici des ailettes AL1 à AL4, fixées sur le pied
PC de la table (ici un pied de section carrée dont les côtés s'étendent
parallèlement aux côtés du plateau de la table), ces ailettes AL1 à AL4 étant
destinées à coopérer avec le bord antérieur des assises des sièges
correspondants. La hauteur de ces ailettes est légèrement supérieure à la
hauteur des assises. Grâce à cette disposition, en fin de course d'escamotage,
chaque siège peut être maintenu en position basculée. Cette solution présente
l'avantage de permettre dans cette position à la fois un chevauchement frontal
et latéral avec les deux sièges équipant les deux côtés latéraux adjacents du
plateau de la table.
Grâce aux dispositions précédemment décrites l'invention permet d'obtenir les
avantages suivants :
- Les sièges complètement rentrés ne débordent pas du plateau de la
table. L'encombrement au sol est encore plus réduit ; les pieds uniques
des sièges sont regroupés vers le centre de la table et ils peuvent
toujours être relevés. Le nettoyage du sol est facile et les sièges ne sont
jamais dispersés.
- Les sièges sont bien plus faciles à utiliser : les occupants n'ont plus à
bouger leur siège pour s'installer, sortir, laisser passer quelqu'un
derrière eux ou tout simplement changer de position ; ils roulent avec
leur siège. Les bruits de siège sont aussi supprimés.
- L'accès aux sièges est facilité par la présence de l'accoudoir qui permet
de prendre appui. L'assise tournante et réglable facilite aussi l'accès.
- Les jambes des occupants ne sont pas gênées par les pieds des sièges
qui sont rangés sous la table.
- Les gains dans l'encombrement des sièges ainsi que leur facilité d'accès
et d'utilisation seront mis à profit pour réaliser des implantations de
tables plus serrées et donc pour augmenter le nombre de places dans
les différents lieux d'installation.