Procédé de lavage au moyen d'une machine à laver et machine pour la mise en aeuvre de ce procédé. La présente invention se rapporte à un procédé de lavage au moyen d'une machine à laver et à la machine pour la mise en oeuvre de ce procédé.
On connaît déjà plusieurs genres de ma chines ménagères pour laver le linge, les vê tements ou autres articles, ces machines com portant. un levier oscillant ou tout autre organe actionné à la main ou par un moteur et fonctionnant à l'aide d'une cuve à dépres sion, d'une cuve oscillante, de tuyères d'inJec- tion et antres moyens connus.
Les particularités d'une commande auto matique des différentes opérations néces saires à une lessive complète peuvent être appliquées à ces différents genres de ma chines à laver connues, mais, dans ce qui suit, elles ont été décrites, à titre d'exemple, pour une machine à laver du type à cuve giratoire ou oscillante qui, en phis de cette commande, a subi par ailleurs certaines améliorations.
On a déjà proposé de commander automa tiquement plusieurs des opérations interve nant pour une lessive, et on a essayé, dans certains cas, d'obtenir une séquence ou succes sion convenable de ces opérations. En ce qui concerne ce dernier essai, l'opération com plète qui débute par l'humectation du linge sec et qui finit. quand le linge est. prêt à être séché complètement ou à être repassé, sans que la ménagère ou l'opérateur ait eu à inter venir, n'a pas donné entière satisfaction. De plus, on a dû se servir d'organes de com mande délicats, tels que des électro-aimants, des relais, des interrupteurs et organes ana logues et des mécanismes compliqués qui sont tous la cause de troubles de fonctionnement.
Ces difficultés, même si elles sont peu graves et si les initiés peuvent y remédier facilement, provoquent des pertes de temps, des dépenses et d'autres ennuis considérables pour un usager ordinaire.
Diverses autres difficultés se présentent dans la construction et le fonctionnement d'une machine à laver vraiment automatique, notamment en ce qui concerne le réglage de la température et de la pression du liquide, l'enlèvement par écumage des résidus, écumes et saletés qui flottent sur le liquide de lavage et qui empêchent. le nettoyage convenable du linge et n'évitent pas l'intervention de pres sions excessives.
La présente invention a pour but d'obvier aux difficultés spécifiées ci-dessus et de réali ser une machine qui forme un ensemble com plet en lui-même, à tous les points de vue, et qui puisse être utilisée ou manipulée par tout usager qui ne connaît pas en détail la consti tution et le mode de fonctionnement de cette machine.
Le procédé de lavage est caractérisé en ce qu'on introduit du liquide de lavage dans le compartiment destiné à recevoir les pièces à laver dans la cuve de la machine à laver, on agite le contenu de la cuve, on refoule les matières étrangères hors de la cuve, on admet du liquide frais dans la cuve pour le rinçage, on diminue la capacité dudit compartiment pour la vidange du liquide et des matières étrangères qui flottent sur celui-ci et qui sont en suspension dans ce liquide, et on comprime lesdites pièces pour en expulser l'eau.
La machine à laver pour la mise en cnuv r e de ce procédé est caractérisée en ce qu'elle comporte une cuve susceptible de recevoir les pièces à laver et les liquides nécessaires au lavage, cette cuve comprenant, à sa partie su périeure, au moins un orifice de vidange et contenant des moyens permettant de diminuer sa, capacité, disposés de manière à agir dans une direction telle que l'on puisse expulser hors de la cuve et par ledit orifice de vidange supérieur le liquide qu'elle contient ainsi que les matières étrangères qui sont en suspension dans ce liquide,
lesdits moyens étant suscep tibles également de servir à l'essorage des pièces lavées, des moyens, entraînés par un moteur, permettant de provoquer l'agitation du contenu de ladite cuve.
Le dessin ci-annexé montre, à titre d'exem ple, quelques formes d'exécution de l'inven tion qui ont donné les meilleurs résultats.
La fig. 1 montre, à une échelle très ré duite et en coupe verticale, une machine à la ver selon' l'invention, certains organes ayant été omis pour plus de clarté.
Les fig. 2 et 3 montrent, en coupe diamé trale et à plus grande échelle, le montage du couvercle sur la cuve de cette machine, les organes occupant des positions caractéristi ques différentes sur ces deux figures.
La fig. 4 montre, semblablement à la fig. 2, une variante de ce montage.
La fig. 5 montre, en plan (certains organes ayant été omis), la machine de la fig. 1.
Les fig. 6 et 7 montrent, à plus grande échelle et respectivement en coupe selon 6-6 de fig. 5 et en vue en bout, un distributeur par lequel on obtient le fonctionnement du diaphragme.
Les fig. 8 et 9 montrent, à plus grande échelle et respectivement en élévation (parties en coupe) et en coupe suivant 9-9 de fig. 8, une partie du dispositif de commande vu de puis l'angle supérieur de droite de la fig. 5.
Les fig. 10, 11. et 12 montrent, respective ment en élévation suivant la flèche 10 à la fig. 8, à angle droit par rapport à la fig. 10 et en coupe (à plus grande échelle) selon l2-12 de fig. 8, ce même dispositif de com mande.
La, fig. 13 montre, en coupe axiale, une soupape de retenue reliée, par sa partie su périeure, à la partie inférieure du dispositif de commande de la fig. 12.
Les fig. 14, 15 et 16 montrent, respective ment en coupe selon 1.-1-1-1 de fig. 10, selon 15-15 de fig. 8 (à plus grande échelle) et en coupe selon 16-16 de fig. 15, des parties du dispositif de commande.
La fig. 17 montre, semblablement à la fig. 16, les organes représentés dans cette figure, dans des positions différentes.
La fig. 18 montre, à grande échelle et en plan, le dispositif de commande vu depuis l'angle supérieur et de droite de la fig. 5 pour montrer certains organes qui ont été omis dans cette fig. 5.
Les<B>fi-,</B> 19 et 20 montrent, respectivement en élévation (parties en. coupe et parties arra chées) et en coupe selon 20-20 de fig. 19 (à plus grande échelle), le dispositif de com mande de la fig. 18.
La fig. 21 est un schéma d'un circuit élec trique faisant partie de la machine.
La fig. 22 montre, à grande échelle et en coupe verticale sensiblement diamétrale, une des deux chicanes visibles respectivement à la partie supérieure de gauche et à. la partie inférieure de droite de la cuve de la<U>fi-.</U> 1.
La fig. 23 montre cette chicane vue à angle droit par rapport à. la fi.--. 22.
Les fig. 24 à 28 sont, des coupes détaillées faites respectivement suivant 24-24, 25-25, <B>26-26, 27--27</B> et 28-28 dans la fig. 22. La fig. 29 montre, à grande échelle et en coupe selon 29-29 de fig. 22 (parties en élé vation), un distributeur monté à proximité de la partie inférieure et de droite de la cuve de la fig. 1, celle-ci montrant un distri buteur analogue à sa partie supérieure de droite.
La fig. 30 montre, à grande échelle et en plan, une partie de la cuve de la fig. 1, no tamment son bord supérieur et la bague de retenue du couvercle, engagée sur ce bord.
La fig. 31 montre, à grande échelle et en élévation, une bague amovible pour relier le diaphragme flexible, la paroi latérale de la cuve et le fond de celle-ci.
Les fig. 32 et 33 montrent., en élévation et en coupe selon 33-33 de fig. 3'2, le conduit d'alimentation de la cuve ainsi que la bague de la fig. 31.
Les fig. 34, 35 et 36 montrent, en éléva tion, quelques cames faisant partie du dispo sitif de commande, une deuxième came, ana logue à celle de la fig. 34, n'ayant pas été montrée.
La fig. 37 montre, en plan, un cadran de réglage du dispositif de commande.
La fig. 38 montre un schéma des conduits dans lesquels circulent les liquides utilisés pour la machine. La machine, montrée plus spécialement dans les fig. 1 à 5, comprend un socle 40, une caisse 41, une étagère 42 logée dans la partie supérieure de la caisse 41 et dont.
le bord re courbé repose sur le bord supérieur de celle-ci, un couvercle supérieur 45, une cuve inférieure 46, un couvercle 47 pour celle-ci, des chicanes creuses 52 fixées aux parois de la cuve, un diaphragme flexible 55 recou vrant le fond 56 de celle-ci et utilisé pour l'essorage, un croisillon 50 pour fixer la cuve 46 sur un mécanisme d'entraînement 51 fai sant partie du dispositif à l'aide duquel on soumet la cuve à un mouvement oscillant, une plaque de guidage 57, fixée à une paroi laté rale de la caisse 41 pour coopérer avec des organes de guidage 60 montés sur le croisil lon 50, une boîte 65 contenant une transmis- lion à engrenages réducteurs que l'on inter cale entre le mécanisme 51 et un moteur 66, par exemple électrique, une pompe centrifuge <B>67,
</B> entraînée par le moteur 66 pour vidanger la caisse 41, une commande mécanique et automatique 70 actionnée également par le moteur 66, un distributeur 72 monté sous le fond de la cuve 46 et relié à la commande automatique 70 pour régler le fonctionne ment du diaphragme 55 pendant l'essorage des pièces contenues dans la cuve 46, une pompe auxiliaire 7 5 pour augmenter, si néces saire, la pression du liquide fourni au distri buteur 72 et agissant sur le diaphragme 55, un dispositif de décharge 7 6 (voir au bas de la fig. 12), pour obtenir une réduction de la.
pression agissant sur le diaphragme 55 clans certaines conditions, un. soupape de retenue 80 (fig. 13) montée entre le distributeur 72, d'une part, et la commande 70 et le dispositif de décharge 76, d'autre part, des distribu teurs 81 logés dans les chicanes 52 pour régler la vidange de la cuve 46 par le fond, un. dis tributeur 82 pour le réglage de la tempéra ture du liquide de lavage admis dans la cuve 46, un réservoir à savon 83 monté dans le conduit du liquide reliant le distributeur 8<B>2</B>à la cuve 46, une soupape à flotteur 85, un interrupteur principal 86 connecté entre le moteur 66 et une source de courant électrique, un interrupteur auxiliaire 87 branché entre le moteur 66 et l'interrupteur principal 86 et qui est commandé par la soupape à.
flotteur 85, un dispositif de commande automatique 90 (fig. 9) destiné à actionner l'interrupteur principal 86 quand toutes les opérations de lavage sont terminées, des organes de com mande manuels (fig. 19) pour amener les commandes et l'interrupteur auxiliaire 87 à des positions qui conviennent à la mise en marche de la machine, et une liaison articulée entre la soupape à flotteur 81 et des organes de commande<B>91.</B> pour déclencher la mise en marche de la machine quand la cuve est rem plie jusqu'à un niveau convenable. Il est noter que tout le mécanisme de commande est logé, avec un encombrement réduit., dans la caisse 41.
Le socle 40, dans l'exemple montré, est en tôle inoxydable et il comporte des parois la térales verticales 95 et une paroi horizontale supérieure 96 sur laquelle est fixé le fond 98 de la caisse 41. qui, dans ce cas, est également. en tôle et comprend des parois latérales verti cales 99 dont les faces externes sont dans les mêmes plans que celles des parois 95. La caisse 41 peut avoir toute forme voulue, no- ta.mrnent une section horizontale pour ainsi dire carrée, de manière qu'elle puisse servir de logement aux commandes et à la cuve 46 et qu'elle permette les mouvements oscillants de celle-ci.
Comme l'eau provenant de la cuve est vidangée dans la caisse 41, celle-ci doit être étanche à l'eau et elle est reliée à la pompe centrifuge 67 par le tuyau 100 pour la. vidange de la caisse 41.
Les bords supérieurs et périphériques des parois latérales 99 de la cuve sont refoulés vers l'intérieur pour pouvoir recevoir des bandes 101, en caoutchouc, à section transver sale en<B>U</B> renversé ainsi que des bords 102, de même forme, de l'étagère 42. Les faces externes de ces bords recourbés 102 se trou- veut dans les plans des faces externes des parois 99. L'étagère 42, également en tôle, comporte des parois latérales verticales 104, prolongeant les bords 102 vers le bas, ainsi qu'une paroi horizontale 105 dans laquelle est ménagée urne grande ouverture centrale et dé limitée par un bord rabattu 106.
L'étagère 42 recouvre l'espace compris entre la cuve 46 et la caisse 41 et sert à retenir le linge et autres objets qui pourraient, sans cela, tomber dans cet espace.
Le couvercle supérieur 45, également en tôle dans l'exemple montré, comporte un re bord inférieur 109 qui s'emboîte exactement entre les faces internes des bords recourbés 1.02, les faces latérales externes de ce rebord étant dans les mêmes plans que celles des parois 99.
La cuve 46 comprend une paroi latérale 114, en tôle inoxydable et de forme sensible ment semi-sphérique; les bords supérieur 115 et inférieur 116 de cette paroi se trouvent dans des plans parallèles, et leurs sections transversales ont respectivement la. forme d'un<B>U</B> et celle d'un Z, comme visible dans les fig. 2 et 33.
Le bord supérieur 115 contourne partiel lement une bague de renforcement 119 (fig. 2) qui comprend un rebord rabattu 120. Le cou vercle 47 de la cuve peut être logé sans ser rage dans l'ouverture délimitée par le bord 115. Ce couvercle, en forme de cuvette, com porte un rebord périphérique 121, qui prend appui sur le bord 115 de la cuve, une paroi latérale cylindrique 122 et un fond concave 123 dans lequel sont ménagés des trous 125.
Dans la bague 119 et la partie correspon dante de la paroi latérale 114 de la. cuve sont ménagés des trous 126 constamment en regard (fig. 2 et 3); dans la paroi latérale 122 du couvercle 47 sont prévus des trous 127, des tinés à coopérer avec les trous 126, comme expliqué ci-après.
Le couvercle 47 est maintenu sur la cuve par une bague de serrage 131 qui a une sec tion en forme de<B>U</B> et qui est engagée sous le rebord 120 de la bagne de renforcement 119. La bague 13x est fendue (fig. 5), cette bague portant, sur un bord de la fente, un anneau 132 auquel est. articulée une partie d'un dispositif de fermeture basculant 133 avec poignée 134. Quand le dispositif est ouvert, la bague 131 se détend et le couver cle peut être dé-gagé de ia. cuve, et quand il est fermé, cette bague 131 est. serrée fortement. contre la base 119.
La hauteur de la bague 131 est assez grande pour permettre de sou lever le couvercle 47 jusqu'à amener ses trous 127 en regard des trous 126, comme visible à la fig. 2. Quand le couvercle est dans sa po sition la plus basse (fig. 3), les trous 127 du couvercle sont. en dessous du bord 115, de ma nière à déboucher à l'intérieur de la cuve 46. Dans cette position, la paroi latérale du cou- verele ferme les trous 126.
Pendant. certaines opérations, qui seront décrites ci-dessous, le couvercle est à sa position supérieure, mon trée à la fig. 2, de sorte que l'eau, contenue dans la cuve, traverse les trous 125 du cou vercle et les trous 127 et 126 qui sont en re gard. En revanche, à d'autres moments, l'eau qui traverse les trous 125 peut retourner dans la cuve quand le couvercle est. à sa position la plus basse, comme montré à la fi-. 3.
Une variante de ce dispositif est montrée à la fig. 4. Dans ce cas, le couvercle 47a n'est pas soulevé quand l'eau doit. s'écouler hors de la cuve par le couvercle. La constitution de la paroi latérale 114a de la cuve, au voisinage de son ouverture, est la même que celle mon trée à la fig. 2 et cette paroi comporte aussi des trous 126. La bague de serrage 131a a une hauteur moindre que celle représentée dans les fig. 2 et 3, mais elle s'engage de la même manière sur les bords du couvercle et de la cuve pour maintenir le couvercle en place.
Dans le fond du couvercle 471a sont ménagés des trous 132a, et dans sa paroi laté rale 122a sont percés des trous 127a qui sont. en regard des trous 126a. Dans la face externe de la paroi latérale 122a sont ménagées des rainures verticales 130a, en dessous des trous 127a, afin que des quantités réduites d'eau qui peuvent pénétrer dans le couvercle pen dant la lessive puissent retourner dans la cuve par les rainures 130a. Pendant l'esso rage, les pièces de linge ou autres articles, sollicités par la pression régnant dans la cuve, obturent plus ou moins les rainures 130a.,
de sorte que l'eau s'écoule par les trous 126a. Pendant l'écumage et le rinçage, il n'est pas nécessaire de soulever le couvercle pour que l'eau puisse s'écouler depuis la cuve à travers le couvercle, l'eau pouvant s'écouler hors de la cuve par les rainures 130 et les trous 126a de la paroi 11.4a quand le couvercle est à sa position inférieure.
Le fond 56 de la cuve 46 est bombé vers le haut et vers le centre de la cuve depuis un rebord périphérique 136, comme visible dans les fig. 1, 6, 30, 31 et 33. Le diaphragme 55 est appliqué sur le fond de la cuve et son bord périphérique<B>137</B> est constitué par un bourrelet. appliqué sur le rebord 136 (fig. 33). Le bourrelet. et le rebord sont engagés sons le bord recourbé 116 de la paroi latérale 114 de la cuve et ils sont serrés les uns contre les autres par une bague 138 ayant une section transversale en forme de<B>U</B> (fig. 30 et 31) et qui est fendue. Dans les bords adjacents de la fente sont ménagées des encoches 141, dans lesquelles sont retenues les têtes 143 d'un organe de liaison 142.
Quand on désire enle ver ou remplacer le diaphragme 55, par exem ple, on coupe l'organe de liaison 142, par exemple à la scie, entre ses extrémités, de sorte que la bague se détend et peut être en levée. Pour la, remise en place de la bague, on se sert d'un nouvel organe de liaison 142, et les extrémités libres de la bague sont rap prochées à L'aide d'un outil approprié engagé dans des trous 146 ménagés dans ces extré mités.
Comme montré à la fig. 33, on dispose le bord recourbé 136 du fond de la cuve, le re bord 116 de sa paroi latérale et le bourrelet 137 du diaphragme 55 de manière telle que le bourrelet 137 ne puisse se dégager quand il est serré entre le bord 116 et le rebord 136, lorsque le diaphragme est refoulé vers le haut ait cours de l'essorage, comme expliqué ci- après. De plus, le joint ainsi formé est cons tamment étanche à l'eau.
Le diaphragme 55 comporte également une nervure annulaire 1-18; quand le diaphragme est détendu, celle-ci est serrée fortement contre la face interne de la paroi latérale 114 de la cuve, pour former un joint additionnel, comme visible à la fig. 33. Cette nervure sert également à ren forcer le diaphragme à l'endroit où il sort du joint formé entre le fond et la paroi latérale de la cuve.
Comme visible dans les fig. 1 et 33, des saillies 151, ménagées sur la face inférieure du fond 56, sont situées en regard d'oeillets 152 formés aux extrémités des bras du croi sillon 50, pour recevoir des vis 153 à l'aide desquelles la cuve est fixée sur ce croisillon 50.
On voit, dans les fig. 32 et 33, que la cuve 46 comporte un tube d'admission d'eau 156 débouchant dans deux trous<B>157</B> ménagés dans la paroi latérale 114 de la cuve. Le tube 156 est maintenu en place par un raccord 158 et il s'étend vers le bas et vers l'intérieur le long de la face inférieure d'un bras du croisillon 50 auquel il est attaché par une bride 7.61 et une ou plusieurs vis 162. Un raccord flexible 164 relie l'extrémité du tube 156, logée dans la bride, au réservoir à savon 83. Dans la partie centrale du croisillon 50 est formé un moyeu 163 (fig. 1) relié au mécanisme 51, dé crit en détail ci-après.
On a montré dans les fig. 1 et 5 et surtout dans les fig. 6 et 7, un distributeur d'eau 72 qui règle le fonctionnement du diaphragme, sous le contrôle d'une commande automatique décrite ci-après. Le distributeur est. monté sur le fond 56 de la cuve an moyen d'un raccord 166 avec bride latérale 167 et qui comprend une partie tubulaire 171 taraudée et filetée. Le bout de tube 173 qui porte le distribu teur est vissé dans le raccord 166, et sur ce lui-ci est engagé un écrou 172, par lequel ce raccord est maintenu en place.
Le rebord 167 maintient le diaphragme légèrement écarté du fond 56 de la cuve pour faciliter l'entrée de l'eau entre le diaphragme et le fond de la cuve; dans ce rebord sont ménagées des rai nures radiales 174 par lesquellés l'eau peut s'échapper quand elle s'écoule depuis le des sous du diaphragme et malgré que celui-ci vienne se placer en travers du passage déli mité par le rebord<B>167</B> et qui, sans cela, bou cherait ce passage.
Le tube 173 communique avec un cylindre 7.76 dont les extrémités portent des pièces 177 et 178. La pièce<B>178</B> a la forme d'une cuvette portant un raccord central 180 sur lequel on peut engager un tube flexible 181 qui aboutit à la commande mécanique et automatique 70. La pièce 177 a la forme d'un croisillon dont les bras 182 portent un moyeu central 183 et délimitent des ouvertures de décharge 186.
Une tige 187, coaxiale au cylindre 176, porte un plateau fixe 188 et un plateau cou lissant 192. Dans certaines conditions, un, cla pet élastique 193, appliqué contre une face du plateau 188 par un écrou 196 et une ron delle, est serré contre un siège annulaire 197 fixé sur le cylindre 176. Les plateaux 188 et 192 comportent des moyeux cylindriques 198, tournés l'un vers l'autre et entourés d'un res sort hélicoïdal 201 qui tend à écarter ces pla teaux l'un de l'autre. Un autre ressort est intercalé entre les bras 182 du croisillon 177 et l'écrou 196 et il tend à écarter le plateau 188 de son siège fixe<B>197.</B>
Un dispositif de décharge 203 comprend un corps tubulaire 206, fixé att cylindre 176 et qui débouche dans celui-ei entre les pla teaux 188 et 192. Dans ce corps 206 sont. percés des trous latéraux 207. Un pointeau 208, maintenu .en place par un écrou 209, obture partiellement un orifice de décharge 210 pour régler ainsi la quantité de liquide qui peut s'écouler hors du cylindre par les trous 207.
Quand de l'eau sous pression est admise dans le cylindre<B>176</B> par le raccord 180, le plateau 192 est refoulé depuis la position, montrée en traits interrompus dans la fig. 6, jusqu'à une position pour laquelle les extré mités des moyeux cylindriques 198 se tou chent presque. Dans cette position, l'eau arrive librement, par le tube 173 et le raccord 166, sous le diaphragme 55 et elle refoule ce lui-ci vers le haut dans la cuve (pendant l'essorage). Par suite du déplacement du pla teau 192, celui-ci applique, par l'intermédiaire du ressort 201 et du plateau l.88, le clapet 193 sur son siège 197.
Pendant que le linge est comprimé entre le diaphragme refoulé et les parois de la. cuve, plus spécialement vers la fin de l'essorage, la pression, agissant sur le diaphragme, monte jusqu'à devenir égale à celle du liquide admis et cette pression agit sur le plateau 188, de sorte que le clapet 193 est appliqué fortement contre son siège 197. Pendant que la pression augmente, le débit de l'eau dans l'espace formé derrière le diaphragme diminue, car la pres sion de l'eau admise reste constante, comme expliqué ci-après, de sorte que le plateau 192 retourne à sa position montrée en traits inter rompus dans la fig. 6, pour laquelle l'eau passe par l'intervalle annulaire existant entre le bord du plateau 192 et la paroi du cylin dre 176.
Quand le débit d'eau est interrompu par l'effet de la commande automatique pour la décharge, le dispositif à pointeau 203 per met à la pression de l'eau, contenue dans le cylindre 176, de diminuer progressivement. Après une certaine décharge, au cours de la- quelle la pression de l'eau diminue suffisam ment en quelques secondes, le ressort 202 par vient à vaincre la pression résiduelle agissant sur le plateau 192, et il refoule rapidement les plateaux 188 et 192 vers la droite de la fig. 6 jusqu'à. ce que le clapet. 193 soit. com plètement ouvert.
Le diaphragme 55 peut alors, en se contractant, refouler l'eau par le passage central. du siège annulaire 197 et par les ouvertures de décharge 186 du croisillon 177 jusque sur le fond de la caisse 41 (fig. 1) hors de laquelle elle est vidangée à l'aide de la pompe centrifuge 67 pour être versée dans un réservoir fixe ou à l'égout. Il est à noter que la pression d'eau agissant sur le dia phragme, pendant le refoulement de celui-ci, est sensiblement uniforme et que les pressions produites au cours de l'essorage peuvent être calculées aisément, de sorte que la tension du ressort 202 peut être convenablement choisie pour que la vidange se fasse rapidement et au moment voulu.
La présence du dispositif de décharge réglable 203 permet également de régler la période pendant laquelle une pression élevée agit sur le linge ou les autres articles à essorer, après l'effet de compression exercé par le diaphragme. En d'autres termes, la vitesse de la décharge peut être réglée en vue de déterminer la durée de la période avant laquelle le clapet 193 du plateau<B>188</B> s'écarte de son siège pour permettre l'écoule ment de l'eau qui est accumulée derrière le diaphragme, de sorte que l'on dispose d'une période réglable pendant laquelle des pres sions élevées interviennent en permanence pendant l'essorage.
Dans la cuve sont établies deux chicanes creuses 52 (fig. 1, 5 et 22 à 29) montées en des endroits diamétralement opposés, sur les faces internes de la paroi 114 de la cuve. Cha que chicane est formée par une pièce creuse, par exemple en métal moulé, comprenant une paroi verticale plane 211 et une paroi opposée 212 qui est. inclinée ou bombée et qui s'écarte de la. paroi 211 en étant. raccordée à celle-ci par un bord supérieur curviligne 213 (fig. 23), prolongé par un bord rectiligne 211.
Les coupes transversales faites selon 24-24 à 28-28 dans la fig. 22 permettent de se ren dre compte de la forme particulière de eha- nue chicane 52. Des pattes 216 laissent passer des vis 217 à l'aide desquelles la. chicane est fixée à la paroi latérale 111 de la cuve, la face interne ouverte de la chicane ayant une forme qui s'adapte à la forme sphérique de cette paroi 114. Les parois 211 et 212 sont reliées entre elles par un bord arrondi 218 (fig. 23).
Dans chacune des parois 211 et 212 sont ménagés des trous 221, constamment ouverts et débouchant à l'intérieur de la cuve pour permettre le passage de l'eau dans un but expliqué ci-après.
Le mouvement de la cuve 46 est tel que l'eau et le linge contenus dans celle-ci se dé placent dans le sens des aiguilles d'une mon tre, alors que les parois planes \2111 des chi canes font face au sens inverse des aiguilles de la montre et sont disposées transversale ment par rapport à la direction du mouve ment de la cuve. Pendant que la cuve tourne, le mouvement pour ainsi dire rotatif du linge et de l'eau est interrompu deux fois quand ils viennent en contact avec les parois planes des deux chicanes 52. Leurs parois inclinées 212, qui se trouvent dans le sens de la rotation, permettent plus ou moins au linge de glisser au bas des chicanes.
Comme le linge est. ainsi sollicité diffé remment aux côtés opposés de chaque chicane, on ne doit pas craindre un mouvement symé trique ou de va-et-vient. du linge au cours du lavage et du rinçage, ce qui aurait tendance à former une masse compacte ou en forme de boule, ainsi que cela se produit dans les ma chines à laver connues.
Les chicanes 52 servent donc à maintenir la masse de linge à l'état libre et non tassé, afin que ce linge puisse bouger et que l'eau de lavage et de rinçage puisse avoir accès à travers et entre toutes les parties de cette masse.
De même, cela permet. l'infiltration de l'air nécessaire à. l'essorage et l'aération du linge après que l'on a effectué l'expulsion mécani que de leau hors du linge .à l'aide de la ma- chine' telle que décrite. Il est évident que des chicanes de ce genre peuvent être utilisées pour d'autres cuves dans lesquelles d'autres principes de lessivage sont appliqués.
Des distributeurs, logés dans les chicanes creuses, servent à régler la vidange de l'eau hors de la cuve par le fond de celle-ci. Comme> ces distributeurs sont identiques, il suffit. d'en décrire un seul; au besoin, on peut se conten ter d'utiliser un seul de ces distributeurs.
Chaque chicane comporte, à sa partie infé rieure, des rebords latéraux 222 qui, de pair avec la paroi adjacente 114 de la cuve, for ment une glissière 223 pour un registre 226 (fin. \?Je>, 27, 28 et 29). Celui-ci porté deux oreilles perforées 227 auxquelles sont arti culées deux tringles 231. Quand le registre occupe sa. position inférieure, comme montré a. la fig. 29, il recouvre des trous de vidange 233 ménagés dans la paroi 11-1 de la cuve en empêchant ainsi l'écoulement de l'eau depuis l'intérieur de la chicane et, par conséquent, hors de la cuve 16.
Le distributeur 81, destiné à commander les mouvements vers le haut et le bas du re gistre 226, comprend -Lui cylindre 236, fixé sur la paroi 111 de la cuve par des supports 235 (fig. 1). Le cylindre 236 est fermé, à une extrémité, par une cuvette 237 (fig. 29) avec un bossage tubulaire central 241 dans lequel peut coulisser la tige 242 d'un piston 248. L'autre extrémité du cylindre 236 est fermée par une cuvette 238 avec un raccord tubulaire central 243 auquel aboutit -Lui tube flexible 246 pour une admission d'eau, ce tube tra versant un trou ménagé dans la paroi 1.14 de la cuve et aboutissant à la commande méca nique et automatique 70.
Le piston 248 est fixé sur la tige 212 à l'aide d'écrous 252. La tige 242 porte également, à l'extérieur du cy lindre 236, une traverse 253 avec deux oreilles perforées 254 auxquelles sont articulées res pectivement les extrémités supérieures des tringles 231. Cette liaison articulée permet le coulissement du registre 226 dans la glissière 223 malgré le montage incliné du cylindre 236 à cause du contour curviligne de la cuve.
Quand la cuve doit être vidangée, de l'eau est, admise par- le tube 246 dans le cylindre 236, le piston 218 et la tige 24\? montent, par rapport à la fig. 29, en entraînant. le registre 236 vers le haut, ce qui permet la sortie de l'eau par les trous 233 jusque dans la caisse 41. Quand l'admission d'eau dans le cylindre 236 est interrompue, le piston 218 et le re gistre 236 descendent, pour fermer les trous 233, sous l'action d'un ressort de rappel 255, pendant que l'eau contenue dans le cylindre est déeliargée dans la caisse 41 par une petite fuite 256 (fis. 29) ménagée dans le tube 2-16.
Le mécanisme d'entraînement de la cuve 51, visible à la fig. 1, comprend un manchon 263 dont une partie, de diamètre plus petit, est logée dans le moyeu 163 du croisillon 50 et une partie, de diamètre phis grand, se trouve en dehors dit moyeu en formant un épaulement circulaire 266. Un écrou 267, en gagé sur une partie filetée du manchon 263, maintient celui-ci dais le inoy eu 163.
Un arbre incliné 268 est. guidé dans le manchon 263 par un palier à billes<B>271</B> et par une douille 262, et son extrémité inférieure est engagée, d'une manière réglable à l'aide d'un écrou 272, dans une fente 273 d'un bras 276 calé, par un écrou<B>277,</B> sur l'extrémité supé rieure d'un arbre moteur 288.
L'arbre 288 est monté rotativement dans un palier 289, engagé dans une plaque 290 fixée sur le fond 98 de la caisse 41, et dans un palier de butée 291 fixé sur la boîte 65 contenant une transmission réductrice qui comprend une roue Hélicoïdale calée sur l'arbre 288 et qui engrène avec une vis sans fin 293 calée sur l'arbre 296 du moteur 66, cette transmission réductrice étant donnée à titre d'exemple pour relier le moteur 66 à l'arbre 288 qui entraîne la cuve 46. L'arbre du moteur aboutit également à la pompe cen trifuge 67, afin que celle-ci tourne à la vitesse du moteur.
L'arbre 296 est relié, en outre, par une transmission réductrice appropriée, par exem ple une poulie à courroie 301, à un arbre auxiliaire 296' qui, à son tour, est relié, par un engrenage conique 302 et par un arbre vertical 303, à la pompe auxiliaire 75 décrite ci-après. L'arbre 303 est logé dans un tube 304 qui est relié, d'une, manière étanche, au fond de la caisse 41.
Quand l'arbre 288 tourne, le bras 276 tourne et entraîne, par suite de l'inclinaison de l'arbre 268, la cuve 46 suivant un mouve ment giratoire ou oscillant, la cuve coopérant avec ses organes de guidage 60. Ces organes comprennent un support 281 fixé à un des bossages 152 du croisillon 50 et qui porte des axes 285 sur lesquels sont engagées librement des roulettes 286 avec des jantes en caout chouc 287 qui prennent appui de part. et d'au tre sur la plaque de guidage fixe 57. Le bord interne 57a de celle-ci a la forme d'un are de cercle tracé depuis le centre d'oscillation de la cuve et les roulettes 286 sont obligées de se déplacer dans le plan vertical imposé à la plaque<B>57,</B> de sorte que la cuve ne peut pas tourner autour de son propre axe.
En desserrant l'écrou 272, l'inclinaison de l'arbre 268 peut être réglée par rapport au bras 276 pour faire varier l'inclinaison de la cuve et obtenir ainsi des amplitudes diffé rentes pour le mouvement oscillant, ce qui procure un effet de lavage plus ou moins énergique. Ces moyens d'entraînement et de réglage peuvent être remplacés par d'autres pour obtenir des effets de lavage différents, suivant le genre des articles qui sont à laver dans la cuve 46.
La commande mécanique et automatique 70 est montrée en détail dans les fig. 8, 10, 11, 12, 14 et 15. Elle comprend une enve loppe métallique 306 (fig. 12), ainsi qu'un couvercle 307 et un fond 308, fixés d'une ma nière amovible à cette enveloppe. Sur des saillies latérales du couvercle et du fond est fixée une boîte 316 avec son couvercle 322, ces pièces étant reliées entre elles en. 323. L'en semble comporte des bossages latéraux 326 et 327 (fi"-. 11), dans lesquels sont engagées des vis 328 à l'aide desquelles cet ensemble est fixé, tel quel, sur une paroi latérale 99 de la caisse 41 (fig. 8 et 11).
L'enveloppe 306 entoure une chambre 329 contenant clés cames. Dans un côté de cette chambre débouchent des guides tubulaires 331,<B>332,</B> 333 et 334 contenant respectivement des poussoirs 338, 339, 340 et 41, dont les extrémités, engagées dans la chambre 329, portent respectivement des galets 345, 346, 347 et 348 qui coopèrent avec des cames 351, 352, 353 et 354, en forme de disques et soli daires de collets 355 calés sur un arbre à came 356, qui est monté rotativement dans des paliers 357 et 358 respectivement du couvercle 307 et du fond 308 de l'enveloppe 306.
Les poussoirs 338-341 sont empêchés de se dé gager involontairement hors des guides tubu laires à l'aide d'un peigne amovible 359 (fig. 20) qui s'étend sur toute la hauteur de l'enveloppe et dont chaque dent est engagée dans une rainure latérale 360 de chaque pous soir.
Dans la chambre 31.6 sont ménagés plu sieurs logements 361, 362, 363 et 364 dont les fonds sont traversés respectivement par des tiges 367, 368, 369 et 370 à l'aide de garni tures 373, ces tiges étant en contact, bout à bout et respectivement avec les poussoirs 338, 339, 340 et 341.
Des tiroirs cylindriques et tubulaires 376, 377, 378 et 379 entourent respectivement les extrémités des tiges 367, 368, 369 et 370, afin due les tiroirs puissent être déplacés axiale- ment dans un sens ou dans l'autre dans les logements 361, 362, 363 et 364 entre une po sition gauche et une position. droite de la fig. 12, positions qui sont déterminées par les points haut et bas des cames respectives 351 à 354.
Pour la position de gauche de chaque tiroir, une lumière 381, 382, 383 ou 384 (fig. 8, 10 et 39) est mise en communication avec le logement correspondant 361-364, et pour la position de droite cette lumière est fermée.
Sur les tiroirs<B>376</B> à 379 sont montées res pectivement des têtes 388, 389, 390 et 391 portant chacune un bec 393 (fig. 2) vissé dans le tiroir correspondant pour venir en contact avec l'extrémité adjacente de la tige corres pondante 367-3"r0. Chaque tête comporte également une cuvette 398 qui peut coulisser axialement dans un logement 399, 400, 401 ou 402 ménagé dans le couvercle 322. Un ressort hélicoïdal et de compression 404 agit sur cha cun des tiroirs 376-379, les tiges<B>3677-370</B> et les poussoirs 338-341 pour les pousser vers la droite en contact avec la came 351-354 correspondante.
Le logement 399 communique avec un tuyau 406 pour l'amenée d'eau chaude, et les logements 400, 401 et 402 sont raccordés, par un tuyau 407,à une alimentation d'eau froide, ces derniers logements étant reliés par un passage commun 408 (fig. 11) et par des passages individuels 409 et 410 (fig. 12).
Chaque poussoir 338, 339 ou 340 est di rectement en contact avec la tige 367, 368 ou 369 correspondante, mais le quatrième pous soir 341 agit sur sa tige<B>370</B> par l'intermé diaire d'un bras 487 d'un verrou de décharge 411 (fig. 72) qui fait partie du dispositif de décharge 76, faisant cesser la pression sur le diaphragme et qui sera décrit en détail ci- après.
Les profils des cames 352-354 et leurs calages par rapport à l'arbre 356 et des galets 346-348 peuvent être ceux indiqués dans les fig. 34, 35 et 36. La came 351 est identique, en ce qui concerne le profil et le calage, à la came 352, excepté en ce qui concerne l'empla cement de son collet 355 qui se trouve sur la face opposée à celle de la came<B>352</B> sur la quelle est monté le collet 355 de celle-ci. Pour cette raison, elle n'a pas été montrée dans les fig. 34, 35 et 36, mais bien à la fig. 12.
Les cames de ces fig. 34-36 sont montrées comme elles sont vues dans la direction de la flèche A de la fig. 12, avec les galets 346, 347 et 348 à gauche des cames et sur des diamè tres horizontaux de celles-ci. Chaque came comporte un creux ou une partie périphérique en retrait, qui intéresse la phis grande partie de son contour, ces points bas étant désignés respectivement. par 416 pour les cames 351 et 352, par 417 pour la came 353 et par 418 pour la. came 354.
Chaque came 351 ou 352 a un court bos sage périphérique 421, qui correspond à l'opé ration d'écumage de la machine, et un bossage plus long 422, qui correspond à l'opération de rinçage du linge. La came 353 a un court bossage 423 pour la vidange de la cuve 46 après que l'écumage a eu lieu et pour le dé but du rinçage susdit et un bosRage plus long 424 pour la vidange de la cuve après que le rinçage a eu lieu et pour la période d'essorage. La. came 354 a seulement un bossage 4'27 pour provoquer l'essorage du linge. Les autres re lations entre ces opérations sont indiquées plus loin.
Au bas et à droite des fig. 12, 14 et 15, on a montré les moyens pour entraîner l'arbre 356. Une roue hélicoïdale entraînée 431 est reliée, par un accouplement à sens unique 432, à cet arbre 356, cet accouplement comprenant un ressort hélicoïdal 433, entourant. cet. arbre et fixé par une extrémité à. la. roue 431, par exemple à l'aide d'une vis 434. L'extrémité supérieure de l'arbre 356 traverse le couver cle 307 et elle porte une manette 435 avec index pour faire tourner l'arbre 356 par rap port à la roue hélicoïdale, dans le sens des aiguilles de la montre, comme montré par une flèche dans les fig. 12 et 34-36.
De cette ma nière, l'arbre 356 peut glisser par rapport au ressort 433 et à la roue 431, ce qui modifie la position angulaire de l'arbre 356 et des cames relativement à cette roue 431 et aux galets 345-348 pour modifier à volonté la durée de la période de lavage. Quand la roue 431 est. entraînée dans le sens des aiguilles de la montre, le ressort 433 se serre de lui-même autour de l'arbre pour entraîner celui-ci dans le même sens.
La roue hélicoïdale 431 est entraînée di rectement par une vis sans fin 442 (fig. 14) montée sur un arbre horizontal 443, tournant dans des paliers 446 faisant partie du fond 308 de la boîte à cames 306. Sur l'arbre 443 est également montée -une roue hélicoïdale 447 (fig. 14) qui engrène avec une vis sans fin 448 calée sur l'extrémité de section réduite d'tin.arbre 451 (fig. 15).
Ce dernier tourne dans un palier vertical 453 solidaire du fond 308 et il est relié, d'une manière amovible, à l'arbre 303 (fig. 1) par un accouplement approprié, constitué dans ce cas par -rin man chon 457 et une clavette 458. L'arbre 303 est entraîné par le moteur 66 (fig. 1). Le palier 453 comporte une garniture 462 entourant l'arbre 451 pour empêcher les fuites d'huile dans la caisse 41, cette huile étant introduite dans la boîte à cames 306 par un trou fermé par une vis 464.
La transmission à vis sans fin a été indi quée à titre d'exemple seulement et comme un moyen pour réduire la vitesse du moteur 66, afin que L'arbre à cames<B>356</B> tourne à la vitesse voulue et que les cames, montées sur celui-ci, puissent intervenir dans un ordre convenable.
Le dispositif de décharge 76, montré dans les fig. 10 et 12, par lequel on fait cesser l'effet de la pression sur le diaphragme 55, intervient en fonction des pressions agissant sur ce diaphragme flexible et comprend une cuvette 466 avec rebord supérieur 467 à l'aide duquel cette cuvette est fixée au fond 308, par exemple par des vis 468. La cuvette 466 re couvre une ouverture ménagée dans le fond '08 et dans laquelle est engagée une tige ver ticale 471 d'un piston 472 fixé sur l'extrémité inférieure de la tige 471. Entre le piston 472 et le fond 308 est intercalé un ressort. héli coïdal 473 qui pousse le piston vers le bas. Dans le fond de la. cuvette 466 débouche un conduit<B>477</B> qui aboutit à la soupape de re tenue 80 (fig. 13 et 38).
Un verrou 411, actionné par la tige 471, comprend un levier 481, formé par une pla que recourbée en forme de<B>U</B> et qui est. arti- culé à un point fixe 482 en prenant appui sur la tige 471. A proximité de son extrémité libre, le levier 481 porte un ergot 483 auquel est articulé un bras 486 dont l'extrémité libre 487 est recourbée et engagée normalement entre la tige 370 et le poussoir 341 (fig. 12).
Un ressort 488, enroulé en partie autour du pivot 482, prend appui sur une partie du fond fixe 308 et sur le levier 481 pour pous ser celui-ci vers le bas par rapport à la fig. 12. Un autre ressort 491, enroulé en partie autour de l'ergot 483, prend appui sur le levier 481 et sur le bras 486 pour pousser ce dernier vers la droite de la fig. 12.
Comme indiqué, une pression croissante agit sur le diaphragme quand de l'eau est re- foulée derrière celui-ci, par l'effet de la pres sion de l'eau elle-même ou par suite de L'in tervention de la pompe auxiliaire 75. Quand la pression derrière le diaphragme 5 5 atteint. une valeur prédéterminée, elle refoule la sou pape de retenue 80 et elle agit., par le conduit 477 et comme décrit ci-après, sur le piston 472 pour refouler celui-ci ainsi que sa. tige 471 vers le haut. De cette manière, l'extré mité recourbée 487 du bras 486 est poussée hors de l'intervalle compris entre la tige 370 et le poussoir 341, ce qui interrompt le débit.
d'eau depuis la commande automatique et mécanique 70 vers le distributeur 72 du dia phragme, même si la came 354 occupe une po sition pour laquelle ce débit est obtenu nor malement. En d'autres termes, le bossage 427 du disque 354 a déclenché l'intervention du diaphragme en refoulant la tête 391 du tiroir 379 vers la gauche de la fig. 12, ainsi que le poussoir 341 et la tige 370, pour ouvrir l'ad mission d'eau. Quand l'extrémité 487 est dé gagée d'entre les organes 341 et 370, la tête 391 et la tige 370 peuvent revenir vers la droite de la fig. 12 par l'effet du ressort 404, de sorte que cette admission est fermée, même si. le bossage 427 maintient le poussoir 341 à sa position de gauche.
Par ce mouvement, le tiroir 379 ferme cette admission et interrompt le débit. d'eau pour faire cesser l'action de la pression sur le diaphragme en même temps que l'extrémité de la tige 370 vient s'engager sous l'extrémité recourbée 487 du dispositif de décharge 76. Le poussoir 341 et son galet 348 ne peuvent se déplacer vers la droite, car ils sont retenus par le bossage 427, et l'inter valle entre le poussoir 341 et la tige 370 est trop grand pour que le bossage 427 puisse ouvrir le tiroir.
Le seul moyen pour ramener le dispositif de décharge à, sa position initiale est de faire tourner la came 354 pour que le bossage 427 puisse dépasser le galet 348, ce qui se produit automatiquement pendant le fonctionnement normal de la commande, niais ce qui peut se faire, si nécessaire, par une ma noeuvre à la main en agissant sur le bouton 435 fixé sur l'arbre 356. Quand le bossage 427 a passé, le ressort 491 agit sur l'extrémité du poussoir 341 pour le refouler vers la droite en obligeant le galet 348 à rester en contact avec -un creux de la came 354.
De cette ma nière, l'intervalle entre les organes 341 et 370 devient tellement grand que l'extrémité re courbée 487 peut s'engager dans celui-ci par l'effet du ressort 488, ce qui rétablit la liaison mécanique par laquelle la tête 391 du tiroir peut être déplacée pour ouvrir l'admission d'eau, quand le bossage 427 vient de nouveau en contact avec le galet 348.
La pompe auxiliaire 75, montrée dans les fig. 5, 8, 10, 11 et 38 et bien visible à la fig. 15, sert à augmenter la pression de l'eau fournie au distributeur 72 du diaphragme quand cette pression est en dessous d'une va leur prédéterminée. Cette pompe est agencée de manière qu'elle fonctionne à vide quand la pression d'alimentation normale est égale ou supérieure à cette valeur prédéterminée.
La pompe comprend un cylindre 497 dont le fond 501 comporte un orifice central de dé charge 502 relié par un conduit 503 à la sou pape de retenue 80 (fig. 13 et 38). Une lu mière d'admission 506 fait communiquer le evlindre 497 avec un conduit<B>507</B> aboutissant à une alimentation d'eau, en amont de la sou pape 80.
Le cylindre 497 comprend une partie exté rieure 498 et une partie intérieure 508, de section plus grande, ces parties étant reliées entre elles par un épaulement annulaire 511, alors que la partie 508 comprend un rebord 512 qui est fixé à une partie tubulaire<B>516</B> de la boite à cames 306, le support 517 dun pa lier 526 étant intercalé entre ledit rebord 512 et ladite partie tubulaire 516.
Un piston 518 est logé dans le cylindre 497 et monté sur une tige 523 qui est. fixée au piston 518, en étant engagée dans une gar niture 525, dans le palier 526 et dans un guide tubulaire 527 vissé dans un bossage 528 faisant partie de la paroi de la boîte à cames 306. La garniture 525 est supportée par une cloison 531, en forme de disque, qui est vissée dans l'extrémité interne de la partie extérieure 498 du cylindre, un rebord péri- phérique 532 de la cloison prenant appui sur l'épaulement 511.
Le support 517 porte également des saillies supérieure 537 et inférieure 538 servant au guidage d'un chariot coulissant 541 qui est calé sur la tige 523 du piston, par exemple à l'aide de goupilles 542 (tig. 16 et 17).
La saillie 537 sert seulement au guidage du chariot 541, alors que la saillie 538 rem plit la même fonction et porte, en outre, une douille 543 dans laquelle est tourillonné un prolongement de l'arbre 451. Le prolongement porte un manchon 546 engagé dans la douille 543 et qui porte un disque supérieur 547. Un téton 548 est monté sur le disque 547 et. est excentré par rapport àl.'arbre 451. Ce téton porte un doigt, coaxial 549 pouvant tourner dans le chariot 541. Lorsque l'arbre 451 tourne, la tige 523 est. déplacée suivant un mouvement alternatif, ce qui entraîne le pis ton 518 suivant un mouvement de va-et-vient pour refouler de l'eau depuis la lumière d'en trée 507 dans le conduit de décharge- 503.
On rappelle que l'arbre 451 est relié à l'arbre 303 qui est entraîné par le moteur 66.
A la fig. 16, le chariot 541 est au bout de sa course vers la gauche, alors qu'à la fig. 17, il est au bout de sa course vers la droite, par rapport à ces figures.
La soupape de retenue 80 est montrée à la fig. 38 et surtout à la fig. 1.3. Elle est placée entre la pompe auxiliaire 75 et le distribu teur 72 du diaphragme pour eommander l'in tervention de cette pompe.
Elle comprend un corps 556 sur lequel sont. branchées cinq dé rivations, notamment une admission. princi pale 557 reliée par un raccord 558 à. un con duit 561 partant de la lumière de sortie 381 de la commande mécanique et automatique 70, une admission auxiliaire 562 reliée par un raccord 563 au conduit. 503 partant de la dé charge de la pompe auxiliaire 75, une sortie principale 566 reliée par un raccord 567 au conduit ou tube flexible 181 aboutissant au distributeur 72 du diaphragme, une sortie se condaire 571 reliée par un raccord 572 à un conduit 507 aboutissant. à.
l'admission de la pompe 75 et une sortie tertiaire 568 reliée par un raccord 569 au conduit 477 aboutissant au dispositif interrupteur<B>716</B> du débit d'eau.
Une soupape à bille 576 est logée dans une chambre centrale 577 du corps 556 et poussée vers son siège 578 par tin ressort 581 inter calé entre la bille 576 et un collet 582 appli qué contre l'extrémité interne du raccord 567.
Une deuxième soupape à bille 586, logée dans la sortie 562, est poussée vers l'extrémité interne du raccord 563, formant un siège pour cette bille, par un ressort 587 intercalé entre cette bille 586 et un épaulement 588 de l'en trée 562.
Quand l'eau d'alimentation, admise depuis le conduit 561, a une pression suffisante pour que la pompe auxiliaire n'ait pas à intervenir, cette eau écarte la bille 576 du siège 578 et elle peut s'écouler directement. vers le distri buteur 72 et derrière le diaphragme, comme expliqué plus haut. Dans ces conditions et par suite de la relation existant entre le débit de la soupape et des communications abo-a- tissant au diaphragme 55 et celui de la sortie 571, une quantité insuffisante d'eau traverse cette sortie pour que la pompe auxiliaire 75 puisse fonctionner efficacement, de sorte que son piston se déplace suivant un mouvement alternatif, mais à vide.
Toutefois, si la pression de l'eau débitée par le conduit 561 n'est pas suffisante pour refouler convenablement le diaphragme ou si, pour une raison quelconque, cette pression baisse pendant que le diaphragme est refoulé dans la cuve, la bille 576 reste appliquée sur son siège ou s'applique aussitôt sur son siège et, dans ce cas, l'eau admise s'écoule, par la sortie 571 et le conduit 507, vers la pompe auxiliaire 75. La. pompe débite par le conduit 503, écarte la bille 586 de son siège, de sorte que l'eau peut pénétrer dans la chambre cen trale 577 et s'écouler par la sortie vers le dis tributeur 72, ce qui maintient la pression agis sant sur le diaphragme 55 à une valeur con venable.
Le mécanisme de décharge 76 est réglé de manière à. rester inactif pour les pressions normales qui interviennent pour refouler le diaphragme 55 en vue d'obtenir l'essorage efficace du linge. Quand une pression maxi mum choisie est atteinte, le mécanisme de dé charge intervient pour la raison. que les pres sions, agissant sur le diaphragme et transmises par la sortie 568 et le conduit 477, provoquent le fonctionnement du mécanisme 76 et du verrou 411, comme décrit ci-dessus, en vue d'interrompre l'alimentation d'eau depuis la commande mécanique et automatique 70.
Le distributeur d'eau chaude 82, dont le contour a été seulement indiqué dans les fig. 1, 5 et 38, est constitué comme à l'ordi naire et il n'est pas nécessaire de le décrire en détail. Il comporte, d'une manière géné rale, une boîte 591 avec une entrée d'eau chaude 592, une entrée d'eau froide 593 et une sortie 596 pour l'eau tiède. L'entrée d'eau chaude 592 est reliée, par un conduit 601 (fig. 38) à la sortie 381 de la commande automatique 70. On rappelle que cette sortie 381 communique avec la chambre 399 de cette commande et que celle-ci est reliée à son tour, par le conduit 406,à une source d'eau chaude appropriée.
L'entrée d'eau froide 593 est re liée, par le conduit 602, à la sortie 382 de la commande automatique 70, et cette sortie com munique, à son tour, par la chambre 400, avec le tuyau flexible 407 provenant d'une source d'eau froide appropriée.
Un axe 597 est orienté vers le haut depuis des moyens de réglage thermostatique logés dans la boîte 591 et qui règlent le mélange d'eau chaude et d'eau froide. Une manette 598 est fixée sur cet axe 597 et peut être dé placée par l'opérateur, de manière que l'eau soit débitée, à la température voulue, dans la cuve 46 par un conduit 603 qui aboutit au ré servoir de savon 83, ce réservoir étant relié, par le tube 164 et le raccord 156 dont il a été parlé plus haut (fig. 33), à la cuve 46.
Le réservoir de savon 83, montré dans les fig. 1, 5 et 38, comporte un couvercle amovi ble 606 pour une boite dont la paroi latérale 607 est en verre, cette paroi reposant sur un fond 608. L'ensemble est fixé sur la paroi la térale 99 de la caisse par un ou plusieurs sup ports 609. Le tuyau 603 aboutit à un raccord d'entrée 611 fixé sur le fond 608 et un rac cord de sortie voisin 612 est relié au tube 164.
L'entrée 611 communique avec une cham bre 612 recouverte d'une plaque annulaire et perforée 614. L'entrée est séparée de la sortie par un cylindre 615 qui est surmonté d'un tamis 616.
Du savon sec, en poudre ou en flocons et en quantité suffisante pour une lessive, est introduit dans la boîte 607. L'eau pénètre dans cette boîte 607 par la plaque perforée 614 et en traversant le tamis vers la sortie 612 dissout le savon et entraîne celui-ci vers la cuve 46.
Comme la paroi latérale de la boîte 607 est en verre et comme toute l'eau qui pénètre dans la cuve 46 pour le lavage, l'écumage et le rinçage doit passer par le réservoir de sa von, l'opérateur peut surveiller en cet endroit la condition de fonctionnement de la machine.
Quand le couvercle supérieur 45 est posé sur la caisse pendant que la machine fonc tionne, un voyant 617 peut être établi dans la paroi latérale de ce couvercle, afin que l'opé rateur puisse observer le réservoir de savon à travers ce voyant.
Un distributeur à flotteur et une com mande articulée sont utilisés pour régler automatiquement le remplissage initial de la cuve 46 en interrompant l'alimentation d'eau quand un niveau convenable de l'eau est atteint dans cette cuve et pour déclencher automatiquement le cycle des opérations en fermant l'interrupteur qui commande le cir cuit du moteur 66.
On voit dans les fig. 1, 5, 18, 19 et 38 que le distributeur à flotteur 85 comprend une paroi latérale cylindrique 621 fixée à la paroi latérale 99 de la caisse par un support 622, un couvercle 623 et un fond 626. Un raccord 627, monté sur le fond 626, sert d'appui à un tube flexible 628 et forme, en même temps, un guide pour une tige coulissante 631 por tant un flotteur creux et cylindrique 632. Le tube flexible 628 aboutit à un conduit 630 qui débouche dans la cuve 46 et qui est relié à celle-ci par un raccord analogue à celui dé signé par 156 (fig. 33).
La tige 631 est articulée, à son extrémité supérieure, qui dépasse hors de la chambre à flotteur, par un pivot 633 (fi-.<B>19) à</B> une extrémité d'un levier 636 qui peut osciller autour d'un point intermédiaire par rapport à un support 638 fixé sur le couvercle 623. L'autre extrémité du levier 636 est articulée à une biellette 642 qui fait partie de l'ensemble articulé 92. La biellette 642 aboutit au voisi nage d'un levier 648, en forme de L, qui pi vote autour d'un axe horizontal établi entre les branches 652 d'un support en forme de<B>U,</B> fixé à la paroi 99 de la caisse. Le levier 648 comprend un bras latéral 647 et un bras ver tical 649.
Un bras de verrouillage 656 (fig. 18) com porte une extrémité 657 qui se trouve à côté du bras vertical 649, alors que son autre extrémité est fixée à un cliquet 658 articulé, par un pivot, au couvercle de la chambre à cames 306. Une lamelle élastique 662, reliée au cliquet 658, prend normalement appui sur une des parois latérales 99 de la caisse pour s'opposer à un mouvement dans le sens des aiguilles de la montre, du bras 656 et du cli- quet 658 autour de l'axe du pivot 661, par rapport à la fig. 18.
Un bras d'un levier coudé 667, fixé sur un axe 668 tourillonné dans la chambre à. cames 306, forme un ver rou propre à retenir le cliquet 658. L'autre bras du levier coudé forme une fourche 681 qui entoure l'extrémité du bras de commande de l'interrupteur auxiliaire 87. Cet interrup teur est constitué de toute manière appropriée et son organe de commande est sollicité par un ressort vers une position pour laquelle l'interrupteur est fermé et pour laquelle le le vier coudé 667 est hors contact du cliquet. 658.
L'extrémité supérieure de l'axe 668 porte une manette 683 que l'on peut. déplacer au- dessus d'un cadran à repères non représenté. Dans la chambre 306, l'arbre 668 (fig. 1.9 et 20) porte une paire d'ergots radiaux 686 et 687 engagés respectivement dans des enco ches 688 et 689 ménagées dans les poussoirs 338 et 339 pour pouvoir déplacer ces poussoirs indépendamment des cames correspondantes 351 et 352, par suite des déplacements de la manette et du levier coudé 66"t, pour déclen cher les débits de l'eau chaude et de l'eau froide pour remplir la cuve -16 au début des opérations.
Comme les opérations obtenues par la com mande entièrement automatique seront dé crites en détail ci-après, on n'insistera pas da vantage sur le fonctionnement: de ce distri buteur à flotteur et sur cet ensemble articulé.
Dans les fig. 18 et 21 et plus spécialement clans les fi-. 8 et 9, on a montré le dispositif de commande automatique pour l'interrup teur principal 86. Ce dispositif comprend une tige verticale 692 articulée, à son extrémité inférieure, à un organe de commande d'un interrupteur, alors que son extrémité supé rieure porte un bouton 696. L'interrupteur n'a pas été montré en détail, car il est du type ordinaire, son organe de commande 693 agissant sur cet interrupteur par l'intermé diaire d'un basculeur. Un collet 698, calé sur la.
tige 692, est relié à l'extrémité supérieure d'un ressort de traction 701 dont l'extrémité inférieure est reliée à un guide fixe 702, de sorte que la tige 692 est sollicitée normalement vers le bas pour ouvrir le circuit par l'inter médiaire de l'interrupteur 86. Un levier 706 est articulé, par un pivot horizontal 707, à une oreille 708 montée sur le couvercle de la chambre à cames 306, et l'extrémité libre 712 de ce levier a la forme d'une fourche qui clre- v auche la tige 692 et qui repose sur la face supérieure du collet 698.
Le levier 706 porte un ergot 713 destiné à coopérer avec un bras 716 (fig. 8) calé sur l'arbre à cames verti cal 356.
Pour fermer l'interrupteur 86, on déplace la tige 692 vers le haut en vue de commander le bras basculeur 693 de l'interrupteur et en même temps soulever le collet 698 et le levier 706, ce qui amène l'ergot 713 à sa position basse. Les organes restent dans leurs posi tions respectives au cours du fonctionnement de la machine. Le bras 716 occupe une posi tion telle, par rapport aux bossages des cames 351--354, qu'après lin cycle complet d'opéra tions, qui peut ou qui peut ne pas correspon dre à un tour complet de l'arbre à cames 356, le bras 716 vient en contact avec l'ergot 713 pour déplacer la tige 692 vers le bas en vue d'ouvrir l'interrupteur 86 et interrompre ainsi le circuit du moteur 66.
La machine ainsi constituée fonctionne comme suit: Au début des opérations, le linge ou les vêtements secs sont introduits dans la. cuve 46 et le couvercle 47 de celle-ci est mis en place avec serrage, après quoi on introduit une quantité convenable de savon dans le réser voir 83 et on le ferme à l'aide de son cou vercle 606.
La manette 598 (fig. 5) qui règle le débit d'eau chaude est déplacée de manière que l'eau utilisée pour la lessive ait la tempéra ture voulue. A cet effet, le cadran devant le quel se déplace la manette 598 comporte des repères appropriés.
On déplace ensuite la manette 435 avec son index 438, de manière que ce dernier se trouve en regard.du repère de l'échelle gra- chiée 439 (fi-. 37) qui indique la. période de temps pendant. laquelle le linge sera soumis au lavage, cette période dépendant entre autre de la nature, de la couleur, de l'état et de la quantité de vêtements du degré de du reté ou de douceur de l'eau ou d'autres con sidérations que l'on observe par ,expérience et qui affectent la durée du lavage dans cha que cas particulier.
Par le déplacement angu laire de la manette 435, on modifie les posi tions des bossages des cames 351-354 par rapport aux galets des poussoirs correspon dants, comme expliqué ci-dessus à l'aide des fig. 12 et 15.
On agit ensuite sur la manette 683 polir l'amener à sa position de remplissage et on ouvre ensuite les distributeurs à eau chaude et à eau froide dans la commande mécanique et automatique 70 et cela indépendamment des cames 351 et 352, comme expliqué phis haut. En même temps, on ouvre l'interrup teur auxiliaire 87 (fig. 21) du circuit. du mo teur.
On soulève alors le bouton 696 qui com mande l'interrupteur principal 86 pour fer mer le circuit du moteur. A partir de ce moment, l'opérateur peut abandonner la machine à elle-même, car les différentes commandes automatiques, décrites plus haut, interviennent pour régler le fonc tionnement de la machine pour un cycle entier d'opérations, c'est-à-dire: a) pour remplir la cuve 46 avec la quan tité voulue d'eau; b) pour interrompre l'alimentation d'eau; c) pour alimenter le moteur afin que ce lui-ci puisse actionner la cuve 46;
d) pour ouvrir un ou plusieurs distribu teurs par lesquels de l'eau additionnelle est introduite dans la cuve en vue d'obtenir l'expulsion des écumes et de l'eau de lavage qui se trouvent dans la partie supérieure de celle-ci; e) pour fermer les distributeurs d'eau; f) pour ouvrir les soupapes de vidange: g) pour ouvrir les distributeurs d'eau en vue d'admettre l'eau de rinçage; la) pour fermer les soupapes de vidange; i) pour fermer les distributeurs d'eau de rinçage; j) pour ouvrir les soupapes de vidange; k) pour admettre de l'eau dans le distri buteur du diaphragme en vue d'obtenir l'esso rage du linge par refoulement du dia phragme;
l) pour évacuer l'eau qui se trouve der rière le diaphragme; în.) pour fermer les soupapes de vidange; n.) pour actionner la cuve pour remuer le linge en vue de séparer les pièces les unes des autres; o) pour vidanger toute l'eau contenue dans la caisse extérieure, et p) pour arrêter le fonctionnement de la machine par l'ouverture de l'interrupteur principal à la fin du cycle complet des opé rations pour que l'opérateur puisse enlever, hors de la cuve 46, le linge lavé et essoré.
Le fonctionnement des différents méca nismes qui interviennent pour effectuer les opérations dans l'ordre susindiqué sera décrit maintenant en détail.
Quand les distributeurs d'eau chaude et d'eau froide de la, commande 70 sont ouverts à la main et indépendamment des cames 351 à 354, l'eau chaude passe par le conduit 604 (fig. 38), la commande 70 et le conduit 601 vers le distributeur 82, alors que l'eau froide s'écoule par le conduit 607, la commande 70 et: le conduit 602 vers le même distributeur 82. Dans celui-ci, les deux eaux se mélangent et une eau ayant la température voulue s'écoule hors du distributeur 82 par le con duit 603, le réservoir de savon 83 et. le con duit 164 dans la cuve 46.
Quand la manette 683 est déplacée angu- lairement pour ouvrir les tiroirs de la com mande automatique 70, en vue de permettre le remplissage de la. cuve, cette même manoeu- vre amène l'extrémité du levier Boudé 667 (fig. 18) en contact avec le verrou 668 con tre l'action du ressort 662 pour que la ma chine soit dans une condition pour laquelle on obtient. l'arrêt automatique du remplis sage, quand une quantité convenable d'eau est introduite dans la cuve, et la mise en mar che du moteur 66 par la soupape à flotteur 85.
Quand l'eau monte dans la cuve, le flot teur 632 (fij. 19) monte également, ce qui oblige la tige 631 à incliner le levier 636 autour de son pivot en abaissant ainsi la biel- lette 642. Quand le niveau voulu de l'eau est atteint, la biellette 642 a déplacé le levier 648 autour de son pivot d'un angle suffisant pour que le bras vertical 649 puisse venir en con tact avec l'extrémité libre du bras de verrouil lage 656.
De cette manière, ce dernier est dé placé, à l'encontre de l'action de la lamelle élastique 662, dans le sens des aiguilles de la montre par rapport à la fig. 18, ce qui écarte le cliquet 658 du levier coudé 667 qui tourne alors, sous l'action d'un ressort non représenté, dans le sens inverse des aiguilles de la montre par rapport à la fig. 18 en fermant. les dis tributeurs d'eau chaude et d'eau froide et en ramenant les poussoirs 338 et 339 (fig. 12) à leurs positions normales pour lesquelles les galets 345-346 viennent respectivement en contact avec le bord des cames 351 et 352, tout. en fermant l'interrupteur auxiliaire 87 pour compléter le circuit d'alimentation du mo teur 66.
De cette manière, la cuve 46 se met en mouvement en effectuant le déplacement oscillant expliqué plus haut et en même temps on obtient la mise en marche de la pompe centrifuge ,67 (fig. 1), afin que celle-ci soit prête à évacuer toute l'eau. qui est recueillie sur le fond de la caisse 41. La rotation du moteur est également transmise à l'arbre 303 qui entraîne l'arbre à cames 356. Cet. arbre 303, à son tour, fait tourner le disque excen tré 547 (fig. 15-17) par lequel le piston 518 de la pompe auxiliaire est mis en mouvement, comme expliqué plus haut.
En ce qui concerne le réglage angulaire des cames, pour que l'on obtienne une période de lavage prédéterminée, on règle simplement les positions de ces cames par rapport. aux galets des poussoirs afin qu'une certaine pé riode de temps s'écoule avant que les premiers bossages 421 viennent en contact avec leurs galets. , Dans ce qui précède, on a parlé des bos sages 421 et on rappelle que les cames 351 et 352 sont identiques, mais servent respective ment à commander les distributeurs d'alimen tation d'eau chaude et d'eau froide.
Après que l'opérateur a réglé la position de l'arbre à cames 356 pour obtenir la période de lavage désirée, la séquence et la durée des opérations ultérieures sont déterminées par les positions données aux diverses cames par lesquelles les opérations respectives sont déclenchées et arrêtées.
Quand les bossages 421 viennent en con tact avec les galets 345 et 346, les. distribu teurs d'eau chaude et d'eau froide de la com mande mécanique et. automatique 70 sont ouverts et restent. ouverts pour qu'une quan tité d'eau suffisante, suivant le même trajet que celui adopté pour le remplissage de la cuve, soit admise dans cette dernière pour expulser les écumes et les matières étran gères qui se sont accumulées à la partie supé- rieure de l'eau de lavage.
Cette opération est connue sous le nom d' éciunage et l'eau expulsée avec les matières qu'elle entraîne s'écoule par les trous 126 (fig. 2---4), ménagés dans la partie supérieure de la cuve 46, avec ou sans soulèvement du couvercle 47 de celle-ci et comme décrit en référence à ces fig. 2-4. La longueur périphérique des bossages, ainsi que celle de tous les autres bossages, est choi sie de manière qu'elle convienne à la durée voulue de l'opération particulière envisagée. I1 en résulte que lorsque les bossages 421 ont.
dépassé les galets 345 et 346, les distributeurs d'eau correspondants se ferment, ce qui inter rompt la période d'écumage.
A ce moment, le bossage 423 de la came 353 vient en contact avec son galet 347 pour mettre la chambre 401 du tiroir 390 en com munication avec sa sortie 383, de sorte que l'eau chaude s'écoule, depuis la chambre 400 du tiroir 389 et qui est alimentée par le con duit 407, par le passage 408 dans ladite cham bre 401 et ensuite par la sortie 383 et par le conduit 246 (fig. 38) vers les soupapes de vi dange 81 établies dans les chicanes 52.
De cette manière, on fait monter le piston 248 (fig. 29) qui entraîne le registre 226 vers le haut, de sorte que l'eau d'écumage s'écoule hors de la cuve 46 par les ouvertures 233 jus que dans la. caisse 41 hors de laquelle elle est évacuée par la pompe centrifuge 67, fonction nant d'une manière continue, qui déverse cette eau en un point voulu, par exemple dans une cuve fixe ou dans un égout. Il est à, noter que la cuve 46 oscille constamment pendant la vidange, de sorte qu'elle peut se vider ra pidement et convenablement.
Un peu avant la fermeture des soupapes de vidange 81, ce qui est obtenu lorsque le bossage 423 dépasse son galet, les bossages 422 des cames 351 et 352 viennent en contact avec les galets 345 et 346 pour agir sur les distributeurs d'eau chaude et froide, afin qu'une eau tempérée soit introduite à nouveau dans la cuve 46, comme expliqué plus haut. Ainsi débute la période de rinçage, et l'eau introduite en premier lieu peut s'écouler hors de la cuve en entraînant avec elle une quan tité minime d'eau de lavage qui peut encore rester dans la cuve.
Quand le bossage 423 a dépassé son galet, les soupapes de vidange se ferment et la cuve se remplit avec de l'eau de rinçage qui déborde par les trous 126 et 127, ménagés dans la partie supérieure de cette cuve, avec ou sans soulèvement du couvercle 47, suivant le cas. Pendant que l'eau de rin çage traverse la cuve, celle-ci continue son mouvement oscillant, de sorte que le linge est soigneusement rincé en étant remué dans cette eau fraîche et propre.
A ce moment, le bossage 424 de la came. 353 et le bossage 427 de la came 354 viennent simultanément en contact avec leurs galets respectifs 347 et 348. Le bossage 424 agit à nouveau sur les distributeurs ou soupapes 81 des chicanes, en vue d'assurer la vidange de la. cuve, comme décrit phis haut, alors que le bos sage 427 refoule le poussoir 3'70, etc., pour que de l'eau froide soit admise par le passage 408 dans la chambre 402, par la sortie 384, le conduit 561 et la soupape de retenue 80, d'où cette eau s'écoule par le conduit 181 vers le distributeur 72 du diaphragme, afin que l'eau soit admise derrière le diaphragme 55 pour refouler celui-ci et pour le presser contre 'la masse du linge rincé en vue de l'essorer.
On a expliqué plus haut comment la pompe auxi liaire intervient pour augmenter la pression de l'eau admise si et quand cela est nécessaire.
Pendant cette opération, le linge est pressé contre le couvercle 47 de la cuve. L'eau s'échappe hors de la partie supérieure de celle-ci par les trous de vidange 233. Cette compression du linge provoque, si nécessaire, le soulèvement du couvercle de la cuve pour amener les trous 126 et 127 en regard les uns des autres pour obtenir la. vidange. Pendant ces opérations, les mouvements de la clive con tinuent, de sorte que toute l'eau est rapide ment évacuée.
Il est évident que plusieurs des com mandes automatiques peuvent être suppri mées, si on le désire, par exemple la com mande par flotteur pour la mise en marelle automatique, et elle peut être remplacée par un mécanisme de commande à temps puisque la machine est destinée à recevoir de l'eau avec un débit connu. Divers autres organes peuvent être omis, tels que le mélangeur d'eau froide et d'eau chaude ainsi que le ré servoir de savon. De plus, dans les localités où la pression d'eau n'est jamais trop faible pour faire fonctionner convenablement le dia phragme, la pompe auxiliaire peut être omise. De même, quand la machine est raccordée en permanence à l'égout, la pompe centrifuge n'est phis nécessaire.
L'essorage peut être obtenu par d'autres moyens qu'un diaphragme extensible en caoutchouc, et d'autres méca nismes peuvent être utilisés pour obtenir les différentes opérations envisagées. Plusieurs fonctions, décrites plus haut, peuvent être combinées, et c'est ainsi que l'interrupteur auxiliaire pourrait être éliminé et sa com mande agir sur l'interrupteur principal pour la mise en marche automatique du moteur. Les opérations d'écumage et de rinçage pour raient être combinées, ce qui supprimerait tolite l'opération du premier rinçage. Dans ce dernier cas, l'admission de l'eau de rinçage par le fond de la cuve et l'évacuation par les trous de la partie supérieure de celle-ci ser viraient an refoulement de toute l'eau de la vage pendant les périodes d'écumage et de rinçage combinées.
Une variante polir obtenir l'évacuation des écumes et matières étrangères sans devair introduire de l'eau dans la cuve contenant le linge lavé consiste à ajouter un court bossage à la came 354 pour déclencher un soulèvement partiel du diaphragme en vue de refouler la masse d'eau dans la cuve pour provoquer son débordement par des trous d'évacuation supé rieurs. Quand cette opération s'est poursuivie pendant un temps déterminé, le distributeur 72 du diaphragme intervient pour permettre la décharge de l'eau derrière le diaphragme, de sorte que la partie restante du cycle com plet peut se faire de la manière décrite. Il est.
évident que, pour un tel écumage, on pourrait supprimer les bossages 421 qui, pour l'exem ple montré, servaient à ouvrir les tiroirs ou soupapes débitant l'eau d'écumage.
Diverses modifications constructives peu vent être envisagées. Par exemple, on pour rait adopter d'autres méthodes que celle dé crite pour agiter le linge et l'eau pendant l'opération de lavage. De plus, le couvercle 47 ne doit pas nécessairement être concave, comme montré; il peut également. être plat ou convexe.