Villa Certosa
Type | |
---|---|
Propriétaire |
Localisation |
---|
Coordonnées |
---|
La villa Certosa est une villa, située à Porto Rotondo, une frazione de la ville d'Olbia, dans la province de Sassari, dans le nord-est de la Sardaigne. Il s'agit aujourd'hui de l'une des villas dans laquelle l'ancien président du Conseil, Silvio Berlusconi, séjournait régulièrement durant l'été.
Histoire
[modifier | modifier le code]Silvio Berlusconi l'avait achetée vers la fin des années 1970 à Gianni Onorato, propriétaire de la chaîne La Voce Sarda. Ensuite, en collaboration avec son architecte de confiance Gianni Gamondi, Berlusconi la modifie et la nomme « villa Certosa ».
Elle est connue pour avoir accueilli des personnalités politiques comme Vladimir Poutine, Tony Blair, José Zapatero et Mirek Topolánek, lorsque Berlusconi était président du Conseil.
En 2012, la presse annonce la mise en vente de la villa pour un prix de 450 à 470 millions d'euros et croit savoir que des magnats russes et arabes sont intéressés[1]. Mais l'avocat de l'ex-chef du gouvernement, Niccolò Ghedini, dément l'information[2].
Architecture
[modifier | modifier le code]Elle comprend 2 500 mètres carrés d'habitation, 26 chambres et un parc qui s'étend sur 120 hectares[3]. Sa valeur est estimée à 168 millions d'euros[4],[5].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]- Villa San Martino, villa de Silvio Berlusconi dans la province de Monza et de la Brianza
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Sardaigne : la villa de Berlusconi en vente, Le Figaro, 27 septembre 2012.
- (it) AGI - Agenzia Giornalistica Italia, « Berlusconi : Ghedini, Villa Certosa non e' in vendita », sur agi.it via Wikiwix (consulté le ).
- « Berlusconi, spese record per Villa Certosa », sur Corriere della Sera (consulté le ).
- (it)« Villa Certosa? Vale 168 milioni - Il patrimonio immobiliare di Silvio Berlusconi ammonta a 330 milioni, Corriere delle Sera », sur Archiviostorico.corriere.it,
- (it)« Notice sur les travaux à la villa : Sardegna, a Villa Certosa Berlusconi si fa il nuraghe e spende 5,6 milioni di euro », sur Corriere.it,