Vassy-sous-Pisy
Vassy-sous-Pisy | |||||
Salle communale et lavoir. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Yonne | ||||
Arrondissement | Avallon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Serein | ||||
Maire Mandat |
Michel Codran 2020-2026 |
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Code postal | 89420 | ||||
Code commune | 89431 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vasseyens | ||||
Population municipale |
65 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 8,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 34′ 11″ nord, 4° 10′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 264 m Max. 377 m |
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Superficie | 7,45 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Avallon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chablis | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Vassy-sous-Pisy est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté. La commune portait le nom de Vassy jusqu'en 2010. Ses habitants sont appelés les Vasseyens.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Vassy-sous-Pisy se situe à la limite de la Côte-d'Or, à égale distance (environ 20 km) de Montbard, de Semur-en-Auxois, de Noyers-sur-Serein, d'Avallon et à 8 km au nord d'Époisses.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est située sur le bord d'un plateau et dispose d'une belle forêt de hêtres et de chênes sur une superficie de 120 hectares[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Deux étangs approvisionnaient les habitants en poissons, ils ont été asséchés à la fin du XIXe siècle pour cause d'épidémies. De nombreuses sources alimentent les lavoirs et se transforment en rû pour finir dans le Rû du Clos qui se jette dans le Ruisseau de Bornant puis dans l'Armançon.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vassy-sous-Pisy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avallon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 74 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44 %), prairies (26,5 %), forêts (23,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme Vaixi en 1486[14].
Vassy serait formé à partir de l’anthroponyme gallo-romain Vassius ou Vaccius[15] auquel on a ajouté le suffixe -acum désignant « le domaine de », en l'occurrence *Vassiacum (devenu Vassy), d'où le sens global de « domaine de Vassius ou de Vaccius »[15],[16].
Le , le Premier ministre autorise le changement de nom de la commune : Vassy-sous-Pisy redevient, administrativement, le nom officiel de la commune[17],[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]La commune comptant moins de 100 habitants, le conseil municipal est constitué de neuf membres.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Trois maires seulement se sont succédé depuis 1945 :
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Au , Vassy-sous-Pisy n'est jumelée avec aucune commune[20].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Pour la période de l'Ancien Régime, les données sont en nombre de personnes, sur la base de un feu pour 5 personnes[21] :
1377 | 1397 | 1413 | 1442 | 1455 | 1461 | 1470 | 1543 | 1624 | 1643 | 1658 | 1666 | 1679 | 1686 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
20 | 135 | 70 | 15 | 95 | 75 | 120 | 180 | 360 | 340 | 145 | 265 | 310 | 290 |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].
En 2021, la commune comptait 65 habitants[Note 3], en évolution de −9,72 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Vassy-sous-Pisy est située dans l'académie de Dijon.
La commune n'administre ni école maternelle ni école élémentaire communales[26].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Les médecins les plus proches sont situés à Époisses en Côte-d'Or ou à Guillon dans l'Yonne.
Sports
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]La commune de Vassy-sous-Pisy dépend de la paroisse catholique Bierry-les-Belles-Fontaines au sein du diocèse de Sens-Auxerre[27].
Économie
[modifier | modifier le code]En 2012, on releve au registre de commerce une entreprise de moulage, deux exploitations agricoles, dont l'une conserve l'élevage bovins et un bûcheron-marchand de bois[28].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Martin
[modifier | modifier le code]La nef et le portail sont d'ordre toscan. Le chœur et les deux chapelles latérales, voutée en pierre, sont de petites dimensions. Elle est construite sur les restes d'une ancienne chapelle du XVe siècle, probablement celle du prieuré. Elle est restructurée en 1775 par Jacques-Nicolas Caristie « avec un clocher bas ». On peut observer, à l'extérieur : sur le portail une étonnante inscription REPUBLIQUE FRANCAISE - , elle résulte d'un mouvement anticlérical en vogue dans ces années là ; un cadran solaire sur un des contreforts et des traces d'enduit peint en noir sur les murs du chœur, vestiges d'une litre funéraire. À l'intérieur: sur la droite, on trouve la chapelle seigneuriale « Notre-Dame », avec sa piscine liturgique, un hagioscope[Note 4], et la dalle funéraire de Marie-Eustache « DESTIENNOT » dernier seigneur du lieu à y être inhumé en 1767. En face une petite pièce appelée « chapelle des chantres » permettait aux « chanteurs » d'accompagner l'office. Le chœur est rallongé par François Destienot en 1663, comme l'atteste l'inscription sur l'embrasure de l'ouverture de gauche, ce chœur comporte une litre funéraire qui apparaissait sous le ciel étoilé posé au XIXe siècle, malheureusement « l'ignorance » a fait recouvrir d'un badigeon blanc sa trace à la fin du XXe siècle[1],[29],[Note 5], elle représente le blason des Estiennot avec son heaume et ses lambrequins[Note 6]. Cette église n'est pas le lieu du tristement célèbre « massacre de Vassy », celui-ci s'est déroulé au Vassy de la Haute-Marne dont la graphie est aujourd'hui Wassy. Ce monument est listé dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[30]. Des fouilles ont été réalisées en 1992 sur le site de cette église et ont permis d’attester une occupation médiévale du site[31].
Les journées du patrimoine 2010 ont permis la visite de l’église ainsi que de l’exposition et l’intéressante reconstitution d’une litre funéraire[32].
Château
[modifier | modifier le code]Le château a été édifié sur l'emplacement du château fort au XVIIIe siècle. Cette grande demeure classique se composait d'un corps de logis prolongé de chaque côté, et à angle droit, par une aile terminée à son extrémité par un pigeonnier rond, avec au centre une cour d'honneur fermée par une grille monumentale. Le terrain se divisait, en une avant-cour avec fossé et pont dormant, une basse-cour, un jardin anglais, un jardin à la française, un potager avec serres voutées, une vigne et un verger, sans oublier l'orangerie et l'étang. Considérablement modifié au milieu du XIXe siècle pour y installer une filature de laine (c'est à ce moment que la propriété est séparée en deux), les bâtiments sont reconstruits au XXe siècle pour les besoins d'une exploitation agricole, qui a cessé son activité vers 1990[1].
Autres monuments
[modifier | modifier le code]- Reste de l'ancienne ferme du château maintenant exploitation agricole, située au nord-ouest du village. On y lit une inscription sur une arcade aveugle : LAVS . DEO 1664. Certains érudits ont cru y voir, à tort, le prieuré.
- Les ruines d'un moulin à vent, encore en activité au début du XIXe siècle, dominent la route de Pisy[1].
- Quatre croix :
- la première à l'extrême sud du village sur une petite place arborée avec table et bancs, on peut y observer deux cadrans solaires mal orientés : cette croix est listée dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[33].
- la deuxième, sur l'ancienne route de Bierry-les-Belles-Fontaines : cette croix est listée dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[34].
- la troisième, sur la route de Fain-les-Moutiers, on lit sur son socle "MON JESUS/MISERICORDE" : cette croix est listée dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[35].
- la quatrième, au sein du cimetière : cette croix est listée dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[36].
- Trois lavoirs : le premier sous la salle communale (voir ci-dessous) ; le deuxième dit « du puits » dans la ruelle du même nom qui descend le long de l'ancien jardin anglais, il est précédé de trois abreuvoirs et permet de laver à genoux ou debout, construit au milieu du XIXe siècle il est alimenté par un réseau de canalisations provenant des fondations du château, probablement l'ancienne alimentation des douves ; le troisième, situé sur l'ancienne route menant à Moutiers-Saint-Jean, dit « des Bretenoux » a remplacé une fontaine du même nom au XIXe siècle. Ces lavoirs sont listés dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[37].
- La salle communale a été construite en 1851 par l'architecte avallonnais Tircuit. Son rez-de-chaussée est un lavoir destiné à remplacer celui qui se trouvait au centre de cette place. Elle est dotée d'un escalier « en fer à cheval » permettant d'accéder à la « salle de réunions électorales », et précédée d'un bassin rond servant d'abreuvoir. Cette salle et son lavoir sont listés dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[38].
- La mairie-maison d'école a été édifiée en 1843 par l'architecte avallonnais Tircuit, pour succéder à l'école qui se trouvait de l'autre côté de la rue, et modifié en 1881 par l'architecte Sauge pour y adjoindre le balcon-porte d'entrée actuel(projet daté du ). Cet élégant bâtiment a abrité, durant presque un siècle et demi, au rez-de-chaussée l'école, et à l'étage la mairie et le logement de fonction pour l'instituteur. Depuis la fermeture de la salle de classe, le siège de la municipalité occupe le rez-de-chaussée alors que l'étage a été transformé en appartement locatif. Cette mairie-école est listée dans l'Inventaire général du patrimoine culturel de la France[39].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Plusieurs scènes de film ont été tournées dans la commune :
- Certaines scènes du feuilleton La Duchesse d'Avila, diffusé sur la 2e chaîne de l'ORTF en 1973, ont été tournées sur le territoire de Vassy-sous-Pisy, sur la route menant à Fain-les-Moutiers[réf. nécessaire].
- En 2001, Jean-François Stevenin a tourné une scène, avec Jean-Paul Roussillon, de son film Mischka sur la place de l'église à cause du « soldat peint »[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Guy de Rochefort (1447-1507), premier Président au Parlement de Bourgogne puis chancelier de France, seigneur de Vassy[40].
- Guy-Germain Verrier, né le , décédé le , a été maire de Vassy de 1904 à 1912 puis de 1929 à 1944. Il a été conseiller général du département de l'Yonne. Il est l'un des 2725 Français à avoir été élevé au rang de Juste parmi les nations (à titre posthume) par le Mémorial de Yad Vashem (Israël), pour avoir sauvé des Juifs pendant l'Occupation de la France (1940-1944), alors qu'il était maire de ce village[41]. Il avait été décoré de la palme d'officier d'Académie en 1939[42].
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Annuaire du commerce et de l'industrie du département de l'Yonne, Gallot Éditeur, 1881, 1922.
- P. Beck, Archéologie d'un document d'archives, approche codicologique et diplomatique des cherches des feux Bourguignonnes, École des chartes, Paris, 2006.
- X. Chotton, Saint-Bernard et le château de Fontaines-les-Dijon, du tome 1, 1891, au tome 3, 1895.
- Fascicule "touristique" de la commune.
- J. Garnier, La recherche des feux en Bourgogne au XIVe et XVe siècles, partie septentrionale du Duché, Lamarche, Dijon, 1876.
- J.-B. Guillaume, Histoire des anciens sires de Salins, t1-1756 et t2-1758.
- F. Henrion, Les noms de lieux de Vassy-sous-Pisy, approches micro-toponymiques, Textes et Documents no 3, Association Rencontres dans le Désert, 1996.
- F. Henrion, Note sur une épidémie de fièvre à Vassy-sous-Pisy au XVIIIe siècle, Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, 128e vol., année 1996, p. 135-140.
- F. Henrion, Vassy-sous-Pisy - Église paroissiale Saint-Martin - (canton de Guillon), Bulletin du centre d'études médiévales, [lire en ligne]
- Ph. Henrion, Autopsie d'une recherche, Arlimont, no 21-, p. 55-57 ; no 22-, p. 47-49.
- Ph. Henrion, Nouvelles données sur les origines de Dom Claude Estiennot de la Serrée, collaborateur et ami de Mabillon, Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, 137e vol., année 2005, p. 279-283. Erratum: page 282, lire "...parrain Dom Eustache destienot, procureur de l'abbaye Saint-Bénigne à Dijon".
- Ph. Henrion, La litre funéraire de l'église Saint-Martin de Vassy-sous-Pisy, Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, 143e vol., année 2008-2009, p. 213-220, .
- Ph. Henrion, Les histoires du château de Vassy-sous-Pisy : De la Bourgogne à la Touraine..., Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, 144e vol., années 2008-2009, p. 193-198, .
- F. Henrion et F. Meneau, Travaux à Vassy-sous-Pisy, 1773-1775, Textes et documents no 1, association Rencontres dans le Désert, 1992.
- E. Petit, Histoire des Ducs de Bourgogne, de la race Capétienne, imprimerie Darantière, Dijon, du t1-1885 au t9-1905.
- PV. Petit, Description des villes et campagnes du département de l'Yonne, 2e vol., Arrondissement d'Avallon, Ch. Gallot éditeur, 1870 ; rééd. librairie Voillot, 2001. Seulement intéressant pour la gravure de la filature ; légendée, à tort, « château... ». Ne pas se fier à l'épitaphe de la pierre tombale de Marie-Eustache (pour cette épitaphe voir ci-dessus, La litre funéraire...), voir le texte consacré à ce village, p. 138.
- Plaquettes, Église Saint-Martin de Vassy-sous-Pisy, pour les Journées du Patrimoine, 19- ; 18- ; 17-.
- Plaquette, Reconstitution d'une litre funéraire -église Saint-Martin de Vassy sous Pisy, performance événementielle pour les journées du patrimoine 2010.
- Plaquette, Saint-Martin : l'éternel voyageur - église St-Martin de Vassy sous Pisy, mini-exposition pour les journées du patrimoine 2011.
- A. de Villenaut, Nobiliaire du Nivernois, tome 2, 1900.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ouverture pratiquée dans un mur à l'intérieur d'un édifice religieux, permettant d'observer l'officiant célébrer la messe, d'un angle ou d'un lieu en retrait.
- Pour l'histoire de cette découverte, lire La litre funéraire de l'église Saint-Martin....
- le blason répertorié de cette famille comportant des erreurs, nous attendrons une éventuelle restauration pour donner sa description.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Vassy-sous-Pisy », sur le site du syndicat d'initiative Bourgogne Terre Plaine (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vassy-sous-Pisy et Saint-André-en-Terre-Plaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St André », sur la commune de Saint-André-en-Terre-Plaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Vassy-sous-Pisy ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Avallon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 694a sous Vaissac.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. cit.
- Voir en Biblio. Les noms de lieux de Vassy sous Pisy, approches micro-toponymiques, page 10.
- « Décret n° 2010-772 du 8 juillet 2010 portant changement du nom de communes », Journal officiel de la République française (consulté le ).
- Vassy-sous-Pisy : la commune retrouve son nom complet in L'Yonne républicaine, 14 août 2010, p. 21.
- Conseil général de l’Yonne, [1], consulté le 28 décembre 2015.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- Archives de Côte d'Or série B et C, et La Recherche de Feux en Bourgogne... et Archéologie d'un Document d'Archives....
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Annuaire des établissements scolaires », sur le site du ministère de 'éducation nationale (consulté le ).
- « Les paroisses du diocèse », sur le site du diocèse de Sens-Auxerre (consulté le ).
- « Extrait du registre du commerce pour la commune de Vassy-sous-Pisy », sur le site societe.com (consulté le ).
- La litre funéraire de Vassy-sous-Pisy, in Yonnemag, 25 septembre 2010, p. XI.
- « Église paroissiale », notice no IA89000286, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- VASSY-SOUS-PISY - Église paroissiale Saint-Martin - (canton de Guillon), Bulletin du centre d'études médiévales d’Auxerre, Archéologie des églises de l'Yonne, mis en ligne le 25 août 2010, Consulté le 02 août 2012, [lire en ligne].
- « Églises ouvertes pour les Journées du Patrimoine 2010 », sur le site du diocèse de Sens-Auxerre, (consulté le ).
- « Croix de chemin », notice no IA89000314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin », notice no IA89000311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de chemin », notice no IA89000313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix de cimetière », notice no IA89000312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « lavoir ; abreuvoir », notice no IA89000315, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « salle des fêtes (salle de réunions électorales) ; lavoir ; abreuvoir », notice no IA89000316, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie-école », notice no IA89000317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Abbé Edme Breuillard, Mémoire historique sur une partie de la Bourgogne, Avallon : Veuve Chamerot, 1857, p. 323 [Voir la notice imprimée https://books.google.fr/books?id=LPBAAAAAcAAJ&pg=PA323&lpg=PA323&dq=guy+de+rochefort+seigneur+de+vassy&source=bl&ots=KIBZr6xQ7g&sig=gVpNS__T-grkxfb4ZCwD1PScRwo&hl=fr&sa=X&ei=1aQuULyaHKWo0AW03oDYDA&ved=0CDIQ6AEwAA#v=onepage&q=guy%20de%20rochefort%20seigneur%20de%20vassy&f=false].
- Son faire-part de décès est conservé aux Archives municipales et communautaires de Reims (Marne), sous la cote 5 Fi 13 [Cf. la réf. http://fonds-archives.reims.fr/4DCGI/Web_VoirLaNotice/34_01/5Fi13/ILUMP1962].
- [Cf. le Journal officiel https://books.google.fr/books?id=os0jAQAAMAAJ&q=guy+verrier+vassy+sous+pisy&dq=guy+verrier+vassy+sous+pisy&source=bl&ots=WJnXGYGMjB&sig=4HUFcz79MC086mC-2VTOvPjO7P0&hl=fr&sa=X&ei=m0MuUPf8D-au0QWc04HoDA&sqi=2&ved=0CDcQ6AEwAQ].