Valanjou
Valanjou | |||||
Le château de Gonnord. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Cholet | ||||
Commune | Chemillé-en-Anjou | ||||
Statut | commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Christian Martineau 2020-2026 |
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Code postal | 49670 | ||||
Code commune | 49153 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Valanjevins | ||||
Population | 2 290 hab. (2013) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 12′ 53″ nord, 0° 35′ 39″ ouest | ||||
Altitude | 69 m Min. 44 m Max. 116 m |
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Superficie | 55,86 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Chemillé-Melay | ||||
Historique | |||||
Fusion | 15 décembre 2015 | ||||
Commune(s) d'intégration | Chemillé-en-Anjou | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
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Valanjou est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
La commune est née en 1974 de la fusion des anciennes communes de Joué-Étiau et Gonnord. Le , elle est devenue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Chemillé-en-Anjou[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Localité angevine des Mauges, Valanjou se situe au sud de Champ-sur-Layon, sur les routes D 133, Cossé d'Anjou, D 84, Aubigné sur Layon, et D 54, Vihiers[2].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches sont Champ-sur-Layon (6 km), Chanzeaux (7 km), La Salle-de-Vihiers (7 km), Faveraye-Mâchelles (8 km), Montilliers (8 km), Cossé-d'Anjou (8 km), Melay (8 km), Vihiers (9 km), Thouarcé (9 km), Cernusson (9 km) et Chemillé (10 km)[3].
Chanzeaux | Champ-sur-Layon | Thouarcé | ||
Chemillé-Melay | N | Faveraye-Mâchelles Montilliers | ||
O Valanjou E | ||||
S | ||||
Cossé-d'Anjou | La Salle-de-Vihiers | Vihiers |
La commune de Valanjou est constituée de plusieurs hameaux et lieux-dits, comme Argonne, Bagatelle, Bassac, l'Anjubauderie, la Bouchardière, la Chaussière, la Jonchère, la Pierre Blanche, la Pirauderie, le Verdillon, les Terres Gentilles, les Touches, les Verzeaux, Villeneuve des Bois, Villeneuve Trémousseau, etc.[2].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]L'altitude de la commune varie de 44 à 116 mètres, et son territoire s'étend sur près de 56 km2 (5 586 hectares)[4].
La commune se situe sur l'unité paysagère du Plateau des Mauges[5].
Toponymie et héraldique
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Formes anciennes du nom de Joué-Étiau : Joué et Étiau en 1793, pour devenir ensuite Joué-Étiau à leur fusion, Joué-Étiau en 1801[6],[Note 1],[7].
Joué a pour étymologie latine l'adjectif jucundus[Note 2].
Formes anciennes du nom de Gonnord : Gonnord en 1793 et 1801[8].
Le , la commune de Valanjou est créée par fusion de ces deux communes[9],[8].
Ses habitants sont appelés les Valanjevins[10].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Parti bastillé d'une pièce à dextre : au premier coupé au I d'azur à la gerbe de blé d'or, liée de gueules, au II de sinople à la bottine contournée d'or, au second de gueules au moulin à vent d'or, ouvert du champ et adextré d'une quintefeuille de sinople chargeant le merlon de la partition, à la champagne ondée d'argent brochant sur le tout, sur laquelle sont posés la bottine et le moulin ainsi qu'une billette du même brochant sur la partition, le tout sommé d'un chef dentelé, coupé de sable et d'or[11]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
La commune est représentée par trois couleurs :
- le bleu, attribué à Joué, évoque un lieu agréable et charmant, suivant l'étymologie latine du nom Jucunde[C'est-à-dire ?] Jucundiacum cité dans le Célestin Port ;
- le vert, attribué à Etiau, fait référence à l'étymologie du nom Estivale, pour les verts pâturages où le bétail passait la période d'été ;
- le rouge rappelle les journées sanglantes que vécurent les habitants de Gonnord durant les guerres de Vendée[12].
Histoire
[modifier | modifier le code]Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Du 6 au , lors de son grand tour de France, le roi Charles IX quitte le château de Brissac pour se rendre au château de Gonnord. Il y passe toute la journée du 7 octobre.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Durant la Seconde Guerre mondiale, le , un central téléphonique est installé, à l'insu des Allemands, dans le bureau de poste de Gonnord, utilisant une ligne (Saint-Nazaire - front de l'Est) passant par la route de Doué-la-Fontaine, inusitée depuis la Première Guerre mondiale[13].
La commune de Valanjou naît le de la fusion de Joué-Étiau (paroisses fusionnées au moment de la Révolution) et de Gonnord[9].
Un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine en 2014. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle au [14].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Administration actuelle
[modifier | modifier le code]Depuis le , Valanjou constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Chemillé-en-Anjou et dispose d'un maire délégué[1].
Administration ancienne
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal est composé de 19 élus[17]. Le préfet, estimant que les conditions et les formes légalement prescrites n'ont pas été remplies lors du 1er tour des élections municipales du 23 mars 2014, a déféré les opérations électorales au tribunal administratif. Les résultats définitifs figurent sur le site du ministère de l'Intérieur[18]. Ils ont été légèrement modifiés par le juge des élections.
Ancienne situation administrative
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes de la région de Chemillé[22], elle-même membre du syndicat mixte Pays des Mauges. La communauté de communes cesse d'exister le et ses compétences sont transférées à la commune nouvelle de Chemillé-en-Anjou.
Jusqu'en 2014, la commune fait partie du canton de Thouarcé et de l'arrondissement d'Angers[23]. Le canton de Thouarcé compte alors dix-sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . Le canton de Thouarcé disparait et la commune est rattachée au canton de Chemillé-Melay, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[24].
Le , pour tenir compte de la création de la commune nouvelle de Chemillé-en-Anjou, Valanjou est rattaché à l'arrondissement de Cholet[25].
Population et société
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27],[Note 3].
En 2013, la commune comptait 2 290 habitants, en évolution de +5,19 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (23,8 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,3 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 51,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,5 %, 15 à 29 ans = 16,2 %, 30 à 44 ans = 23,5 %, 45 à 59 ans = 17,4 %, plus de 60 ans = 20,4 %) ;
- 48,7 % de femmes (0 à 14 ans = 21,5 %, 15 à 29 ans = 14,4 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 16,5 %, plus de 60 ans = 27,3 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Tissu économique
[modifier | modifier le code]Sur 215 établissements présents sur la commune à fin 2010, 42 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 34 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[31].
En 2009, l'Insee recense 202 établissements actifs (dont 44 % en agriculture) toutes activités confondues[32].
En septembre 2012, l'Annuaire des entreprises[33] (hors agriculture) de la CCI de Maine-et-Loire compte 64 entreprises (62 en mars 2016), dont Gevrise (fabrication de chaussures, 80 personnes) qui a quitté Valanjou pour rejoindre le site Eram de Montjean-sur-Loire en 2015.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'inventaire général des Monuments historiques recense 115 bâtiments. Deux d'entre eux sont classés ou inscrits Monuments historiques[34] :
Parmi les autres édifices :
- Château d'Argonne.
- Chapelle du cimetière.
- Chapelle à Gonnord.
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié à Joué.
- Église Saint-Laurent d'Étiau.
- Église Saint-Martin de Joué : la déconstruction de son clocher a été votée en 2007. L'Association valanjevine de sauvegarde et de valorisation du patrimoine (AVSVP) se bat pour préserver cette église[35],[36],[37].
- Église Saint-Pierre de Gonnord (XIXe siècle).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Artus de Cossé-Brissac (1512-1582), maréchal de France, mort à Gonnord en 1582.
- François Bernier (1620-1688), né à Joué, philosophe et voyageur, médecin du Grand Moghol, Aurangzeb.
- Jean Peltier dit Peltier Dudoyer (1734-1803), armateur, marié le à Gabrielle Dudoyer, fille d'Étienne Dudoyer Procureur fiscal de Gonnord.
- Nicolas-Joseph Beaurepaire (1740-1792), colonel, marié à Marie-Anne Charlotte Banchereau-Dutail le à Joué-Étiau.
- Jean-Gabriel Peltier, né le à Gonnord et mort à Paris, le , journaliste français contre-révolutionnaire. Fils de Jean Peltier.
- Eugène Grellier, né le à Joué et mort à Laval, le , évêque de Laval.
- Hippolyte Fournier, né le à Rablay et mort à Gonnord, le , artiste peintre.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, Paris, J.-B. Dumoulin ; Angers, Lachèse et Dolbeau, 1876, tome 2, p. 125-126 : Étiau, p. 277-279 : Gonnord, p. 412-414 : Joué et Joué-Étiau. - L'édition originale ainsi que la seconde édition augmentée, publiée de 1965 à 1996 (Valanjou, p. 642-643 ) sont disponibles en ligne sur le site des Archives départementales.
- Gilles Houdry, Le Héros de Verdun, Généalogie Briarde, 2000, no 43, p. 7-11, (ISSN 0987-707X)[38]
- Tugdual de Langlais, L'armateur préféré de Beaumarchais Jean Peltier Dudoyer, Éditions Coiffard, Nantes, 2015, 340 pages, illustrations en couleurs. (ISBN 9782919339280).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- jucundus sur wiktionary.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- Préfecture de Maine-et-Loire, « Recueil des actes administratifs du 30 septembre 2015 », (consulté le ), Arrêté DRCL/BCL/2015-58 du 24 septembre 2015 portant création de la commune nouvelle de Chemillé-en-Anjou.
- IGN et BRGM, Géoportail Valanjou (49), consulté le 4 septembre 2012.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Valanjou (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 4 septembre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau) arrondies.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2011), consulté le 4 septembre 2012 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 57 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Joué-Étiau », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Etiau », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Insee, Code Officiel Géographique, Modifications des communes de Maine-et-Loire, consultées le 24 juin 2012.
- Bienvenue à Valanjou sur le site de la municipalité.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Découvrir Valanjou, Étymologie, consulté le 12 avril 2014.
- Valanjou, Témoignage d'une postière (au 21 septembre 2012, document écrit en préparation).
- « Feu vert pour trois communes nouvelles », sur Ouest-France, .
- « Présentation du conseil de Valanjou », sur Mairie de Chemillé-en-Anjou, (consulté le ).
- « Chemillé-en-Anjou. Les maires délégués de Chemillé-en-Anjou », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- Ministère de l'Intérieur, Élections municipales et communautaires 2014, consulté le 30 mars 2014.
- « Le premier maire de Valanjou, Philippe Cesbron-Lavau, est mort à l'âge de 98 ans », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Chemillé-en-Anjou, Camille, une vie pour les autres », Le Courrier de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- « Bernard Briodeau conserve son fauteuil de maire », Ouest-France, (lire en ligne).
- Insee, Composition de l'EPCI de la Région de Chemillé (244900577), consulté le 25 août 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Valanjou, consultée le 22 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- Préfecture de Maine-et-Loire, « Arrêté n° 2015/SGAR/319 portant modification des limites territoriales des arrondissements de Cholet, Angers et Saumur dans le département de Maine-et-Loire », (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
- « Évolution et structure de la population à Valanjou en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- Insee, Statistiques locales du territoire de Valanjou, consultées le 14 avril 2013.
- Insee, Commune de Valanjou, consulté le 21 septembre 2012.
- CCI de Maine-et-Loire, Entreprises de Valanjou, consulté le 21 septembre 2012.
- Ministère de la Culture, Valanjou sur la base Mérimée, consulté le 2 décembre 2012.
- La Tribune de l'Art, L’Anjou détruit ses églises, article du 26 mai 2007.
- Site de l'AVSVP (Association valanjevine de sauvegarde et de valorisation du patrimoine), consulté le 26 juillet 2007.
- TF1, Journal de 13 heures, reportage du 24 mai 2007.
- Gilles Houdry, Le Héros de Verdun, Généalogie Briarde, 2000, no 43, p. 7-11, (ISSN 0987-707X) sur le site de Philippe Houdry.