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Richard Morris Hunt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Richard Morris Hunt
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 67 ans)
NewportVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Island Cemetery (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Activités
Famille
Famille Hunt du Vermont (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Jonathan Hunt (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Jane Maria Leavitt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
William Morris Hunt
Leavitt Hunt (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Richard Howland Hunt (en)
Joseph Howland Hunt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Maître
Distinctions
Œuvres principales
signature de Richard Morris Hunt
Signature

Richard Morris Hunt né à Brattleboro (Vermont) le et mort à Newport (Rhode Island) le est un architecte américain.

Il appliqua la tendance éclectique et diffusa les préceptes de l'Académie des beaux-arts dans son pays. Frank Furness fut son élève. Richard Morris Hunt fut membre de l'Union League Club of New York[1].

Richard Morris Hunt s'établit quelque temps en France et voyage dans la vallée de la Loire où les châteaux de la Renaissance l'émerveillent. En 1854, il travaille à l'agrandissement du musée du Louvre confié à l'agence d'Hector Lefuel. Il revient aux États-Unis et ouvre un atelier-école à New York où il enseigne le style des Beaux-Arts.

Il est membre du jury de l'Exposition universelle de 1867 à Paris et le premier architecte américain mondialement connu. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur par la France pour sa conception du piédestal de la statue de la Liberté[2].

Réalisations

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Hunt travailla surtout pour le compte des grandes familles américaines, en particulier pour les Vanderbilt.

Notes et références

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  1. Robert Belot, Daniel Bermond, Bartholdi, Paris, Perrin, 2004, p. 260.
  2. Robert Belot, Daniel Bermond, op. cit., p. 349.
  3. Robert Belot, Daniel Bermond, op. cit., p. 260.

Liens externes

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