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Saint-Valérien (Yonne)

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Saint-Valérien
Saint-Valérien (Yonne)
La mairie de Saint-Valérien.
Blason de Saint-Valérien
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne
Maire
Mandat
Jérôme Cordier
2020-2026
Code postal 89150
Code commune 89370
Démographie
Gentilé Valérianais(e)
Population
municipale
1 771 hab. (2021 en évolution de +5,61 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 48″ nord, 3° 05′ 45″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 181 m
Superficie 22,31 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gâtinais en Bourgogne
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Valérien
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Saint-Valérien
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Saint-Valérien
Liens
Site web saintvalerien.com

Saint-Valérien est une commune française située dans le département de l'Yonne dans le nord de la région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Saint-Valérien se trouve dans le Gâtinais bourguignon, dans l'Est du Gâtinais qui couvre une partie des départements de l’Yonne, du Loiret et de Seine-et-Marne.

Sens est à 16 km à l'est et Nemours (Seine-et-Marne) à 31 km au nord-ouest[1].

Saint-Valérien est sur la route D81 de Sens à Nemours (cette route devient la D225 en passant en Seine-et-Marne)[2].

La gare la plus proche est Sens[1].

La sortie no 2 « Paron » de l'autoroute A19 (Orléans et régions Sud-Ouest et Ouest d'un côté, accès à Troyes par la A5 de l'autre) est à 9 km au sud-est sur Villeneuve-la-Dondagre.
L'échangeur no 17 « Courtenay » avec l'autoroute A6 (sortie n° 3 pour la A19, Paris-Lyon et le Sud-Est) est à 15 km au sud[1].
L’A5 (Melun-Sénart-Troyes et l’Est vers l’Europe) est accessible à 26 km au nord par la A19[1].
La commune bénéficie donc d'une situation autoroutière et ferroviaire favorable qui la place à 1 h 30 de Paris en conditions de circulation normale.

Hydrographie

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L'Orvanne, appelé autrefois ruisseau de Saint-Blaise, prend sa source sur la commune au nord-est du bourg[2]. Son eau très vive et abondante faisait tourner, à trois cents mètres en aval, le moulin de l'Écluse et un peu plus loin celui de la Grande Roue[2].

Le Lunain traverse le sud de la commune, et deux de ses petits affluents y prennent source[2] : le fossé 01 des Mirons[3] et le fossé 01 des Frégers[4].

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 725 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savigny-sur-Clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 732,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Saint-Valérien est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), forêts (4,2 %), zones urbanisées (2,8 %), prairies (0,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Les fouilles archéologiques effectuées le long de la voie romaine de Sens à Orléans (« Chemin de César ») ont révélé l'existence d'une agglomération antique d'une vingtaine d'hectares à proximité du village actuel. Ce vicus de la cité des Sénons était doté d'une trame viaire orthogonale centrée sur cette voie romaine. L'habitat encadrait plusieurs temples et des thermes alimentés par un aqueduc. Les habitants semblent avoir exercé une activité métallurgique[17].

La coutume de Lorris-Montargis a été rédigée le , sous le règne de François Ier. Elle régissait la commune de Saint-Valérien, qui avait été représentée lors de cette rédaction par Pierre Gibault, vicaire du curé de Saint-Valérien et procureur mandaté par les habitants, et Jacques Philippe, représentant de Vincent du Puys, chevalier, maître de l'hôtel du Roi, seigneur de Saint-Valérien[18].

La seigneurie "Sanctus Valerianus" (nom en 1274) relevait autrefois du bailliage de Sens[19] avait pour seigneur l'abbé des chanoines réguliers de Saint-Augustin, de l'ordre des Génovéfains. On ne sait pas à quelle date cette abbaye fut fondée. On ne connaît que le lieu qu'elle occupait : le fief de Briquemault, à un kilomètre du village en allant sur la route de Sens. La terre appartenait en 1518 à Pierre Dupuy qui la céda à la famille Dauvet. Nous la retrouvons en 1700, propriété de la famille Rérouart. Elle revint enfin à M. Douchin dont la fille épousa le marquis de Roquelaure. Sa vie s'acheva sur l'échafaud en 1794[18].

Le lieu-dit Coleuvrat était un fief particulier de la seigneurie de Nemours[18].

Époque contemporaine

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Au XIXe siècle il y avait une tuilerie au hameau le Champ d'Aulnaies (près de la commune de Fouchères à l'est)

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Période Identité Étiquette Qualité
    Maurice Montgermont    
    Jean Capel    
  1941[20] Georges Boully    
1945 1959 Philippe de Raincourt CNIP Sénateur (1948-1959)
    Jean-Pierre Goupillon    
1977 2001 Henri de Raincourt UDF Conseiller général (1980-2008) et sénateur (1986-2009)
2001 2014 Jean-Pierre Commun    
2014 En cours Jérôme Cordier[21]   Fonctionnaire

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 1 771 habitants[Note 2], en évolution de +5,61 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
862882915808886893926980979
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9841 0391 1261 1341 1241 0561 0851 1161 079
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0131 0271 046891883870846815758
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8541 1721 2311 4371 6661 5401 5591 5521 668
2015 2020 2021 - - - - - -
1 6771 7501 771------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Valérien réunit deux styles : le gothique du XIIIe siècle et le renaissance du XVIe siècle.
  • Le presbytère, construit en 1834.
  • Le château de Saint-Valérien a été reconstruit au début du XVIIIe siècle, sur les ruines d'un ancien château fort. On en voit encore les traces et les fossés mais les deux ailes qui lui donnaient un aspect grandiose ont été supprimées par un ancien propriétaire. Ce château appartenait au début du XIXe siècle à l'avoué Blaise Tripier, frère aîné de Nicolas Jean-Baptiste Tripier[26]. Il appartient actuellement à M. Henri de Raincourt.
  • Le lavoir de Fontaines.
  • Le lavoir des Mirons.
  • L'Orvanne.
  • Un monument marqué d'une croix de Lorraine, rappelle l'héroïsme des résistants lors de la dernière guerre.
  • Le gué des Archers, dont le nom est peut-être lié à la bataille de Dormelles[27].

Le sentier de grande randonnée de Pays (GRP) « Tour de l'Orvanne » traverse la commune, reliant le GR 11 sur Villecerf au nord-ouest au GR 213 sur Égriselles-le-Bocage au sud-est[2].

Paroisse de Saint-Valérien

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La paroisse de Saint Valérien appartient au diocèse de Sens-Auxerre et regroupe sept villages : Saint-Valérien, Dollot, Brannay, Villebougis, Villeroy, Fouchères et La Belliole

Depuis 19 ans, c'est l'abbé Eugène Plater-Syberg qui a la responsabilité de cette paroisse.

Autres cultes

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Une mosquée est en construction à Saint-Valérien[28].

Crèches et écoles, Restauration scolaire

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  • La Crèche - Halte-garderie
  • L'école maternelle composée de trois classes : petits, moyens et grands.
  • L'école primaire charles boulle composée de 5 classes : CP, CE1, CE2, CM1, CM2.
  • Le collège du gâtinais en bourgogne composé de 24 classes : 7 classes de sixième, 6 classes de cinquième, 6 classes de quatrième, 5 classes de troisième. Il y a en tout 577 élèves.
  • La Restauration scolaire proche de l'école maternelle pouvant accueillir 140 places en liaison froide.

Personnalités liées à la commune

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  • Georges Boully (1877-1949), homme politique, parlementaire de la IIIe République ;
  • Paul Cousin (1901-1980), banquier Président du club de l'amitié ;
  • Henri de Raincourt (1948-), homme politique, sénateur et ancien ministre ;
  • Philippe de Raincourt (1909-1959), homme politique, père du précédent ;
  • Jackie Venon, cascadeur.
  • Josette Thibaut, a gagné la médaille d'Or d'Athlétisme des Jeux Paralympiques d'été en 1968 à Tel-Aviv (Israël).

Événements

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • A. Vissuzaine, Notice historique, géographique et statistique sur Saint-Valérien, dans Monographies des villes et villages de France.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d « Saint-Valérien », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  2. a b c d et e « Saint-Valérien, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Mirons (F4384000) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Frégers (F4384200) ».
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Saint-Valérien et Savigny-sur-Clairis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Savigny-sur-Clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Savigny-sur-Clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Valérien ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Un ensemble cultuel au sein de l’agglomération antique de Saint-Valérien », sur inrap.fr, (consulté le ).
  18. a b et c « Saint-Valérien - Parcours historique », sur saintvalerien.com (consulté le ).
  19. [Quantin 1862] Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique du département de l'Yonne : comprenant les noms de lieux anciens et modernes (rédigé sous les auspices de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, publié par ordre du ministre de l'Instruction publique et sous la direction du Comité des travaux historiques et scientifiques et des sociétés savantes), Paris, imprimerie impériale, , 167 p. (lire en ligne), p. 119.
  20. Révoqué par le gouvernement de Vichy par décret publié au Journal officiel sur gallica.bnf.fr
  21. Saint-Valérien sur cg89.fr
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Minutier central des notaires parisiens, étude 19, carton 928.
  27. Alain Sabaï, « Le Gué des Archers », supplément à L'Yonne républicaine du 28 Juin 2001 « L’été dans l’Yonne – Édition 2001 », sur yonne-89.net (consulté en ).
  28. « Une tête de sanglier découverte devant la future mosquée de Saint-Valérien », France 3 régions,‎ (lire en ligne [sur france3-regions.francetvinfo.fr], consulté en ).