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Saint-Martial-de-Nabirat

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Saint-Martial-de-Nabirat
Saint-Martial-de-Nabirat
Le bourg de Saint-Martial-de-Nabirat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
(siège)
Maire
Mandat
Hervé Ménardie
2020-2026
Code postal 24250
Code commune 24450
Démographie
Population
municipale
570 hab. (2021 en évolution de −5,79 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 41″ nord, 1° 15′ 33″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 238 m
Superficie 15,57 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Martial-de-Nabirat
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Martial-de-Nabirat

Saint-Martial-de-Nabirat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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En Périgord noir, dans le quart sud-est du département de la Dordogne et à proximité du département du Lot, la commune de Saint-Martial-de-Nabirat est bordée au sud par le Céou, un affluent de la Dordogne. C'est une commune rurale[1] qui fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda[2].

Traversé par la route départementale (RD) 46, le bourg de Saint-Martial-de-Nabirat se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'ouest du centre-ville de Gourdon et dix-sept kilomètres au sud de celui de Sarlat-la-Canéda.

Le territoire communal est également desservi au sud par la RD 52 qui longe le Céou.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Communes limitrophes

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Saint-Martial-de-Nabirat est limitrophe de six autres communes. Au sud-est, son territoire est distant de 550 mètres de celui de Salviac, et au nord de 700 mètres de celui de Domme.


Communes limitrophes de Saint-Martial-de-Nabirat
Daglan Cénac-et-Saint-Julien Nabirat
Saint-Martial-de-Nabirat
Bouzic Florimont-Gaumier Saint-Aubin-de-Nabirat

Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Martial-de-Nabirat est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[3]. Elle est dans le causse de Daglan, au sud-ouest autour de Daglan, entre Saint-Cyprien, Domme et Villefranche-du-Périgord, vaste ensemble éclaté présentant de nombreux faciès calcaires, constitués principalement de pelouses sèches, de steppes, et de forêts perdant leurs feuilles en hiver.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 832 - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique de Saint-Martial-de-Nabirat.

Relief et paysages

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La vallée du Céou, au sud de la commune, au niveau du pont de Gaumier.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 105 mètres[7] à l'extrême sud-ouest, là où le Céou quitte la commune et entre sur celle de Bouzic, et 238 mètres[7] au nord-est, au niveau du château d'eau de Lol Haut[8],[9].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[11]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 15,57 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,71 km2[5].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par le Céou, le Riol et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8,5 km de longueur totale[17],[Carte 1].

Le Céou, d'une longueur totale de 55,07 km, prend sa source dans le Lot dans la commune de Séniergues et se jette en rive gauche de la Dordogne à Castelnaud-la-Chapelle, face à Vézac[18]. Il borde la commune au sud sur plus de quatre kilomètres et demi, face à Saint-Aubin-de-Nabirat, Florimont-Gaumier et Bouzic.

Son affluent de rive droite le Riol sert de limite territoriale au nord-ouest sur plus d'un kilomètre et demi face à Cénac-et-Saint-Julien et Daglan.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central ». La première est caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours). La seconde présente une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 965 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pays de Belvès à 20 km à vol d'oiseau[24], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,2 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Au , Saint-Martial-de-Nabirat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,5 %), forêts (43,8 %), prairies (6,3 %), zones urbanisées (2,4 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Saint-Martial-de-Nabirat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Céou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996 et 1999[35],[33].

Saint-Martial-de-Nabirat est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[36]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[37],[38].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martial-de-Nabirat.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[39]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 63,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[41].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1995 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Le nom de la commune se réfère à saint Martial, évêque de Limoges au IIIe siècle, et à la proximité de Nabirat[42].

En occitan, la commune porte le nom de Sent Marçal de Nabirac[43].

L'église Saint-Martial fut bâtie à l'époque romane. La première mention écrite connue du lieu remonte au XIVe siècle, sous la forme Sanctus Martialis prope monte Domae (« Saint Martial près du mont de Domme »)[42].

En 1828, la commune de « Saint-Martial » prend le nom de « Saint-Martial-de-Nabirat »[42].

En 1973, elle fusionne avec la commune de Saint-Aubin-de-Nabirat sous le nom de Saint-Martial-et-Saint-Aubin-de-Nabirat[44]. Cette fusion est annulée en 1984, et les deux communes initiales sont rétablies[44].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune de Saint-Martial-de-Nabirat a, dès 1790, été rattachée au canton de Daglan qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Domme dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[7].

Intercommunalité

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Fin 1997, Saint-Martial-de-Nabirat intègre dès sa création la communauté de communes du Canton de Domme. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1953 1977 Pierre Courbès    
         
1989 mars 2008 Jean-Guy Planche    
mars 2008 avril 2014 Pascal Grousset SE[47] Directeur de communauté de communes
avril 2014[48] juillet 2020 Jean-Pierre Coudoumie    
juillet 2020 En cours Hervé Ménardie    

Équipements et services publics

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En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Martial-de-Nabirat relève[49] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

En 2021, la commune comptait 570 habitants[Note 5], en évolution de −5,79 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9259069809241 1621 2061 2131 2151 157
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1661 1261 1291 1331 0531 0671 005971915
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
898853825709689669640598551
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
494473574537512513614644616
2018 2021 - - - - - - -
574570-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1973 à 1983, Saint-Martial-de-Nabirat avait fusionné avec Saint-Aubin-de-Nabirat, formant la nouvelle commune éphémère de Saint-Martial-et-Saint-Aubin-de-Nabirat. Les chiffres des recensements de 1975 et 1982 ci-dessus correspondent à ceux du total des deux communes. À cette époque, Saint-Martial-de-Nabirat seule avait 463 habitants en 1975 et 415 habitants en 1982[53].

Manifestations culturelles et festivités

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À la fin de l'hiver, « Foire de l'arbre » dans les rues et places du bourg (35e édition en 2024[54]).

En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 214 personnes, soit 35,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-neuf) a diminué par rapport à 2010 (vingt-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,0 %.

Établissements

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Au , la commune compte 61 établissements[56], dont vingt-neuf au niveau des commerces, transports ou services, treize dans la construction, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[57].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Martial-de-Nabirat » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  2. Aire d'attraction des villes 2020 de Sarlat-la-Canéda (233), Insee, consulté le .
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Saint-Martial-de-Nabirat » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Martial-de-Nabirat », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 832 - Gourdon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. « Chât. d'eau 238 » sur Géoportail (consulté le 4 juillet 2022)..
  9. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  10. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Martial-de-Nabirat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  17. « Fiche communale de Saint-Martial-de-Nabirat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  18. « Confluence Céou-Dordogne au sud du Port Vieux » sur Géoportail (consulté le 29 septembre 2022)..
  19. « SAGE Dordogne amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
  20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  22. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  23. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
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  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  33. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Martial-de-Nabirat », sur Géorisques (consulté le ).
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  36. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  37. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
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  39. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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