Saint-Marcel-lès-Sauzet
Saint-Marcel-lès-Sauzet | |||||
Église de Saint-Marcel-lès-Sauzet, sur la place du village. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Yves Lévêque 2020-2026 |
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Code postal | 26740 | ||||
Code commune | 26312 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Marcelous | ||||
Population municipale |
1 250 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 314 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 35′ 47″ nord, 4° 48′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 290 m |
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Superficie | 3,98 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Montélimar (banlieue) |
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Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieulefit | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-Marcel-lès-Sauzet est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Saint-Marcel-lès-Sauzet est situé à 7 km au nord-est de Montélimar.
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Marcel-lès-Sauzet est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montélimar, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,7 %), forêts (29,7 %), zones urbanisées (24,9 %), terres arables (10,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]- Le bourg aurait porté le nom de *Fellin- (Félines) jusqu'à la fondation du monastère au Xe siècle[13].
- 985 : locus Beati Marcelli que dicitur Fellinis (cartulaire de Cluny, 1715)[14].
- 1125 : Sanctus Marcellus de Salzeto (Bibl. Cluniacensis, 1377)[14].
- 1125 : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli de Salzeto (Bibl. Cluniacensis, 1377)[15].
- 1198 : Sanctus Marcellus de Sauze alias de Sauciaco (cartulaire de Die, 47)[14].
- 1198 : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli de Sauze ou de Sauciaco[15].
- 1282 : Sanctus Marcellus de Sazzeto et Sanctus Marcellus de Sacceto (visites de Cluny)[14].
- 1282 : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli de Sazzeto et Sanctus Marcellus de Sacceto (visites de Cluny)[15].
- 1323 : Sanctus Marcellus de Sazeto (visites de Cluny)[14].
- 1323 : mention du prieuré : Sanctus Marcellus de Sageto (Défin. de Cluny)[15].
- XIVe siècle : Sanctus Marcellus de Sauzeto (pouillé de Valence)[14].
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli de Sauzeto (pouillé de Valence)[15].
- 1376 : Sanctus Marcellus prope Sauzetum (cartulaire de Montélimar, 68)[14].
- 1376 : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli prope Sauzetum (cartulaire de Montélimar, 68)[15].
- 1380 : Sainct Marcel proche Saubzet (inventaire de la chambre des comptes)[14].
- XVe siècle : Sanctus Marcellus de Sauseto (rôle de décimes)[14].
- XVe siècle : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli de Sauseto (rôle de décimes)[15].
- 1510 : Sanctus Marcellus Saulzeti (rôle de décimes)[14].
- 1510 : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli Saulzeti (rôle de décimes)[15].
- 1515 : Sanctus Marcellus secus Sauzetum (rôle de décimes)[14].
- 1543 : mention du prieuré : le prioré Sainct Marceau (inventaire de la chambre des comptes)[15].
- 1555 : mention du prieuré : prioratus Sancti Marcelli secus Sauzetum (inventaire de la chambre des comptes)[15].
- 1793 : Beauvallon[14] [appellation révolutionnaire].
- 1891 : Saint-Marcel-de-Sauzet, commune du canton de Marsanne[14].
- 1891 : Le Prieuré, église forte et couvent de la commune de Saint-Marcel-de-Sauzet[15].
(non daté)[réf. nécessaire] : Saint-Marcel-lès-Sauzet.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Sauzet de la commune voisine viendrait de la présence de nombreux saules en bordure du Roubion[réf. nécessaire].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Le bourg aurait porté le nom de *Fellin- (Félines)[13], probablement en raison de Fellinus, une divinité païenne invoquée contre les vents[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie : au point de vue féodal, Saint-Marcel-lès-Sauzet faisait partie de la terre de Sauzet. Cependant, la seigneurie fut un moment aux mains des prieurs (1520) à qui elle avait été engagée[14].
En 985, le prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, filiation de Cluny, est fondé par les comtes de Valentinois[15].
Autre version : en 985 le comte Lambert, de la maison des Poitiers, puis son fils Adhémar en 1037, par « donation et vente de terres, biens et droits » aux religieux bénédictins de Cluny, sont à l'origine de la fondation d'un monastère[réf. nécessaire].
Ce monastère est l'un des plus anciens centres chrétiens du Dauphiné[13].
Du XIIIe au XVe siècle, ce monastère jouit de droits importants, notamment de juridiction, sur plusieurs dépendances parfois éloignées : Alba (diocèse de Viviers), Plan de Baix (diocèse de Die), Réauville en Tricastin[réf. nécessaire].
Le village se développe à côté du prieuré, profitant du canal qui alimente le prieuré, ses terres et le moulin[réf. nécessaire].
Jusqu'en 1323, Saint-Marcel appartient à la famille des Poitiers[réf. nécessaire].
En 1521, François 1er vend cette propriété à Humbert de Mons, prieur de Saint-Marcel, mais en reprend possession en 1525, après avoir remboursé Humbert de Mons[réf. nécessaire].
Du XVIe au XVIIe siècle, la période des guerres de Religion est marquée par la présence d'un prieur, François Louis Faure, de triste réputation[réf. nécessaire].
En 1642, la seigneurie passe aux princes de Monaco (famille des Grimaldi) alors duc de Valentinois. Ils seront les derniers seigneurs[réf. nécessaire].
Avant 1790, Saint-Marcel-lès-Sauzet était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, filiation de Cluny, et dont les dîmes appartenaient au prieur, qui pourvoyait au service paroissial (voir le Prieuré)[14].
Du prieuré dépendaient les prieurés de Aups, Autichamp, Espeluche, le Plan-de-Baix, Puygiron et Roynac. Le titulaire de ce prieuré était décimateur dans les paroisses de Sauzet, Saint-Marcel-lès-Sauzet et Savasse[15].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]Dès 1789, les moines de Saint-Marcel abandonnent le prieuré qui est pillé. Les titres et papiers sont brûlés, les statues mutilées. Les biens, église et prieuré, sont vendus[réf. nécessaire].
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Sauzet. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Marsanne[14].
Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune choisit de porter le nom de Beauvallon[16].
En 1831, l'église est restituée à la commune[réf. nécessaire].
En , l'administration révoque le maire et son adjoint « pour n'avoir fait preuve d'aucune énergie » pour empêcher la participation de la population à une insurrection contre le pouvoir[réf. nécessaire].
En 1863, des pères maristes s'installent au prieuré jusqu'à la fin du XIXe siècle[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].
En 2021, la commune comptait 1 250 habitants[Note 2], en évolution de +1,96 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête communale : le dernier dimanche de juillet[13].
- Fête patronale : le deuxième dimanche d'octobre[13].
- Animation artistique et culturelle : village fleuri, son et lumière, manifestations folkloriques, foire au troc[13].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]En 1992 : céréales, vignes, ovins[13].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vestiges anciens du bourg[13].
- Porte fortifiée de l'enceinte[réf. nécessaire].
- Prieuré (XIIe siècle). Redevenu bien privé au début du XXe siècle, les bâtiments ont été transformés en appartements en 1986[réf. nécessaire].
- Église (MH) : ancienne abbatiale Saint-Marcel (XIIe siècle) de style roman provençal : chapiteaux à feuilles d'eau, croisée du transept couverte d'une coupole octogonale sur trompes ornées, chœur en berceau brisé[13].
- Fontaine[13].
- Château du Serret[13].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Une photo de l'église a été prise en 1895 par Séraphin-Médéric Mieusement, photographe français de monuments historiques et d'édifices religieux[21].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Saint-Marcel-lès-Sauzet possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Marcel-lès-Sauzet sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Marcel-lès-Sauzet et Montboucher-sur-Jabron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Marcel-lès-Sauzet.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 347 (commune).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 290 (Le Prieuré).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Saint-Marcel-lès-Sauzet sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 23 janvier 2015).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Farid Abdelouahab (préface de Jack Lang), Regards objectifs. Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, , 183 p. (ISBN 2-85056-436-2), p. 67.