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Nueil-les-Aubiers

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Nueil-les-Aubiers
Nueil-les-Aubiers
L'église Saint-Hilaire.
Blason de Nueil-les-Aubiers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais
Maire
Mandat
Serge Bouju
2020-2026
Code postal 79250
Code commune 79195
Démographie
Gentilé Nueillaubrais
Population
municipale
5 566 hab. (2021 en évolution de −0,86 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 56′ 17″ nord, 0° 35′ 19″ ouest
Altitude Min. 94 m
Max. 211 m
Superficie 98,83 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Nueil-les-Aubiers
(ville isolée)
Aire d'attraction Bressuire
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mauléon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Nueil-les-Aubiers
Géolocalisation sur la carte : France
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Nueil-les-Aubiers
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
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Nueil-les-Aubiers
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Nueil-les-Aubiers
Liens
Site web ville-nueil-les-aubiers.fr

Nueil-les-Aubiers est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Nueillaubrais.

Géographie

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Commune située au nord du département des Deux-Sèvres, au sein du bocage bressuirais, à 15 km du nord de Bressuire et à une trentaine de km du sud de Cholet (Maine-et-Loire).

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est traversée dans sa largeur par deux rivières, que sont la Scie (au centre) et l'Argent (au sud). La partie nord de la commune, située à une altitude moyenne de 150 mètres, est relativement sèche et marquée d’un nombre important de mares et lacs, tandis que la partie sud est marquée par la présence de la vallée de l’Argent.

L’ensemble de la commune appartient au bocage bressuirais : les parcelles de champs y sont étroites et pourvues d’un réseau de haies qui les délimite. Les essences d’arbres les plus observées sont les chênes, châtaigniers et frênes. Les haies sont aussi composées d’arbustes dont le sureau, l’églantier ou l’ajonc.

Voies de communication et transports

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Nueil-les-Aubiers est desservie en autocars par le réseau Tréma (ligne 7).

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 805 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1938 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records NUEIL-LES-AUBIERS (79) - alt : 118 m 46° 56′ 24″ N, 0° 35′ 00″ O
Records établis sur la période du 01-01-1948 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,5 3,3 4,8 8,4 11,3 13,2 12,9 10,4 8,2 4,4 2,2 6,9
Température moyenne (°C) 4,8 5,3 7,9 10,1 13,9 17,3 19,4 19,2 16,3 12,6 7,9 5,2 11,7
Température maximale moyenne (°C) 7,8 9 12,5 15,3 19,4 23,3 25,7 25,5 22,2 17,1 11,4 8,1 16,5
Record de froid (°C)
date du record
−16
17.01.1987
−13,5
20.02.1986
−10,5
01.03.05
−4,4
08.04.21
−2,4
08.05.1974
1,8
05.06.1989
5,4
26.07.1974
4,9
31.08.1986
2
26.09.10
−2,9
29.10.1997
−8
30.11.1978
−10,5
29.12.1996
−16
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
18,3
01.01.22
20,5
23.02.1990
23,9
31.03.21
30,4
30.04.05
33,2
29.05.01
37,5
22.06.03
38,9
21.07.1990
39,4
10.08.03
33,5
04.09.13
30,7
02.10.11
20,5
08.11.1988
18,1
07.12.00
39,4
2003
Précipitations (mm) 90,9 65,9 62,7 66,7 68 45,8 59,3 46,7 60 90,4 84,2 91,2 831,8
Source : « Fiche 79017001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Nueil-les-Aubiers est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nueil-les-Aubiers[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bressuire, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[10]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,2 %), zones agricoles hétérogènes (31,7 %), prairies (27,7 %), zones urbanisées (3,3 %), forêts (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Nueil-les-Aubiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Argenton et la Pommeraye. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1984, 1995, 1999, 2010, 2012 et 2014[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nueil-les-Aubiers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 5,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Nueil-les-Aubiers est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

La commune fut créée le par fusion simple des communes des Aubiers (quartier nord) et de Nueil-sur-Argent (quartier sud, appelée Nueil-sous-les-Aubiers avant 1964)[21].

Cette fusion fait dans un premier temps suite à 30 ans d'urbanisation, qui ont amené à voir se dessiner une liaison urbaine entre les deux anciens bourgs historiques, éloignés de 2,25 km ainsi qu'à une structuration de l'activité sociale et commerciale communes. La fusion a été approuvée par la population en 1999 et mise en œuvre à partir de .

Le village des Aubiers s’est créé au croisement du chemin reliant Mauléon à Thouars et de la voie romaine reliant Nantes à Poitiers. L’origine de la création du village de Nueil-sur-Argent est, quant à elle, liée à la proximité de la rivière l’Argent qui permit notamment le développement des moulins à eau.

L’histoire communale est marquée par la guerre de Vendée, puisque le eut lieu la victoire d'Henri de La Rochejaquelein et des Vendéens aux Aubiers (voir bataille des Aubiers). Un monument commémoratif est érigé au bois des Chèvres, à proximité de la route reliant Nueil-les-Aubiers à Cerizay.

À la suite de cette période difficile, durant le XIXe siècle, les deux communes prennent un essor sensible sur le plan économique et les activités textiles vont se développer sur le territoire. En 1800, la production de la manufacture de draperie locale s’installa, et une douzaine d’ouvriers y travaillaient. L’activité se développa et en 1850, on comptabilisa jusqu’à 52 métiers à tisser, les tisserands écoulant dans la région la majorité de la production.

L'arrivée du chemin de fer en 1880 avec la construction de la ligne Bressuire—Cholet dernier tronçon entre Nantes et Poitiers, n'a pas eu une très grosse incidence sur l'industrie locale, et la gare fut construite plus près du bourg de Nueil.

Mais c’est seulement à la suite de la Seconde Guerre mondiale que les deux communes connurent un important développement sur le plan industriel.

Héraldique

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Blason de Nueil-les-Aubiers Blason
D'argent à la croix pattée et alésée de gueules, à la bordure de sable chargée de onze besants d'or, au chef d'azur à trois fleurs de lis d'or brochant sur la bordure.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

La commune est située dans le territoire le plus industrialisé des Deux-Sèvres, c’est-à-dire le bocage bressuirais en périphérie du territoire choletais, traditionnellement très dynamique sur le plan économique et marqué par la présence d’industrie rurale.

L'économie locale fait part belle à l'agriculture d'élevage et à l'industrie agroalimentaire (Gastronome et Arrivé Bellané), notamment spécialisée dans la volaille. L'entreprise Gastronome emploie près d’un millier de personnes sur la zone. Dans le même temps d'autres activités sont présentes dans les domaines de la mécano-soudure (SMM), des polyesters (Polyplast) ou encore des emballages (Mondi Packaging, Caisserie aubraise moderne) en parallèle de l'activité commerciale classique, de l’artisanat et des services. Il y a encore une dizaine d'années, l'industrie du textile et de la chaussure (Benard – MAAC) était encore très présente mais seule une moyenne entreprise existe encore aujourd'hui (SIDO NEW).

La commune héberge les sièges des sociétés éditrices des magazines informatiques Avosmac (axé sur les Macintosh et iOS), et celui de Body Nature, une marque de produits de bien-être, cosmétiques et entretien.

Selon les sources de l’Insee, plus de 95 % du parc de logements est constitué de logements de type individuel. Ces chiffres s’expliquent par un nombre très élevé de fermes sur un territoire communal très étendu, et consacré traditionnellement à l’élevage ; mais aussi par une urbanisation effectuée quasi exclusivement sous forme pavillonnaire depuis les années 1970.

Dans le même temps, le logement social est bien développé, diversifié et dispersé sur l’ensemble de la commune. Cette situation facilite l’accueil de nouvelle population venant travailler dans les entreprises locales.

La commune est marquée par la traversée de nombreux poids lourds, trafic cependant atténué depuis la mise en place d'une déviation, ne laissant place qu'aux dessertes des entreprises locales. L’accès aux transports collectifs se limite aux cars scolaires et aux lignes de bus du RDS qui desservent Bressuire et Argenton-Vallée. Les connexions aux trains sont éloignés de 15 à 30 km, depuis la fermeture de la gare il y a quelques décennies et la transformation des voies ferrées en voie verte.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Centre socio-culturel de Nueil-les-Aubiers.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Victor Guiet   Maire de Nueil-sur-Argent
mars 2001 décembre 2002 Dominique Paillé UDF, UMP Député de la 4e circonscription des Deux-Sèvres (1993 → 2007)
Maire des Aubiers (1989 → 2001)
décembre 2002 mars 2008 Louis-Marie Baron DVD  
mars 2008 mai 2020 Philippe Brémond UMP, LR Cadre du secteur public
Conseiller général (2009 → 2015) puis départemental de Mauléon (2015 → )
5e vice-président du conseil départemental des Deux-Sèvres (2015 → )
mai 2020 En cours Serge Bouju DVD Maître de conférences en droit public

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[22].

Démographie

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En , Les Aubiers et Nueil-sur-Argent fusionnent sous le nom de Nueil-les-Aubiers.

Démographie des Aubiers

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Évolution démographique des Aubiers
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2001 1591 6171 8561 8761 7851 9072 0672 121
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2372 3382 5222 4612 5342 5622 7192 7422 626
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7162 6852 6952 3772 3082 3142 2482 3572 283
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
2 3332 3092 5402 7602 9242 876---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes.
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[23].)

Démographie de Nueil-sous-les-Aubiers puis Nueil-sur-Argent, puis Nueil-les-Aubiers

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 5 566 habitants[Note 7], en évolution de −0,86 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8008121 5311 4591 5431 4731 5221 5941 663
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6971 7591 8922 0462 1072 2292 2492 2042 129
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1802 1512 1721 8511 7881 7391 7731 7411 738
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 7851 7251 9942 1362 1562 1165 3275 4125 632
2018 2021 - - - - - - -
5 5135 566-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie sociale

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La commune est marquée par un très fort dynamisme associatif puisque plus d’une cinquantaine d’associations sont recensées représentant 1 700 adhérents, soit 1/3 de la population totale.

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 79017001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Nueil-les-Aubiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Nueil-les-Aubiers ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bressuire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Nueil-les-Aubiers », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. « Commune de Nueil-les-Aubiers (79195) », sur le site de l'Insee (consulté en ).
  22. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : s », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Site Internet du lieu : http://nueilaubiers.csc79.org
  29. Journées européennes du patrimoine : patrimoine culturel, patrimoine naturel, 20 & 21 septembre 2014 en bocage bressuirais, (livret informatif distribué par l'office du tourisme), Cerizay, Agglo Bocage Bressuirais, , 26 p., p. 22.

Bibliographie

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  • Groupe "Chez Nous d'Hier à Aujourd'hui" du CSC, Un siècle d'histoire(s) à Nueil-les-Aubiers, 2005
  • Collectif nueillaubrais, Nueil-les-Aubiers autrefois, 1999
  • Jean Chiron, voyage dans l’histoire des Deux-Sèvres, 1990

Articles connexes

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Liens externes

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