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Opéra pour enfants

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'opéra pour enfants, appelé également, en France, comédie musicale pour enfants, est autant une forme musicale qu'un « exercice » pédagogique destiné principalement aux enfants[1].

Il faut distinguer la forme opéra pour enfants, faisant l'objet du présent article, constituées d'œuvres composées pour enfants-interprètes (c’est-à-dire jouées par les enfants musiciens, chanteurs, danseurs et/ou acteurs encadrés par des enseignants artistiques), des œuvres conçues à destination d’enfants-spectateurs et interprétées, elles, par des adultes[2].

Création du Voyage de Seth de Philippe Dulat en ouverture du Festival d'opéras pour enfants de La Chapelle Saint-Mesmin en juin 1991

Définition

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L'opéra pour enfants est une appellation très générale qui englobe une multitude de styles où doivent obligatoirement intervenir des parties instrumentales (orchestre, petit ensemble ou piano), des dialogues, des parties chantées (chorale et/ou solistes) tenues principalement par des jeunes et devant faire l'objet d'une mise en scène, la chorégraphie restant facultative.

L'opéra pour enfants comprend autant de formes différentes que l'opéra pour adultes. Les principales étant:

  • le conte musical (où le récitant accompagné par un orchestre, un ensemble instrumental, des chœurs ou un instrument soliste, joue un rôle central),
  • la comédie musicale (où peuvent figurer des scènes parlées et des ballets à l'image des comédies musicales américaines),
  • l'opéra pour enfants (où les chœurs d'enfants constituent, avec l'orchestre, l'élément moteur de l'histoire) et dont le compositeur Claude-Henry Joubert[3] est, en France, à partir des années 1980, l'un des initiateurs,
  • ou bien un mélange de ces trois formes.

Les adaptations d'opéras pour adultes ne pouvant convenir, sauf rares exceptions, pour des raisons évidentes de difficultés de réalisation, le répertoire, que viennent enrichir chaque année des compositeurs et des librettistes venus de tous horizons, est constitué essentiellement d'œuvres originales. Mais des musiciens tels que Henry Purcell, Georg Philipp Telemann, Wolfgang Amadeus Mozart, Darius Milhaud, Malcolm Williamson et Benjamin Britten, pour ne citer que les plus célèbres, ont été, en quelque sorte, les précurseurs de cette discipline.

Origines et développement

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À partir du VIe siècle, apparaissent les premières maîtrises appelées scholæ, sortes d'écoles de musique du chant liturgique romain. La pureté des voix d'enfants était appelée à remplacer progressivement les voix féminines dans la liturgie. Elles disparaîtront avec la révolution française.

Vers la fin du XIIIe siècle, Adam de la Halle écrit le Jeu de Robin et Marion, œuvre dans laquelle alternent des dialogues, des chants et des danses. Cette pastourelle très appréciée au moins jusqu'à la fin du siècle suivant, était jouée tous les ans à Angers, notamment par les écoliers[4].

Renaissance

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Les écoliers de Lausanne et de Genève jouèrent en 1552 Le Sacrifice d'Abraham (Abraham sacrifiant), tragédie avec des chœurs, un prologue et un épilogue de Théodore de Bèze en présence de l'auteur[5].

En 1580, Fronton du Duc fait jouer à ses élèves devant le Duc Charles III de Lorraine à Pont-à-Mousson, une tragédie de sa composition intitulée l'Histoire tragique de la Pucelle de Domrémy, aultrement d'Orléans avec chœurs des enfants et filles de France, un avant-jeu en vers et des épodes chantées en musique[6].

À Londres, du temps d'Élisabeth Ire (1533-1603), les enfants de la maîtrise de la cathédrale Saint-Paul se transformèrent peu à peu en une véritable troupe d'acteurs[7].

À Rouen, les élèves du collège des Bons-Enfants, représentent, le 7 septembre 1597, Polixène, tragi-comédie en cinq actes avec chœurs, écrite par leur régent Jean Behourt[8].

XVIIe siècle

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En 1689, Henry Purcell compose Dido and Æneas pour les jeunes filles d'un pensionnat de Chelsea (Royaume-Uni)[9].

À la même époque, Jean-Baptiste Moreau compose pour les Demoiselles de Saint-Cyr (Maison royale de Saint-Louis), la musique des pièces de Jean Racine, interprétée par les jeunes filles du pensionnat fondé en 1686 par Madame de Maintenon: Esther, en 1689 en présence du roi Louis XIV et de Jacques-Bénigne Bossuet puis Athalie en 1691[10].

En 1698, l'évêque d'Arras, Guy de Sève de Rochechouart publie une ordonnance règlementant, dans les collèges religieux dépendants de son diocèse, la représentation de tragédies par les élèves, interdisant notamment d'y joindre comédies, ballets et opéras[11].

XVIIIe siècle et XIXe siècle

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En 1767, Wolfgang Amadeus Mozart compose pour le lycée de Salzbourg (Autriche), la comédie latine Apollo et Hyacinthus, dont les deux solistes éponymes sont âgés de 12 ans[9].

Grâce au mouvement des orphéons, créé par Wilhem en 1833, on assiste, pendant tout le XIXe siècle, à un développement sans précédent des Sociétés chorales ou Sociétés orphéonistes, permettant ainsi à ses membres, issus pour la plupart des classes moyennes et populaires, d'abord composées d'hommes, rejoints plus tard par les femmes puis les enfants, de s'adonner à la pratique de la musique[12].

À partir de 1855, Monseigneur Félix Dupanloup fait réaliser, dans la langue d'origine, par les élèves du Petit Séminaire de La Chapelle-Saint-Mesmin, plusieurs tragédies grecques[13]: de Sophocle: Philoctète (1855 à l'Evêché d'Orléans et 1877 à La Chapelle Saint-Mesmin), Œdipe à Colone (1857 à l'Evêché d'Orléans, 1873 et 1890 à La Chapelle Saint-Mesmin), Antigone (1869 et 1905 à La Chapelle Saint-Mesmin[14]), Électre (1881 à La Chapelle Saint-Mesmin, et d'Eschyle: Les Perses (1862 et 1863[15] salle de l'Institut à Orléans) et Prométhée (1867 salle de l'Institut à Orléans). Toutes ces pièces étaient entrecoupées de chœurs tirés d' Antigone et d' Œdipe à Colone de Felix Mendelssohn traduits pour l'occasion et chantés en grec ancien par les élèves[16],[17],[18]. Des opérettes sont également interprétées par les élèves du petit séminaire, pendant cette période, notamment Monsieur Deschalumeaux de Frédéric Barbier en 1861, Le Royal Dindon de Luigi Bordèse en 1867, A Clichy d'Adolphe Adam, Pattes blanches de Laurent de Rillé, Lischen et Fritzchen et Les Deux Aveugles de Jacques Offenbach et enfin A qui le Neveu de Théodore Botrel[18]. Des extraits de l'opéra Charles VI de Fromental Halévy sont donnés en 1880, 1887 et 1895 et des opéra-comiques tels que Lambert Simnel de Hippolyte Monpou (1883 et 1897), Haydée et Fra Diavolo d'Esprit Auber (respectivement en 1885, 1901 et 1900), et enfin Le Chalet d'Adolphe Adam (1899). En 1894, les élèves du petit séminaire donnent deux représentations du Mistère du siège d'Orléans d'un auteur anonyme , entrecoupées, notamment de chœurs extraits de Jeanne d'Arc de Charles Gounod. L'intégrale des quatre actes de ce dernier opéra avait été donnée précédemment par les élèves en 1888[18].

XXe siècle

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Parallèlement à la renaissance des maîtrises de cathédrales, de nombreuses maîtrises laïques voient le jour au XXe siècle avec notamment la création de la maîtrise de Radio France en 1946.

À la fin des années 1960, le dėveloppement des politiques culturelles publiques, avec notamment la création massive d'écoles de musique et conservatoires, a contribué à favoriser par ce mode d'expression l’accès du plus grand nombre à la culture et à la pratique artistique.

Aujourd'hui

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De nos jours, la plupart des opéras pour enfants, en France, sont généralement créés dans le cadre des écoles maternelles, des écoles élémentaires, des collèges, des écoles de musique, des conservatoires, des maîtrises ou des associations musicales.

Ce genre a connu un tel succès à partir des années 1990, que plusieurs villes de France ont intégré dans leurs programmations culturelles ce type de manifestations et qu'un festival national lui a été consacré annuellement pendant une dizaine d'années à La Chapelle-Saint-Mesmin[1]. Les commandes faites auprès de compositeurs venus de différents horizons ont contribué à promouvoir la création de nombreux opéras et comédies musicales pour enfants ces dernières années.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, la réalisation de comédies musicales dans les établissements scolaires est une pratique courante.

Il existe même dans ces pays et au Canada, des structures permanentes de productions d'opéras par et pour enfants: Opera by Children (Logan, Utah Festival, USA), Dragon Hall London Children’s Opera Company (Londres UK), Canadian Children Opera Company (Toronto Canada). Voir les sites internet correspondants ci-dessous.

Perspectives

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Le vieillissement des publics d’opéra pour adultes mène, depuis plusieurs années, les théâtres musicaux à investir dans de nouvelles formes afin de favoriser le renouvellement de ces publics. L'opéra pour enfants peut donc permettre également de sensibiliser les jeunes à l’opéra pour adultes dans le but de contribuer à former le spectateur de demain[2].

D’ordinaire peu accessibles au jeune public, certaines compagnies ou certaines maisons d'opéras commencent à ouvrir leurs portes au jeune public. Au jardin avec Papagena, un opéra créé par l'Opéra buissonnier[19] destiné aux bébés, a pour objectif de se déplacer dans les lieux d’accueil des jeunes enfants.

Principaux compositeurs

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Œuvres principales

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D'autres œuvres plus récentes sont également répertoriées sur le Portail des Opéras en France[35]

Notes et références

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  1. a et b http://operapourenfants.monsite-orange.fr/page3/index.html
  2. a et b « Répertoire numérique des opéras pour enfants », sur franceoperas.fr (consulté le ).
  3. « L'opéra par et pour les enfants est un formidable moyen: d'utiliser la dynamique d'un groupe au service de chacun ; de cristalliser des éléments souvent épars de la formation: formation de l'oreille, de la voix, du corps, du « corps en scène », des techniquesmusicales (lecture, culture, pratique instrumentale et vocale, responsabilité, invention...) ; de réunir des compétences diverses et complémentaires (enseignement spécialisé, éducation nationale, structures associatives et privées) ; de contribuer au renouvellement constant du répertoire par l'écriture d'œuvres » (Préface de Claude-Henry Joubert de l'ouvrage Opéras pour enfants de Caroline Rosoor et Jean-Michel Thauré, 1993, édition IMPC).
  4. Par une lettre de mission datée de 1392, nous voyons qu'à Angers cette jolie pastorale était jouée tous les ans, pendant les fêtes de Pâques: Jehan le bègue, et cinq ou six autres écoliers, ses compagnons, s'en allèrent jouer par la ville d'Angers déguisés, à un jeu que l'on dit Robin et Marion, ainsi qu'il est coutume de faire chaque année fêtes de la Pentecôte en ladite ville d'Angers par les gens du pays, tant par les écoliers et fils de bourgeois comme autres en la compagnie desquels Jehan le bègue et de ses manants in Le Théâtre au Collège du Moyen Âge à nos jours de L. V Gofflot; pages 24 et 25, 367 pages, édition Honoré Champion, Paris 1907. Lire en ligne sur le site de la BNF https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4056171
  5. in Le Théâtre au Collège du Moyen Âge à nos jours de L. V Gofflot, page 80, 367 pages, édition Honoré Champion, Paris 1907. Lire en ligne sur le site de la BNF https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4056171
  6. In Histoire du Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin d'Émile Huet (page 322), Orléans, Paul Pigelet & Fils, 1913, 450 p., réédité en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626)
  7. in Histoire littéraire du Peuple anglais de Jusserand, tome II, p. 529, éditions Firmin-Didot, 1894 - 580 pages
  8. in Le Théâtre au Collège du Moyen Âge à nos jours de L. V Gofflot, page 63 , 367 pages, édition Honoré Champion, Paris 1907. Lire en ligne sur le site de la BNF https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4056171
  9. a et b In Lettre à Elissa, Réflexion sur l'histoire et la fonction des opéras pour enfants, de Claude-Henry Joubert, publiée in ORFEO OPERA, 20 années de rencontres chorales d'enfants, Éditions ADEM 06, Nice, 2004
  10. Voir notamment les circonstances et les conséquences de la création de ces deux œuvres, pages 189 et 190 et pages 208 à 263, in Le Théâtre au Collège du Moyen Âge à nos jours de L. V Gofflot, 367 pages, édition Honoré Champion, Paris 1907. Lire en ligne sur le site de la BNF https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4056171.
  11. II. Nous défendons de joindre à la représentation de ces tragédies, des comédies et des opéras avec des danses qui ne peuvent qu'être une semence de corruption pour une jeunesse capable, dans cet âge tendre, de toute sorte d'impressions. On s'y servira beaucoup moins de certaines représentations bouffonnes très indignes du christianisme, et que l'on ne voit et que l'on ne souffre qu'avec peine dans les places publiques, tels que des arlequins et semblables travestissements. Nous suivons, avec plaisir, sur le sujet de ces tragédies, l'esprit et les sentiments d'une savante compagnie dont l'un des principaux emplois est l'instruction de la jeunesse qu'elles ne soient faites qu'en latin, que l'usage en soit très rare; qu'elles aient un sujet saint et pieux; que les intermèdes des actes soient tous latins et n'ayent rien qui s'éloigne de la bienséance, et que l'on n'y introduise aucun personnage de femme, ni jamais l'habit de ce sexe. Nous croyons devoir exhorter les régents qui seront chargez de ces sortes d'ouvrages, de ne pas y donner si fort leur temps, qu'ils oublient le soin qu'ils doivent prendre de leurs écoliers, et de se souvenir qu'ils doivent s'appliquer beaucoup plus à les rendre de bons chrétiens qu'à en faire de bons acteurs in Le Théâtre au Collège du Moyen Âge à nos jours de L. V Gofflot, pages 190 à 193 , 367 pages, édition Honoré Champion, Paris 1907. Lire en ligne sur le site de la BNF https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4056171.
  12. Orphéon
  13. Préface de Jules Claretie, in Le Théâtre au Collège du Moyen Âge à nos jours de L. V Gofflot , 367 pages, édition Honoré Champion, Paris 1907. Lire en ligne sur le site de la BNF https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4056171
  14. Voir à ce sujet, sur le site Gallica.Bnf, l'ouvrage Antigone consacré à la traduction et à la représentation du 25 juillet 1869 donnée par les élèves du petit séminaire
  15. voir compte-rendu par le Journal du Loiret du 9 février 1863 http://aurelia.orleans.fr/wrap/img-viewer/1861_1880/452346101_1863/452346101_18630209109387/jpeg-109387/iipviewer.html?base=mets&monoid=ark:-bmo-mets-doc-109387&treq=&vcontext=mets&ns=10000002.jpg
  16. In Lettre à Elissa page 9, Réflexion sur l'histoire et la fonction des opéras pour enfants, de Claude-Henry Joubert, publiée in ORFEO OPERA, 20 années de rencontres chorales d'enfants, Éditions ADEM 06, Nice, 2004
  17. In Vie de Monseigneur Dupanloup, évêque d'Orléans, page 122 et 123, par M. L'abbé F. Lagrange, Librairie Poussielgue Frères, tome II, 1883, Paris
  18. a b et c In Histoire du Petit Séminaire de La Chapelle Saint-Mesmin d'Émile Huet (pages 325 à 326), Orléans, Paul Pigelet & Fils, 1913, 450 p., réédité en 2010 par Kessinger Publishing (ISBN 1166792625 et 978-1166792626)
  19. www.opera-buissonnier.com
  20. Atchafalaya
  21. Isabelle Aboulker, Rémi Laureillard, Pierre-Marie Dizier et Choeur d'Enfants du Festival de la Voix de Chinon, Atchafalaya : opéra pour enfants, APEM, (lire en ligne)
  22. Les Aventures de Rodomont et Tranchemontagne
  23. Bonjour petite baleine
  24. Chaplin d'une rive à l'autre
  25. La Chèvre de Monsieur Seguin
  26. Dr Jekyll et Mr Haydn
  27. Idriss ou la fête interrompue
  28. Lascaux, la grotte aux enfants
  29. Mademoiselle Louise et l'aviateur allié sur CD
  30. Mademoiselle Louise et l'aviateur allié sur Youtube
  31. Le Tour du monde en 80 jours
  32. Le Voyage de Seth
  33. « Catalogue d'Henry Lemoine, éditeur »
  34. www.operapourenfants.com
  35. Projet OPEN du Portail des Opéras en France: Le répertoire numérique des opéras pour enfants

Bibliographie

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  • Lucie Allardet et Jean-François Claudel, 75 opéras pour enfants, IPMC, .
  • Caroline Rosoor et Jean-Michel Thauré, Opéras pour enfants, IPMC, (lire en ligne).
  • Gunter Reiss, Opern und Musicals für Kinder und Jugendliche : Ein Leitfaden durch das internationale Repertoire vom 19. Jahrhundert bis zur Gegenwart. Mit einer Bibliographie der wissenschaftlichen Literatur (1945-2004), Oldenburg, Forschungsstelle Theater und Musik (CD-Rom), .
  • Gunter Reiss, Theater und Musik für Kinder, Frankfurt am Main, Peter Lang, .
  • Isolde Schmid-Reiter, Kinderoper : Ästhetische Herausforderung und pädagogische Verpflichtung, Regensburg, Conbrio, .
  • Alain Gout, Histoire des maîtrises en Occident, Paris, Éditions universitaires, , 183 p..

Thèses, articles

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  • Coralie Fayolle, « Les Opéras pour enfants en France de 1982 à 1995 », thèse de doctorat, Paris, Université de Paris IV-Sorbonne,‎ .
  • Claude-Henry Joubert, « Lettre à Elissa : Réflexion sur l'histoire et la fonction des opéras pour enfants », publiée in ORFEO OPERA, 1983/2003, 20 années de rencontres chorales d'enfants, Nice, ADEM 06,‎ , p. 12-69.
  • Theresa Schmitz, « L'Opéra pour enfants : Une étude interdisciplinaire sur la création musicale à destination de l'enfant spectateur », Thèse de doctorat de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, Paris, Vrin,‎ .
  • Theresa Schmitz, « L'Opéra pour enfants : Un genre entre école et opéra », Perspectives actuelles de la recherche en éducation musicale, Paris, L'Harmattan,‎ , p. 10.

Articles connexes

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Liens externes

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Informations générales

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Principales structures réalisant des opéras ou des comédies musicales pour enfants

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