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Ida Ferrier

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ida Ferrier
Biographie
Naissance
Décès
(à 47 ans)
Gênes
Nom de naissance
Marguerite Joséphine Calais
Autres noms
Marguerite Joséphine Ferrand, Mademoiselle Ida, Ida Dumas, Ida Ferrier Dumas, la marquise de la Pailleterie
Nationalité
Activité
Conjoint
Alexandre Dumas (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata

Ida Ferrier, née Marguerite Joséphine Calais (légitimée Marguerite Joséphine Ferrand) le à Nancy et morte le à Gênes, est une comédienne française.

Elle a utilisé le nom de scène Mademoiselle Ida.

En dehors de sa carrière artistique, elle est connue pour avoir été la maîtresse et l'unique épouse du romancier Alexandre Dumas.

Jeunesse et famille

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Marguerite Joséphine Calais naît en 1811 chez une sage-femme de Nancy, fille naturelle d'Anne Calais[Note 1], âgée de 24 ans et originaire à Lunéville[1]. Elle est reconnue en 1812 par sa mère et par Mathias Ferrand, entrepreneur de messageries né à Lyon et déjà marié. L'année suivante, établis séparément à Metz, ses parents se marient après le divorce de Ferrand, légitimant leur fille[2]. Cette dernière prend le nom de son père, alors âgé de 63 ans.

Selon un article de Léon Beauvallet paru en 1856 dans Le Figaro[3], Marguerite Joséphine Ferrand décide très tôt de faire du théâtre, malgré les réticences de son père. Encore mineure, elle obtient de lui une autorisation ainsi rédigée : « D'après les intentions manifestées par ma fille, Ida Ferrand, je consens à ce ce qu'elle suive l'exécution de ses projets, qui sont d'entrer au théâtre ; je lui promets de n'y mettre aucun obstacle, si toutefois elle ne s'éloigne pas de la voie de l'honneur. À Nancy, le . Ferrand. » Munie de ce billet, la jeune fille part à Paris avec sa mère, qui la soutient dans son ambition[4].

Le , Marguerite Joséphine Ferrand est engagée, avec l'autorisation de ses deux parents, comme élève chez les frères Edmond et Jules Seveste[3], propriétaires de théâtres. Son salaire — 25 francs, puis 40 francs à partir de 1830 — étant insuffisant, sa mère s'engage à subvenir à ses besoins. L'apprentie comédienne prend pour nom de scène Mademoiselle Ida et tient son premier rôle important en sur la scène du théâtre Montparnasse, dans Shylock, un drame de Du Lac et Alboize inspiré de Shakespeare[5]. Le , un nouveau contrat lui est proposé, pour des rôles d'« amoureuses en tous genres », avec un salaire de 50 francs[3]. Cette fois, sa mère refuse les termes de l'engagement et entre en conflit avec les Seveste : opposant que sa fille est de santé fragile et que la soutenir financièrement est désormais une charge trop lourde[Note 2], elle exige que le contrat soit rompu. Prétextant être malade, la jeune actrice cesse de paraître en novembre sur la scène du théâtre Montmartre, où elle jouait, avec Jean-François-Alfred Bayard et Dumanoir, dans La Perle des maris, comédie vaudeville de Julien de Mallian[6]. Le mois suivant, après que les Seveste ont porté plainte, elle est condamnée à payer des indemnités par le tribunal de commerce de la Seine. Sa mère fait opposition du jugement et le jeune fille refuse de reprendre son rôle. En 1887, Charles Glinel, spécialiste de Dumas, explique que la véritable raison de cette désaffection serait sa rencontre avec un « protecteur », qui lui aurait promis de lui ouvrir une carrière théâtrale plus prestigieuse[4]. Et, de fait, en 1830, la presse prête à Mademoiselle Ida une telle relation, sans toutefois citer de nom[7]. Pour se rapprocher de cet homme, la jeune fille et sa mère quittent leur modeste appartement de la rue du Montparnasse, pour la rue Cadet.

Ida Ferrier

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En 1831, Mademoiselle Ida est choisie avec l'acteur Bocage pour jouer dans Teresa, drame d'Alexandre Dumas mis en scène par Émile Laurent[4]. À cette occasion, elle fait la rencontre du romancier, qui tombe sous son charme. Leur liaison commence après la première, donnée le au théâtre de l'Opéra-Comique. L'engagement professionnel de la comédienne suscite une nouvelle plainte des frères Seveste contre elle. À l'issue de multiples transactions, les deux parties s'accordent sur la somme de 1 200 francs, mais il n'est pas sûr que Mademoiselle Ida l'ait finalement payée[3].

Le nom de scène Ida Ferrier apparaît dans la presse en , tandis que l'actrice débute au théâtre du Palais-Royal, dans deux pièces différentes : La Créance d'Anna, comédie vaudeville écrite pour elle par Jacques-François Ancelot, et Les Deux Frères, drame d'August von Kotzebue[8]. Dans Le Courrier français[9], on lit :

« Mlle Ida Ferrier est une jeune personne dont la figure est agréable et le maintien décent. Elle dit le dialogue d'une manière naturelle, et parait avoir de la sensibilité. Malheureusement, son organe est légèrement voilé, ce qui l'empêche de varier les inflexions de sa voix, et jette un peu de monotonie sur sa diction. On l'avait distinguée au théâtre de l'Opéra-Comique dans Térésa, drame de M. Dumas, dans lequel elle jouait, à la vérité, le meilleur rôle, celui d'une jeune fille pleine de candeur, de vertus, et qui devient la plus malheureuse des femmes. »

Ida Ferrier quitte le théâtre du Palais-Royal en [10] pour entrer au théâtre de la Porte Saint-Martin, où elle se produit notamment dans Marie Tudor de Victor Hugo — en remplacement de Juliette Drouet dont le jeu est étrillé par la critique — puis dans différente pièces d'Alexandre Dumas et d'Auguste Anicet-Bourgeois. La presse se montre parfois très dure envers elle. Ainsi, on lit dans La France[11] : « Mlle Ida est une de ces actrices nomades, qu’une protection impose partout, mais que leur nullité dépossède bientôt d’un emploi usurpé. En quelque lieu que surgisse un drame de M. Alexandre Dumas, Mlle Ida arrive pour le faire tomber. »

En 1837, Dumas intervient pour la fait engager à la Comédie-Française, où doit se jouer son Caligula[4]. Elle obtient un contrat dje jeune première, d'une durée d'un an à partir d'octobre, avec des appointements de 4 000 francs. Mais la pièce est un échec cuisant[12]. La façon de parler d'Ida Ferrier — on dit d'elle qu'elle a l'air perpétuellement enrhumée — et surtout son embonpoint et sa petite taille lui valent des moqueries acerbes dans le milieu du théâtre[13]. Après la dernière, le , l'actrice ne se produit plus sur la scène du Français[4].

Elle joue ses deux derniers rôles en 1839, dans la troupe du théâtre de la Renaissance, fondé salle Ventadour à l'initiative de Victor Hugo et Alexandre Dumas, qui souhaitent disposer d'un endroit où faire jouer leurs pièces[14]. Une partie de la critique continue d'ironiser sur son physique, mais elle a aussi ses admirateurs, qui défendent sa beauté[4]. Ainsi, Théophile Gautier lui consacre un portrait élogieux dans Les Belles Femmes de Paris.

Relation avec Alexandre Dumas

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À l'époque où Ida Ferrier et Alexandre Dumas entament leur relation, en 1831, le romancier devient père pour la deuxième fois, d'une fille prénommée Marie-Alexandrine qu'il a eue avec l'actrice Belle Kreilssamner, et à cette occasion il légitime son fils Alexandre, né en 1824 de sa relation avec Laure Labay[15],[Note 3]. Pendant deux ans, Dumas continue d'entretenir en parallèle une liaison avec Belle Kreilssamner[17]. En 1833, cette dernière, comprenant qu'elle est désormais supplantée par Ida Ferrier, choisit de renoncer à sa position de maîtresse.

Ida Ferrier et Alexandre Dumas vivent ensemble et reçoivent beaucoup, dans un appartement du 30, rue Bleue[4] que la comédienne a meublé et décoré[17]. Mais leur relation est tumultueuse, jalonnée de disputes et d'infidélités. Dumas multiplie les aventures et, de son côté, Ida Ferrier devient un temps l'amante de Roger de Beauvoir[Note 4]. L'actrice accepte néanmoins de s'occuper de la petite Marie-Alexandrine, avec laquelle elle semble partager une affection sincère. Sa carrière ne reprend pas après son mariage[4].

Malgré leurs conflits, les amants se marient en [18]. Selon une anecdote reprise dans la presse, l'écrivain se serait peu avant rendu, en compagnie d'Ida Ferrier, à un bal donné par le duc d'Orléans[19]. Ce dernier aurait alors dit « Il est entendu, mon cher Dumas, que vous n'avez pu me présenter que votre femme », remarque qui aurait contraint Dumas à épouser sa maîtresse. Au moment de leur mariage, les amants vivent dans un appartement du 22, rue de Rivoli. Le est signé chez un notaire le contrat de mariage[20]. Il stipule que les deux témoins du marié sont « M. François-Auguste vicomte de Chateaubriand, pair de France » et « M. Abel-François Villemain, pair de France, ministre de l'Instruction publique », et ceux de la mariée « M. Nicolas-Roger-Maurice, vicomte de Narbonne-Lara » et « M. Gaspard Couret de La Bonardière, conseiller d’État ». Ida Ferrier apporte une dot considérable de 120 000 francs[17]. Le , le mariage civil est célébré à la mairie du 1er arrondissement[18] et la cérémonie religieuse à l'église Saint-Roch, avec pour témoins le peintre Louis Boulanger et l'architecte Charles Robelin, mais sans la présence de Chateaubriand, représenté par Charles Nodier[21]. Alexandre Dumas fils réagit très mal à cette union[17], à l'instar de certaines maîtresses de Dumas, comme Mélanie Waldor et Belle Kreilssamner[22].

À la fin de l'année 1840, le couple s'établit à Florence[17], mais Alexandre Dumas s'absente fréquemment pour retourner en France[23]. Ida Ferrier continue d'élever en partie Marie-Alexandrine. Dumas est de plus en plus endetté. En , il rentre seul à Paris pour assister aux répétitions de ses pièces. Ida Ferrier fait la rencontre du douzième prince de Villafranca, duc de Salaparuta, prince de Montereale et duc de Saponara. Selon la comédienne Mademoiselle Mars, Dumas « a quitté Florence convaincu de son malheur et on dit, quoiqu'il n'en convienne pas tout haut, qu'ils sont séparés »[24].

Les Dumas se séparent à l'amiable en 1844, sans toutefois divorcer[25]. Le , les modalités de la séparation sont enregistrées chez un avoué[17] : Dumas doit verser une pension mensuelle de 10 000 francs, sa fille restant à la charge d'Ida Ferrier. Elles vont continuer de vivre ensemble jusqu'en 1847[23]. Ida Ferrier s'installe avec le prince de Villafranca, et séjourne à Rome ou à Paris.

En , Ida Ferrier exige la séparation de biens[4] et réclame à Dumas une pension supplémentaire. Le , le tribunal de la Seine ordonne la vente du château de Monte-Cristo pour payer la pension et rembourser les 120 000 francs de la dot. Après confirmation du jugement en juillet, le romancier est contraint de vendre aux enchères son château mais, l'ayant fait racheter par un prête-nom, il continue un temps à l'habiter. Sa faillite personnelle est finalement prononcée en 1852, sans qu'il ait remboursé sa femme.

Dernières années

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Ida Ferrier et le prince de Villafranca vivent un temps à Nice[17], puis se partagent entre et Gênes et Paris, où le prince fait construire en 1857 un hôtel particulier au 38, avenue Gabriel[26],[27].

Dans une lettre datée du , adressée au journaliste Albéric Second et reproduite dans la presse, Auguste Maquet, l'ancien collaborateur d'Alexandre Dumas, annonce avec tristesse la mort d'Ida Ferrier, survenue la veille à Gênes[28],[29],[Note 5]. Il écrit : « Mme Alexandre Dumas (Ida Ferrier) est morte presque subitement ici d’une attaque d’apoplexie. Elle habitait un appartement du palezzo Picasso, près de la belle promenade de l’Acqua Sola. C’est hier, à trois heures de l'après-midi, qu’elle a expiré, assistée de Mgr Guarini, aumônier du consulat général de France. » André Maurois, dans Les Trois Dumas, et Alain Decaux, dans son Dictionnaire amoureux de Alexandre Dumas, affirment quant à eux qu'elle est morte d'un cancer de l'utérus.

Les obsèques d'Ida Ferrier ont lieu le dans la paroisse de Notre-Dame-de-la-Consolation de Gênes[4] et elle est inhumée au cimetière Staglieno[28]. Au prince de Villafranca, inconsolable, George Sand adresse ces mots depuis Nohant : « Mon Dieu, quel coup pour vous, et quelle douleur, quel immense regret pour tous ceux qui l'ont connue ! Une si grande âme, une si vaste intelligence ! »[4] Alexandre Dumas est averti de la mort de sa femme par une lettre du romancier Alphonse Karr. Dans sa réponse, il accuse réception de la nouvelle froidement et conclut : « Mme Dumas était venue à Paris il y a un an et s'était fait payer sa dot, 120 000 francs. J'ai son reçu. »

Dans la culture

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  • Charles Glinel, « Alexandre Dumas intime. Ida Ferrier », Le Livre,‎ , p. 97-111 (lire en ligne) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • André Maurel, Les Trois Dumas : le général Dumas, Alexandre Dumas, père, Alexandre Dumas, fils, Paris, La Librairie illustrée, (lire en ligne)
  • L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Paris, Duprat, (lire en ligne), « Mlle Ida Ferrier », p. 27-28
  • André Maurois, Les Trois Dumas, Paris, Hachette, (traduction anglaise en ligne [lire en ligne][26])
  • Alain Decaux, Dictionnaire amoureux de Alexandre Dumas, Plon, coll. « Dictionnaire amoureux », (ISBN 978-2-259-21105-5) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Archives personnelles

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  • Contrat de mariage du , Minutes et répertoires du notaire Jean-Baptiste Desmanèches pour l'étude LXXX, enregistré le , Archives nationales (images du répertoire : cote 7 v°-42 r°[33] ; minutes : cote MC/ET/LXXX/183[34])
  • Procuration par Marguerite-Joséphine-Ida Ferrand, dite Ida Ferrier, comédienne, habitant Florence (Italie), épouse d'Alexandre Dumas Davy de La Pailleterie, homme de lettres, à Anne Calais, veuve Ferrand, sa mère, Minutes et répertoires du notaire François Mouchet, , Archives nationales (cote MC/ET/XX/1015)[35]

Notes et références

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  1. Son patronyme est écrit Calley sur son acte de mariage, en 1813.
  2. Mathias Ferrand est mort entre-temps.
  3. À la mort de Laure Labay, en 1868, certains articles de presse la confondent avec Ida Ferrier (parfois appelée Ida Perrier) dont on dit alors à tort qu'elle est la mère d'Alexandre Dumas fils[16].
  4. Certaines sources indiquent que Roger de Beauvoir aurait été le témoin de mariage d'Ida Ferrier, mais cette information est erronée. Cf. infra.
  5. Et non à Pise, comme l'indique l'acte de décès d'Alexandre Dumas. Une transcription de l'acte de décès d'Ida Ferrier figure dans l’article de Charles Glinel, cité en source.

Références

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  1. Acte de naissance, , Nancy (avec mentions marginales de reconnaissance et de légitimation), Archives départementales de Meurthe-et-Moselle [lire en ligne] (vue 112/153)
  2. Acte de mariage, , Metz (3e section), Archives municipales de Metz [lire en ligne] (vues 185-187/293)
  3. a b c et d Léon Beauvallet, « La banlieue dramatique », Le Figaro,‎ , p. 2-5 (lire en ligne)
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p et q Charles Glinel, « Alexandre Dumas intime. Ida Ferrier », Le Livre,‎ , p. 97-111 (lire en ligne)
  5. « Théâtre Montparnasse », sur Gallica, L'Extra-muros, (consulté le ), p. 2
  6. « Théâtre Montmartre », sur Gallica, L'Extra-muros, (consulté le ), p. 3
  7. « Pochades », sur Gallica, L'Extra-muros, (consulté le ), p. 3
  8. « Th. du Palais-Royal », sur Gallica, Le Courrier des théâtres, (consulté le ), p. 1
  9. « Théâtre du Palais-Royal », sur Gallica, Le Courrier français, (consulté le ), p. 4
  10. « Dragées », Vert-vert,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  11. « Représentation extraordinaire au bénéfice de Mademoiselle Ida », La France,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  12. a et b Laure Boulerie, « La tentation de la tragédie classique chez Dumas », dans Le Théâtre de Dumas père, entre héritage et renouvellement, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », , 43–56 p. (ISBN 978-2-7535-7749-7, lire en ligne)
  13. Delphine de Girardin, Œuvres complètes, t. IV, Henri Plon, (lire en ligne), « Lettres parisiennes », p. 231-237
  14. Philippe Chauveau, Les Théâtres parisiens disparus (1402-1986), éd. de l'Amandier, Paris, 1999 (ISBN 978-2-907649-30-8)
  15. Paul Guth, Histoire de la littérature française, éd. Flammarion, 1981.
  16. G. Michel, « Chronique parisienne », sur Gallica, L'Abeille cauchoise, (consulté le ), p. 1
  17. a b c d e f et g Alain Decaux, Dictionnaire amoureux de Alexandre Dumas, Plon, coll. « Dictionnaire amoureux », (ISBN 978-2-259-21105-5)
  18. a et b Acte de mariage du , reconstitué après le , Paris 1er (ancien), Archives de Paris [lire en ligne] (vue 18/48)
  19. H. G., « Chronique. Dumas père. II », La Gazette,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  20. Fernande Bassan, « Une amitié littéraire : Chateaubriand et Dumas père », Nineteenth-Century French Studies, vol. 29, nos 3/4,‎ , p. 217–225 (ISSN 0146-7891, lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le )
  21. « Courrier du  », L'Aube,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  22. André Maurois, Les Trois Dumas, Hachette,
  23. a et b Société des amis d'Alexandre Dumas, « Alexandre Dumas et les femmes (compte-rendu d'exposition) », Société des amis d'Alexandre Dumas,‎ (lire en ligne)
  24. « Alexandre Dumas, romancier de l’Histoire (partie 2) », sur Europe 1, (consulté le )
  25. « MS. 2007.0.24. Portrait d'Ida Ferrier, épouse d'Alexandre Dumas Père par A. Constant », sur ccfr.bnf.fr (consulté le )
  26. a et b (en) André Maurois, The Titans, a three-generation biography of the Dumas, New York, Harper, (lire en ligne)
  27. A. Claveau, « Courrier de Paris », sur Gallica, Courrier franco-italien, (consulté le ), p. 1
  28. a et b « Mort de Mme Alexandre Dumas », Vert-vert,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  29. Jules Le Sire, « M. Auguste Maquet, qui vient de partir pour l'Italie... », sur Gallica, Revue des races latines, (consulté le ), p. 209
  30. Atelier Maleuvre (Paris) Graveur, « [La vénitienne, drame d'Anicet-Bourgeois et Alexandre Dumas : costume de Mademoiselle Ida (Violetta) / gravé par Maleuvre] », sur Gallica, (consulté le )
  31. Julien, « Théâtres », sur Gallica, Le Figaro, (consulté le ), p. 1-2
  32. J. M., « "Le Secret de Monte-Cristo" », L’Aube,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  33. « Images des répertoires du notaire Jean-Baptiste Desmanèches pour l'étude LXXX (cote 7 v°-42 r°) », sur Archives nationales (consulté le ), vue 4/35
  34. « Minutes et répertoires du notaire Jean-Baptiste Desmanèches pour l'étude LXXX (cote MC/ET/LXXX/183) », sur Archives nationales, janvier 1840-mars 1840 (consulté le )
  35. « Procuration par Marguerite-Joséphine-Ida Ferrand, dite Ida Ferrier, comédienne, habitant Florence (Italie), épouse d'Alexandre Dumas Davy de La Pailleterie, homme de lettres, à Anne Calais, veuve Ferrand, sa mère (cote MC/ET/XX/101) », sur Archives nationales, Minutes et répertoires du notaire François Mouchet, (consulté le )

Liens externes

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