Frugerès-les-Mines
Frugerès-les-Mines | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Auzon Communauté | ||||
Maire Mandat |
André Ollagnier 2020-2026 |
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Code postal | 43250 | ||||
Code commune | 43099 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
555 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 514 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
10 636 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 23′ 14″ nord, 3° 18′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 414 m Max. 480 m |
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Superficie | 1,08 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Brassac-les-Mines (banlieue) |
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Aire d'attraction | Issoire (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sainte-Florine | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Frugerès-les-Mines - ou Frugères-les-Mines[1] - est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Frugerès-les-Mines se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 71 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, à 14 km de Brioude[3], sous-préfecture, et à 3 km de Sainte-Florine[4], bureau centralisateur du canton de Sainte-Florine dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Vergongheon (2,0 km), Sainte-Florine (2,3 km), Lempdes-sur-Allagnon (2,8 km), Brassac-les-Mines (3,5 km), Vézézoux (3,7 km), Charbonnier-les-Mines (3,8 km), Moriat (4,1 km), Bournoncle-Saint-Pierre (4,8 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 577 mm, avec 7,4 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontannes », sur la commune de Fontannes à 14 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 611,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Frugerès-les-Mines est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brassac-les-Mines[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoire, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,2 %), zones urbanisées (31 %), forêts (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), prairies (4,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 325, alors qu'il était de 309 en 2013 et de 293 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 84,2 % étaient des résidences principales, 3,6 % des résidences secondaires et 12,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Frugères-les-Mines en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,6 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,2 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Frugères-les-Mines[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 84,2 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,6 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12,1 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Graphies anciennes[17] : Frodegarius, 937 et Frotgeriarum 1272.
Le nom officiel de la commune est Frugerès-les-Mines, Frugères-les-Mines n'étant qu'un nom d'usage. Le nom en occitan est Frogueiret.
Histoire
[modifier | modifier le code]Au XIIe siècle, fut fondé un hospice. Il dépendait de l'hôpital de Saint-Antoine en Viennois. Il avait pour vocation la thérapie du mal des ardents. Cette maladie était provoquée par l'absorption de farine contenant de l'ergotine ou alcaloïde de l'ergot du seigle (proche du LSD). Les malades présentaient des hallucinations, troubles psychiques commençant par des frissons, suivis de chaleurs avec impressions de brûlures.
En 1928, trois mineurs trouvent la mort dans une explosion au Puits de Coincy[18].
Au puits du Parc, le , un accident dû au gaz carbonique a causé la mort de douze mineurs. Il s'agit de la plus grosse catastrophe connue dans le bassin minier de Brassac[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Frugerès-les-Mines est membre de la communauté de communes Auzon Communauté[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Sainte-Florine. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Sainte-Florine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[21].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 555 habitants[Note 6], en évolution de −0,18 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 276 hommes pour 278 femmes, soit un taux de 50,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 274 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 558 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 820 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 7,5 % | 5,9 % | 8,9 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 293 personnes, parmi lesquelles on compte 82,5 % d'actifs (73,6 % ayant un emploi et 8,9 % de chômeurs) et 17,5 % d'inactifs[Note 8],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Issoire, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 39 emplois en 2018, contre 48 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 218, soit un indicateur de concentration d'emploi de 18,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,8 %[I 15].
Sur ces 218 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 6 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 96,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château détruit de Frugères.
- La congrégation des Hospitaliers de Saint-Antoine[27].
- Église dédiée à saint Antoine.
- Au no 26 de la rue de la Combes, on trouve l'École conceptuelle Sainte-Heugnette autrefois implantée dans le 16e arrondissement de Paris.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Brassac-les-Mines, il y a trois villes-centres (Sainte-Florine, Vergongheon et Brassac-les-Mines) et trois communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Frugerès-les-Mines ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Frugères-les-Mines » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Frugères-les-Mines - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Frugères-les-Mines - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Frugerès-les-Mines (43099) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Frugerès-les-Mines » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Frugerès-les-Mines » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Frugerès-les-Mines » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Nom d'usage.
- Stephan Georg, « Distance entre Frugerès-les-Mines et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Frugerès-les-Mines et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Frugerès-les-Mines et Sainte-Florine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Frugerès-les-Mines », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Frugerès-les-Mines et Fontannes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontannes », sur la commune de Fontannes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Fontannes », sur la commune de Fontannes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Brassac-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Issoire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - 2 volumes - Étymologie de 35 000 noms de lieux, p. 877.
- Le Temps, [s.n.], (lire en ligne).
- La catastrophe du puits du Parc
- « communauté de communes Auzon Communauté - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jean Perrel, « Les Antonins en Haute-Loire », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay, : l'ordre possède 5 établissements en Haute-Loire dont la préceptorie de Frugerès-les-Mines, la plus ancienne pour toute l’Auvergne, mentionnée en 1272