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Didier Pasamonik

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Didier Pasamonik
Didier Pasamonik en 2017.
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Didier Pasamonik, né le à Ostende (province de Flandre-Occidentale) en Belgique, est un acteur de la bande dessinée d'expression française : éditeur, directeur de collection[1], journaliste, historien de la bande dessinée[2] et commissaire d'exposition.

Biographie

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Jeunesse

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Didier Pasamonik et son frère jumeau Daniel naissent le [3] à Ostende[4] (province de Flandre-Occidentale), dans une famille de commerçants[5]. Ils grandissent en demeurant tant en Flandre qu'en Wallonie[5]. Alors qu'ils ont dix ans, leur famille s’installe près de la gare du Midi à Bruxelles. Ils sont passionnés de bande dessinée, bien introduits auprès des auteurs et à l'âge de 13-14 ans, leur trafic de bandes dessinées anciennes en font des marchands en chambre, leur assurant une indépendance financière[5]. À l'âge de quinze ans, ils participent au fanzine Buck[6] dirigé par le futur spécialiste et historien de la bande dessinée Thierry Groensteen. Les frères Pasamonik deviennent directeurs de collection aux éditions Bédéscope[7], fondent les éditions Jonas avec Jan Bucquoy.

Chic Bull

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Les frères Pasamonik lancent la librairie Chic Bull en 1979[8] à Bruxelles et éditent leurs premiers albums sous le label Magic-Strip[9] en [10].

Ils publient à la fois des rééditions de classiques franco-belges (Hergé, Cuvelier, Franquin[5], Vandersteen, Tibet, Sandy et Hoppy de Lambil[5] et Jijé[11]) et de jeunes auteurs (Yves Chaland, Serge Clerc, Bézian, Colman[12], Dupuy et Berberian, Daniel Torres, Ruben Pellejero, Jorge Zentner[13] et même Cleet Boris[14] le chanteur de L'Affaire Louis' Trio. Ils figurent parmi les précurseurs dans l’édition de monographies[10] sur la bande dessinée éditant le premier ouvrage de Thierry Groensteen (Tardi, Monographie, 1980[5]) ainsi que Benoît Peeters (Les Bijoux ravis, 1983) et Bruno Lecigne (Les Héritiers d’Hergé[15], 1983). Magic-Strip se distingue également par ses collections au caractère très affirmé, comme « Atomium 58 » (1981), dont l’ouvrage dirigé par Didier Pasamonik L’Expo 58 et le Style atome (1983) est le manifeste.[réf. souhaitée]

En 1987, après la faillite de leur distributeur Maître du Monde[10], la société Magic-Strip est revendue aux éditions Loempia[10]. Elle reste dirigée par Daniel Pasamonik (avant qu’il ne passe chez Hélyode et ne décède en ), tandis que son frère Didier prend la direction d’Hachette BD, une division du groupe Hachette qui regroupe à ce moment-là Les Humanoïdes associés, Hachette BD et Le Livre de poche BD. Il reste deux ans chez Hachette et se lance ensuite dans le conseil éditorial aussi bien dans le domaine de la direction éditoriale (Cartoon Creation[16], Fleurus Presse, Standaard Uitgeverij, Dark Horse France, L’Express…) que dans le domaine des droits audiovisuels et étrangers. Parallèlement à ces activités, il dirige des collections successivement pour Vertige Graphic, Berg International et Steinkis et a une importante activité de journaliste ainsi en quelques décennies, il rédige de nombreux articles sur la bande dessinée y compris sur le site ActuaBD.com qu’il dirige depuis 2003[17] et pour lequel il réalise des interviews disponibles en podcasts. Il est fondateur et président de l’Agence de bande dessinée[18] et en outre participe à des expositions internationales, activité qu’il exerce encore en 2022 en tant que commissariat scientifique de l'exposition Spirou dans la tourmente de la Shoah[19].

Carrière d'éditeur

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Didier Pasamonik commence sa carrière dans le milieu de la bande dessinée avec son frère jumeau, Daniel, décédé en [20]. Il est successivement directeur de collection en 1977 aux éditions Bédéscope[7] ; cofondateur des éditions Jonas avec Jan Bucquoy en 1978 ; cocréateur des éditions Magic Strip[13] en 1979 ; directeur général de Hachette BD et des Humanoïdes Associés de 1988 à 1989 ; directeur éditorial de Cartoon Creation de 1990 à 1992 ; conseiller éditorial et agent de Fleurus presse entre 1990 et 1995 ; directeur-gérant de DPC Agency[21],[22] de 1993 à 2000 ; cofondateur des éditions Bethy en 1997[23] ; directeur de collection chez Vertige Graphic de 2000 à 2003 ; directeur de la collection « IceBerg » chez Berg International depuis [1] ; directeur de collection pour les éditions Steinkis depuis 2012 ; International Director of Licenses pour la société LingoZing[24],[25] depuis 2016 et directeur éditorial des hors-séries BD de L'Express depuis [26].

Carrière de journaliste

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Didier Pasamonik interviewant l'auteur Mathieu Burniat à la librairie parisienne le-Monte-en-l'air, en septembre 2018.

Didier Pasamonik publie dans des magazines consacrés à la bande dessinée comme Les Cahiers de la bande dessinée[27], Bachibouzouk[28], Bandes Dessinées Magazine, BoDoï[29], dBD[30], Fluide glacial[31], HistoriaBD[32], Hop ![33], L’Année de la BD[34], Spirou[35], StoryBoard[28], Vécu[36], Zoo le Mag[37] pour les publications en langue française ; Dolmen en Espagne ; Comixene en Allemagne. Il collabore également à différents magazines professionnels ou grand public comme le Collectionneur Français, La Lettre de France édition, Le Spectacle du Monde, Philosophie Magazine, Le Magazine littéraire ou VSD[28] et différentes structures à vocation culturelle comme le BIEF[38].

On lui doit aussi une contribution à des périodiques consacrés au judaïsme, écrivant dans Les Cahiers du Judaïsme[4], L'Arche[4], le mensuel mexicain Horizontes et les mensuels belges Regards[4] et Contact J[4]. Combinant ses deux centres d'intérêt, la bande dessinée et la judéité[39], il est également l'animateur d'une émission radio quotidienne, La Diaspora des Bulles sur la radio communautaire parisienne Radio J[40].

Depuis 2003, il est éditeur adjoint et directeur de la rédaction du site francophone d'information sur la bande dessinée ActuaBD.com[17].

Il est, avec Éric Verhoest qui en est le coordonnateur rédactionnel, un des principaux collaborateurs de l'encyclopédie Hachette sur Gaston Lagaffe Les inventions de Gaston[28] (45 fascicules de 2004 à )[41].

Il est éditorialiste, à partir de sa création en jusqu'à son 17e numéro daté de , du mensuel Suprême Dimension[28] dans laquelle il tient une chronique se voulant caustique sur le petit monde de la bande dessinée : « Pendant ce temps-là, dans le microcosme » dont certains articles ont été repris dans le recueil Critique de la bande dessinée pure (chroniques narquoises 2005-2007)[42].

Il est, de à 2011, éditorialiste sur le blog Mundo-BD.fr[43]. Puis, il exerce cette même fonction pour la revue allemande spécialisée Alfonz, Der Comicreporter, dans une rubrique intitulée Lettre de France depuis 2011[44],[45].

Il participe comme chroniqueur à l'émission Pop Fiction d'Ali Rebeihi sur France Inter à partir d'[46].

Commissaire d'expositions

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Pasamonik est aussi commissaire d'expositions internationales pour Regards croisés de la bande dessinée belge (2009), Drôles de Gaulois[47] (2009), Black is Beautiful : La couleur du noir (2010)[48], Philippe Geluck - Le Chat à Istanbul (2010)[49], La Couleur dessinée (2011)[50], Lucky Luke à Istanbul (Red Kit Istanbul'da) à Istanbul (2012)[51], Antisémitisme : Une affaire européenne... et belge (2012)[52], Comics alla Turca, images et stéréotypes des Turcs dans la bande dessinée franco-belge (2014)[53], Superdupont à Zagreb (2016)[54], Istanbulles in Erlangen – Comics und Satire in der Türkei (2016)[55], Shoah et Bande Dessinée (2017)[56] et Spirou dans la tourmente (2022)[19].

Auteur

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Passionné par le spectacle de rue, il publie Beaubourg - Les années saltimbanques[57]. ActuaBD édite Charlie Hebdo - L'affaire des caricatures danoises qu'il cosigne avec Nicolas Anspach, Charles-Louis Detournay, Christian Missia Dio et Frédéric Hojlo sous la direction de Patrick Albray en 2018. Pasamonik commente Lucky Luke[58] dans la collection « Les Dessous d'une création » ainsi qu'Astérix[59] dans la collection « Les archives Astérix », toutes deux aux éditions Atlas.

Autres activités

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En , Didier Pasamonik est membre du comité d’organisation du Forum international écriture et cinéma de Monaco. Il organise à partir de l'année suivante un Prix de la meilleure BD adaptable au cinéma et à la télévision[60],[61],[62]. Le Forum cesse son activité en 2011.

Il lance en , avec Berrak Hadımlı et Jean-Marie Derscheid, le Festival Istanbulles, premier festival international de la bande dessinée à Istanbul[63]. En 2012, il produit l'exposition Regards croisés des bandes dessinées franco-belges et turques à l'Institut français d'Istanbul[64].

En 2014, il est producteur exécutif du court métrage Lady of the Night produit par AttieStudio (Paris), réalisé par Laurent Boileau, sur une histoire conçue par Adriaan Esterhuizen qui en a également assuré la conception musicale. Le charac design du film a été conçu par José Luis Munuera et l'animation par La Station (Paris)[65].

Il est depuis 2016 responsable de la programmation de la Scène BD, Manga et Comics du Salon Livre Paris[66]. En 2021, il est membre du Comité de Sélection du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême[67].

En parallèle, l'auteur signe diverses préfaces d'albums de bande dessinée ou en effectue les traductions[3] comme de 2018 à 2019, les Contes ordinaires d'une société résignée, de courts récits dessinés par Ersin Karabulut et publiés dans Fluide glacial[31] ; il réalise les dossiers introductifs d'intégrales[68],[69] et il s'attèle à la rédaction de commentaires dans des catalogues de vente aux enchères[70],[71].

Par ailleurs, Pasamonik est membre de plusieurs jurys[72],[73],[74]. Il devient conférencier lors d'événements liés au monde de la bande dessinée[75],[66]. Le confinement consécutif à la pandémie de Covid-19, l'amène également à mener une visioconférence sur Zoom en juin 2020[76].

Didier Pasamonik demeure à Paris[17].

Œuvres

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Expositions

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En , Didier Pasamonik rejoint l’équipe dirigée par Éric Verhoest chargée d’une exposition annuelle pour la Ville de Charleroi (Charleroi, carrefour des Imaginaires[77]). À son actif, on compte Munoz/Breccia : l'Argentine en noir et blanc (2002[78]) ; Alan Moore : les Dessins du magicien (2004[79]) ; Pratt-Ferrandez-Stassen-Van Dongen : Le Remords de l'homme blanc (2005[80]) et Cosey, l'aventure intérieure (2006[81]).

Didier Pasamonik participe également à différentes expositions :

En tant que commissaire d'exposition
  • Regards croisés de la bande dessinée belge (2009). Coproduite par les Musées royaux d'Art et d'Histoire et le Bureau des grands évènements, à Bruxelles, du au , aux côtés de Jean-Marie Derscheid.
  • Drôles de Gaulois[47]. Produite par l'Université de Paris 13 (IUT de Bobigny), du au aux côtés de l'archéologue Yves Le Bechennec et de l'historien Michel Monin.
  • Black is Beautiful : La couleur du noir (2010). Produite par le Festival International de Lausanne BD-FIL pour le Musée historique de Lausanne, du 10 au , aux côtés de Jean-Marie Derscheid[48].
  • Philippe Geluck - Le Chat à Istanbul (2010). Institut Français d'Istanbul, du 13 au , aux côtés de Jean-Marie Derscheid[49].
  • La Couleur dessinée (2011). Produite par le Festival international de Lausanne BD-FIL pour le Musée historique de Lausanne, du 9 au . Exposition sur l'histoire de la couleur dans la bande dessinée, des chromistes aux coloristes à la « couleur dessinée » d'aujourd'hui. Commissariat : Jean-Marie Derscheid, avec la collaboration de Didier Pasamonik, de Cuno Affolter et de BD-FIL[50].
  • Lucky Luke à Istanbul (Red Kit Istanbul'da) à Istanbul (2012), dans le cadre du Festival Istanbulles au Centre culturel Yapı Kredi (Yapı Kredi Kültür Merkezi), du 10 au [51].
  • Antisémitisme : Une affaire européenne... et belge (2012), une histoire graphique de l'antisémitisme en Belgique, au Palais des congrès de Liège (Belgique), du 10 au . Cette exposition est organisée dans le cadre de la Présidence belge de la Task Force for International Cooperation on Holocaust Education, aux côtés de Joël Kotek et du scénographe Pierre-Marie Jamet[52].
  • Comics alla Turca, images et stéréotypes des Turcs dans la bande dessinée franco-belge (2014), à la Maison du Folklore et des Traditions de la Ville de Bruxelles, du 22 mai au . Cette exposition organisée dans le cadre des 50 ans de l'immigration turque en Belgique retrace l'image des Turcs, de Bécassine (1919) à Largo Winch[53], aux côtés d'Alain Servantie.
  • Superdupont à Zagreb (2016), exposition du Superdupont de Gotlib et Lob par François Boucq dans le cadre du Festival de bande dessinée de Zagreb à l'Institut français de Zagreb, du 13 au [54].
  • Istanbulles in Erlangen – Comics und Satire in der Türkei (2016), exposition sur la bande dessinée turque au Comic-Salon Erlangen (de) au Kongresszentrum Heinrich-Lades-Halle, du 26 au [55].
  • Shoah et Bande Dessinée (2017), exposition au Mémorial de la Shoah à Paris, du au . Prolongée jusqu'au . Didier Pasamonik en est le commissaire scientifique aux côtés de Joël Kotek[56],[82]. L'exposition est reprise par le Musée et centre de documentation Kazerne Dossin à Malines en Belgique, du au [83],[84],[85].
  • Spirou dans la tourmente, Mémorial de la Shoah, Paris du au [19].
En tant que conseiller scientifique
En tant que coordinateur
  • Maus, Mus, Mouse : Variations suédoises autour de la BD d'Art Spiegelman[95] (2011). Produite par l'Association suédoise des auteurs de BD pour le Mémorial de la Shoah à Paris, du 18 au . À côté de ces interprétations artistiques dont Jamil Mani est le commissaire, un parcours propose un historique de la représentation de la Shoah dans la bande dessinée. En partenariat avec l’Institut suédois à Paris. Coordination avec Sophie Nagiscarde et Caroline François.
En tant qu'expert bande dessinée

Ouvrages

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Direction d'ouvrages collectifs

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Catalogues d'exposition

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  • Collectif, White Man's Remorse, Charleroi, Charleroi Images ASBL, , 32 p., ill. (présentation en ligne)
  • Edward Portnoy, De Superman au Chat du rabbin : bande dessinée et mémoires juives : exposition, Paris, Musée d'art et d'histoire du judaïsme, 17 octobre 2007-27 janvier 2008, Amsterdam, Paris, Musée d'art et d'histoire du judaïsme, , 52 p., ill. ; 25 cm (ISBN 9782913391260 et 2913391265, OCLC 470962689, présentation en ligne)
    Contribution : La mémoire et le roman graphique
  • Éric Verhoest (dir.) et Jean-Marie Derscheid (recherches iconographiques), Regards croisés de la bande dessinée belge, Gand, Snoeck, , 228 p., ill. ; 29 cm (ISBN 9789053497418 et 9053497412, OCLC 494605126, présentation en ligne)
  • Lucky Luke à Istanbul (Red Kit Istanbul'da), catalogue de l'exposition au Centre Culturel Yapı Kredi (Yapı Kredi Kültür Merkezi), du 10 au . YKY, Istanbul 2012, 120 p.
  • Alain Servantie et Sabine Buchmann, Comics alla Turca, images et stéréotypes des Turcs dans la bande dessinée franco-belge, Bruxelles, , ill. (présentation en ligne)
  • « Entra pedagogía y parodia, la prehistoria en el cómic francófono » (Entre pédagogie et parodie, la préhistoire dans la bande dessinée francophone), dans Helena Bonet Rosado et Alvaro Pons Moreno (dir.), Prehistoria y cómic, Diputació de València/Museu de prehistòria de València, 2016[100].
  • Joël Kotek (dir.), Shoah et bande dessinée : L'image au service de la mémoire, Paris, Denoël Graphic/Mémorial de la Shoah, , 168 p. (ISBN 978-2-207-13668-3, présentation en ligne)
    Cet ouvrage a reçu le une Mention spéciale au Prix CatalPa pour les catalogues d’expositions de Paris[101].
  • Alix - L'Art de Jacques Martin, 9e Art+ éditions, janvier 2018
    Scénario : collectif dont Didier Pasamonik - Dessin : Jacques Martin - Couleurs : collectif - (ISBN 978-2-9536902-2-4)
    Catalogue de l'exposition réalisée du 25 au lors du 45e Festival international de la bande dessinée d'Angoulême à l'occasion des 70 ans d'Alix.
  • Marginalia. Dans le secret des collections de bande dessinée, NNNM - Glénat, coll. « Patrimoine », Grenoble,
    Scénario : collectif dont Didier Pasamonik - Dessin et couleurs : collectif - (ISBN 978-2-492121-02-9)
    Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au NMNM, ce catalogue est une célébration de la liberté de pensée des créateurs majeurs du 9e art. On y retrouve notamment les œuvres de Bretécher, Bilal, Druillet, Herriman, Foster, Gotlib, Mœbius et Schulz. Compilation des textes de Marie-Claude Beaud, Jean-Luc Fromental, Thierry Groensteen, Damien MacDonald, Didier Pasamonik, Numa Sadoul et Stéphane Vacquier. 512 pages
  • Spirou dans la tourmente de la Shoah[102],[103], Dupuis, coll. « Tous publics », Marcinelle, 6 janvier 2023
    Scénario : Didier Pasamonik (dir.) - Dessin et couleurs : collectif - (ISBN 979-10-34769-50-6)

Essais sur la bande dessinée

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Notes et références

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Notes

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Références

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  2. ↑ Henri Filippini, « Et voici « L’Art d’Astérix » ! », BDzoom,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. ↑ a et b « Pasamonik, Didier - biographie - bibliographie », sur BD Gest' (consulté le ).
  4. ↑ a b c d e et f Jean-Pierre Allali, CRIF, « Critique de la bande dessinée. Chroniques narquoises par Didier Pasamonik », sur crif.org, (consulté le ).
  5. ↑ a b c d e et f La cité obscure. Les libraires-éditeurs bruxellois, de l’invention d’un patrimoine à la recherche d’une modernité.
  6. ↑ « Buck12 », sur lastdodo.fr, (consulté le ).
  7. ↑ a et b Les libraires éditeurs, p. 24.
  8. ↑ Henri Filippini, « Tonnerre de bulles ! n° 27 : comme au temps des fanzines ! », BDzoom,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. ↑ Didier Pasamonik raconte Magic Strip, p. 17.
  10. ↑ a b c et d Les éditeurs de bandes dessinées à Bruxelles dans les années quatre-vingts, p. 116.
  11. ↑ « Dooreman (Gert) : », sur Drouot (consulté le ).
  12. ↑ « Colman - Scénario », sur Dargaud (consulté le ).
  13. ↑ a et b Les libraires éditeurs, p. 26.
  14. ↑ « J'ai réussi », sur BD Gest' (consulté le ).
  15. ↑ « Les héritiers d'Hergé », sur BD Gest' (consulté le ).
  16. ↑ « L'établissement Cartoon Création - 75006 en détail », sur societe.com (consulté le ).
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Annexes

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Études

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  • Philippe Capart, « Les libraires éditeurs », dans Du temple à la crypte, , PDF (lire en ligne), p. 24-26. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Floriane Philippe, « Les choix éditoriaux », dans Les éditeurs de bandes dessinées à Bruxelles dans les années quatre-vingts, Textyles, 2007, mis en ligne le 19 juillet 2012 (lire en ligne), p. 100-116. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Sylvain Lesage, « La cité obscure. Les libraires-éditeurs bruxellois, de l’invention d’un patrimoine à la recherche d’une modernité : les éditeurs franco-belges et l’album, 1950-1990 », dans Publier la bande dessinée, Presses de l’enssib, (ISBN 9782375460825, présentation en ligne), chap. 6. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Périodiques

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  • Didier Pasamonik interviewé par Thierry Groensteen, Daniel Hugues et Thierry Joor, « Conversation avec Didier Pasamonik », dans Les Cahiers de la bande dessinée no 56, février-mars 1984, p. 76 à 82
  • Laurent Assuid et Nicoby (Illustrateur), « Une autre histoire de la BD : Didier Pasamonik raconte Magic Strip », dans Tonnerre de Bulles no 27, Saint Aubin-des Landes, Les Petits Sapristains, , 80 p., ill. ; 28 cm (ISSN 0753-3454, présentation en ligne), p. 16-20. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles

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  • Emmanuel Laurentin, « Astérix / Histoire des Gaulois (4) / La Fabrique de l’Histoire : Texte intégral de l’émission de France Culture, du jeudi 29 octobre 2009, Histoire des Gaulois de La Fabrique de l’Histoire », Fabrique de sens,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Didier Pasamonik (interviewé par Jean-Pierre Allali), « Didier Pasamonik : « La bande-dessinée peut déconstruire l’Histoire » », Alliance,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Didier Pasamonik (interviewé par Alice Develey), « «Hubert Mounier était un écorché vif au talent incommensurable» », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Didier Pasamonik (interviewé par C. Allemand), « Les Programmateurs de Livre Paris : Entretien avec Didier Pasamonik, programmateur de la Scène BD, Manga et Comics », Salon Livre Paris,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Liens externes

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