[go: up one dir, main page]
More Web Proxy on the site http://driver.im/Aller au contenu

Guer

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Guer
Guer
Le château de Coëtbo.
Blason de Guer
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Jean-Luc Bléher
2020-2026
Code postal 56380
Code commune 56075
Démographie
Gentilé Guérois, Guéroise
Population
municipale
6 068 hab. (2021 en évolution de −3,67 % par rapport à 2015)
Densité 116 hab./km2
Population
agglomération
6 141 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 54′ 17″ nord, 2° 07′ 09″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 155 m
Superficie 52,11 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Guer
(ville isolée)
Aire d'attraction Guer
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Guer
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Guer
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Guer
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Voir sur la carte topographique du Morbihan
Guer
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Guer
Liens
Site web Site officiel de la ville de Guer

Guer [ɡɛʁ] (Gwern-Porc'hoed en breton) est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Géographie

[modifier | modifier le code]

La commune de Guer comprend quatre parties : Guer-Coëtquidan, Saint-Raoul, La Telhaie et Bellevue-Coëtquidan où l'on trouve les écoles militaires de Saint-Cyr-Coëtquidan, situées à cheval sur la commune voisine de Saint-Malo-de-Beignon.

Guer est limitrophe de la forêt de Paimpont, souvent identifiée comme la mythique forêt de Brocéliande, liée à la légende arthurienne.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Hameaux, lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 812 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1992 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records GUER (56) - alt : 47 m 47° 54′ 06″ N, 2° 07′ 00″ O
Statistiques établies sur la période 1992-2010 - Records établis sur la période du 01-03-1992 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,9 2,8 3,9 5,4 8,8 11,4 13 13 10,2 8,2 5 2,7 7,3
Température moyenne (°C) 6,1 6,7 8,7 10,8 14,4 17,5 19 19,1 16,3 12,8 8,8 5,9 12,2
Température maximale moyenne (°C) 9,2 10,6 13,4 16,2 20 23,5 25,1 25,3 22,3 17,5 12,6 9,2 17,1
Record de froid (°C)
date du record
−12
02.01.1997
−9
11.02.12
−9
01.03.05
−4
11.04.03
−1,2
06.05.19
4
01.06.06
6
30.07.15
5,4
13.08.19
2
24.09.03
−5
30.10.1997
−7,5
29.11.10
−8,5
31.12.1996
−12
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
19,5
27.01.03
22,7
27.02.19
25
20.03.05
29
30.04.05
32
30.05.03
37
23.06.05
38,7
23.07.19
41
09.08.03
33,5
06.09.06
30,5
02.10.11
22,1
07.11.15
18
19.12.15
41
2003
Précipitations (mm) 94,8 67,8 65,6 61,9 74,4 46,3 51,5 34,5 63 94,4 89,9 99,4 843,5
Source : « Fiche 56075001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Entre 2003 et 2022, Guer a détenu le record de la température la plus chaude jamais enregistrée dans la région Bretagne : 41 °C le [9].

Au , Guer est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guer[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guer, dont elle est la commune-centre[Note 5],[12]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 8,9 % 462
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,8 % 96
Équipements sportifs et de loisirs 0,05 % 3
Terres arables hors périmètres d'irrigation 32,5 % 1690
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 6,3 % 327
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 30,4 % 1581
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 2,4 % 124
Forêts de feuillus 3,6 % 189
Forêts de conifères 8,8 % 457
Forêts mélangées 5,3 % 274
Source : Corine Land Cover[15]

Attestée sous les formes Wern en 836, Guern au XIIe siècle[16].

« Guer » est issue du mot breton Gwern issu du mot gaulois verno que l'on retrouve toujours en gallois sous la forme Gwernin signifiant « aulnes », mais en breton, gwern peut également signifier le « marais », l'un n'excluant pas l'autre, l'aulne est un arbre qui aime beaucoup l'humidité, et qu'on trouve fréquemment au bord des marais. Ce nom de lieu a par la suite perdu son -n final.

Gwern Porc'hoet en breton : Porc'hoet permet de différencier Guer de Guern, autre commune du Morbihan.

Ancien Régime

[modifier | modifier le code]

La paroisse de Guer naquit au VIIe siècle sous l'impulsion de saint Malo et d'un monastère breton. Cette paroisse fit partie d'ailleurs de l'ancien évêché d'Alet-Saint-Malo, qui fut supprimé à la Révolution française ; elle se situait plus précisément dans le doyenné du Porhoët.

Guer accueillait autrefois (XVIIIe siècle) plusieurs foires tout au long de l'année : la veille de la mi-carême en mars, à la Saint-Marc, le 25 avril, à la Saint-Atanaze, le 2 mai, à la Saint-Grégoire, le 9 mai, à la mi-août (16 août), la grande Saint-Michel, le 29 septembre et la petite Saint-Michel, le 16 octobre, le mercredi d'après la Toussaint et le lendemain de la Saint-Thomas, le 6 décembre.

Révolution française

[modifier | modifier le code]

Lors des États généraux de 1789, le cahier de doléances de la ville demande que Guer soit pris pour « chef lieu d'un district considérable, eu égard à sa population et à sa distance de toutes villes voisines »[17].

Le XIXe siècle

[modifier | modifier le code]

Le XXe siècle

[modifier | modifier le code]

La Belle Époque

[modifier | modifier le code]

Un décret du Président de la République en date du attribue, à défaut de bureau de bienfaisance, les biens ayant appartenu à la fabrique de Guer et actuellement placés sous séquestre à la commune de Guer[18].

Première Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Durant la Première Guerre mondiale, le camp de Coëtquidan a servi de camp de prisonniers et de camp d'entraînement.

L'Entre-deux-guerres

[modifier | modifier le code]

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, une division polonaise en formation a séjourné au camp d' à .

Après le débarquement de juin 1944, les résistants cachés dans le manoir de Saint-Gurval[19],[20] se sont affrontés aux supplétifs de la Gestapo du Bezen Perrot.

Des prisonniers de guerre allemands se trouvent internés dans le camp de Coëtquidan en 1946 et 1947.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1958 Victor Molac[e] DVD Médecin
Conseiller général de Guer (1928 → 1940 puis 1945 → 1958)
1958 mars 1959 Pierre Prévert    
mars 1959 1963 René Le Toquin    
1963 mars 1971 Félix Régent[f],[22]   Agriculteur, maire honoraire
Deuxième adjoint (1959 → 1963)
mars 1971 novembre 1982[23] Joseph Coudray[g] DVD puis
UDF-CDS
Retraité de la fonction publique, ancien chef de bataillon
Conseiller général de Guer (1970 → 1982)
Décédé en fonction
décembre 1982 mars 2001 Gurval Colléaux UDF-CDS Directeur de collège privé et professeur
Conseiller général de Guer (1982 → 1994)
Président de la CC du Pays de Guer (1994 → 2001)
mars 2001 En cours
(au 19 janvier 2021)
Jean-Luc Bléher UDF puis UMP
puis AC-UDI
puis LREM
RE
Ancien SGS du conseil général d'Ille-et-Vilaine
Premier adjoint (1995 → 2001)
Président de Guer Communauté (2001 → 2016)
Président de la CC De l'Oust à Brocéliande Communauté (2017 → )
Suppléant du député Loïc Bouvard (2002 → 2007)
Réélu en 2008, 2014 et 2020[24]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 6 068 habitants[Note 6], en évolution de −3,67 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 8504 8963 4653 9733 4883 8603 7733 9603 956
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9743 3433 3273 3813 3713 4763 5443 5633 547
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 8023 4733 5433 3893 6563 6316 9896 8276 934
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5 4285 7575 9225 6575 7945 5606 1746 3696 174
2014 2019 2021 - - - - - -
6 2926 0916 068------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]
  • Agroalimentaire : Mix Buffet, fabricant de salades composées, plus de 1 000 salariés.
  • Transports routiers de voyageurs : Entreprise des Transports Herviaux créée en 1934 par François Herviaux, devenue en 2016 Linevia par fusion de plusieurs sociétés, entre 100 et 250 salariés.
  • Photographe : actif en 1974, Yvon Ristori, ancien de l'École nationale de photographie et cinématographie dite de la rue de Vaugirard, Paris (promotion 67-69).

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Raoul.
  • le château de la Ville-Huë : XIIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles. Élégant château en pierre enduite sous ardoises composé du vieux logis dans sa partie Nord (XIIIe siècle), d'un corps principal, élevé sur deux étages, formant façade orientée sud - sud-ouest flanqué de deux tours (XIXe siècle). Le château a été ravagé par les flammes à la suite de l'incendie du . Il a été reconstruit à l'identique dans la foulée avec des modifications de distribution à l'intérieur et une toiture inférieure de près de 2,50 m pour des raisons d'économies. Le château est sis au milieu d'un agréable parc planté d'arbres centenaires. La même famille habite le château depuis sa fondation. La légende de la Ville-Huë dit que « Monsieur de PORCARO, vient tous les soirs, pendant la période de chasse, avec son costume de chasseur et ses chiens, sur la Lande Saint-Jean. On le voit rôder autour de la chapelle Saint-Jean sans essayer d'y entrer. Il n'y fait aucun bruit et à l'aurore il disparaît. On dit qu'il y fait son purgatoire » ;
  • le château de Coëtbo, manoir depuis le XVe siècle. L'édifice actuel est le résultat d'une reconstruction progressive à partir de 1620. Château, avec ses communs, la conciergerie, la chapelle, le pigeonnier ainsi que le jardin avec ses terrasses et leurs escaliers classé au titre des monuments historiques par arrêté du [29] ;
  • le château de Couédor date des XVe et XVIe siècles, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[30] ;
  • le château de la Fléchaie date du XIXe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[31] ;
  • le château de la Hattaie date du XIXe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[32] ;
  • le manoir de l'Abbaye date du XVIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[33] ;
  • le manoir de la Demanchère date des XVIe et XVIIe siècles, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[34] ;
  • le manoir du Grand Kerbiguet date des XVe et XVIe siècles, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[35] ;
  • le manoir de Livoudrais date des XVe et XVIe siècles, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[36] ;
  • le manoir de Lohinga date probablement du XVe et XVIe siècles, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[37] ;
  • le manoir de Longouët date du XVIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[38] ;
  • le manoir de Rotileuc date du XIXe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[39] ;
  • le manoir de Saint-Gurval date du XXe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[40] ;
  • le manoir de Saint-Joseph date du XVIIe siècle, les vestiges du manoir sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[41] ;
  • le manoir du Sergent de la Seigneurie de Peillac date des XVIe et XVIIIe siècles, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[42] ;
  • le manoir de Trébulan date du XVIIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[43] ;
  • le manoir de la Trumelais date du XVIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[44] ;
  • la chapelle Saint-Étienne, édifice construit à l'époque carolingienne avec des matériaux et peut-être une partie du soubassement datant de l'époque gallo-romaine, et faisant l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [45] ;
  • le hameau de Saint-Nicolas possède une croix située devant la chapelle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [46] ;
  • la parcelle contenant des vestiges d'un édifice gallo-romain, située sur le lieu-dit Saint-Étienne, classé au titre des monuments historiques par arrêté du [47] ;
  • l'église Notre-Dame ;
  • l'église Saint-Gurval ;
  • l'église Saint-Raoul ;
  • l'académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan et son musée ;
  • l'oratoire Notre-Dame-de-Grottais, construit par un architecte italien en 1946, dans un style unique en la région.

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Guer se blasonnent ainsi : « D’azur à sept macles d’or posées trois, trois et un, au franc-canton brochant d’argent fretté de huit pièces de gueules. »

(Armes de la famille de Guer : ramage de Le Sénéchal de Carcado, brisées d’un franc-canton).

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. Zéphirien Marie Le Gal, né le à Josselin, décédé le à Guer.
  2. Eugène Charles François de la Foye, né le à Wetzlar (Saint-Empire), décédé le à Guer.
  3. Auguste Henri Louis Carouge, né le à Dol, décédé vers 1909. [1]
  4. Louis Marie Joseph de Raguenel de Montmorel, né le à Paramé, décédé le à Guer.
  5. Victor Molac, né en 1894, décédé le à Guer.
    Distinctions : Chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918
  6. Félix Jacques Régent, né le à la Gouraie en Guer, décédé le à Guer.
  7. Joseph Marie Coudray, né le à Monteneuf, décédé le à l'hôpital Ambroise-Paré de Rennes.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et armorial de Bretagne, t.II, 1890, p.143 : Laillé (de), sr de la Houssaye, par. de Guer. Réf. et montres de 1479 a 1513, dite par., ev. de Saint-Malo.[pas clair] « D’argent à trois pots ou orceaux de sable » (Sceau de 1404).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 56075001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. Jacques Chanteau, « En Bretagne, le record de chaleur va-t-il tomber cette semaine ? », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Guer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Guer ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Guer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  16. Ernest Nègre , Toponymie générale de la France, Volume 2, p. 1036.
  17. recherche.archives.morbihan.fr.
  18. « Décret du Président de la République », Journal officiel de la République française. Lois et décrets,‎ , page 4881 (lire en ligne, consulté le ).
  19. fr.topic-topos.com.
  20. Alain Guérin, Chronique de la Résistance, Omnibus, 2010 (ISBN 978-2-2580-8853-5).
  21. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale », sur Gallica, (consulté le ).
  22. « Nécrologie : Félix Régent ancien maire », Ouest-France (archives du journal),‎
  23. « Décès de Joseph Coudray, maire de Guer », Ouest-France (archives du journal),‎
  24. « Municipales à Guer. Un quatrième mandat pour Jean-Luc Bléher », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Notice no PA00091245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Château de Couédor », notice no IA00009098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. « Château de la Fléchaie », notice no IA00009096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. « Château de la Hattaie », notice no IA00009100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. « Manoir de l'Abbaye », notice no IA00009081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Manoir de la Demanchère », notice no IA00009089, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. « Manoir du Grand Kerbiguet », notice no IA00009088, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Manoir de Livoudrais », notice no IA00009090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. « Manoir de Lohinga », notice no IA00009093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Manoir de Longouët », notice no IA00009091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Manoir de Rotileuc », notice no IA00009086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Manoir de Saint-Gurval », notice no IA00009087, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. « Manoir de Saint-Joseph », notice no IA00009082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Manoir du Sergent de la Seigneurie de Peillac », notice no IA00009092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. « Manoir de Trébulan », notice no IA00009084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. « Manoir de la Trumelais », notice no IA00009085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  45. « Chapelle Saint-Étienne », notice no PA00091244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Hameau de Saint-Nicolas », notice no PA00091246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Notice no PA00091247, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « La bête de la Lohière. Une légende de [[Loutehel]] », sur broceliande.brecilien.org (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Michel Petit, « Sépultures du Bas-Empire à Guer », Annales de Bretagne, no 77, , p. 273–278.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]