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Cécile Gallez

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Cécile Gallez
Illustration.
Fonctions
Maire de Saint-Saulve

(43 ans, 2 mois et 14 jours)
Élection 1977
Réélection 1983, 1989, 1995, 2001,
2008, 2014
Prédécesseur Fernand Cauchie
Successeur Yves Dusart
Députée française

(3 ans, 4 mois et 24 jours)
Élection 17 juin 2007 (suppléante)
Circonscription 21e du Nord
Législature XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur Jean-Louis Borloo

(4 ans et 11 mois)
Élection 16 juin 2002 (suppléante)
Circonscription 21e du Nord
Législature XIIe (Cinquième République)
Groupe politique App. UMP
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur Jean-Louis Borloo

(10 jours)
Élection 1er juin 1997 (suppléante)
Circonscription 21e du Nord
Législature XIe (Cinquième République)
Groupe politique NI
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur Jean-Louis Borloo
Conseillère générale du Nord

(8 ans, 9 mois et 3 jours)
Élection 27 mars 1994
Réélection 18 mars 2001
Circonscription Canton d’Anzin
Prédécesseur André Parent
Successeur Jacques Marissiaux
Biographie
Nom de naissance Cécile Estelle Krämer
Date de naissance
Lieu de naissance Raismes (France)
Date de décès (à 86 ans)
Lieu de décès Saint-Saulve (France)
Nationalité Française
Parti politique UMP-PRV
LR
Profession Pharmacienne
Distinctions Chevalier de la Légion d'honneur

Cécile Gallez
Maires de Saint-Saulve

Cécile Gallez, née Krämer le à Raismes et morte le à Saint-Saulve, est une femme politique française. Membre de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) puis du parti Les Républicains (LR), elle est maire de Saint-Saulve de 1977 à 2020 et députée du Nord par intermittence entre 2002 et 2010.

Pharmacienne de profession, Cécile Gallez fait son entrée en politique en 1971 en devenant conseillère municipale, sans étiquette, de Saint-Saulve (11 033 hab[1]), dans l’agglomération de Valenciennes. Élue maire de cette ville pour la première fois en 1977, réélue depuis à chaque élection municipale sans interruption, elle a achevé en 2020 son septième mandat.

Veuve de Gérard Gallez, sans enfant, elle fait valoir ses droits à la retraite en 2000 à l’âge de 64 ans, soit un an avant l’âge légal de départ pour les professionnels de santé libéraux[2]. Elle est particulièrement sensible aux questions liées au handicap, aux personnes âgées, à l’autonomie et à la dépendance.

Depuis le , elle détient le record du plus long majorat à Saint-Saulve (43 ans, 2 mois et 14 jours), dépassant la durée de majorat de François-Joseph Moreau (34 ans, 3 mois et 12 jours), de 1813 à 1847[3].

Le , elle est élevée au grade de chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur par le préfet du Nord, Dominique Bur, pour les actions civiles rendues à la Nation[4].

Le , à la suite de la renonciation du maire de Berck, Jean-Marie Krajewski, à briguer un nouveau mandat, elle devient également le maire en fonction le plus âgé du Nord-Pas-de-Calais[5],[6].

Maire de Saint-Saulve

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La mairie de Saint-Saulve.

Sous sa municipalité, Cécile Gallez a fait le choix d’insister sur les domaines de la culture (espace Athéna, bibliothèque pour tous), l’éducation, la jeunesse (halte-garderie de la Pépinière, maison des jeunes et de la culture), les infrastructures (tramway de Valenciennes), le développement démographique et économique (réhabilitation des immeubles de la Pépinière, développement de la zone industrielle de Valenciennes – Saint-Saulve) et les équipements sportifs (salle des sports Schuman et centre aquatique).

Elle rencontre également des moments difficiles, comme le comblement des carrières souterraines du Rôleur en 1986[7], l’abandon du projet de tramway au début des années 2010 au profit d’un bus à haut niveau de service[8], la fermeture en 2017 de l’usine Vallourec qu’elle a vu naître[9], mais le soutien à la municipalité et sa popularité personnelle restent élevés au sein de la population.

Après sa sixième réélection en , elle s’est attachée au réaménagement de l’avenue Charles-de-Gaulle, à la rénovation de la place du 8-Mai-1945, à l’accessibilité des établissements recevant du public (mairie, bibliothèque, écoles, église) ainsi qu’au cadre de vie (aménagement de la cité du Bosquet, parc urbain du Rôleur, concours des villes et villages fleuris, installation de la vidéosurveillance dans certains quartiers de la ville)[10].

À plusieurs reprises, Cécile Gallez fait part publiquement de son optimisme et de sa confiance en l’avenir de sa ville, malgré le contexte économique particulièrement difficile. Ainsi, en , interviewée par La Voix du Nord, elle estime n’avoir « rien fait de géant » et affirme que « l’argent, c’est le nerf de la guerre. Des idées, j’en ai mais sans argent… », répétant que « Saint-Saulve n’est pas une commune riche »[10].

Un classement publié le sur le site linternaute.com place Cécile Gallez en 293e position sur les 777 maires des villes de 10 000 à 50 000 habitants, avec une note pour son action de 10,1620[11].

Aux élections municipales de 2014, elle se représente en renouvelant la moitié de son équipe[12] et l’emporte dès le premier tour avec 74,67 % des suffrages exprimés, notamment face à son adversaire socialiste (16,72 %). Elle dispose ainsi d’une majorité de 30 conseillers sur 33, ce qui lui permet d’être réélue maire le , rassemblant sous son nom les 30 voix des élus de sa liste, ainsi qu’une voix de l’opposition[13].

Les débuts de son septième mandat à la mairie sont marqués par une attention particulière à la démocratie de proximité, notamment par la signature du nouveau contrat de ville qui permet entre autres la création d’un conseil citoyen, et par la mise en place du dispositif de « citoyens vigilants » sur la commune. L’année 2014 est aussi celle des grands travaux avec le réaménagement de la mairie et le remplacement du terrain de schiste du complexe sportif par un terrain en gazon synthétique, l’aménagement de l’espace de proximité du Bosquet, la réfection de la salle Coubertin, le plan de déplacements urbains pour faciliter la circulation des piétons, des cyclistes et des véhicules[14].

En 2015, les élus socialistes et communistes au conseil municipal dénoncent la mauvaise gestion pratiquée par l’exécutif, les projets de travaux d’aménagements « somptuaires et présomptueux » et la politique de recrutement privilégiant les sympathisants de droite et le non-remplacement des départs à la retraite[15],[16],[17].

Pour fêter ses 80 ans, le , les colistiers de Cécile Gallez lui organisent un anniversaire surprise à la salle des fêtes de Saint-Saulve. Cette réception a suscité des interrogations et des critiques au sein de la population[18] et parmi ses opposants, qui y voient un parallèle avec l’augmentation des impôts locaux[18],[19]. La même année, la maire a dû faire face au décès de deux conseillers municipaux, Jean Letellier et Jean-Marc Hochart, respectivement en août et en septembre[20],[21].

L’année 2017 marque ses 40 années à la tête de la municipalité. Elle entreprend à nouveau une longue série de travaux en commençant par la démolition et la reconstruction de l’île de la mairie, et l’entretien des bâtiments et des « 42 km de rues »[22].

Députée du Nord

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Le , elle est élue comme suppléante du député Jean-Louis Borloo dans la vingt et unième circonscription du Nord. Lorsque celui-ci est nommé au gouvernement, en , elle prend sa succession à l’Assemblée nationale à partir du , pour dix jours, comme d’autres suppléants de députés nommés au gouvernement, et ce jusqu’à la fin de la XIe législature, alors que l’Assemblée ne se réunit plus.

Le , elle est de nouveau suppléante de Jean-Louis Borloo (le ticket est élu avec 63,88 % des voix au second tour) et fait son retour à l’Assemblée nationale à partir du . Elle y siège pendant la quasi-totalité de la XIIe législature. Elle est alors apparentée au groupe UMP et membre de la commission des Affaires culturelles, familiales et sociales.

En 2005, Cécile Gallez vote pour l’adoption du traité constitutionnel européen[23] et du projet de Charte de l’environnement[24].

Pour les élections législatives de 2007, elle est encore une fois suppléante de Jean-Louis Borloo (élu avec 53,69 % des voix dès le premier tour). Celui-ci étant nommé au gouvernement le , elle siège à nouveau au palais Bourbon à partir du , pour la XIIIe législature (2007-2012). Siégeant d’office chez les non-inscrits pour les trois premiers jours de la législature, elle rejoint le groupe UMP le [25], et est membre de la commission des Affaires sociales.

Le , elle présente une proposition de loi permettant une plus grande mobilisation de logements sociaux, par deux mesures en faveur de l’investissement immobilier locatif : une exonération d’ISF sur les logements ainsi loués, et une exonération fiscale totale sur les revenus locatifs[26].

Lors du Congrès du Parlement du , elle vote en faveur du traité de Lisbonne et de la révision constitutionnelle qui l’accompagne[27].

Le , elle reçoit à Saint-Saulve le président de la République Nicolas Sarkozy, accompagné de Jean-Louis Borloo, ministre d’État, ministre de l’Écologie, de Laurent Wauquiez, secrétaire d’État chargé de l’Emploi et de Valérie Létard, secrétaire d’État chargée la Solidarité[28].

En , Cécile Gallez est l’auteure d’un rapport sur l’hébergement des personnes âgées et handicapées en Belgique, usuellement nommé Rapport Gallez[29].

En , alors que le gouvernement prépare une réforme des retraites repoussant l’âge de départ à la retraite, Cécile Gallez se dit attentive aux « gens qui ont travaillé dur », à « la véritable pénibilité du travail » ainsi qu’aux « générations à venir ». Elle déclare qu’elle votera cette loi « nécessaire », mais sous réserve que « tout le monde s’accorde sur la pénibilité et les polypensionnés »[2].

Le , elle est l’invitée de Nathalie Cuman dans l’émission Le Député du Jour, sur LCP[30].

Le , elle cède sa place à Jean-Louis Borloo, un mois après la fin de ses fonctions gouvernementales.

Interrogée sur son bilan à l’Assemblée, elle estime avoir travaillé du mieux possible, mais déclare ne pas avoir apprécié les séances de questions au gouvernement : « ça ne reflète pas le boulot qu’on fait. Celles que j’ai posées étaient techniques, rien d’autre », ajoutant que « le travail le plus intéressant, c’est en commission ». Elle se félicite notamment d’avoir pu apporter sa « touche personnelle » à la loi de financement de la sécurité sociale[31].

Pour les élections législatives de 2012, alors qu’elle avait été pressentie pour lui succéder, elle est à nouveau désignée suppléante de Jean-Louis Borloo[32]. Le ticket est réélu le , en obtenant 55,83 % des voix au second tour[33].

Après la démission de Jean-Louis Borloo, elle devient la députée suppléante de Laurent Degallaix, maire de Valenciennes. Se présentant comme le ticket « légitime » pour succéder à l’ancien ministre[34], le binôme est élu le , au second tour de l’élection législative partielle, avec 72,14 % des suffrages exprimés.

Autres engagements nationaux et locaux

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En 1994, elle est élue conseillère générale dans le canton d’Anzin. Réélue en 2001, elle doit cependant démissionner du conseil général du Nord en 2002 pour cumul de mandats.

Cécile Gallez est également la 1re vice-présidente de la communauté d’agglomération de Valenciennes Métropole depuis sa création le jusqu’au , et avait auparavant dirigé la communauté de communes de la Vallée de l’Escaut, entre 1993 et 2000. À partir du , elle est conseillère communautaire[35].

En , elle adresse à tous les Saint-Saulviens une lettre de soutien à Hervé Brouillard, son adjoint, candidat divers droite aux élections cantonales[36].

Pour l’élection présidentielle de 2012, elle donne son parrainage d’élue à Nicolas Sarkozy[37].

En 2014, elle soutient la candidature de Laurent Hénart pour l’élection du nouveau président du Parti radical[38].

En , elle se mobilise aux côtés des salariés de l’usine Vallourec après l’annonce de la fermeture du laminoir de Saint-Saulve, à laquelle s’ajoute la suppression de 300 emplois au 1er trimestre 2017[39]. L’intégralité des affichages municipaux sont remplacés par des affiches portant le slogan « Nous sommes tous Vallourec France » sur fond orange et bleu (les couleurs de Vallourec). Ce slogan est diffusé sur le site internet de la commune et utilisé lors de la manifestation de soutien du à Valenciennes[40]. L’année précédente, Cécile Gallez avait reçu en mairie de Saint-Saulve une délégation de syndicalistes de l’usine et obtenu une entrevue à Bercy avec le ministre de l’Économie et de l’Industrie, Emmanuel Macron, qui a exprimé la vigilance du gouvernement sur les recapitalisations de Vallourec[41].

Dans le cadre de la primaire présidentielle des Républicains de 2016, elle indique qu’elle ira voter mais ne communique pas sa position de vote[42].

Elle est candidate aux élections sénatoriales de 2017 dans le Nord, en dernière position sur la liste « République et territoires » conduite par Valérie Létard[43].

Retrait progressif de la vie politique

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Cécile Gallez confie dès 2010, à l’âge de 74 ans, sa volonté de « décélérer doucement » mais de « ne pas tout arrêter en même temps »[31].

Selon certains détracteurs, le faible crédit de la gauche locale pourrait aussi favoriser les scores de Cécile Gallez, réélue très largement au premier tour lors des derniers renouvellements municipaux[44]. Pourtant, elle affirme ne pas souhaiter briguer un nouveau mandat en 2020, et annonce son intention de céder le fauteuil de maire à son 1er adjoint en fin de mandat[13], « pour préparer la succession »[7]. Dans le même temps, elle indique qu’elle restera maire « le plus longtemps possible »[13].

Elle émet cependant le souhait de poursuivre son engagement dans une autre voie, et de ne pas rester « inerte »[7].

En 2017, elle ne se représente pas comme députée suppléante aux élections législatives, et apporte son soutien à Béatrice Descamps et Laurent Degallaix[45].

Après 43 années passées comme maire de Saint-Saulve et 49 ans en politique, elle ne se représente pas aux élections municipales de 2020 ; son premier adjoint, Yves Dusart, par ailleurs vice-président du conseil départemental du Nord, est désigné comme tête de liste de la majorité municipale pour lui succéder[46].

Cécile Gallez meurt le à Saint-Saulve, à l’âge de 86 ans[47]. De nombreuses personnalités de tous bords politiques lui rendent hommage, dont le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin[48]. Sa dépouille est exposée dans la salle des mariages de la mairie de Saint-Saulve pour un hommage populaire[49], avant ses obsèques le en l’église Saint-Martin, en présence notamment de Xavier Bertrand, président du conseil régional des Hauts-de-France, et de nombreux maires et élus du département du Nord[50].

Détail des mandats et fonctions

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Mandat de député

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Mandat départemental

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Mandat municipal

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  • 14/03/1971 - 12/03/1977 : conseillère municipale de Saint-Saulve
  • 13/03/1977 - 13/03/1983 : maire de Saint-Saulve
  • 14/03/1983 - 19/03/1989 : maire de Saint-Saulve
  • 20/03/1989 - 18/06/1995 : maire de Saint-Saulve
  • 19/06/1995 - 18/03/2001 : maire de Saint-Saulve
  • 19/03/2001 - 15/03/2008 : maire de Saint-Saulve (sa liste l’emporte au 1er tour avec 77,47 % des voix)
  • 16/03/2008 - 28/03/2014 : maire de Saint-Saulve (sa liste l’emporte au 1er tour avec 66,78 % des voix)[51]
  • 29/03/2014 - 27/05/2020 : maire de Saint-Saulve (sa liste l’emporte au 1er tour avec 74,67 % des voix)[52]

Mandat intercommunal

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Activités à l’Assemblée nationale

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Commission permanente

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L’hémicycle de l’Assemblée nationale.

Commission spéciale et commission ad hoc

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  • Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique
    • 10/11/2010 - 14/12/2010 : membre

Office parlementaire

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  • Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé
    • 02/03/2004 - 19/06/2007 : membre

Distinctions

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Cécile Gallez est nommée au grade de chevalier dans l’ordre national de la Légion d'honneur en 2011[53].

Le , elle se voit remettre la médaille du Sénat par le président de la chambre haute, Gérard Larcher, en présence de Valérie Létard et Laurent Degallaix[54]. Le suivant, elle est nommée « prodige de la République » par le préfet du Nord, Michel Lalande[55].

Plusieurs lieux, infrastructures et objets rendent hommage à Cécile Gallez. C’est notamment le cas d’une maison de la petite enfance à Saint-Saulve[56], d’une résidence seniors à Anzin[57], mais aussi d’un buste de Marianne à son effigie réalisé par le service de communication de la ville de Saint-Saulve[58].

Œuvre posthume

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  • Cécile Gallez (avec le concours éditorial de Nicolas Mougin), Mémoires inachevées, Éditions BOD, coll. « Histoire & sciences sociales », , 104 p. (ISBN 9782322520237)[59].

Notes et références

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  1. INSEE 1999
  2. a et b Valenciennes Maville.com
  3. Ville de Saint-Saulve
  4. La Voix du Nord
  5. DailyNord
  6. La Voix du Nord
  7. a b et c La Voix du Nord
  8. La Voix du Nord
  9. France Bleu
  10. a et b La Voix du Nord
  11. L’Internaute
  12. La Voix du Nord
  13. a b et c La Voix du Nord
  14. Ville de Saint-Saulve
  15. Saint-Saulve Ambition
  16. Cellule PCF « Plantive » de Saint-Saulve
  17. Cellule PCF « Plantive » de Saint-Saulve
  18. a et b La Voix du Nord
  19. La Voix du Nord
  20. Ville de Saint-Saulve
  21. La Voix du Nord
  22. Va-Infos.fr
  23. Assemblée nationale
  24. Assemblée nationale
  25. Assemblée nationale
  26. Assemblée nationale
  27. Assemblée nationale
  28. Roubaix au Centre
  29. La Documentation française
  30. [vidéo] Visionner la vidéo sur Dailymotion
  31. a et b Valenciennes Maville.com
  32. La Croix
  33. Ministère de l’Intérieur
  34. La Voix du Nord
  35. Valenciennes Métropole
  36. Saint-Saulve Ambition
  37. Les Échos
  38. [vidéo] « Visionner la vidéo », sur YouTube
  39. France 3 Hauts-de-France
  40. La Voix du Nord
  41. Le Parisien
  42. La Voix du Nord
  43. La Voix du Nord
  44. DailyNord
  45. La Voix du Nord
  46. La Voix du Nord
  47. La Voix du Nord
  48. France 3 Hauts-de-France
  49. L'Observateur
  50. Va-Infos.fr
  51. Ministère de l’Intérieur
  52. Ministère de l’Intérieur
  53. Décret du portant promotion et nomination, paru au Journal officiel no 0097 du (texte 5).
  54. La Voix du Nord
  55. La Voix du Nord
  56. La Voix du Nord
  57. Cn’O Radio
  58. Va-Infos.fr
  59. La Voix du Nord

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Articles connexes

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Liens externes

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