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Ozone stratosphérique

L’ozone stratosphérique protège la surface de la Terre en absorbant les rayons ultraviolets (UV) émis par le soleil. Il se forme naturellement à la suite de réactions chimiques entre les rayons UV et l’oxygène. Environ 90 % de l’ozone se trouve dans la stratosphère, couche de l’atmosphère qui commence entre 10 et 15 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre aux latitudes moyennes. L’ozone stratosphérique forme ce qu’on appelle la couche d’ozone.

Découvrez les différents projets d’AERIS qui étudie l’ozone stratosphérique :

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L’instrument SMR suédois, développé conjointement avec la France et la Finlande, a été lancé le 20 février 2001 à bord du mini-satellite suédois ODIN . Ce récepteur de micro-ondes est […]

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L’instrument ILAS, développé par l’Agence japonaise de l’environnement (NIES), a été lancé sur le satellite ADEOS 1 le 17 août 1996. Il s’agissait d’un spectromètre visible/infrarouge, enregistrant les spectres d’absorption […]

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Les instruments POAM ont été développé par le laboratoire américain de recherche navale (NRL) pour mesurer la distribution verticale dans l’atmosphère de l’ozone, de la vapeur d’eau et du dioxyde […]

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L’instrument SAGE II a été développé par la NASA pour fournir à la communauté scientifique une description globale et à long terme de la distribution des aérosols, de l’ozone, de […]

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Plusieurs satellites et instruments spatiaux ont été lancés dans les années 1990-2000 afin d’observer la couche d’ozone dans la stratosphère. Plus généralement, l’objectif était de mieux comprendre la chimie de la stratosphère moyenne (stratosphère, mésosphère) et valider les modèles de chimie-transport permettant de reproduire et de prévoir le trou dans la couche d’ozone. Ces instruments sont généralement des spectromètres couvrant des domaines spectraux variés, des micro-ondes à l’ultraviolet. Ils enregistrent des spectres d’absorption ou d’émission atmosphériques (niveau 1) à partir desquels des modèles inverses permettent de produire des colonnes ou des profils verticaux de concentration de constituants atmosphériques (niveau 2) avec une très haute précision.

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HEMERA est une infrastructure de recherche financée par le programme Horizon 2020 de l’Union européenne qui intègre une vaste communauté de départ dans le domaine de la recherche troposphérique et stratosphérique par ballons, afin de mettre les installations existantes de ballons à la disposition de toutes les équipes scientifiques de l’Union européenne, du Canada et des pays associés. La complémentarité des capacités des membres de l’HEMERA dans le domaine des systèmes et des opérations de ballons offrira un service facile et amélioré à la communauté scientifique. Un large éventail de thèmes scientifiques et techniques sont abordés, tels que l’astronomie, la physique et la chimie de l’atmosphère, la recherche sur le climat, la physique fondamentale, la biologie, la recherche et la technologie spatiales.

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NDACC (Network for Detection of Atmospheric Composition Change), anciennement NDSC (Network for Detection of Stratospheric Change), est un réseau international de surveillance sur le long terme de la stratosphère et de la haute troposphère créé en 1991, basé sur des observations effectuées sur différents sites répartis sur tout le globe. Il a comme objectifs la détection des changements de composition chimique et de température d’origine naturelle ou anthropique ainsi que l’étude des interactions entre chimie et climat, et la validation sur le long terme des observations des mêmes paramètres par les nombreux satellites mis en orbite depuis lors. Les activités françaises composent le Service d’Observation NDACC-France du CNRS/INSU coordonné au niveau national par l’Observatoire de l’université de Versailles Saint-Quentin.

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