dbo:abstract
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- La persistance rétinienne ou persistance de la vision est le phénomène attribuant à l'œil une image rémanente durant 1⁄18 de seconde sur la rétine. Selon la loi de , le seuil critique de fusion du papillotement est la fréquence à laquelle un stimulus visuel discontinu est perçu comme complètement continu. Selon la loi de Plateau, dite de Plateau-Talbot dans le monde anglo-saxon (du nom du physicien Belge Joseph Plateau et de l'Anglais William Talbot) on distingue deux types de persistance rétinienne :
* La persistance positive, qui dure peu de temps, environ 50 millisecondes ; la couleur de l'image persiste, paupières fermées. L’œil est donc théoriquement capable de capter 20 images par seconde, au-dessus de ce seuil, il ne verra pas le clignotement des images, en dessous la succession d'images est perceptible.
* La persistance négative, qui dure plus longtemps. Elle est due à une exposition prolongée à une forte intensité lumineuse qui a détérioré les bâtonnets. On garde ensuite imprimée une trace sombre de l'image dans la vision durant plusieurs secondes (exemple : phosphène de la trace du soleil, ou d'un flash d'appareil photo après avoir fermé les yeux). Cette théorie est contestée, notamment par les chercheurs américains Joseph et Barbara Anderson. (fr)
- La persistance rétinienne ou persistance de la vision est le phénomène attribuant à l'œil une image rémanente durant 1⁄18 de seconde sur la rétine. Selon la loi de , le seuil critique de fusion du papillotement est la fréquence à laquelle un stimulus visuel discontinu est perçu comme complètement continu. Selon la loi de Plateau, dite de Plateau-Talbot dans le monde anglo-saxon (du nom du physicien Belge Joseph Plateau et de l'Anglais William Talbot) on distingue deux types de persistance rétinienne :
* La persistance positive, qui dure peu de temps, environ 50 millisecondes ; la couleur de l'image persiste, paupières fermées. L’œil est donc théoriquement capable de capter 20 images par seconde, au-dessus de ce seuil, il ne verra pas le clignotement des images, en dessous la succession d'images est perceptible.
* La persistance négative, qui dure plus longtemps. Elle est due à une exposition prolongée à une forte intensité lumineuse qui a détérioré les bâtonnets. On garde ensuite imprimée une trace sombre de l'image dans la vision durant plusieurs secondes (exemple : phosphène de la trace du soleil, ou d'un flash d'appareil photo après avoir fermé les yeux). Cette théorie est contestée, notamment par les chercheurs américains Joseph et Barbara Anderson. (fr)
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