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- Le clitellum (du latin clitellae, « bât ») est une section glandulaire épidermique de la paroi du corps d'une famille d'Annélides, les Clitellates (qui comprend les Oligochètes (lombric) et les Achètes (sangsue)). Certains auteurs considèrent que l'épiderme, au niveau du clitellum est monostratifié, d'autres le décrivent (Grove, 1925) comme « plus ou moins stratifiés » avec 3 types cellulaires (mis en évidence par coloration histochimique par Grove & et Cowley (1928) : 1.
* des (en surface) ; 2.
* des « cellules à gros granules » en subsurface de l'épiderme ; 3.
* des « cellules à fins granules », plus profondes, plus grosses et plus nombreuses. Le clitellum est très visible (turgescent) chez les lombriciens en période d'activité sexuelle, parfois d'une couleur bien différente que celle du reste du corps. Il a notamment été étudié chez le ver de terre amazonien géant (dont la taille peut dépasser deux mètres) De nombreux auteurs, tel Avel en 1929 le considèrent chez ces espèces comme étant un caractère sexuel secondaire, car il est inapparent chez les jeunes vers, puis se développe à la puberté (couleur plus claire) puis très turgescent en période sexuelle, puis régressant en période de « repos génital » (durant selon les cas la diapause des espèces , ou les temps de régénération ou de variations saisonnières d'activité. En outre, Avel, en 1929 puis Herlant-Meewis (1956) ou Berjon (1965) ont montré qu'il est sous la dépendance d'une hormone ; un facteur de nature peptidique selon Marcel et Cardon (1982). (fr)
- Le clitellum (du latin clitellae, « bât ») est une section glandulaire épidermique de la paroi du corps d'une famille d'Annélides, les Clitellates (qui comprend les Oligochètes (lombric) et les Achètes (sangsue)). Certains auteurs considèrent que l'épiderme, au niveau du clitellum est monostratifié, d'autres le décrivent (Grove, 1925) comme « plus ou moins stratifiés » avec 3 types cellulaires (mis en évidence par coloration histochimique par Grove & et Cowley (1928) : 1.
* des (en surface) ; 2.
* des « cellules à gros granules » en subsurface de l'épiderme ; 3.
* des « cellules à fins granules », plus profondes, plus grosses et plus nombreuses. Le clitellum est très visible (turgescent) chez les lombriciens en période d'activité sexuelle, parfois d'une couleur bien différente que celle du reste du corps. Il a notamment été étudié chez le ver de terre amazonien géant (dont la taille peut dépasser deux mètres) De nombreux auteurs, tel Avel en 1929 le considèrent chez ces espèces comme étant un caractère sexuel secondaire, car il est inapparent chez les jeunes vers, puis se développe à la puberté (couleur plus claire) puis très turgescent en période sexuelle, puis régressant en période de « repos génital » (durant selon les cas la diapause des espèces , ou les temps de régénération ou de variations saisonnières d'activité. En outre, Avel, en 1929 puis Herlant-Meewis (1956) ou Berjon (1965) ont montré qu'il est sous la dépendance d'une hormone ; un facteur de nature peptidique selon Marcel et Cardon (1982). (fr)
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- Le clitellum (du latin clitellae, « bât ») est une section glandulaire épidermique de la paroi du corps d'une famille d'Annélides, les Clitellates (qui comprend les Oligochètes (lombric) et les Achètes (sangsue)). Certains auteurs considèrent que l'épiderme, au niveau du clitellum est monostratifié, d'autres le décrivent (Grove, 1925) comme « plus ou moins stratifiés » avec 3 types cellulaires (mis en évidence par coloration histochimique par Grove & et Cowley (1928) : (fr)
- Le clitellum (du latin clitellae, « bât ») est une section glandulaire épidermique de la paroi du corps d'une famille d'Annélides, les Clitellates (qui comprend les Oligochètes (lombric) et les Achètes (sangsue)). Certains auteurs considèrent que l'épiderme, au niveau du clitellum est monostratifié, d'autres le décrivent (Grove, 1925) comme « plus ou moins stratifiés » avec 3 types cellulaires (mis en évidence par coloration histochimique par Grove & et Cowley (1928) : (fr)
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