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Valavoire

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Valavoire est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Valavoire
Valavoire
Le village de Valavoire.
Blason de Valavoire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Communauté de communes du Sisteronais-Buëch
Maire
Mandat
Hervé Miran
2020-2026
Code postal 04250
Code commune 04228
Démographie
Population
municipale
38 hab. (2021 en évolution de −11,63 % par rapport à 2015)
Densité 2,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 48″ nord, 6° 04′ 01″ est
Altitude Min. 696 m
Max. 1 885 m
Superficie 16,81 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Seyne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Valavoire
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Valavoire
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Valavoire
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Valavoire

Géographie

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Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes 
Valavoire et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Le village est situé à 1 200 m d’altitude[1].

Les communes limitrophes de Valavoire sont Clamensane, Bayons, Authon, Saint-Geniez et Châteaufort.

Géologie

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Massif des Alpes et localisation des Préalpes de Digne

Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[2] :

  • la nappe de Digne à l'est[3], au niveau du lobe de Valavoire[4] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
  • la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 992 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sisteron », sur la commune de Sisteron à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 835,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Risques majeurs

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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de La Motte-du-Caire auquel appartient Valavoire est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[12], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[13]. La commune de Valavoire est également exposée à trois autres risques naturels[13] :

  • feu de forêt ;
  • inondation ;
  • mouvement de terrain.

La commune de Valavoire n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[14] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[14] et le Dicrim n’existe pas non plus[15].

La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle en 1994, pour des inondations, des coulées de boue et des glissements de terrain[13].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Valavoire est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (45,8 %), forêts (30,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[20].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1030 (de Valadoria), fait l’objet de différentes interprétations :

  • pour Charles Rostaing, il est formé des racines Val et *Tor-, montagne[21],[22] ;
  • pour Ernest Nègre, il est le pluriel du bas-latin Vallatorium, désignant un auvent, un avant-toit. Le nom du village viendrait donc d’une maison en possédant un[23].

Histoire

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Dans l’Antiquité, le territoire de Valavoire fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud des Baronnies à la Durance, et recouvre une partie du massif des Monges. Les Sogiontiques sont fédérés aux Voconces, et après la conquête romaine, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ils sont détachés des Voconces et forment une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[24].

La localité est signalée pour la première fois dans les chartes en 1030[25].

L’église Saint-Pierre relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille aux XIe et XIIe siècles[25]. La communauté relevait de la baillie de Sisteron[25].

Durant la Révolution, le château est dévasté par les paysans, et le seigneur est dépouillé de ses réserves de grain[26] en [27]. La commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[28]. Le château est entièrement démoli sous la Révolution[29].

Au XIXe siècle, Valavoire est l’une des dernières communes de la région à se doter d’une école : lors de l’enquête de 1863, elle est parmi les 17 communes du département (sur 245) à ne pas en posséder[30]. La commune en construit une dans les années qui suivent cette enquête, la deuxième loi Duruy (1877) lui permettant ensuite d’améliorer son école[31].

Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture a depuis été abandonnée[32].

Politique et administration

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Administration municipale

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De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 9 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[33]). Lors du scrutin de 2008, il y eut deux tours (six élus au premier tour et trois au second) et Albert Martre a été élu conseiller municipal au premier tour avec le meilleur 42 voix, soit 85,71 % des suffrages exprimés. La participation a été de 98,00 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[34].

Liste des maires

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L'élection du maire est la grande innovation de la Révolution de 1789. De 1790 à 1795, les maires sont élus au suffrage censitaire pour 2 ans. De 1795 à 1800, il n’y a pas de maires, la commune se contente de désigner un agent municipal qui est délégué à la municipalité de canton.

En 1799-1800, le Consulat revient sur l'élection des maires, qui sont désormais nommés par le pouvoir central. Ce système est conservé par les régimes suivants, à l'exception de la Deuxième République (1848-1851). Après avoir conservé le système autoritaire, la Troisième République libéralise par la loi du l'administration des communes : le conseil municipal, élu au suffrage universel, élit le maire en son sein.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Élie Silve[35]    
         
avant 2005 mars 2008 Gilbert Gras    
mars 2008 2014 Albert Martre[36]    
avril 2014 mai 2020 Monique Sevikian[37]   Retraitée de l'enseignement
mai 2020 en cours Hervé Miran[38]   Ancien Cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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Valavoire fait partie :

Instances judiciaires et administratives

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Valavoire est une des 34 communes du canton de Seyne depuis 2015, qui totalise 8 377 habitants en 2012. La commune fait partie de l’arrondissement de Sisteron du au , date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier, et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Valavoire fait partie du canton de La Motte-du-Caire de 1801 à 2015, après avoir fait partie du canton de Saint-Geniez de 1793 à 1801[39]. La commune fait partie des juridictions d’instance et prud'homale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[40].

Fiscalité locale

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L'imposition des ménages et des entreprises à Valavoire en 2009[41]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation 2,60 % 0,64 % 5,53 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties 6,60 % 2,25 % 14,49 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties 31,75 % 6,44 % 47,16 % 8,85 %
Taxe professionnelle 7,28 % 1,28 % 10,80 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[42]).

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

En 2021, la commune comptait 38 habitants[Note 2], en évolution de −11,63 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
229267218250263234237203217
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
218215200185164156160183179
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
1371571551461311041037561
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
976945364540273436
2013 2018 2021 - - - - - -
413938------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[45].)
Évolution démographique
1315 1471
37 feux13 feux
(Sources : Daniel Thiery pour l’Ancien Régime[25])

L'histoire démographique de Valavoire, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu'au début du XIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1856. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1821[46]. Le mouvement de baisse ne semble stoppé qu'au début du XXIe siècle.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune ne dispose pas d'école primaire publique[47]. Au niveau secondaire, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[48]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[49],[50].

Économie

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Agriculture

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Les agriculteurs de la commune de Valavoire ont droit à un label appellation d'origine contrôlée (AOC) (huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et à neuf labels indication géographique protégée (IGP) (pommes des Alpes de Haute-Durance, miel de Provence, agneau de Sisteron, alpes-de-haute-provence (IGP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[51].

Productions agricoles de Valavoire[réf. nécessaire].

Lieux et monuments

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Le « château de la Molle » est un spectaculaire décrochement rocheux de la montagne de Jouère. On y passe pour accéder, à partir du village, à la croix Saint-Jean qui culmine à 1 886 mètres sur le chemin de crête menant au sommet des Monges (2 115 mètres).

L’église paroissiale Saint-Pancrace date du XIIIe siècle. D’abord placée sous l’invocation de la Vierge, on lui adjoint comme patron saint Pancrace, qui devient titulaire au XVIIIe siècle[25]. D’architecture romane, elle a été modifiée et restaurée plusieurs fois (dont une fois en 1969). La nef compte deux travées voûtées en berceau[52]. Le tableau de la Crucifixion, date de la fin du XVIe siècle ou du début du suivant, dans un style archaïque et raide[53]. Des bancs anciens ont été classés monuments historiques au titre objet, puis déclassés[54].

Héraldique

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Blason de Valavoire  Blason
De gueules à un sautoir d'or, accompagné de la lettre V d'argent, au flanc dextre et de la lettre L du même, au flanc senestre[55].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  2. Maurice Gidon, Les chaînons de Digne, carte schématique montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale).
  3. Carte géologique de la France au 1:1 000 000
  4. Maurice Gidon, La Nappe de Digne et les structures connexes.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Valavoire et Sisteron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Sisteron », sur la commune de Sisteron - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Sisteron », sur la commune de Sisteron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  13. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 septembre 2012
  14. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
  15. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 septembre 2012
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p
  22. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 32.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 5924, p 381
  24. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 18-19
  25. a b c d et e Daniel Thiery, « Valaloire (sic) », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 2 septembre 2012
  26. André Lombard, « Violences et troubles de 1789 à l’An VI », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 158.
  27. La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 15.
  28. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
  29. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 243.
  30. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  31. Labadie, op. cit., p. 11.
  32. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
  33. « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance.
  34. « Résultats élections municipales 2008 à Valavoire », sur linternaute.com.
  35. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 3 avril 2014.
  36. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013
  37. Répertoire national des élus (RNE) - version de juillet 2020, consulté le 3 juillet 2020
  38. « Répertoire national des élus (RNE) - version octobre 2021 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  39. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. « Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence », Ministère de la Justice et des Libertés.
  41. « Impôts locaux à Valavoire », taxes.com.
  42. Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  47. « Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence », Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence.
  48. « Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille, .
  49. « Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille, .
  50. « Site de la cité scolaire Paul-Arène », Académie Aix-Marseille, .
  51. « Liste des appellations AOC et IGP à Valavoire », sur INAO.
  52. Raymond Collier, op. cit., p 119
  53. Raymond Collier, op. cit., p 477
  54. Classement en 1978, Raymond Collier, op. cit., p 517
  55. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).