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Thorée-les-Pins

commune française du département de la Sarthe

Thorée-les-Pins est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 738 habitants[Note 1] (les Thoréens[1]).

Thorée-les-Pins
Thorée-les-Pins
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Fléchois
Maire
Mandat
Joël Lelarge
2020-2026
Code postal 72800
Code commune 72357
Démographie
Gentilé Thoréens
Population
municipale
738 hab. (2021 en évolution de +2,64 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 17″ nord, 0° 02′ 32″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 87 m
Superficie 28,18 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction La Flèche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Flèche
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Thorée-les-Pins
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Thorée-les-Pins
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Thorée-les-Pins
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Thorée-les-Pins
Liens
Site web www.thoree-les-pins.fr

Thorée-les-Pins est une commune rurale du Maine angevin, établie à la confluence du Loir et de son affluent le ruisseau des Cartes. Alors que la commune a subi un fort exode rural au cours du XXe siècle, la population a cessé de décroître depuis le début du XXIe siècle, avant de connaître une légère augmentation ces dernières années.

Géographie

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Localisation

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Thorée-les-Pins, commune du sud du département de la Sarthe, est située dans la vallée du Loir, au cœur du Maine angevin. La ville se trouve, en distances orthodromiques, à 8,6 km de La Flèche, 36 km du Mans, 50 km d'Angers, 58 km de Tours et 215 km de Paris[2]. Le méridien de Greenwich traverse la commune. Thorée-les-Pins doit son nom aux vastes forêts de résineux présentes sur le territoire de la commune.

Géologie et relief

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La commune présente un relief peu vallonné, pour une altitude moyenne de 58 m. Le point le plus bas est situé à 28 m d'altitude au barrage du Moulin des Îles, sur le Loir, à la limite communale avec Luché-Pringé et Mareil-sur-Loir. Le point le plus haut, à 87 m, est situé au lieu-dit les Onze Arpents à la limite communale avec Savigné-sous-le-Lude[4].

Le bourg de Thorée-les-Pins est implanté à la rencontre de la plaine alluviale du Loir et des alluvions fluviatiles du ruisseau des Cartes. Le territoire communal est principalement recouvert d'alluvions anciennes. Les faluns du Turonien affleurent au long de la vallée du ruisseau des Cartes, où l'on trouve également des sables à silex et spongiaires du Sénonien. On note la présence de formations laguno-lacustres datant de l'Éocène ou de l'Oligocène aux lieux-dits l'Échallerie et le Tertre, et de formations résiduelles de l'Éocène inférieur au sud-ouest de la commune[5],[6].

Hydrographie

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La commune est bordée au nord par le Loir, long de 317 km, affluent de la Sarthe qu'il rejoint à Angers[7]. Le ruisseau des Cartes, qui prend sa source au sud-est de Vaulandry et s'écoule sur près de 19 km[8], rejoint le Loir en rive gauche sur le territoire de la commune. Ce ruisseau a donné son nom au hameau des Cartes, situé au sud de la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 744,6 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Statistiques 1991-2020 et records THOREE LES PINS (72) - alt : 78m, lat : 47°39'33"N, lon : 0°01'21"E
Records établis sur la période du 01-01-1961 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,1 3,8 5,6 8,8 11,9 13,5 13,3 10,4 8,3 5 2,8 7,3
Température moyenne (°C) 5,3 5,8 8,5 11 14,4 17,7 19,6 19,5 16,2 12,7 8,4 5,8 12,1
Température maximale moyenne (°C) 8,2 9,5 13,1 16,3 19,9 23,5 25,7 25,7 22 17,1 11,9 8,7 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−17,2
17.01.1987
−13,4
10.02.1986
−11,5
01.03.05
−5
11.04.1973
−2,4
05.05.1979
1,5
01.06.06
3
05.07.1965
4,5
28.08.1998
1,3
19.09.1962
−4,5
30.10.1997
−9
23.11.1993
−15,8
29.12.1964
−17,2
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
17
15.01.1975
21,5
27.02.19
25,5
31.03.21
28,5
20.04.18
32,6
12.05.1969
40
29.06.19
40,5
25.07.19
39
06.08.03
36
01.09.1961
30,2
02.10.23
22
07.11.15
18
07.12.00
40,5
2019
Précipitations (mm) 70,9 57 54 54,2 58,2 50,6 55,5 52,4 60,6 75,4 74,6 81,2 744,6
Source : « Fiche 72357001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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Réseau routier

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Thorée-les-Pins est traversée par la route départementale D 306, ancienne N 159 reliant Tours à Laval, qui arrive à l'est en provenance du Lude et repart vers l'ouest en direction de La Flèche. Au nord, la D 158 part en direction de Luché-Pringé, tandis qu'au sud, la D 224 arrive en provenance de Vaulandry. La D 104, qui relie La Flèche à Savigné-sous-le-Lude, traverse le territoire communal sur quelques hectomètres au sud du hameau des Cartes[4].

Transport en commun

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Aucune ligne du réseau TIS ne traverse la commune. La ligne la plus proche est la ligne 18 Le LudeLe Mans, dont un arrêt est fait place de la Résistance à Luché-Pringé[14]. Le transport scolaire est géré par le conseil général de la Sarthe. Plusieurs arrêts sont programmés à Thorée-les-Pins pour se rendre aux collèges et lycée du Lude et de La Flèche.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Thorée-les-Pins est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Flèche, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[16]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), prairies (10,3 %), terres arables (6,8 %), cultures permanentes (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %), zones urbanisées (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %), eaux continentales[Note 3] (0,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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La population du village est répartie entre le bourg et le hameau des Cartes. Le bourg de Thorée s'organise autour de son église et en suivant l'ancien tracé de la D 306, aujourd'hui rue Principale et rue des Écoles, puis s'étend vers le sud le long de la D 224 en direction des Cartes. On y trouve principalement des pavillons résidentiels. L'habitat est très dispersé sur le territoire de la commune, et l'on compte près de soixante-dix lieux-dits habités ou anciennement habités, avec le plus souvent une unique habitation ou exploitation agricole[4].

Logements

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En 2009, la commune comptait 361 logements, soit 39 logements de plus qu'en 1999, presque exclusivement des maisons. Les résidences principales représentaient 74,9 % de l'ensemble de ces logements, contre 87,5 % dans le reste du département[A 1]. Les habitants sont très majoritairement propriétaires, à 82,1 %[A 2]. La majorité des résidences principales (58,9 %) datent d'avant 1949.

Plus de la moitié (59,3 %) des ménages en 2009 occupent leur résidence principale depuis dix ans ou plus[A 3]. 76,4 % des résidences principales avaient quatre pièces ou plus alors que le nombre moyen de pièces par logement se situe à 4,5[A 4].

Toponymie

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La commune est mentionnée dès 1216 sous la forme latinisée Thorreia puis Torrea en 1258, Thorreya vers 1330 et Torrée en 1399[20]. En 1936, le village devient Thorée-les-Pins, par adjonction du déterminant complémentaire -les-Pins en référence aux vastes espaces forestiers qui recouvrent la commune.

Le toponyme Thorée est issu de *Tauriaca, du nom d'un propriétaire terrien de l'époque gallo-romaine dénommé Taurius[21], suivi du suffixe -(i)aca, forme féminine d’-(i)-acum, suffixe d'origine gauloise dénotant la propriété. Il s'agit d'un type toponymique très fréquent dans l'ancienne Gaule et qui explique tous les Tauriac, Thoiry, Thoré, etc. L'anthroponyme gallo-romain Taur(i)us semblable au latin taurus « taureau » peut représenter le gaulois taruos « taureau » influencé par le latin. Il a dû exister un type toponymique initial *Taruacon.

Histoire

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En 1078, le comte d'Anjou Foulques-le-Réchin est chassé du Mans par Guillaume le Conquérant. Il s'attaque alors à Jean, seigneur de La Flèche, et demande l'appui du duc Hoël II de Bretagne. Tous deux assiègent le château de La Flèche mais Guillaume le Conquérant vient en aide à Jean à la tête de 6 000 cavaliers. Les deux armées se retrouvent face à face à la Lande Blanche (Blancalanda), située à Thorée. Le conflit est évité et la paix est signée grâce à l'intervention d'un cardinal et de quelques religieux[22].

Sous l'Ancien Régime, Thorée dépendait de la sénéchaussée de Baugé et du tribunal spécial ou « greniers à sel » du Lude.

En 1790, lors de la création des départements français, Thorée, comme certaines villes du nord-est de l'Anjou (La Flèche, Le Lude) est rattachée au département de la Sarthe.

En février 1800, 150 Chouans emmenés par Lamotte-Mervé attaquent des gardes nationaux dans les bois de Mervé, entre Thorée et Luché[23].

Le , des cultivateurs de Thorée avertissent les FFI du Prytanée de La Flèche que les Allemands rassemblent et détruisent des munitions dans un bois situé à quelques kilomètres du bourg de Thorée afin qu'elles ne tombent pas aux mains des Français. Une opération est alors organisée par le commandant Tête, médecin au Prytanée, accompagné de plusieurs volontaires. Arrivé sur place, le groupe de résistants tente de parlementer mais le combat s'engage. Le sous-lieutenant Paul Favre, professeur-adjoint au Prytanée, meurt sous les balles. Le bois où s'était déroulé le combat appartenait au marquis de Talhouët-Roy, propriétaire du château du Lude[24]. Le marquis cède une partie de son terrain afin qu'une stèle à la mémoire du sous-lieutenant soit érigée sur les lieux du combat[24]. L'inauguration du monument a lieu le , en présence des élèves du Prytanée[24].

Un camp de prisonniers de guerre allemands y a été établi à la fin de la Seconde Guerre mondiale. D’abord sous administration américaine (camp 22), il passe sous autorité française (dépôt de PG 402). Il accueillait 32 000 prisonniers en juillet 1945[25], et 20 000 prisonniers en septembre 1945.

Politique et administration

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Administration municipale

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Thorée-les-Pins est située dans le canton et l'arrondissement de La Flèche, dans le département de la Sarthe. La commune comptant moins de 1 500 habitants, son conseil municipal est constitué de quinze élus, dont le maire et trois adjoints[26].

Liste des maires

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Cinq maires se sont succédé depuis 1942.

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1942 1975 Henri Cormier    
1975 1989 Francis Vaudolon   Agriculteur
1989 1995 Rémi Landais    
1995 1996 Geoffroy de la Bouillerie    
1996 2014 Joël Lelarge   Enseignant
2014 En cours Véronique Menant[27]   Comptable

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 738 habitants[Note 4], en évolution de +2,64 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Thorée a compté jusqu'à 998 habitants en 1866.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
559514510619650933922975987
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
945986998981921901882899881
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
846820784737756707716717662
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
692631626617616616664661725
2018 2021 - - - - - - -
726738-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (34,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 28,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 379 hommes pour 347 femmes, soit un taux de 52,20 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,66 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,3 
5,8 
75-89 ans
5,2 
14,0 
60-74 ans
18,2 
21,6 
45-59 ans
20,5 
17,7 
30-44 ans
16,4 
16,1 
15-29 ans
16,4 
24,0 
0-14 ans
23,1 
Pyramide des âges du département de la Sarthe en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,3 
7,9 
75-89 ans
10,6 
17,8 
60-74 ans
18,6 
20,2 
45-59 ans
19,3 
17,1 
30-44 ans
16,8 
17,3 
15-29 ans
15,6 
18,7 
0-14 ans
16,8 

Enseignement

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La commune est située dans l'académie de Nantes. Thorée-les-Pins dispose d'une école primaire publique qui fonctionne dans le cadre d'un regroupement scolaire avec la commune voisine de Savigné-sous-le-Lude[34]. Le collège le plus proche se situe au Lude et le lycée à La Flèche. Des arrêts de bus scolaires sont mis en place à Thorée-les-Pins pour se rendre dans ces établissements.

Aucun médecin ni infirmier n'est installé à Thorée-les-Pins. Les plus proches sont à Luché-Pringé. L'hôpital le plus proche, le Pôle Santé Sarthe et Loir, est situé sur la commune du Bailleul, à 25 km de Thorée-les-Pins[Note 5].

Thorée-les-Pins dispose d'un terrain de football, situé à proximité de la salle polyvalente de la commune et dont les travaux d'aménagement ont pris fin à l'été 2012[35]. L'Union sportive thoréenne y dispute ses rencontres et engage une équipe en division de district[36]. Les équipements sportifs de la commune incluent également un terrain de boule de fort, sport typique de l'ancienne province de l'Anjou. Le club de boule de fort de Thorée-les-Pins, fondé en 1921, dispose d'une nouvelle piste de jeu, inaugurée en juillet 2012[37].

Le territoire de la commune, riche en espaces naturels et en forêts, permet la pratique de la randonnée. Le sentier de grande randonnée GR 35 traverse notamment la commune[38], qui dispose également de 19 km de sentiers pédestres[39].

La commune fait partie de la paroisse de Luché-Pringé, qui regroupe également les communes de Mareil-sur-Loir et Saint-Jean-de-la-Motte, au sein du diocèse du Mans[40]. Le culte catholique est assuré à Thorée-les-Pins à l'église Saint-Germain.

Économie

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Revenus de la population

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 461 , ce qui plaçait Thorée-les-Pins au 16 811e rang parmi les 31 347 communes de plus de 50 ménages en métropole[41]. Sur les 375 foyers fiscaux que comptait la commune en 2009, 204 étaient imposables, soit un taux de 54,4 %, légèrement supérieur à la moyenne départementale (52,9 %)[A 5].

En 2009, la population thoréenne âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 438 individus parmi lesquels on comptait 76,8 % d'actifs, dont 70,9 % ayant un emploi[A 6]. Parmi les actifs ayant un emploi, seuls 16,7 % travaillaient à Thorée-les-Pins, tandis que 75,4 % travaillaient dans une autre commune du département de la Sarthe et 7,8 % dans un autre département ou à l'étranger[A 7].

Le nombre d'emplois dans la commune était de 99 en 2009. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 313, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 31,5 % ce qui signifie que la commune offre approximativement un emploi pour trois Thoréens actifs[A 8].

En 2009, le taux de chômage était de 7,6 % (contre 13 % en 1999) dont les deux-tiers étaient des femmes[A 9]. L'agence Pôle emploi pour la recherche d'emploi la plus proche est localisée à La Flèche[42].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Germain est une église romane du XIIe siècle, composée d'une nef unique couverte d'une charpente lambrisée, d'un chœur à voûte en berceau et d'une abside en cul-de-four[43]. Elle fut remaniée au XVIIe siècle avec la construction de deux petites chapelles latérales[43]. On peut y observer une statue en pierre de la Vierge à l'Enfant, datant du XVIe siècle et classée aux monuments historiques au titre d'objet en 1910[44].

La chapelle de la Commanderie fut construite en 1216 sur ordre de la reine Bérangère, puis offerte aux moines hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.

La chapelle Notre-Dame-du-Souvenir, au centre du cimetière, fut érigée en 1881 sur ordre du baron Eugène Philippe de Neufbourg.

Le monument Paul Favre est une stèle funéraire à la mémoire du sous-lieutenant Paul Favre, professeur au Prytanée de La Flèche, tué par les soldats allemands le .

Le Pas de la Mule est un mégalithe situé sur la route de Luché-Pringé. La légende raconte que pendant la guerre de Cent Ans, un général anglais battait en retraite après la bataille du Vieil-Baugé dans les bois de Thorée lorsque sa mule trébucha sur une pierre et y laissa l'empreinte de son sabot. Les notables locaux déplacèrent la pierre sous la Première République pour déterminer la frontière entre les provinces du Maine et de l'Anjou. Le Pas de la Mule marque aujourd'hui la frontière entre la commune de Thorée-les-Pins et celle de Luché-Pringé.

Patrimoine naturel

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Thorée-les-Pins est l'une des 15 communes intégrées au réseau Natura 2000 de la « Vallée du Loir de Vaas à Bazouges ». La zone ainsi constituée bénéficie d'abord d'un classement en site d'importance communautaire (SIC) en 2004 puis en zone spéciale de conservation (ZSC) en 2015[45]. L'ensemble du site s'étend de part et d'autre du Loir sur une surface de 4 018 hectares dont 296 à Thorée-les-Pins, principalement le long du ruisseau des Cartes[46]. Il présente un intérêt par la diversité de ses habitats naturels. Le classement du site vise la préservation des espèces présentes sur le territoire et celle de leurs milieux de vie, notamment de leurs sites de reproduction. Les différentes prospections menées sur le terrain ont fait apparaître la présence sur la commune de plusieurs espèces vulnérables ou menacées comme l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale)[47] et plusieurs espèces de lépidoptères : le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), l'Écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) ou encore l'Azuré du serpolet (Phengaris arion)[48].

Des secteurs du territoire de Thorée-les-Pins sont inclus dans l'aire de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[Note 7],[49]. La ZNIEFF de la Vallée du Loir de Pont-de-Braye à Bazouges-sur-Loir est l'une des plus importantes en Sarthe avec plus de 15 000 hectares et s'étend sur trente-six communes dont Thorée-les-Pins. Elle recouvre notamment la zone protégée par le réseau Natura 2000. Cette vallée alluviale constitue la limite nord des aires de répartition de plusieurs espèces végétales d'affinité méditerranéenne. Elle présente un intérêt majeur pour ses populations de chauves-souris et constitue une zone de stationnement pour de nombreux oiseaux migrateurs[50].

Les Bois de Mervé et de Coulaines, d'une superficie d'un peu plus de 263 hectares, sont une ZNIEFF de type 1[Note 8] qui s'étend à la fois sur la commune de Luché-Pringé et sur celle de Thorée-les-Pins. Constituée de boisements variés, de pelouses marécageuses et d'un étang récemment creusé, elle présente un fort intérêt botanique avec la présence de deux espèces protégées au plan national, le Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) et le Droséra intermédiaire (Drosera intermedia). Elle héberge également une fougère aquatique, le lycopode inondé (Lycopodiella inundata) et plusieurs espèces protégées au niveau régional et particulièrement rares en Sarthe. La zone présente également un intérêt par la présence de plusieurs espèces d'oiseaux migrateurs ou nicheurs inscrits sur la liste de protection régionale comme la Locustelle tachetée (Locustella naevia), le Faucon hobereau (Falco subbuteo), la Mésange noire (Periparus ater), le Pouillot siffleur (Phylloscopus silibatrix) ou le Pouillot fitis (Phylloscopus trochilus)[51].

La Vallée des Cartes et de la Vésotière est une ZNIEFF de 894 hectares, également de type 1. Elle est composée de deux bassins versants ainsi que des prairies humides et des prés de fauche qui s'établissent le long d'eux. Outre la présence de plusieurs espèces de papillons protégées au niveau national, le site offre une végétation abondante, parmi laquelle la Spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis) et l'Orchis des marais (Anacamptis palustris). Elle est également la seule zone en Sarthe où sont présentes certaines espèces végétales comme la Laîche appauvrie (Carex depauperata)[52].

La commune bénéficie du label « village fleuri » avec une fleur attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[53]

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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  • Collectif, Le patrimoine des communes de la Sarthe, t. 1, Paris, Flohic Éditions, , 800 p. (ISBN 2-84234-106-6), p. 743-744
  • Gilles Kervella, Le Loir et ses terroirs : Le Pays fléchois, Le Mans, La Reinette, , 144 p. (ISBN 978-2-913566-72-9), p. 135-138
  • Françoise Mousset-Pinard (dir.), Christine Toulier (textes), Jean-Baptiste Darrasse (photographies) et Virgine Desvigne (cartes), Le Lude en Vallée du Loir, Nantes, Éditions 303, coll. « Images du Patrimoine » (no 285), , 144 p. (ISBN 979-10-93572-11-6)

Notes et références

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Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Distances calculées sur maps.google.fr.
  6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'INSEE
  7. La création des ZNIEFF a pour objectif un inventaire des espèces animales ou végétales qui y sont présentes mais ne s'accompagne d'aucune mesure de protection réglementaire.
  8. Les ZNIEFF de type 1 sont des espaces homogènes d’un point de vue écologique et qui abritent au moins une espèce et/ou un habitat rares ou menacés, d’intérêt aussi bien local que régional, national ou communautaire.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Fiche Insee de la commune

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  1. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2009.
  4. LOG T3 - Résidences principales selon le nombre de pièces.
  5. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  6. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  7. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  8. EMP T5 - Emploi et activité.
  9. EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans.

Autres sources

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  • Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[54].
  1. « Nom des habitants des communes françaises, Thorée-les-Pins », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  2. « Recherche d'orthodromie depuis Thorée-les-Pins », sur Lion1906 (consulté le ).
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  4. a b et c « Thorée-les-Pins » sur Géoportail..
  5. Cartes géologiques de la France au 1/50 000e consultées sur InfoTerre (feuille du Lude).
  6. BRGM, « Notice de la feuille du Lude » [PDF], sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Fiche de la rivière le Loir (M1--0160) », sur le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  8. « Fiche du ruisseau des Cartes (M1474500) », sur le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France sur la commune de Thorée-les-Pins - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France sur la commune de Thorée-les-Pins - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Plan de réseau TIS », sur lestis72.com (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Thorée-les-Pins ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Flèche », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, Genève, , 704 p. (lire en ligne), p. 630.
  21. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de la Sarthe, Saint-Jean-d'Angély, Editions Jean-Michel Bordessoules, , 224 p. (ISBN 2-913471-42-0), p. 204.
  22. Julien Rémy Pesche, Dictionnaire topographique historique et statistique de la Sarthe, t. 6, Le Mans, Bondu, (lire en ligne), p. 332.
  23. Julien Rémy Pesche, dictionnaire topographique historique et statistique de la Sarthe, t.II p. 679.
  24. a b et c Alfred Brodin, Le Prytanée pendant les années d'occupation, Limoges, Michel Dugénit, , 78 p. (ISBN 2-7025-0102-8).
  25. Jean Hurault, Les camps de prisonniers de guerre en Bretagne - 1944 à 1946, publié en juin 2004, [1], consulté le 3 octobre 2008
  26. « Ouest-france.fr - Mairie de Thorée-les-Pins » (consulté le ).
  27. « De nouveaux maires et adjoints élus dès ce vendredi soir », Le Maine libre, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thorée-les-Pins (72357) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Sarthe (72) », (consulté le ).
  34. « Sarthe (72) > Thorée-les-Pins > École », sur l'annuaire des établissements scolaires sur le site du ministère de l'éducation nationale (consulté le ).
  35. « Le terrain de football opérationnel en septembre », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
  36. « US Thoréenne », sur site officiel du district de la Sarthe de football (consulté le ).
  37. « Inauguration du nouveau terrain de boule de fort », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
  38. « Le GR 35 », sur site du comité départemental Sarthe de la Fédération française de randonnée pédestre (consulté le ).
  39. « Thorée-les-Pins Les Cartes Randonnée n°6 », sur site de l'office de tourisme du Pays Fléchois (consulté le ).
  40. « La paroisse de Luché-Pringé », sur le site du diocèse du Mans (consulté le ).
  41. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  42. « Pôle emploi de La Flèche », sur le site de l'établissement Pôle emploi (consulté le ).
  43. a et b « Église paroissiale Saint-Germain », sur le site de l'Inventaire du patrimoine de la région Pays-de-la-Loire (consulté le ).
  44. Notice no PM72001010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. « FR5200649 - Vallée du Loir de Vaas à Bazouges », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  46. « Présentation du site Natura 2000 de Vaas à Bazouges », sur valleeduloir.n2000.fr (consulté le ).
  47. « Carte de localisation des odonates d'intérêt communautaire », sur valleeduloir.n2000.fr (consulté le ).
  48. « Carte de localisation des lépidoptères d'intérêt communautaire », sur valleeduloir.n2000.fr (consulté le ).
  49. « Liste des ZNIEFF à Thorée-les-Pins », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  50. « ZNIEFF 520007289 - Vallée du Loir de Pont-de-Braye à Bazouges-sur-Loir », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  51. « ZNIEFF 520006686 - Bois de Mervé et de Coulaines », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  52. « ZNIEFF 520006685 - Vallée des Cartes et de la Vésotière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  53. « Palmarès des villes et villages fleuris », sur cnvvf.fr (consulté le ).
  54. Site de l'IGN.