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Seine-et-Marne

département français

La Seine-et-Marne (/sɛ.ne.maʁn/[Note 1]) est un département français de la région Île-de-France. Il tire son nom du fleuve Seine et de la rivière Marne. L'Insee et La Poste lui attribuent le code 77. Le département comptait 1 438 100 habitants selon le dernier recensement de 2021. Ses habitants sont les Seine-et-Marnais.

Seine-et-Marne
Blason de Seine-et-Marne
Seine-et-Marne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Création du département (234 ans)
Chef-lieu
(Préfecture)
Melun
Sous-préfectures Fontainebleau
Meaux
Provins
Torcy
Président du
conseil départemental
Jean-François Parigi (LR)
Préfet Lionel Beffre (en)
Code Insee 77
Code ISO 3166-2 FR-77
Code Eurostat NUTS-3 FR102
Démographie
Gentilé Seine-et-Marnais
Population 1 438 100 hab. (2021)
Densité 243 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ nord, 3° 00′ est
Superficie 5 915 km2
Subdivisions
Arrondissements 5
Circonscriptions législatives 11
Cantons 23
Intercommunalités 21
Communes 507
Liens
Site web seine-et-marne.fr

Histoire

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Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d'une partie des provinces d'Île-de-France et de Champagne et d'une micro-partie de l'Orléanais.

 
Carte du département de la Seine-et-Marne en 1790.
 
La Seine-et-Marne et les provinces qui occupaient son territoire avant 1790 : la Champagne, l'Île-de-France et l'Orléanais.

Géographie

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Forêt de Fontainebleau.

Le département de Seine-et-Marne fait partie de la région Île-de-France, dont il constitue la moitié orientale. Sa superficie représente à elle seule 50 % de celle de la région.

Il s'agit du département français comptant le plus de « voisins » (départements limitrophes), depuis la partition de la Seine-et-Oise : 10 (devant le Maine-et-Loire qui en compte 8). Les dix départements ayant des limites communes avec la Seine-et-Marne sont : le Val-d'Oise, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et l'Essonne à l'ouest, le Loiret et l'Yonne au sud, l'Aube et la Marne à l'est, l'Aisne et l'Oise au nord.

Le département s'étend sur plusieurs régions naturelles, notamment la Brie et le Gâtinais.

Le point culminant du département est la butte Saint-Georges à 215 m d'altitude.

Le point le plus bas du département est à Seine-Port à 35 m d'altitude.

Départements limitrophes

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Transports

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Transports en commun

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Desserte du département par

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  • Par 4 lignes du RER :

(RER) (A)  (BRANCHE A4) Champs-sur-Marne (Gare de Noisy - Champs) Noisiel (Gare de Noisiel) Lognes (Gare de Lognes) Torcy (Gare de Torcy) Bussy-Saint-Georges (Gare de Bussy-Saint-Georges) Serris et Montévrain (Gare du Val d'Europe) Chessy (Gare de Marne-la-Vallée - Chessy - Gare TGV)

(RER) (B)  (BRANCHE B3 et B5) Le Mesnil-Amelot (Gare de l'aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV - Gare TGV) Mitry-Mory (Correspondance avec Transilien Ligne K du Transilien  - Gare de Mitry - Claye et Gare de Villeparisis - Mitry-le-Neuf)

Claye-Souilly (Gare de Mitry - Claye) Villeparisis (Gare de Villeparisis - Mitry-le-Neuf)

(RER) (D)  (BRANCHE D2) Melun (Correspondance avec Transilien Ligne R du Transilien  - Melun Gare de Melun) Dammarie-les-Lys (Gare de Vosves) Boissise-le-Roi (Gare de Boissise-le-Roi) Saint-Fargeau-Ponthierry (Gare de Ponthierry - Pringy et Gare de Saint-Fargeau) Le Mée-sur-Seine (Gare du Mée) Cesson (Gare de Cesson) Savigny-le-Temple et Nandy (Gare de Savigny-le-Temple - Nandy) Lieusaint et Moissy-Cramayel (Gare de Lieusaint - Moissy) et Combs-la-Ville (Gare de Combs-la-Ville - Quincy)

(RER) (E)  (BRANCHE E2 et E4) Chelles (Correspondance avec Transilien Ligne P du Transilien  - Gare de Chelles - Gournay) Émerainville et Pontault-Combault (Gare d'Émerainville - Pontault-Combault) Roissy-en-Brie (Gare de Roissy-en-Brie) Ozoir-la-Ferrière (Gare d'Ozoir-la-Ferrière) Gretz-Armainvilliers (Gare de Gretz-Armainvilliers) Tournan-en-Brie (Correspondance avec Transilien Ligne P du Transilien  - Gare de Tournan)

Transilien Ligne K du Transilien  (-) Mitry-Mory (Correspondance avec (RER) (B)  - Gare de Mitry - Claye) Compans (Gare de Compans) Thieux et Nantouillet (Gare de Thieux - Nantouillet) Dammartin-en-Goële, Juilly et Saint-Mard (Gare de Dammartin - Juilly - Saint-Mard)

Transilien Ligne P du Transilien  (TOUTES BRANCHES) Chelles (Correspondance avec (RER) (E)  - Gare de Chelles - Gournay) Torcy (2e Gare) et Vaires-sur-Marne (Gare de Vaires - Torcy) Thorigny-sur-Marne, Pomponne et Lagny-sur-Marne (Gare de Lagny - Thorigny) Esbly (Gare d'Esbly) Montry et Condé-Sainte-Libiaire (Gare de Montry - Condé) Couilly-Pont-aux-Dames, Saint-Germain-sur-Morin et Quincy-Voisins (Gare de Couilly - Saint-Germain - Quincy) Villiers-sur-Morin (Gare de Villiers - Montbarbin) Crécy-la-Chapelle (Gare de Villiers - Montbarbin et Gare de Crécy-la-Chapelle) Meaux (Gare de Meaux) Trilport (Gare de Trilport) Changis-sur-Marne et Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux (Gare de Changis - Saint-Jean) La Ferté-sous-Jouarre (Gare de La Ferté-sous-Jouarre) Saâcy-sur-Marne et Nanteuil-sur-Marne (Gare de Nanteuil - Saâcy) Isles-les-Meldeuses, Armentières-en-Brie et Congis-sur-Thérouanne (Gare d'Isles - Armentières - Congis) Lizy-sur-Ourcq (Gare de Lizy-sur-Ourcq) Crouy-sur-Ourcq (Gare de Crouy-sur-Ourcq) Tournan-en-Brie (Correspondance avec (RER) (E)  - Gare de Tournan) La Houssaye-en-Brie et Marles-en-Brie (Gare de Marles-en-Brie) Mortcerf (Gare de Mortcerf) Guérard et La Celle-sur-Morin (Gare de Guérard - La Celle-sur-Morin) Faremoutiers et Pommeuse (Gare de Faremoutiers - Pommeuse) Mouroux (Gare de Mouroux) Coulommiers (Gare de Coulommiers) Verneuil-l'Étang (Gare de Verneuil-l'Étang) Mormant (Gare de Mormant) Nangis (Gare de Nangis) Longueville (Gare de Longueville) Sainte-Colombe (Gare de Sainte-Colombe-Septveilles) Poigny (Gare de Champbenoist - Poigny) Provins (Gare de Provins)

Transilien Ligne R du Transilien  (TOUTES BRANCHES) Melun (Correspondance avec (RER) (D)  - Gare de Melun) Livry-sur-Seine (Gare de Livry-sur-Seine) Chartrettes (Gare de Chartrettes) Fontaine-le-Port (Gare de Fontaine-le-Port) Héricy (Gare d'Héricy) Vulaines-sur-Seine et Samoreau (Gare de Vulaines-sur-Seine - Samoreau) Champagne-sur-Seine (Gare de Champagne-sur-Seine) Vernou-la-Celle-sur-Seine (Gare de Vernou-sur-Seine) La Grande-Paroisse (Gare de La Grande-Paroisse) Bois-le-Roi (Gare de Bois-le-Roi) Fontainebleau (Gare de Fontainebleau-Forêt et Gare de Fontainebleau - Avon) Avon (Gare de Fontainebleau - Avon) Montereau-Fault-Yonne (Gare de Montereau) Thomery (Gare de Thomery) Moret-Loing-et-Orvanne (Gare de Moret-Veneux-les-Sablons) Saint-Mammès (Gare de Saint-Mammès) Montigny-sur-Loing (Gare de Montigny-sur-Loing) Bourron-Marlotte et Grez-sur-Loing (Gare de Bourron-Marlotte - Grez) Saint-Pierre-lès-Nemours et Nemours (Gare de Nemours - Saint-Pierre) Bagneaux-sur-Loing (Gare de Bagneaux-sur-Loing) Souppes-sur-Loing et Château-Landon (Gare de Souppes - Château-Landon)

Et de nombreuses lignes de Bus et de TER des régions voisines et des intercités.

Environnement

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En 2021, 401 097 tonnes de déchets ménagers et assimilés ont été collectées en Seine-et-Marne, soit 343 kg/hab[1].

La Seine-et-Marne connaît un régime climatique tempéré de type atlantique. La pluviosité est légèrement plus marquée aux environs de Fontainebleau et dans l'est de la Brie française, la Brie humide (700 mm de pluie/an) contre une moyenne départementale à 650 mm, légèrement supérieure au reste de la région Île-de-France (600 mm). Température moyenne de 3,2° en janvier et 18,6° en juillet à Melun sur la période 1953-2002.

La tempête Lothar du a fait cinq morts en Seine-et-Marne et a couché de très nombreux arbres. La canicule de l'été 2015 a battu des records de chaleur à Melun avec 39,4 °C et Samois-sur-Seine bat le record d'Île-de-France avec 42,5 °C[réf. souhaitée]. Du au , le Sud du département a été touché par de fortes pluies. Ces intempéries ont amené la crue de plusieurs cours d'eau dont le Loing et la Marne. Les crues de ces affluents de la Seine ont eu de lourdes conséquences : pendant plusieurs jours, les rues de nombreux villes et villages comme Nemours ont été totalement inondées (on a mesuré 2,3 mètres d'eau par endroits), les habitants ont été privés d'électricité, d'eau courante et de gaz pendant près d'une semaine. Les dégâts matériels ont été nombreux et coûteux, le bilan humain a été en revanche peu important.

Politique

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Communes de Seine-et-Marne.

Longtemps marquée par les rapports sociaux découlant de la propriété foncière, la Seine-et-Marne est, de manière générale, un département de tradition plutôt conservatrice, même si elle a été rapidement, sous la IIIe République, gagnée aux idées républicaines. Cette tradition conservatrice se manifeste notamment dans les arrondissements de Provins et de Fontainebleau, comme dans le secteur de Coulommiers - La Ferté-Gaucher qui, de longue date, élisent régulièrement des candidats issus des partis de droite. Dans les années de l'entre-deux-guerres, le département, par le développement des activités industrielles et de transport, a vu progressivement émerger l'influence des forces de gauche, notamment autour des cités cheminotes de Mitry-Mory et de Vaires-sur-Marne.

Après la Libération, le département a souvent élu des députés de gauche, en accordant d'ailleurs une certaine primauté au PCF, celui-ci dépassant encore les 30 % des suffrages exprimés aux élections de et obtenant 2 des cinq élus du département, un troisième siège étant attribué à la SFIO.

À contrario, le mode d'élection spécifique du Sénat, alors appelé Conseil de la République a favorisé, dès 1948, une hégémonie de la droite sur la représentation du département. L'instauration de la Ve République a modifié la donne en donnant à la droite, et notamment au courant gaulliste, la primauté dans la représentation parlementaire du département à l'Assemblée Nationale. Ainsi, en 1958, première législature du nouveau régime, le parti gaulliste obtient les cinq sièges de député du département. Cette situation perdure jusqu'en 1973 où la circonscription de Chelles et celle de Melun élisent respectivement un député PCF et un député PS.

Le rapport de forces n'évolue pas ensuite jusqu'en 1981 où, pour la première fois dans l'histoire du département, la gauche obtient 3 des 5 élus (un quatrième élu, invalidé, étant finalement battu dans une élection partielle ensuite). Puis l'adoption du scrutin proportionnel modifie la répartition des élus, et entraîne notamment l'élection d'un député FN en 1986. Les 8 autres sièges du département sont alors ainsi répartis : 1 PCF, 3 PS, 3 RPR, 1 UDF. Depuis, la droite a retrouvé son leadership aux législatives, position qui ne fut temporairement remise en question qu'en 1988 et 1997, le PS obtenant à chacune de ces consultations 4 élus sur les 9 du département.

En 1993, 2002 et 2007, la droite a réalisé le grand chelem sur les 9 sièges du département, obtenant même lors du dernier renouvellement dès le premier tour la réélection de Jean-François Copé à Meaux et celle de Christian Jacob à Provins. Pour autant, cela ne peut faire oublier que, comme en bien d'autres endroits en France, les partis de gauche ne sont pas dénués de positions électives. En 2004, pour la seconde fois dans l'histoire du département, le conseil départemental a été gagné par la gauche, plus de vingt ans après le premier succès en la matière. Cette victoire de la gauche doit beaucoup à l'évolution démographique du département puisque ce sont les arrondissements de Melun et de Torcy qui fournissent l'essentiel des élus de la nouvelle majorité départementale, avec 8 des 10 cantons de chaque arrondissement pour ses diverses composantes. De même, la mise en œuvre du scrutin proportionnel au Sénat la même année a permis, dans le cadre d'une liste d'union des forces de gauche, de faire élire deux sénateurs PS et un sénateur PCF, situation que n'avait plus connu le département depuis la Libération.

Enfin, si le département a choisi la candidature de Nicolas Sarkozy lors de la dernière élection présidentielle de 2012 (en une légère avance avec 51 % des votes), il a, en 1981 comme en 1988, manifesté sa préférence pour le candidat de la gauche, en l'espèce François Mitterrand.

En 2015, lors des élections départementales des 22 et , et dans des cantons redéfinis selon la réforme territoriale (de 43 à 23 cantons), c'est à nouveau le parti de la droite (Les Républicains) qui s'est imposé. Jean-Jacques Barbaux a été élu président du conseil départemental le lors de la séance d'installation de la nouvelle assemblée départementale, qui compte 46 conseillers départementaux. À l'occasion des élections régionales de 2015 en Île-de-France, c'est le candidat d'extrême-droite Wallerand de Saint-Just qui arrive largement en tête, avec 30,8 % des voix, devançant Valérie Pécresse (25 %), un signe de la droitisation de la Seine-et-Marne.

Alors qu'Emmanuel Macron avait remporté le premier et le deuxième tour de 2017, les élections intermédiaires sont plutôt favorables à la droite et à l'extrême-droite. Dans un contexte de forte abstention, le Rassemblement national arrive en tête aux élections européennes de 2019[2] malgré un score en baisse par rapport au scrutin européen de 2014 (24,40% contre 27,88%)[3]. Les Républicains confirment leur implantation dans le département lors des élections régionales et départementales de 2021 lors de scrutins marqués par des niveaux inédités d'abstention. Valérie Pecresse arrive nettement en tête aux deux tours des régionales dans le département alors que la majorité départementale de droite est confirmée malgré un progrès de l'opposition de gauche.

Jean-Luc Mélenchon arrive en tête au premier tour de l'élection présidentielle de 2022[4] avec 25.9% des voix, devançant légèrement Emmanuel Macron et Marine le Pen. Il l'emporte dans douze des quinze plus grandes villes du département, notamment Meaux, Chelles, Melun et Pontault-Combault. Arrivé deuxième, Emmanuel Macron remporte trois de ces villes (Bussy-Saint-Georges, Lagny-sur-Marne et Ozoir-la-Ferrière). Marine Le Pen, en troisième position et qui ne remporte aucune des quinze plus grandes grandes villes arrive cependant en tête dans la plupart des petites communes rurales de l'est du département[5]. Au deuxième tour, Emmanuel Macron l'emporte nettement avec un score légèrement inférieur à la moyenne nationale (56,97% contre 58,55%). Il remporte les quinze plus grandes communes du département, y compris celles qui avaient privilégié Jean-Luc Mélenchon au premier tour mais reste distancié par la candidate du Rassemblement national dans de nombreuses communes rurales de l'est[6].

Lors de la XVIe législature de la Cinquième République française, le département de la Seine-et-Marne est représenté par cinq députés de la majorité présidentielle, trois représentants de la coalition de gauche NUPES, deux députés des Républicains et une députée du Rassemblement national. Les Élections législatives de 2022 en Seine-et-Marne ont vu, dans un contexte d'abstention forte et supérieure à la moyenne nationale, une fragmentation de la représentation politique du département. La domination de la droite LR et de la majorité présidentielle est contestée avec la perte nette d'un siège pour chacune de ces alliances. La gauche progresse avec le gain par LFI des septièmes et dixièmes circonscriptions alors que le Rassemblement national remporte l'un de ses deux seuls sièges d'île-de-France avec le gain de la sixième circonscription


Récapitulatif de résultats électoraux récents

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Scrutin 1er tour 2d tour
1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e % 4e %
Présidentielle 2012[7] PS 27,65 UMP 27,27 FN 19,65 FG 11,01 UMP 50,75 PS 49,25 Pas de 3e Pas de 4e
Européennes 2014[3] FN 27,88 UMP 20,37 PS 11,40 UDI-MODEM 9,60 Tour unique
Régionales 2015[8] FN 30,92 UCD 25,34 PS 20,35 DLF 7,46 UCD 39,74 PS 34,36 FN 25,80 Pas de 4e
Présidentielles 2017[9] EM 23,11 FN 22,85 LFI 20,84 LR 17,77 EM 63,86 FN 36,14 Pas de 3e Pas de 4e
Européennes 2019[10] RN 24,40 LREM 20,50 EELV 12,47 LFI 7,87 Tour unique
Régionales 2021[11] LR 36,08 RN 22,13 EELV 9,42 LREM 9,31 LR 44,75 UGE 26,30 RN 20,55 LREM 8,41
Présidentielle 2022[12] LFI 25,87 LREM 25,00 RN 23,56 REC 7,25 LREM 56,97 RN 43,03 Pas de 3e Pas de 4e

Sur le plan des personnalités politiques ayant marqué l'histoire du département, et pour s'en tenir à la période la plus récente, notons les anciens ministres des différents gouvernements de la Ve République comme Alain Peyrefitte, longtemps député de Provins ; plus près de nous, Jean-François Copé et Christian Jacob ou encore Guy Drut, ancien champion olympique et député-maire de Coulommiers, et enfin dernièrement Yves Jégo, secrétaire d'État à l'Outre-Mer de 2007 à 2009. À gauche, le rôle est joué de longue date dans le département par Gérard Bordu pour le PCF, Vincent Éblé, sénateur de Seine-et-Marne et président de la commission de Finances[13], ou encore Alain Vivien, longtemps député PS de Brie-Comte-Robert, ancien responsable de la MILS, mission interministérielle de lutte contre les sectes.

Administration

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Économie

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Champ de blé en Seine-et-Marne, près de Saint-Fargeau-Ponthierry.

En 2019, l'Insee décrit la Seine-et-Marne comme un département résidentiel, évoquant un ratio d'emploi sur le nombre d'actif le plus faible de France métropolitaine. Il est cependant à noter qu'entre 1990 et 2010, le ralentissement de la croissance démographique du département en parallèle du développement de nouvelles activités économiques (plateforme aéronautique de Roissy CDG, Disneyland Paris conduit ce déséquilibre à se réduire[14].

Avec 335 000 ha (soit 56 %) de son territoire affecté à l'agriculture[15], la Seine-et-Marne se singularise en Île-de-France par le poids de ce secteur logiquement quasi inexistant dans les départements nettement plus urbanisés. Il emploie environ 4 800 personnes[16] au sein de près de 2 800 exploitations (à 63 % familiales) ayant une surface moyenne de 120 ha[15]. Les céréales (à 65 %), mais aussi les oléagineux (12 %) et la betterave sucrière (7 %) sont les principales productions[15].

L'industrie emploie plus de 50 000 salariés dans le département, notamment dans l'industrie du verre (au sud), mais aussi dans l'agro-alimentaire, les industries chimiques (fabrication d'engrais entre autres), l'imprimerie et l'édition de journaux, tandis qu'existe sur Melun le centre de recherche de Safran Aircraft Engines qui occupe près de 4 000 salariés et constitue la plus importante unité industrielle du département. Cependant, le département, du fait de sa position géographique (placé sur le réseau TGV avec une connexion à Marne-la-Vallée, traversé par plusieurs autoroutes, proximité de l'aéroport de Roissy - Charles de Gaulle) dispose également d'une importante activité logistique et de transport. Ce secteur emploie plus de 31 000 personnes et plus de 7 % des effectifs salariés du secteur privé.

Enfin, le développement des deux villes nouvelles a favorisé l'émergence de pôles tertiaires en devenir tandis que le tourisme dispose de solides arguments avec de nombreux sites remarquables et un bon parc hôtelier, notamment sur le site Disneyland Paris. Avec près de 15 000 salariés[17], le parc d'attractions à vocation internationale est en effet le principal vecteur d'emplois du département.

Tourisme

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Second département le plus touristique d'Île-de-France après Paris, la Seine-et-Marne attire annuellement environ de 30 à 40 millions de personnes. Le département possède de nombreux sites touristiques, culturels et de loisirs.

Démographie

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En 2021, le département comptait 1 438 100 habitants[Note 2], en évolution de +3,45 % par rapport à 2015 (France hors Mayotte : +1,84 %).

La Seine-et-Marne est le cinquième département francilien, après Paris, les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis et les Yvelines, et le dixième de France. Son poids démographique est de 11,6 % au niveau régional et 2,1 % au niveau national (France métropolitaine).

La densité de population s'établit à 243,1 habitants/km2 en 2021, supérieure à la densité moyenne de la France métropolitaine (106,5 habitants/km2), mais nettement en dessous du niveau régional (1 025,4 habitants/km2).

Évolution démographique

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Département rural à l'origine, la population de Seine-et-Marne a triplé en un demi-siècle en raison du développement de l'agglomération parisienne et de l'implantation des villes nouvelles de Marne-la-Vallée et Sénart. Le sud et l'est du département restent encore relativement ruraux, mais toute la frange ouest très urbanisée, avec la ville de Chelles et la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, fait désormais partie de l'agglomération parisienne.

La Seine-et-Marne figure toujours parmi les départements français les plus dynamiques en matière de démographie, bien que la croissance ait ralenti en raison de la diminution du solde migratoire. En 1999, 80 % de la population du département résidait en zone urbaine contre 20 % en zone rurale.

Évolution de la population  [ modifier ]
1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
-299 160304 068--323 893325 881333 311-
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
345 076341 382352 312354 400341 490347 323348 991355 136356 747
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
359 044358 325361 939363 561349 234380 017406 108409 311407 137
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
453 438524 486604 340755 762887 1121 078 1661 193 7671 273 4881 338 427
2016 2021 - - - - - - -
1 397 6651 438 100-------
(Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[19] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[20] puis population municipale à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Communes les plus peuplées

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Liste des quinze communes les plus peuplées du département
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
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Meaux 77284 CA Pays de Meaux 14,98 55 616 (2021) 3 713 modifier les données modifier les données 
Chelles 77108 CA Paris - Vallée de la Marne 15,90 54 309 (2021) 3 416 modifier les données modifier les données 
Melun 77288 CA Melun Val de Seine 8,04 42 367 (2021) 5 270 modifier les données modifier les données 
Pontault-Combault 77373 CA Paris - Vallée de la Marne 13,64 38 258 (2021) 2 805 modifier les données modifier les données 
Savigny-le-Temple 77445 CA Grand Paris Sud 11,97 30 510 (2021) 2 549 modifier les données modifier les données 
Villeparisis 77514 CA Roissy Pays de France 8,29 26 822 (2021) 3 235 modifier les données modifier les données 
Bussy-Saint-Georges 77058 CA de Marne et Gondoire 13,39 26 571 (2021) 1 984 modifier les données modifier les données 
Champs-sur-Marne 77083 CA Paris - Vallée de la Marne 7,35 25 695 (2021) 3 496 modifier les données modifier les données 
Roissy-en-Brie 77390 CA Paris - Vallée de la Marne 13,65 23 061 (2021) 1 689 modifier les données modifier les données 
Dammarie-les-Lys 77152 CA Melun Val de Seine 10,24 22 845 (2021) 2 231 modifier les données modifier les données 
Torcy 77468 CA Paris - Vallée de la Marne 6,00 22 444 (2021) 3 741 modifier les données modifier les données 
Montereau-Fault-Yonne 77305 CC du Pays de Montereau 9,10 22 259 (2021) 2 446 modifier les données modifier les données 
Combs-la-Ville 77122 CA Grand Paris Sud 14,48 22 240 (2021) 1 536 modifier les données modifier les données 
Lagny-sur-Marne 77243 CA de Marne et Gondoire 5,72 21 191 (2021) 3 705 modifier les données modifier les données 
Ozoir-la-Ferrière 77350 CC Les Portes Briardes Entre Villes et Forêts 15,58 20 692 (2021) 1 328 modifier les données modifier les données 

Niveau de vie et sociologie

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Selon l'Insee, en 2020, le niveau de vie médian des habitants de la Seine-et-Marne (24 000€) était supérieur à la moyenne nationale (22 320€)[22] mais légèrement inférieur à la moyenne de la région Île-de-France (24 490€)[23]. Le taux de pauvreté (11,7%) était nettement plus faible en Seine-et-Marne qu'en moyenne française (14,8%) et régionale (15,5%).

Selon le rapport de l'Institut Paris Région consacré aux évolutions sociologiques de la région Île-de-France entre 2001 et 2015, la Seine-et-Marne est - aux côtés de l'Essonne - "le département le plus typiques d’un profil périurbain avec une sous-représentation marquée des plus pauvres et des plus aisés."[24]. En revanche, la Seine-et-Marne est marqué par une surreprésentation des ménages au profil de revenu décrits comme "moyens" (du troisième au septième décile). Le constat est confirmé par l'INSEE qui évoque en 2019 une population concentrée autour des "classes moyennes"[14].

L'INSEE distinguait en 2019 quatre types de territoires dans le département de la Seine-et-Marne Des "territoires dans la dynamique de la Métropole du Grand Paris (MGP)" (situés dans une bande ouest comprenant les territoires allant de l'aéroport de Roissy CDG, à l'Orée de la Brie en passant par Marne-la-Vallée) sont marqués par des niveaux de vie élevés, surtout liés à des revenus d'activité. Plus en périphérie, un "anneau résidentiel au-delà de la MGP" (Pays Créçois, Val Briard, Brie des Rivières et Châteaux, Pays de Fontainebleau, Moret Seine et Loing) est également caractérisé par des revenus élevés mais au sein desquels la proportion de revenus du patrimoine est plus forte. Au-delà, les territoires les plus en périphérie du département (Deux Morin, Provinois, Bassée - Montois, Gâtinais-Val de Loing, Pays de Nemours) sont caractérisés par des revenus plus faibles et par des villes souffrant d'une pauvreté importante (Provins, Nemours, La Ferté-sous-Jouarre). Enfin, la Seine-et-Marne compte d'importantes poches de pauvreté urbaine (Pays de l'Ourcq, Paris - Vallée de la Marne, Grand Paris Sud, Melun Val de Seine, Brie Nangissienne, Pays de Montereau), y compris dans les plus grandes communes du département (Chelles, Meaux, Melun)[14].

Les résidences secondaires

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Selon le recensement général de la population du , 2,6 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires. Ce tableau indique les communes de Seine-et-Marne dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 20 % des logements totaux en 2011 :

Commune Population SDC Nombre de logements Rés. secondaires % Rés. secondaires
Hermé 624 487 240 49,3 %
Grisy-sur-Seine 100 86 38 43,9 %
La Tombe 208 165 71 42,8 %
Passy-sur-Seine 47 34 14 40,7 %
Gravon 145 117 44 37,5 %
Saint-Sauveur-lès-Bray 339 252 84 33,3 %
Pamfou 936 512 161 31,5 %
Vaux-sur-Lunain 203 88 26 29,1 %
Misy-sur-Yonne 983 531 153 28,8 %
Rumont 124 78 22 28,4 %
Verdelot 709 430 117 27,2 %
Le Vaudoué 754 433 112 25,9 %
Blennes 566 305 78 25,7 %
Boulancourt 370 214 52 24,4 %
Boissy-aux-Cailles 311 165 40 24,2 %
Noyen-sur-Seine 370 224 53 23,5 %
Jaulnes 357 196 45 23,0 %
Larchant 751 426 96 22,5 %
Villebéon 457 239 54 22,4 %
Recloses 699 388 85 21,9 %
Ocquerre 426 191 39 20,6 %

Sources :

Culture

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Spécialités gastronomiques

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Coulommiers au lait cru, produit en Seine-et-Marne.
  • Les différents types de laitages et de fromages de Brie (brie de Melun, brie de Meaux, brie de Nangis, brie de Montereau, brie de Provins, brie de Favières), le coulommiers traditionnel, le fontainebleau, le jean-de-brie, le bayard-gourmand, le grand-morin, le soumaintrain, le saint-siméon, le gratte-paille, le pierre-robert, le mauperthuis, le marbré, le chevru, la butte de Doue, l'explorateur, le fougerus, le vignelait, le saint-didier, le brie-yère, le camenbrie, le petit cœur coulis ou à la crème, la tomme fermière de la Brie, le Brillat-savarin, les divers fromages de chèvre de la Brie et du sud Seine-et-Marne (bûches, pyramides, tomettes, crottins, bichettes, camenchèvre, roblochèvre, petit chèvre d'Île-de-France, paley, nanteau), la confiture de lait briard, les fromages blancs, faisselles et yaourts fermiers,
  • La moutarde de Meaux, une moutarde de grains à l'ancienne. Depuis 1890, seule subsiste une entreprise la produisant, qui a déposé « Moutarde de Meaux » en tant que marque. Elle est en fait établie à Lagny-sur-Marne.
  • Les vinaigres de Meaux et de Lagny.
  • Le safran du Gâtinais.
  • Les miels de Brie et du Gâtinais.
  • Les chocolats de Chelles, de Lagny, de Dammarie-les-Lys, etc.
  • Les spécialités à la rose de Provins, au coquelicot de Nemours, le sucre d'orge de Moret-sur-Loing.
  • Les pavés de Lagny et de Meaux.
  • Les cailloux monterelais de Montereau.
  • Les melunettes de Melun.
  • Les mauresses et la bûchette du Loing de Moret.
  • Le sablé briard de Mormant.
  • Les niflettes de Provins.
  • Les macarons fondants de Réau.
  • Le chasselas de Thomery.
  • La carotte de Meaux.
  • La carotte de Crécy-la-Chapelle, une des bases du potage de Crécy.
  • Les lentilles vertes, blondes, les pois cassés de la Brie
  • Les pommes de terre du Gâtinais
  • Les poulet, poule, chapon, pintade, dinde, canard, oie, caille, lapin fermiers, et leurs dérivés(pâtés, rillettes, terrines, foie gras, aiguillettes, etc.) de la Brie.
  • La poule gâtinaise.
  • L'autruche fermière et ses dérivés.
  • Les escargots.
  • Les fritures de la Marne (goujons).
  • Le saucisson de chèvre.
  • Le cidre fermier briard.
  • Les jus de pomme et de poire fermiers briards.
  • Le vinaigre de cidre briard.
  • Les bières artisanales de la Brie et du Gâtinais.
  • Les huiles artisanales de colza, de tournesol et de noix.
  • Le feuilleté et la fondue au brie de Meaux.
  • Les galettes briardes.
  • La poularde à la briarde.
  • La poule à la bière ou au cidre briards.
  • Les talmouses au brie de Meaux.
  • Le vin de Champagne (AOC) : quelques communes dans l'est du département (cinq), toutes situées dans la vallée de la Marne : Citry, Méry-sur-Marne, Nanteuil-sur-Marne, Saâcy-sur-Marne et Sainte-Aulde sont autorisées à l'élaborer[25]. Elles exploitent la partie la plus occidentale du vignoble de Champagne.

Artistes, écrivains et personnalités

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Architectes

Personnalités politiques

Peintres

Sculpteurs

Photographes

Écrivains

Acteurs

Réalisateur/Scénariste

Chanteurs


Sportifs

Basket-ball :

Cyclisme :

Équitation :

Escrime :

Football :

Judo :

Natation :

Littérature

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Le roman de Marin Fouqué 77 a pour titre le code du département. L'histoire se déroule dans la commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine où a grandi l'auteur[26].

Cinéma et télévision

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De très nombreux films de cape et d'épée français ont été tournés en forêt de Fontainebleau.

D'autres films et téléfilms dans les châteaux de Ferrières-en-Brie, de Guermantes, de Champs-sur-Marne, de Vaux-le-Vicomte, de Blandy-les-Tours, de Fontainebleau, de Brou-sur-Chantereine, dans les cités médiévales de Provins, de Brie-Comte-Robert, dans la cité épiscopale de Meaux, à Coulommiers et à Nemours.

Partenariat avec l'Unicef

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Le département est « ami des enfants » : son conseil départemental a signé une convention avec l'Unicef, pour agir pour la protection de l'enfance[27] et faire connaître la Convention relative aux droits de l'enfant.

Logotypes et blason de Seine-et-Marne

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Notes et références

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  1. Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. Sanoussy Kaba, « ORDIF Bilan 2021 Déchets ménagers & assimilés », sur Observatoire régional des déchets en Île-de-France, (consulté le ).
  2. « Seine-et-Marne : le Rassemblement national confirme aux Européennes », sur Le Parisien (consulté le ).
  3. a et b « Résultats des élections européennes 2014 - SEINE-ET-MARNE (77) », sur interieur.gouv.fr.
  4. « Carte-Présidentielle 2022 : En Seine-et-Marne, Jean-Luc Mélenchon arrive en tête », sur France 3 Paris Ile-de-France (consulté le ).
  5. « La carte des résultats du premier tour de la présidentielle 2022 : visualisez les votes commune par commune » (consulté le ).
  6. « La carte des résultats du second tour de la présidentielle 2022 : visualisez les votes commune par commune » (consulté le ).
  7. « Résultats de l'élection présidentielles 2012 - SEINE-ET-MARNE (77) », sur interieur.gouv.fr.
  8. « Les résultats des élections précédentes - Régionales 2015 - Seine-et-Marne », sur lemonde.fr.
  9. « Les résultats des élections précédentes - Présidentielles 2017 - Seine-et-Marne », sur lemonde.fr.
  10. « Résultats des élections européennes 2014 - SEINE-ET-MARNE (77) », sur interieur.gouv.fr.
  11. « Les résultats des élections précédentes - Régionales 2021 - Seine-et-Marne », sur lemonde.fr.
  12. « Les résultats des élections précédentes - Présidentielle 2022 - Seine-et-Marne », sur lemonde.fr.
  13. « Me Connaitre – Sénateur Eblé », sur vincenteble.fr (consulté le ).
  14. a b et c « La Seine-et-Marne : un département résidentiel et contrasté - Insee Analyses Ile-de-France - 106 », sur insee.fr (consulté le ).
  15. a b et c La Seine-et-Marne : 77 sur le site de la Chambre d'agriculture de Seine-et-Marne.
  16. Insee - Emplois au lieu de travail par sexe, statut et secteur d'activité économique en Seine-et-Marne, consulté le 26 juillet 2015.
  17. « La Magie en chiffres », sur corporate.disneylandparis.fr.
  18. « Accueil », sur Musée-Jardin Bourdelle (consulté le ).
  19. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
  20. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  21. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  22. « Niveau de vie et pauvreté des territoires en 2020 − Principaux résultats sur les revenus et la pauvreté des ménages en 2020 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  23. « Dossier complet − Région d'Île-de-France (11) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  24. L'Institut Paris Region, « Gentrification et paupérisation au cœur de l'Île-de-France - Institut Paris Région », sur L'Institut Paris Region (consulté le ).
  25. « Champagne », sur abcduvin.com (consulté le ).
  26. « Avec son premier roman, Marin Fouqué donne voix à la jeunesse périurbaine - Les Inrocks », sur lesinrocks.com (consulté le ).
  27. « Le 77, premier « Département ami des enfants» », sur Unicef.

Annexes

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Bibliographie

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  • Charles Oudiette, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, J.-L. Chanson, 1821 (BNF 31044689)

Articles connexes

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Liens externes

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