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Sarreguemines

commune française du département de la Moselle

Sarreguemines (en allemand : Saargemünd Écouter, en francique rhénan : Saargemìnn) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région administrative Grand Est.

Sarreguemines
Sarreguemines
Casino et pavillon de Geiger.
Blason de Sarreguemines
Blason
Sarreguemines
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
(sous-préfecture)
Arrondissement Sarreguemines
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences
(siège)
Maire
Mandat
Marc Zingraff
2020-2026
Code postal 57200
Code commune 57631
Démographie
Gentilé Sarregueminois
Population
municipale
20 624 hab. (2021 en évolution de −2,88 % par rapport à 2015)
Densité 695 hab./km2
Population
agglomération
28 565 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 49° 06′ 40″ nord, 7° 04′ 05″ est
Altitude 243 m
Min. 192 m
Max. 293 m
Superficie 29,67 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Sarreguemines (partie française)
(ville-centre)
Aire d'attraction Sarreguemines (partie française)
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sarreguemines
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sarreguemines
Géolocalisation sur la carte : France
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Sarreguemines
Géolocalisation sur la carte : Moselle
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Sarreguemines
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Sarreguemines
Liens
Site web sarreguemines.fr

Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du bassin de vie de Moselle-est.

Ville de longue tradition faïencière, elle est au cœur d'une unité urbaine rassemblant sept communes et formant la cinquième agglomération du département avec 28 565 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Sarreguemines, à la frontière franco-allemande, est située au confluent de la Sarre et de la Blies. Cette configuration est confirmée par l’étymologie du lieu : le mot allemand Gemünd signifiant confluence[1] se retrouve également dans le nom allemand de la ville, Saargemünd. Elle fait partie de l’eurodistrict SaarMoselle qui avoisine les 700 000 habitants.

Elle est traversée par le canal des houillères de la Sarre. Le chemin de halage du canal est emprunté par le grand itinéraire cyclable Eurovélo 5 (EV5 Via Romea Francigena de Londres à Rome/Brindisi).

Son agglomération s’étend d'ailleurs de part et d’autre de la frontière. L’aire urbaine compte 45 579 habitants pour sa partie française. Sarreguemines est la cinquième commune la plus peuplée du département de la Moselle après Metz, Thionville, Forbach et Montigny-lès-Metz.

Géologie et relief

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Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Sismicité

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Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[2].

Hydrographie et les eaux souterraines

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sarre, le canal des houillères de la Sarre, la Blies, le ruisseau l'Altwiesenbach, le ruisseau le Strichbach, le ruisseau de Rouhling, le ruisseau de Woustviller, le ruisseau de Folpersviller, le ruisseau de le Buchholz, le ruisseau Itchbach, le ruisseau le Steinbach et le ruisseau Lembach[Carte 1].

La Sarre, d'une longueur totale de 129,2 km, est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin, qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Länder allemands de la Sarre (Saarland) et de Rhénanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz)[3].

Le Canal des houillères de la Sarre, d'une longueur totale de 65,1 km, prend sa source dans la commune de Grosbliederstroff et se jette dans la Sarre sur la commune, après avoir traversé 24 communes[4].

La Blies, d'une longueur totale de 19,7 km, prend sa source en Allemagne, pénètre dans la commune de Bliesbruck, puis constitue une limite séparative naturelle avec l'Allemagne jusqu'à sa confluence avec la Sarre au droit de Sarreguemines[5].

Le ruisseau l'Altwiesenbach, d'une longueur totale de 11 km, prend sa source dans la commune de Loupershouse et se jette dans la Sarre sur la commune, après avoir traversé sept communes[6].

Le Strichbach, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Tenteling et se jette dans l'Altwiesenbach sur la commune, après avoir traversé six communes[7].

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Sarre, du canal des Houilleres de la Sarre, de la Blies, du ruisseau l'Altwiesenbach et du ruisseau le Strichbach, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2020, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique du ruisseau l'Altwiesenbach était jugé médiocre (orange)[Carte 2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune 
Réseaux hydrographique et routier de Sarreguemines.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 850 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse à 17 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sarreguemines est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarreguemines (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant sept communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[16],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarreguemines (partie française), dont elle est la commune-centre[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (29,6 %), forêts (29,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,8 %), prairies (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), cultures permanentes (3,4 %), terres arables (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones humides intérieures (0,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Une fontaine, et l'église de Welferding, quartier périphérique Ouest de la ville.
  • Welferding : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1964
  • Lotissement du golf
  • Himmelsberg
  • Beausoleil
  • Blauberg (Bloobersch[20] en francique rhénan)
  • Quartier de la Forêt
  • Sarreguemines-Centre
  • Cité des Faïenceries
  • Blies
  • Allmend
  • Neunkirch : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1964
  • Gregersberg
  • Palatinat
  • Folpersviller : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1971

Voies de communication et transports

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Réseau routier

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Sarreguemines est desservie par la route nationale 61, ou RN 61, qui est une route nationale française reliant Phalsbourg à Sarrebruck en Sarre. Elle est aussi reliée par la route nationale 62, ou RN 62, qui est une ancienne route nationale française. Elle a, dans sa dernière version, relié Haguenau à Sarreguemines.

Pistes cyclables

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Il existe au départ de la ville des circuits cyclables permettant de longer la Sarre.

Voies ferrées

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Tram-train en gare de Sarreguemines.

Nœud ferroviaire, la gare de Sarreguemines est actuellement desservie par des trains express régionaux en direction de Metz (via Béning), Sarrebruck et Strasbourg.

Par le passé, elle disposait aussi de liaisons directes avec Haguenau (1869-1996) par Bitche (1869-2011), Hombourg ou Deux-Ponts (1875-1952) par Bliesbruck (1875-1959), Nancy (1881-1969) ou Sarrebourg (1872-2000) et Sarre-Union (1872-2018) par Hambach (1872-1971) puis Kalhausen, et enfin Thionville (à partir de 1882) par Béning.

Depuis 1997, elle est également desservie par le tram-train transfrontalier Saarbahn.

Toponymie

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  • Anciennes attestations[21] : nommée pour la première fois dans les chartes de Pépin, duc d'Austrasie, en faveur de l'abbaye d'Echternach en 706; Gaimundas (706) ; Gamundias (706) ; Gamundia (777) ; Guemunde (1248) ; Gemonde (1274) ; Gemönde (1297) ; Guemundia (1301) ; Gemindt, Gemeindt (1380) ; Guemindia (1393) ; Gemont (1471) ; Gemüde (1471) ; Sargemünt (1577) ; Saargemünde (1592) ; Guemunde (1594) ; Sargemund (1606) ; Sargemeingt (1612) ; Gueminde (1616) ; Zerguemine (1632) ; Sar-Gemünd (1636) ; Gemünd an der Sar (1645) ; Sargueminde (1661) ; Sarguemine (1670) ; Sarguemines (1698) ; Zargueminde (1698) ; Zarguemines (1707) ; Zarreguemines (1719) ; Zareguemine (1756) ; Sareguemines (1772).
  • Saargemünd en allemand standard et Saargemìnn[20],[22] en francique rhénan.
  • De Sarre + ge-münd « embouchure », non pas « de la Sarre », mais « dans la Sarre »[23]. La forme Sarreguemines est probablement une francisation graphique de Saargemìnn, nom dialectal de cette ville. Toponyme similaire Gemünd (Rhénanie).

Histoire

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La première mention de Sarreguemines dans un texte officiel remonte à 777, il s'agit d'un testament dans lequel le prêtre Fulrad, conseiller de Pépin le Bref et Charlemagne, cède ses possessions de la région - dont celles de Sarreguemines (Gaimundia en latin) - à l'abbaye de Saint-Denis. Du Xe siècle jusqu'au XIIe siècle, le bourg de Sarreguemines se développe autour d'un château fort construit afin de surveiller le confluent entre la Sarre et la Blies. En 1297, Sarreguemines passa du duché de Deux-Ponts au duché de Lorraine, État souverain du Saint-Empire romain germanique.

En 1698, la ville devint le chef-lieu du bailliage d'Allemagne. Les habitants y parlaient (et y parlent encore pour un certain nombre) un dialecte germanique, le Francique lorrain ou « platt ».

En vertu du traité de Vienne de 1735-1738, le duché fut attribué à Stanislas Leszczynski, roi détrôné de Pologne (anciennement réfugié dans le duché de Deux-Ponts voisin) mais beau-père du roi Louis XV de France qui résidait dans le sud du duché, à Lunéville, à Nancy ou à Commercy. Souverain fantoche, il avait cédé la réalité du pouvoir à son gendre qui fit nommer intendant de Lorraine Antoine-Martin Chaumont de La Galaizière. Stanislas soutint ce dernier, malgré son impopularité due notamment à un lourd plan fiscal. C'est également à cette époque que furent prises les premières mesures réprimant l'usage du Platt lorrain, langue commune d'origine germanique. Les actes officiels du bailliage d'Allemagne étaient rédigés en allemand jusqu'à ce que, en 1748, une ordonnance inspirée par le chancelier, impose le français dans les actes officiels en Lorraine.

A la mort de Stanislas en 1766, le duché de Lorraine devint français. En 1790, pendant la Révolution française, la région de Sarreguemines fut rattachée au département de la Moselle dont le chef-lieu était Metz.

Également député, le maire Nicolas François Blaux, fut le véritable artisan du rattachement du comté de Sarrewerden à la France. Il fut de ceux qui incitèrent les sujets des ducs de Nassau-Weilburg à demander leur rattachement à la République française et la formation d'un district unique relié au district lorrain de Bitche. Cependant, les habitants de l'ex-comté, majoritairement protestants, gênés de se retrouver dans un département à majorité catholique, demandèrent à être rattachés au Bas-Rhin ce qui leur fut accordé le . Mais contrairement à ce qu'affirmait M. Blaux, les habitants du comté n'étaient, en 1793, finalement pas très décidés quant au département auquel ils souhaitaient appartenir. Plusieurs communes ont même administrativement essayé en vain de quitter le Bas-Rhin[24].

 
La gare de Sarreguemines.

Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, la ville de Sarreguemines est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. En 1871, la commune de Sarreguemines devient le siège de l'arrondissement de Sarreguemines, un arrondissement du district de Lorraine, au sein de l'Alsace-Lorraine, dont la capitale est Strasbourg. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans combattent dans l'armée impériale allemande. Beaucoup tombèrent sur les différents champs de bataille européens. Les Mosellans accueillent avec joie la fin des hostilités et le retour de la paix. « Saargemünd » redevient Sarreguemines en 1918.

La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'annexion par le Troisième Reich marqueront longtemps les esprits. La commune, rebaptisée « Saargemünd », redevint le siège de l'arrondissement de Sarreguemines, mais cette fois au sein du Gau Westmark, dont la capitale est Sarrebruck. À partir de 1942, les jeunes conscrits furent incorporés de force dans les armées allemandes et souvent envoyés sur le front de l'Est. Un grand nombre disparut. Entre 1942 et 1944, les bombardements américains n'épargnèrent pas les civils, endommageant gravement la ville. La commune ne fut libérée qu'en par la 7e armée américaine du général Patch.

Georges Pierrot, prisonnier politique lorrain dans les Sudètes[25] a été admis parmi les 4281 Justes parmi les nations de France[26] pour avoir sauvé des personnes juives persécutées par le régime nazi et le gouvernement de Vichy.

La création d'équipements structurants, de zones industrielles modernes, et le développement des échanges avec Sarrebruck, ont permis à Sarreguemines de s'affirmer comme le principal centre tertiaire de l'est-mosellan[27].

Rattachements historiques

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Politique et administration

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Sarreguemines a absorbé quelques communes voisines au cours de son histoire : Neunkirch-lès-Sarreguemines et Welferding en 1964, ainsi que Folpersviller en 1971.

Sarreguemines est chef-lieu du canton de Sarreguemines.

Tendances politiques et résultats

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Avec 57,94% des voix au 2e tour de l'élection présidentielle à Sarreguemines, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive à la première place. Marine Le Pen (Front national) recueille 42,06% des voix. Parmi les électeurs, 7,06% ont glissé un bulletin blanc dans l'urne[28].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1910   Pierre Wilter   Fonctionnaire
Ancien maire d'Algrange
1919 1935 Henri Nominé URL Ingénieur agronome
Député de la Moselle (1928-1936) Conseiller général du canton de Sarreguemines (1924-1940)
décembre 1944 octobre 1945 André Rausch   Conseiller municipal
1945 ? Henri Ehrmann   Conseiller municipal
mai 1953 1967 Joseph Massing DVD Avocat
Conseiller général du canton de Sarreguemines (1953 → 1967)
1967 juin 1995 Robert Pax DVG puis DVD Conseiller général du canton de Sarreguemines (1973 → 1985 puis 1992 → 2003)
juin 1995 mars 2001 René Ludwig SE Avocat
Conseiller régional de Lorraine (1998 → 2004)
mars 2001 mai 2020 Céleste Lett UDF puis
UMP-LR
Cadre hospitalier
Député de la 5e circonscription de la Moselle (2002 → 2017)
mai 2020 En cours Marc Zingraff SE-DVC Professeur certifié de lettres, conseiller régional depuis 2021

Budget et fiscalité 2021

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En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[30] :

  • total des produits de fonctionnement : 28 470 000 , soit 1 337  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 26 515 000 , soit 1 245  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 9 200 000 , soit 432  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 7 882 000 , soit 368  par habitant ;
  • endettement : 26 467 000 , soit 1 247  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 18,10 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 36,89 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 47,70 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 820 [31].

Jumelage

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Drapeau de l'Autriche  Gmünd (Basse-Autriche) (Autriche)

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 20 624 habitants[Note 6], en évolution de −2,88 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
2 4022 5292 9723 6084 1134 2436 0756 8026 863
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
8 4669 57310 71913 07613 88814 68514 91914 25314 197
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
13 81214 37116 00113 37514 94717 86624 28425 68424 763
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
23 11723 20221 73321 60420 94420 624---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34]. |recens-prem=an.)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,2 %) est supérieur au taux départemental (26,2 %).

En 2018, la commune comptait 10 104 hommes pour 10 716 femmes, soit un taux de 51,47 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,08 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 2]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,7 
6,5 
75-89 ans
10,6 
17,9 
60-74 ans
19,2 
22,0 
45-59 ans
22,0 
19,3 
30-44 ans
17,1 
18,3 
15-29 ans
15,3 
15,7 
0-14 ans
14,1 
Pyramide des âges du département de la Moselle en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
6,8 
75-89 ans
9,5 
17,2 
60-74 ans
18,4 
20,9 
45-59 ans
20,5 
19,5 
30-44 ans
18,6 
17,7 
15-29 ans
15,7 
17,4 
0-14 ans
15,8 

Manifestations culturelles et festivités

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  • Mir redde Platt, festival linguistique annuel depuis 1999.
  • Les Gardiens du Rêve, association de jeux de société, de figurines et de rôle depuis 1987[36].
  • La médiathèque communautaire : depuis 2007, Sarreguemines dispose d'une médiathèque de 4 100 m2[37]. Elle est située au cœur du centre-ville, dans la galerie commerciale Carré Louvain. Elle fait partie du réseau de lecture publique de la communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences.

Enseignement

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Établissements d'enseignements[38] :

Enseignement supérieur

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Sarreguemines accueille un Institut de formation en soins infirmiers et un des trois sites de l'IUT de Moselle-Est, composante de l'Université de Lorraine. Le site de Sarreguemines propose deux BUT, Gestion logistique et transports (GLT) et Gestion administrative et commerciale (GACO) ainsi que deux DU et quatre licences professionnelles. La ville accueille également une licence de Droit et une licence professionnelle « assistant en gestion et logistique transfrontalière » permettant d’acquérir une formation supérieure très spécifique.

Sports et loisirs

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  • Le Sarreguemines Triathlon Club (STC), fondé en 1989[39]
  • L'AS Sarreguemines Tennis, créé en 1919
  • Le club de lutte de Sarreguemines, fondé en 1896 est l'un des plus anciens de France[40].
  • Le Sarreguemines Football Club (SFC) (club doyen fondé en 1919), le RC Sarreguemines et l’AS Neunkirch sont les clubs de la cité, accompagnés de l’AS Welferding, le CS Folpersviller
  • Golf de Sarreguemines
  • Aéroclub Espoir aéronautique de Sarreguemines, route de Deux-Ponts ; activité : vol moteur et vol à voile
  • La 1re compagnie de tir à l'arc de Sarreguemines, fondée en 1969 par Victor Thisse
  • L'espoir rugby club Sarreguemines, fondé en
  • L'ASSA (Athlé Sports Sarreguemines Arrondissements), club d'athlétisme de la ville, récompensé à de multiples reprises par la fédération française d'athlétisme[41]
  • L'asso Gym Sarreguemines, fondée en 1909. Elle propose la pratique de trois disciplines olympique : la Gymnastique Artistique Féminine, la Gymnastique Artistique Masculine et le Trampoline[42]

Sarreguemines devient célèbre dans le monde entier à l'occasion de l'UEFA EURO 2016 et des Jeux olympiques d'été de 2016, grâce à un habitant qui expose un drapeau français marqué du nom de la ville lors de très nombreuses épreuves[43].

Économie

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Commerces

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Industrie de la faïence

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Vase en faïence de Sarreguemines, XIXe siècle.

Implantée à Sarreguemines depuis la fin du XVIIIe siècle, l'industrie faïencière acquiert ses lettres de noblesse avec Paul Utzschneider et Paul de Geiger qui propulsent la manufacture au tout premier rang : dès le XIXe siècle, Sarreguemines propose dans le monde entier une vaste collection de faïences, vases, cache-pot, fresques murales, cheminées…

Après cette période d'expansion, la faïencerie de Sarreguemines réduit son activité et finit par disparaitre en .

Méthanisation

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Depuis 2015, l'unité de méthanisation Méthavos1 valorise le biogaz issu de la fermentation anaérobie des déchets verts en provenance des déchèteries de Moselle-Est[45] et d'Alsace Bossue[46]. Elle fonctionne en voie sèche[47] et injecte du biométhane dans le réseau de distribution de gaz naturel[45].

Tourisme

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La ville étant située à la frontière franco-allemande, les touristes de passage ont la possibilité de découvrir à la fois son patrimoine mais également de partir à la découverte de ses voisins allemands grâce à une liaison en Tram vers Sarrebruck.

À la jonction de la Sarre et de la Blies, Sarreguemines offre différentes infrastructures fluviales dont un port de plaisance qui a permis à la Cité des faïenciers d’être la première ville de Moselle à être labellisée « Pavillon Bleu d’Europe ». Une base nautique, située à 1 km du centre-ville de Sarreguemines, offre une capacité de 36 places. Depuis 2009, Sarreguemines est labellisée ville aux 4 fleurs.
Partenaire de l’opération Terroir et Patrimoine, la ville de Sarreguemines met à l’honneur ses restaurateurs et artisans locaux et leurs savoir-faire lors de manifestations gastronomiques.

Sarreguemines s'est fait connaître grâce à son industrie faïencière dont il subsiste quelques vestiges pouvant être découverts dans les musées de la ville :

Le musée des Techniques Faïencières expose les machines d’époque servant à fabriquer de la faïence, et sur le prolongement du site, le Jardin des Faïenciers met les ruines d’antan en scène à travers fleurs, arbres et rivières.
Le Musée de la Faïence, qui abrite un Jardin d’Hiver, expose une collection d’objets en faïence, grès et porcelaine allant de la vaisselle au four à faïence en passant par les panneaux décoratifs.
La découverte de ces deux sites permet d’avoir une vision globale des différentes étapes de la fabrication jusqu'à l’objet totalement terminé.
D’autres sites existent comme le Casino des Faïenceries (ancien lieu de détente des ouvriers de la manufacture) ou encore l’ancien four à faïence situé à l’arrière de l’hôtel de ville.

L’Office de tourisme a également mis en place plusieurs circuits intra-urbains permettant de suivre l’évolution de la ville à travers les époques, les styles, l’architecture et les hommes.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Édifices religieux

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  • Église du Sacré-Cœur, architecture gothique primitive[53].
  • Chapelle Notre-Dame de Beausoleil[54], XXe siècle, quartier Beausoleil.
  • Église Notre-Dame du-Perpétuel-Secours du couvent des Rédemptoristes du Blauberg[55] XXe siècle : Christ de pitié XVIe siècle[56].
  • Église Sainte-Barbe de Folpersviller[57], architecture romane.
  • Église Saint-Denis de Neunkirch[58], 1850 ; clocher XIVe siècle ; bas-relief de la Trinité XVIe siècle.
  • Église Saint-Walfried de Welferding[59], XVIIIe siècle ; clocher roman. jouxtant l’église du Sacré-Cœur.
  • Chapelle du centre hospitalier spécialisé.
  • Chapelle de l'ancien hôpital du Blauberg, édifice racheté par l'association parisienne Gaudete, lequel était la propriété des pères Rédemporistes depuis 1928[60]. En janvier 2024, son entrée dans les églises de Sarreguemines est validée par l'évêque Philippe Ballot[61].
  • Ancienne église Sainte-Barbe de Folpersviller[62], dont il ne reste que le chœur
  • Église luthérienne, rue George-V (EPCAAL)[63] construite entre 1897 et 1898 dans le style romano-gothique[64].
  • Synagogue construite en 1959 ; orgue[65]. Remplace l'ancienne synagogue de style orientalisant (1860-1862) rasée par les nazis en 1942. Rue de la Chapelle: plaque marquant l'emplacement de la précédente synagogue[66].
  • Église néo-apostolique rue Théodoric.
  • Église évangélique rue des Frères-Paulin.
  • Mosquée Turque, impasse Nicolas Rohr[67].
  • Cimetière israélite, rue des Bosquets, construit en 1901[68].
  • Monument aux morts[69] : Conflits commémorés : Guerre de 1939-1945.

Édifices civils

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  • Vestiges gallo-romains : villa-palais, tuiles.
  • Ruines du château XIIe siècle : deux tours, une porte, surplombant le centre-ville.
  • Le Casino au bord de l’eau[70], espace culturel avec un théâtre (1878).
  • Parc municipal créé vers 1895.
  • Les cités ouvrières (1888 et 1927).
  • Palais de justice construit sous l'époque allemande (1903).
  • Le parc de l’hôpital (1903).
  • Château Utzschneider à Neunkirch, 1906.
  • Ancien Casino de la Faïencerie : casino, décors extérieurs en faïence, pavillon Geiger[71].
  • Kiosque à musique[72].
  • Prison construite sous l'époque allemande (1903)
  • Le four, unique rescapé de son type en Europe, à côté de la mairie.
  • Les ruines du complexe industriel SESA et, juste à côté, les anciennes casernes, qui constituent aujourd’hui le lycée professionnel hôtelier et le collège Fulrad.

Musées et jardin sur la faïence

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  • Le musée de la Faïence[73], installé dans les anciens appartements de Paul de Geiger, directeur des Faïenceries entre 1871 et 1914, et le circuit de la faïence.
  • Le moulin de la Blies - Musée des techniques faïencières[74] : collection de machines et d'outils présentée de façon didactique pour appréhender le processus de fabrication de la faïence ; l’ampleur et l’originalité du lieu en font un musée unique en Europe. Exposition de la donation France et Wolfgang Kermer à la Ville de Sarreguemines « Céramique française 1970–2000 »[75]. « Sarreguemines, haut lieu de la faïence, à la frontière de la France et de l'Allemagne, s'est imposée et le couple profite des vingt ans du Moulin de la Blies pour révéler au public leur donation, une centaine de pièces et presque autant de céramistes, qui dresse un panorama inédit et personnel de la céramique en France entre 1970 et 2000. »[76]
  • Le jardin des Faïenciers[77] : jardin paysager contemporain dessiné par l'architecte Philippe Niez. Le jardin fait partie du réseau transfrontalier de jardins nommé Jardins sans limites.


Personnalités de la commune

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Personnalités nées à Sarreguemines

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Personnalités liées à Sarreguemines

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  • Louis Verdet (1744-1819), homme d'église, député aux États généraux.
  • Nicolas François Blaux (1729-1822), maire de Sarreguemines.
  • Alfred Döblin, né à Stettin en 1878, médecin et écrivain allemand, auteur du roman Berlin Alexanderplatz ; il séjourne à Sarreguemines où il est médecin à l'hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale. Il meurt après une longue maladie à Freiburg/Breisgau le .
  • Simon Lazard, né à Frauenberg, fondateur de la banque Lazard[81].
  • Wolfgang Kermer, né en 1935 à Neunkirchen (Sarre), historien de l'art allemand, professeur et ancien recteur de la Staatliche Akademie der Bildenden Künste Stuttgart, donateur à la Ville de Sarreguemines.
  • France Kermer, née en 1945 à Douvres (Ain), artiste plasticienne française, enseignante en arts plastiques et auteure, donatrice à la Ville de Sarreguemines.
  • Marianne Haas-Heckel, née à Sarreguemines en 1946, auteure de quelques ouvrages linguistiques concernant la commune et ses environs.

Héraldique

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Blason de Sarreguemines  Blason
Parti d’or, à la croix de Lorraine de gueule, et de gueules à l’alérion d’argent[82].
Détails

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Sarreguemines (partie française) comprend une ville-centre et six communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. La « rue du Comte de Montalivet » est nommée en son honneur.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Sarreguemines » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sites

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  1. À la croisé des chemins sur sarreguemines.fr
  2. Dossier départemental des risques majeurs
  3. Sandre, « la Sarre »
  4. Sandre, « le canal des houillères de la Sarre »
  5. Sandre, « la Blies »
  6. Sandre, « le ruisseau l'Altwiesenbach »
  7. Sandre, « le ruisseau le Strichbach »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Sarreguemines et Seingbouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Sarreguemines (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarreguemines (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Geoplatt
  21. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
  22. Hervé Atamaniuk, Marianne Haas et Marielle Rispail, Le Platt lorrain pour les Nuls : Guide de conversation, First, , 352 p. (ISBN 9782754036061), p. 16.
  23. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
  24. Jean-Louis Masson, Histoire administrative de la Lorraine, des provinces aux départements.
  25. Georges Pierrot.
  26. Sarreguemines en 1939-1945
  27. « Une longue histoire » sur sarreguemines.fr.
  28. « Sarreguemines (57200)  : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le ).
  29. « LES MAIRES DE SARREGUEMINES DE LA REVOLUTION A 1871 », sur sarreguemines.fr (consulté le ).
  30. Les comptes de la commune
  31. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Moselle (57) », (consulté le ).
  36. « Les Gardiens du Rêve - Portail », sur gardiensdureve.forumactif.org (consulté le ).
  37. « Panorama de la Médiathèque »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  38. Établissements d'enseignements
  39. « Sarreguemines Triathlon Club (Moselle) », sur sarregueminestri.free.fr (consulté le ).
  40. « Lutte. Sarreguemines, une lutte de tous les instants », sur republicain-lorrain.fr (consulté le ).
  41. (en) « Athlétisme Sarreguemines Sarrebourg Arrondissements (ASSA) », sur assa.athle.com (consulté le ).
  42. « ASSO GYM SARREGUEMINES », sur e-monsite.com (consulté le ).
  43. « JO-2016 : Sarreguemines en mondovision » (consulté le ).
  44. Commerces
  45. a et b Pascale Braun, « Méthavos convertit les déchets verts en gaz naturel », sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
  46. Les Dernières Nouvelles d'Alsace, en date du samedi 9 septembre 2017. Voir l'article page 14.
  47. « Quand le biogaz croise la route des travaux publics », sur republicain-lorrain.fr, (consulté le ).
  48. Sarreguemines : église Saint-Nicolas
  49. Notice no PM57000341, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau, cadre : la Descente de Croix
  50. Notice no PM57000339, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau, cadre : saint Antoine-de-Padoue et les enfants
  51. Notice no PM57000337, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau, cadre : la Résurrection
  52. « Orgue de tribune, vue générale », notice no AP22NU05973, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  53. Sarreguemines : église du Sacré-Cœur
  54. Sarreguemines : chapelle Notre-Dame de Beausoleil
  55. Sarreguemines : Sanctuaire marial du Blauberg
  56. Notice no PM57000344, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : Christ aux liens dit bon-Dieu de Pitié
  57. Sarreguemines : église Sainte-Barbe de Folpersviller
  58. Sarreguemines : église Saint-Denis de Neunkirch
  59. Sarreguemines : église Saint-Walfried de Welferding
  60. « Sarreguemines. Le sanctuaire du Blauberg vendu à une association basée en Ile-de-France » (consulté le )
  61. Aude Fayolle-Schwartz, « La chapelle du Blauberg retrouve un calendrier marial », sur Le Républicain Lorraine,
  62. Sarreguemines : Ancienne église Sainte-Barbe de Folpersviller
  63. Sarreguemines, paroisse luthérienne
  64. Sarreguemines : l'église luthérienne
  65. Inauguration de la synagogue de Sarreguemines
  66. Les Juifs dans la région de Sarreguemines
  67. mosquée de l’association franco-Turque
  68. Cimetière israélite
  69. Monument aux morts
  70. « Pavillon Geiger », notice no ARR93_20098300100, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  71. « Casino de la Faïencerie », notice no PA57000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. « Kiosque », notice no AP12R040227, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  73. Présentation du musée sur sarreguemines-museum.eu.
  74. Présentation du moulin sur sarreguemines-museum.eu.
  75. Céramique française 1970–2000: Donation France et Wolfgang Kermer, Sarreguemines, Editions Musées de Sarreguemines, 2018, (ISBN 978-2-91375-924-4).
  76. A.-C.M., « Céramique française (1970-2000) : Donation France et Wolfgang Kermer », La Revue de la Céramique et du Verre, no 223,‎ , p. 71 (ISSN 0294-202X).
  77. Présentation du jardin sur sarreguemines-museum.eu.
  78. Alexandre de Roche Du Teilloy, Les Étapes de Georges Bangofsky, officier lorrain : extraits de son journal de campagne (1797-1815) (lire en ligne).
  79. Biographie d'Hugo Karl.
  80. Cédric Tousch sur siamfightmag.com.
  81. Simon Lazard : un lycée porte son nom à Sarreguemines.
  82. [PDF]L'histoire des armoiries de Sarreguemines

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Le patrimoine de la commune "Sarreguemines (Moselle)" sur www.pop.culture.gouv.fr/