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Saint-Méard

commune française du département de la Haute-Vienne

Saint-Méard (Sent Mèrd en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Méard
Saint-Méard
La tour (ou donjon) d'Échizadour.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Briance-Combade
Maire
Mandat
Henri Lavaud
2020-2026
Code postal 87130
Code commune 87170
Démographie
Population
municipale
362 hab. (2021 en évolution de −1,63 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 57″ nord, 1° 32′ 57″ est
Altitude Min. 330 m
Max. 560 m
Superficie 24,51 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Méard
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Saint-Méard
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Saint-Méard

Géographie

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Localisation

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Situation de la commune de Saint-Méard en Haute-Vienne.

Communes limitrophes

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Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 200 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Germain-les-Belles à 6,96 km à vol d'oiseau[5], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Méard est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,9 %), forêts (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), terres arables (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Méard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Méard.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 42,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Méard est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Toponymie

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Le nom de la commune est une déformation de Saint-Médard (Sancti Médardi, attesté vers 1090). Il s'agit du même nom que la commune corrézienne de Saint-Merd-les-Oussines (Merd = Médard en occitan). Cette dernière était d'ailleurs orthographiée Saint Méard en 1700[19].

Histoire

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Aux environs de l'an 1200, le terroir de Saint-Méard fait partie de la châtellenie de Châteauneuf, dont le donjon d'Echizadour est un des points essentiels de défense. La famille de Châteauneuf est probablement - mais sans certitude - issue d'une branche cadette des Laron.

Une communauté de religieux vivait à Bourdelas au Moyen Âge (attestée par des tombes)

Les forges de Saint Méard [XVIIe siècle - XVIIIe siècle] : La haute vallée de la Briance, depuis La Croisille jusqu'à Linards, était une « petite zone industrielle », réputée pour ses moulins et ses forges. Ainsi, des activités installées à proximité du village du pont des Deux Eaux. On y trouvait un moulin, dit « de Bouriquet », pour la farine et le papier. Mais surtout une forge, qui n'existe plus, située à la place d'un bois, aujourd'hui en face de l'île séparant alors le cours naturel de la Briance du canal et de l'écluse (le bief), alimentant la forge. On trouve sa trace sur de vieux plans, au pied du village de Bourdelas : la carte de Cassini (XVIIIe siècle[20]) et le cadastre dit « napoléonien » de 1832 (Feuille des Veyssières C1)[21] où le village est noté Pont les deux Eaux. À cette dernière date, la forge n'existait plus, étant devenue une simple ferme. L'histoire de cette forge est indissociable de la famille Piquet (ou Picquet), sur six générations. C'est leur nom qu'on retrouve tout près au « Pont de Piquet » (aujourd'hui dans la commune de Linards), dont quelques bâtiments, aujourd'hui disparus, sont visibles sur le plan du cadastre de 1832 (Feuille de Bourdelas D1)[22] où il est noté Pont chez Piquet.

Les conditions de fonctionnement. L'énergie utilisée était bien sûr le bois (« chatenier, boullau, fayau, chêne » lit-on dans un acte de 1761), provenant de toutes les forêts environnantes, surtout de La Garenne à Linards. On en tirait aussi du charbon de bois. C'est donc grâce à deux ressources naturelles locales – bois et eau – qu'on pouvait produire du fer et du cuivre. Le principal client était un négociant métallurgiste de Saint-Léonard, le SR Robert : pots en fonte, « reliages », pièces de fer pour socs de charrue, et des chaudrons en cuivre « rouge »). Ce dernier à raison de 120 quintaux par an. Le personnel était peu nombreux : deux maîtres de forge – un Piquet, plus un second, un gendre (vers 1750, Hennequin, habitant Bourdelas), plus un ou deux ouvriers, tel Jean Dinaud, et plus tard (1788), Jean Chapelle Un inventaire des outils très détaillé, établi en 1763 à la demande de Brochard, permet de se faire une idée précise des méthodes de travail. À partir de 1750 environ, la forge avait donc périclité. Les Piquet possédaient aussi des terres proches des forges, puis au-delà du pont sur la Briance, vers Linards (aujourd'hui pont de Piquet). On n'en sait rien avant 1782, où elles sont confiées en métayage à Mourelaud, dont le chef de famille se prénomme Georges, qui y cultive des céréales (blé, seigle), des pois, et élève des bovins (bail à cheptel de 1789.

Durant tout le XVIIIe siècle, les actes concernant la vie de la « dynastie » Piquet permettent de croiser quelques notables de Saint-Méard : un curé, Constant, la famille Martinot, seigneurs de La Valade (dont un notaire, et un vicaire), la famille d'Eschisadour. On rencontre aussi un aubergiste du bourg, le sieur Pierre Barget, surnommé « le dragon » ou « le cavalier » (sans doute avait-il servi ainsi dans l'armée), qui était sûrement fortuné, puisqu'il pratiquait les prêts d'argent. On relève aussi quelques faits divers : les crues de la Briance (1742) furent telles qu'elles emportèrent un jeune voiturier de Voutezac, dont le corps ne fut retrouvé que 4 mois plus tard. En 1788, un marchand de Châteauneuf dut s'excuser par écrit d'avoir insulté gravement Jean-B. Piquet lors de la foire.

Politique et administration

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Jusqu'à 1879, les maires n'étaient pas élus, mais désignés par les préfets.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871 1879 Louis Mosnier    
1879 1901 Léonard Jumeau    
1901 1909 Léonce Jumeau    
1909 1947 Jean Lachaud    
1947 1956 Léonce Jumeau (fils)    
1956 1965 Jean Reilhac    
1965 1977 René Tarse    
1977 1983 Jean-Jacques Azzopard    
1983 mars 1989 Désiré Martageix    
mars 1989 en cours Henri Lavaud[23] PS  

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 362 habitants[Note 3], en évolution de −1,63 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0661 0431 1201 1371 2031 1271 1351 1841 192
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1451 0881 1601 0661 0801 0601 1211 1461 114
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1061 091971891851765768692655
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
642610549435367330372384359
2021 - - - - - - - -
362--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Estimation en 1700 (règne de Louis XIV) : environ 930 habitants (d'après les registres paroissiaux, avec un taux de natalité de 38 pour 1000).
Particularité (partagée avec Roziers-Saint-Georges dans le canton) : la population du bourg ne représente que 10 % de l'ensemble communal.

Lieux et monuments

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Église Saint-Médard.

Jumelages

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • la collection complète de la revue "Lo Palhisson", éditée par l'association "La Limousine" (M. René Roux) - plus de 400 numéros - résume la vie de la commune depuis les années 1950, et présente de nombreux témoignages sur la vie rurale et l'histoire locale.

3. cf. Revue LEMOUZI, Albert Sage : les forges de la Haute-Briance / n° 169,  : article très détaillé, retraçant la chronologie et fourmillant de données, principalement issues des actes notariés.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Méard et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Saint-Germain-les-Belles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Saint-Germain-les-Belles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Méard ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Méard », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. registres paroissiaux
  20. « Carte générale de France 033 Limoges », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  21. « Plan cadastral de Saint-Méard Feuille C1 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur archives-hautevienne.com (consulté le ).
  22. « Plan du cadastre de Saint-Méard - D1 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur archives-hautevienne.com (consulté le ).
  23. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Eglise paroissiale Saint-Médard », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).