[go: up one dir, main page]
More Web Proxy on the site http://driver.im/

Richebourg (Yvelines)

commune française du département des Yvelines

Richebourg est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Richebourg
Richebourg (Yvelines)
La mairie.
Blason de Richebourg
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Houdanais
Maire
Mandat
Bernadette Courty
2020-2026
Code postal 78550
Code commune 78520
Démographie
Gentilé Richebourgeois
Population
municipale
1 568 hab. (2021 en évolution de +4,26 % par rapport à 2015)
Densité 149 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 27″ nord, 1° 38′ 18″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 170 m
Superficie 10,55 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonnières-sur-Seine
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Richebourg
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Richebourg
Liens
Site web richebourg78.fr

Géographie

modifier
 
Position de Richebourg dans les Yvelines.

Situation

modifier

Richebourg est une commune francaise d' Île-de-France, à l'ouest des Yvelines et située à 20 km au sud de Mantes-la-Jolie et 35 km à l'ouest de Versailles.

Constituant un territoire de 1,05 hectares, c'est une commune essentiellement rurale faisant partie de la région naturelle et agricole du Drouais[1], sans relief marqué, en légère pente vers le sud, à environ 140 mètres d'altitude.


Hydrographie

modifier
 
Le Sausseron, ruisseau de Richebourg.

Un ruisseau, le Sausseron, affluent de la Vesgre, prend naissance au sud du bourg[2].

L'aqueduc de l'Avre traverse la commune selon une orientation sud-ouest - nord-est en passant tout près du centre du village.

Communes limitrophes

modifier
Carte Cassini de Richebourg. 
Richebourg et ses environs courant XVIIIe siècle (carte Cassini).

Transports et voies de communications

modifier

Réseau routier

modifier

La commune est desservie principalement par la route départementale 983 qui relie Gisors et Mantes-la-Jolie à Houdan et Nogent-le-Roi. La départementale est déviée en 2015

Desserte ferroviaire

modifier
La gare de Tacoignières - Richebourg. 
La gare de Tacoignières - Richebourg.

La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Tacoignières - Richebourg qui se trouve a 2,5 km du bourg sur la commune de Tacoignières.

La commune est desservie par les lignes 38, 48, Express 60 et Express 67 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Sentier de randonnée

modifier

La commune est traversée par un sentier de grande randonnée, le GR 22.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 680 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Richebourg est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 87,19 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 3,54 % d'espaces ouverts artificialisés et 9,27 % d'espaces construits artificialisés[13].

Le territoire est surtout consacré à l'agriculture (grande culture céréalière), environ 10 % de sa surface est boisée (bois de Richebourg) vers le nord-ouest. L'habitat, individuel, est groupé au centre de la commune dans le bourg principal et le hameau de Saulx-Richebourg.

Hameaux de la commune

modifier

Les habitations isolées (écarts) sont peu nombreux, quatre hameaux sont présents dans la commune :

  • le Four à Chaux ;
  • l’ancien moulin de Renonville ;
  • le Moulin ;
  • la Troche.

Toponymie

modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Durocassio[Note 2] sur une pièce de monnaie celte à la fin de l'âge du fer[14], Ricmari villa au XIe siècle, Richeri villa[Quand ?], Richeborch[Quand ?][15].

Du vieux-francique *riki (« puissant »)[16]. Le sens de « puissant » est encore en usage dans les premiers textes français; celui de « qui possède des biens » ne semble assuré que vers 1265[17]. Avec le sens de « bourg riche »[18],[19]. Richebourg peut-être, aussi, issu du nom de personne germanique féminin Rice[16], (Ricburgis).

L'adjectif "riche" se retrouve également dans des toponymes tels que Richeville (Eure) ou Richemont (Seine-Maritime).

Histoire

modifier
  • Site habité dès l'époque préhistorique. Un enclos a été repéré par prospection aérienne dans des champs cultivés.
  • Une villa gallo-romaine y a également été découverte, au lieu-dit de la Pièce du Fient. Elle a fait l'objet de plusieurs sondages menés par le club d'histoire et d'archéologie de Richebourg (1987-1993) puis d'une campagne de fouille pluri-annuelle menée par le service archéologique des Yvelines (1994-1998).
  • La seigneurie est la propriété des seigneurs de Richebourg, vassaux des comtes de Montfort-L'Amaury, depuis 1100 jusqu'en 1468, puis passe dans les mains de diverses familles nobles : Sabrevois jusqu'en 1635, Beaulieu, Cossé-Brissac jusqu'en 1831.

La commune s'appelait Saulx-et-Richebourg jusqu'en 1800. Deux voies antiques (romaines ?) traversent son territoire.

Monuments commémoratifs

modifier

Trois monuments commémoratifs ont été mis en place dans la commune. Le premier a été érigé en mémoire des combattants de la Première Guerre mondiale (1914-1918) le long de la route de Mantes, au cœur du village. Deux plaques ont également été mises en place à côté de la salle polyvalente Édith-Piaf en mémoire des combattants d'Afrique du Nord durant la guerre d'Algérie entre 1954 et 1962 et en mémoire des combattants de la (première) guerre d'Indochine entre 1946 et 1954. Ces deux monuments ont été déplacés dans l'enceinte du monument aux morts en 2010.

Politique et administration

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? 1898 Ernest Hamel   avocat
1898 1919 Christian-Marie-Édouard Hamel   industriel
1984 2001 Jacques Perrier    
1959 1984 Robert Lefebvre   agriculteur
mars 2001 2008 Françoise Helme[20]    
2008 En cours Bernadette Courty[21]    

Instances administratives et judiciaires

modifier

La commune de Richebourg appartient au canton de Bonnières-sur-Seine et est rattachée à la communauté de communes du Pays Houdanais.

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines.

Sur le plan judiciaire, Richebourg fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[22],[23].

Population et société

modifier

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 568 habitants[Note 3], en évolution de +4,26 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
455437501437469523543557565
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
561552568579540502499550484
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
494492497406384389376358358
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3613505227551 0681 3781 4291 5271 460
2021 - - - - - - - -
1 568--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 723 hommes pour 731 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,4 
3,9 
75-89 ans
4,0 
16,8 
60-74 ans
18,4 
28,2 
45-59 ans
26,5 
17,2 
30-44 ans
18,3 
16,4 
15-29 ans
13,6 
17,2 
0-14 ans
18,8 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 

Enseignement

modifier

Le village dispose d'une école primaire et maternelle[30], publique, qui fonctionne sur le principe de la semaine de quatre jours.

Un accueil péri et post-scolaire est disponible pour les trois à seize ans ainsi qu'un centre de loisirs accueillant la même tranche d'âge les mercredis et périodes de vacances scolaires. Une cantine est également mise à disposition des élèves[31].

Une bibliothèque est également disponible à côté de la mairie.

Football : À la sortie du village, sur la route de Tacoignières, se trouve le stade de Richebourg ( stade Paul-Michel ), qui est l'un des stades occupés par le FCRH fondé en 1993 a la suite d'une fusion entre l'Yvelinois Athlétique Club (équipe locale), et l'AS Orgerus.

Avant cela, l'US Richebourg-Tacoignières était l'équipe locale, mais fusionna donc en 1985 avec l'US Houdanaise pour devenir l'Yvelinois Athlétique Club.

Ce stade a vu le jour grâce à la donation d'un terrain offert par monsieur Paul Michel à la commune de Richebourg. Les couleurs officielles de l'US Richebourg-Tacoignières étaient alors le blanc et rouge et l'équipementier était " le coq sportif ". Le FCRH évolue en ligue de Paris Île-de-France dans un championnat de niveau départemental (district), et regroupe aujourd'hui environ une cinquantaine de communes. Les couleurs officiel du club sont le noir et rouge.

Ce club possède également une section futsal qui évolue sur le parquet du gymnase de Orgerus et celui de Houdan .

 
Fanion de l'Yvelinois Athlétique Club (après fusion de l'US Richebourg-Tacoignières et l'US Houdanaise).

Handisport : Le Handisport Richebourg est une association regroupant différentes disciplines ( telles que la boccia, l'athlétisme, boxe, hockey, football, basketball, tir à la carabine, serbacane, musculation ... ), accessible pour des compétitions de loisirs. Le Handisport Richebourg participe également à des compétitions qualificatives pour les championnats de France ainsi qu'aux sélections en équipe de France. ( Apports d'informations en cours )

Multi-sport : Cardio training crossfit ( séances personnalisées ), musculation, boxe/self défense . ( salle de sport du four a chaux )

Associations sportives : Diverses activités sportives sont proposées à la salle des fêtes Édith-Piaf, telles que les arts martiaux et la gymnastique .

Activités festives

modifier

Le village dispose d'une salle polyvalente (salle Édith-Piaf) où prennent place spectacles, buffets, bals dansants, lotos... Une petite fête foraine est mise en place chaque année sur la place du village à l'occasion de la Saint-Georges. En 2019, une fête de la musique est organisée sur cette même place[32], l'expérience ne fut pas renouvelée en 2020 à la suite des restrictions sanitaires contre la pandémie de COVID-19.
De plus, le carnaval de l'école primaire, ainsi que son spectacle de fin d'année, sont des moments de fête pour toute personne du village, qu'elle soit impliquée ou non dans le fonctionnement de l'école.

Économie

modifier
 
Richebourg, village rural.

Chaque mercredi matin, le marché s'installe sur la place du Château.

Résidentiel

modifier

Située à proximité du train et de la RN 12, la commune est le lieu d'hébergement de nombreux employés à Paris et sa banlieue.

Agriculture

modifier

Activité auparavant prépondérante à Richebourg, on compte aujourd'hui quatre exploitations agricoles.

Entreprises

modifier

La commune compte une boulangerie commerce de proximité, un restaurant et trois commerces ambulants. Elle accueille aussi une quinzaine de PME/PMI/artisans[33].

Une fondation spécialisés dans l'accompagnement du handicap moteur, mental et psychique, la fondation Mallet qui est née après la dernière guerre pour venir en aide aux enfants victimes des combats. Elle a été créée en 1947 par la Baronne Mallet, forte personnalité engagée dans la résistance et les actions de la Croix-Rouge française dont elle a été vice-présidente. Elle reçoit alors des enfants mutilés de guerre pour les soigner et les préparer à la vie professionnelle au Château des Mesnuls près de Montfort l’Amaury (Yvelines). Parallèlement, sont créés un centre de rééducation fonctionnelle et un centre de formation pour kinésithérapeutes à Bois-Larris La Morlaye (Oise) ainsi qu' un institut d’éducation motrice à Villepatour (Seine-et-Marne). En 1978, la Fondation redéploie ses activités et s’installe à Richebourg.

Revenus de la population et fiscalité en 2010

modifier

En 2010, le revenu fiscal moyen par ménage était de 48 032 . Ce chiffre est supérieur à la moyenne départementale qui était alors de 40 560 [34].

Culture locale et patrimoine

modifier
 
L'église Saint-Georges.

Lieux et monuments

modifier
  • Église Saint-Georges : église de style gothique flamboyant, XVIe et XVIIIe siècles, classée monument historique.
  • Château de Richebourg : construit entre 1522 et 1537 à l'emplacement d'un château féodal. En 1709 il est agrandi de deux ailes. En 1976 il est acquis par la fondation Mallet qui le transforme en centre médical et d'hébergement pour les personnes en situation de handicap.
  • Villa de la Pièce du Fient
Vestiges d'une villa romaine d'un noble gaulois datant du Ier siècle avant Jésus-Christ et abandonnée au IIIe siècle. Le site de douze à treize hectares, découvert en 1978, a été fouillé de 1994 à 1998 par le service archéologique des Yvelines. On y trouve notamment trace d'une première villa, remplacée par une résidence plus imposante totalement en pierres, disposant de tout le confort, entourée d'un jardin, de bâtiments utilitaires et de petits temples. Face à elle, une grange fortifiée indique que le propriétaire était également percepteur[35].
  • Lavoirs, chemin des Lavandières et rue de la Croix-de-Saulx ;
  • Ferme fortifiée de la Troche du XVIe siècle ;
  • Enclos de La Sablonnière
L'un des sites néolithiques identifiés sur le territoire communal en 1966 grâce à des vues aériennes. Sans doute une ferme de la fin de l'âge du fer.

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Aurélie Aubert (née en 1997) championne paralympique de boccia en 2024 y résida
  • Ernest Hamel (1826-1898), maire de Richebourg, comme son fils Édouard (1864-1922), est propriétaire du château à partir de 1880.
  • Édith Piaf (1915-1963) est venue en convalescente à Richebourg chez Lou Barrier son impresario, et a également donné son nom à la salle polyvalente.

Héraldique

modifier
Blason de Richebourg  Blason
De gueules à trois chevrons d'or[36].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Richebourg 
Alias du blason de Richebourg
De gueules à trois chevrons d'or, le premier écimé.

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier
  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Richebourg », p. 336–339

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Selon J. Harmand « Le suffixe -cassio, est à rapprocher des Bajocasses, Viducasses, Véliocasses, Tricasses, une série de peuples originaires du Belgium et refoulés sur ses marges méridionales lors de l'expansion des peuples belges ».
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

modifier
  1. « Petites Régions Agricoles par communes », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Le sausseron [H4275500] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Richebourg et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bu_sapc » (commune de Bû) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bu_sapc » (commune de Bû) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Richebourg ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. Barat Yvan. La villa gallo-romaine de Richebourg (Yvelines). Revue archéologique du Centre de la France, tome 38, page 119.
  15. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  16. a et b Louis Guinet, Bibliothèque française et romane : Manuels et études linguistiques.Série A, Klincksieck, (lire en ligne), p. 28.
  17. « étymologie », sur cnrtl.fr (consulté le ).
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 1295.
  19. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, p. 17.
  20. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  21. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
  22. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  23. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Richebourg (78520) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  30. « Ecole », sur richebourg78.fr via Wikiwix (consulté le ).
  31. https://archive.wikiwix.com/cache/20110224055618/http://www.richebourg78.fr/pageLibre0001006c.html.
  32. Mairie de Richebourg, « FÊTE DE LA MUSIQUE A RICHEBOURG ! », sur richebourg78leblog.wordpress.com
  33. « Richebourg – Richebourg », sur richebourg78.fr (consulté le )
  34. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  35. Un domaine agricole en Gaule romaine.
  36. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).