Le Parisien Week-end
Le Parisien Week-end, qui prend le nom de Aujourd'hui-en-France Week-end en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal Le Parisien (ou avec le journal Aujourd'hui-en-France en province) depuis . Diffusé chaque semaine à environ 420 000 exemplaires[1], ce magazine est édité par la société LPM, filiale du Parisien.
Le Parisien Week-end ou Aujourd'hui en France Week-end | |
Ancien logo du Parisien Magazine. | |
Pays | France |
---|---|
Zone de diffusion | France |
Langue | français |
Périodicité | hebdomadaire (tous les vendredis) |
Format | magazine |
Genre | généraliste - culture, société, international, conso |
Prix au numéro | Le Parisien Magazine (quotidien compris) : 2,40 € Aujourd'hui en France Magazine (quotidien compris) : 2,00 € |
Diffusion | 420 126 ex. (2013) |
Date de fondation | 2012 |
Éditeur | LPM |
Ville d’édition | 10 boulevard de Grenelle, Paris 15e |
Propriétaire | LVMH |
Directeur de la rédaction | Nicolas Charbonneau |
Rédacteur en chef | Yolaine de Chanaud - Christine Monin |
ISSN | 2263-2506 |
Site web | leparisien.fr/week-end |
modifier |
Avant son changement de nom en 2017, il était intitulé Le Parisien Magazine, ou Aujourd'hui-en-France Magazine en province[2].
Positionnement et contenu
modifierLe magazine a été créé par Jean Hornain, il demande alors à Frédéric Allary[3], ancien directeur général de l'hebdomadaire culturel Les Inrockuptibles, de créer le titre de celui-ci.
Ce magazine se veut « surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité », selon Thierry Borsa, alors directeur des rédactions[4], interrogé à la création du titre.
Épais d'une centaine de pages, le magazine se découpait initialement en trois parties. La première, baptisée « Week-end », traitait de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite « Grand angle », s'intéressait aux sujets de fond : économie, international, société, etc. La troisième et dernière, la section « Plaisirs », était plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech, etc.
Quelques dates importantes
modifierLe , Arnaud Montebourg fait la couverture du magazine habillé en marinière pour un article de fond sur le « made in France »[5]. Le dossier sera récompensé du Prix du coup éditorial 2013, décerné par le syndicat des éditeurs de la presse magazine[6].
En , à l'occasion d'un article sur le courage en politique, Ségolène Royal est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de La Liberté guidant le peuple, le tableau de Delacroix[7]. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée.
En , peu après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler se confie au Parisien Magazine, à l'occasion d'un voyage en Inde[8],[9], expliquant notamment : « je n'aimais pas les ors de l'Élysée ».
Notes et références
modifier- OJD
- « Le Parisien Magazine devient Le Parisien Week-End », sur leparisien.fr, (consulté le )
- cvmhsolutions :, « Les clés de la presse », sur www.lesclesdelapresse.fr (consulté le )
- « L'actualité des médias et personnalités médiatiques », sur L'Express (consulté le ).
- Le Parisien, « Pourquoi Arnaud Montebourg pose en marinière dans Le Parisien Magazine », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- « Palmarès 2013 des Magazines de l'année | SEPM - Le Syndicat des Éditeurs de la Presse Magazine », sur www.lapressemagazine.fr (consulté le )
- Le Point.fr, « Ségolène Royal, Liberté guidant le peuple ! », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- Le Parisien, « Valérie Trierweiler : «Je n'aimais pas les ors de l'Elysée» », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- Le Parisien Magazine, le site.