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La Bruère-sur-Loir

commune française du département de la Sarthe

La Bruère-sur-Loir est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 250 habitants[Note 1].

La Bruère-sur-Loir
La Bruère-sur-Loir
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes Sud Sarthe
Maire
Mandat
Dominique Paquet
2020-2026
Code postal 72500
Code commune 72049
Démographie
Gentilé Bruérois
Population
municipale
250 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 05″ nord, 0° 20′ 56″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 88 m
Superficie 11,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montval-sur-Loir
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Lude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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La Bruère-sur-Loir
Géolocalisation sur la carte : France
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La Bruère-sur-Loir
Géolocalisation sur la carte : Sarthe
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La Bruère-sur-Loir
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
La Bruère-sur-Loir

La commune fait partie de la province historique de l'Anjou[1], et se situe dans le Baugeois.

Géographie

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Localisation

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Localisation de La Bruère-sur-Loir dans le département de la Sarthe.

La Bruère-sur-Loir, commune du sud du département de la Sarthe, est située au cœur du Maine angevin. Le village se trouve, en distances orthodromiques, à 39,9 km au sud du Mans, la préfecture du département, et à 7,1 km au sud-ouest de Château-du-Loir, la ville la plus proche[2]. Les communes limitrophes sont Vaas, Montval-sur-Loir, Nogent-sur-Loir, Chenu et Saint-Germain-d'Arcé[3].

Communes limitrophes de La Bruère-sur-Loir
Vaas Montval-sur-Loir
La Bruère-sur-Loir  Nogent-sur-Loir
Saint-Germain-d'Arcé Chenu

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 1 147 hectares. L'altitude varie entre 40 et 88 mètres[4]. Le point le plus haut se situe au sud, à la limite communale avec Chenu, tandis que le point le plus bas se situe sur le Loir, à l'ouest, à l'endroit où la rivière quitte le territoire communal en direction de Vaas[3].

Hydrographie

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Le principal cours d'eau de La Bruère est le Loir, qui borde la commune au nord[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Bruère-sur-Loir est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montval-sur-Loir, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (32,9 %), terres arables (25 %), zones agricoles hétérogènes (21,8 %), forêts (14,9 %), eaux continentales[Note 3] (5,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La Bruère-sur-Loir est desservie par la RD 11, qui entre sur le territoire à l'ouest depuis les Halles (commune de Vaas, et repart vers l'est en direction du Gué-de-Mézières (commune de Nogent-sur-Loir). L'autoroute A28 (axe Le Mans-Tours) passe à La Bruère sur une faible distance au nord de la commune. L'échangeur le plus proche est situé sur la commune de Montabon, à près de 8 km.

Toponymie

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Anciens noms de la commune

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  • en 1156 : Brueria[17].
  • en 1283 : La Bruiere.
  • en 1320 : La Bruyère.
  • en 1579 : La Bruere[18].
  • en 1933 : La Bruère-sur-Loir.

Origine du nom

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La commune tire son nom du terme latin ancien brucaria dérivé du gaulois brucus, qui signifie bruyère et explique quelle était la nature du sol. Une autre explication avancée par Maurice Bouvier-Ajam dans son ouvrage sur Dagobert serait que le nom dériverait du nom de Bruère, veuve de Brunulf, lui-même frère de la seconde épouse de Clotaire II, qui aurait possédé un domaine en ce lieu[19].

La Bruère étant aux confins de trois provinces — le Maine, l'Anjou et la Touraine — des risques de confusion existaient, notamment avec le lieu-dit du même nom sur la commune de La Flèche.

Le , le conseil municipal présidé par Pierre Sartron pris la délibération suivante : « Considérant qu'il y aurait lieu d'adjoindre un nom de complément au nom ordinaire de la commune pour éviter toute confusion, le conseil municipal après en avoir délibéré décide que la commune portera désormais le nom de La Bruère-sur-Loir ». Cette décision sera officialisée le par publication au Journal officiel.

Le gentilé est Bruérois.

Histoire

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Carte de Cassini de La Bruère, XVIIIe siècle.

Anciennes dépendances

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Sous l'Ancien Régime, La Bruère dépendait de la sénéchaussée de La Flèche[20] et du tribunal spécial ou « grenier à sel » du Lude jusqu'en 1727, puis du grenier à sel de Château-du-Loir[21]. La Bruère était en « pays de grande gabelle » : chaque paroissien devait acheter une quantité obligatoire de sel, lourdement taxée.

La Bruère appartenait à la province d'Anjou et répondait à la coutume d'Anjou. Elle dépendait de la généralité de Tours et de l'élection et subdélégation de Baugé.

Seigneurie de paroisse

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La seigneurie de La Bruère appartenait aux chanoines du chapitre Saint-Martin de Tours, propriétaires sur la paroisse de la châtellenie de La Chaise.

Tous les fiefs de La Bruère, y compris les seigneuries du Grand Perray et de la Maison-Rouge devaient verser une redevance à cette châtellenie et rendre aveu à ses représentants. Les chanoines se partageaient l’administration de la paroisse avec le comte d’Anjou. En 1327, une transaction fut conclue entre les chanoines et Charles de Valois, décidant que la haute justice pour La Bruère et Chenu appartiendrait désormais au comte d’Anjou.

Le chapitre Saint-Martin de Tours était le siège de la prévôté d’Anjou, composée de sept châtellenies, dont La Bruère et Chenu. À partir de 1599, en vertu de lettres patentes d’Henri IV, la justice temporelle de la prévôté fut attribuée à la sénéchaussée de La Flèche. Puis le comte du Lude, Henri de Daillon, seigneur du Grand Perray, céda en 1669 ses droits seigneuriaux sur La Bruère au prévôt d’Anjou. Ce dernier y exerça alors haute, moyenne et basse justice.

Après la Révolution

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Après la Révolution, la commune fut d'abord rattachée en 1790 au canton de Vaas, puis au canton du Lude à partir de 1808.

En 1790, l’Assemblée nationale décrète que la France sera divisée en 83 départements, qui auront chacun des districts, des cantons et des municipalités.

Les districts étaient composés de douze membres, dont quatre forment le directoire, et les huit autres le conseil général. Les cantons sont formés de plusieurs municipalités. Le canton de Vaas, qui appartenait au district de Château-du-Loir, était composé de six communes, dont La Bruère : Vaas (chef-lieu), Aubigné, la Bruère, Chenu, Saint-Germain-d'Arcé et la Chapelle-aux-Choux.

Politique et administration

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Liste des maires[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1793 Julien Robin   Laboureur
1800 1801 Jean Lucas   Maçon
1801 1802 Julien Robin   Laboureur
1802 1830 Jacques de Savonnières   Marquis, châtelain de la Maison-Rouge
1830 1836 Pierre Bruzeau    
1836 1837 Louis Dufour   Maréchal-ferrant
1837 1848 Pierre Virette    
1848 1864 René Bossay    
1864 1884 Augustin de Jourdan de Savonnières   Comte, châtelain de la Maison-Rouge
1884 1900 Jean-Baptiste Robineau    
1900 1925 Édouard Hurson    
1925 1947 Pierre Sartron    
1947 1954 Émile Robineau    
1954 1955 Jacques de Jourdan de Savonnières   Vicomte, châtelain de la Maison-Rouge
1955 1959 Adrien Gautier    
1959 1983 Albert Cormier    
1983 avril 2014 Bernard Gervais SE Artisan
avril 2014[23] En cours Dominique Paquet SE Chauffeur livreur

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 250 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
380370384370357395402410405
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
403397384372362361371373349
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
362368350280265291294290302
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
267263235225218256264257266
2015 2020 2021 - - - - - -
250248250------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 27 660 , ce qui plaçait La Bruère-sur-Loir au 18 332e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[28].

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 154 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,6 % d'actifs dont 65,8 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs[A 1].

On comptait 161 emplois dans la zone d'emploi, contre 126 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 102, l'indicateur de concentration d'emploi est de 158,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus de trois emplois pour deux habitants actifs[A 2].

Au , La Bruère-sur-Loir comptait 30 établissements : 8 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans l'industrie, 4 dans la construction, 12 dans le commerce-transports-services divers et 5 étaient relatifs au secteur administratif[A 3]. En 2011, deux entreprises ont été créées à La Bruère-sur-Loir[A 4].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La Bruère-sur-Loir comporte trois châteaux et une église :

 
L'église Saint-Martin.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Fiche Insee de la commune

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  1. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  2. EMP T5 - Emploi et activité.
  3. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  4. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.

Autres références

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  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 537
  2. « Recherche d'orthodromie depuis La Bruère-sur-Loir », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
  3. a et b « La Bruère-sur-Loir » sur Géoportail..
  4. Répertoire géographique des communes, Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  5. « Fiche de la rivière le Loir (M1--0160) », sur le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre La Bruère-sur-Loir et Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Bruère-sur-Loir ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montval-sur-Loir », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Cartulaire de Château-du-Loir, 1905, E. Vallée
  18. Carte de l'Anjou, 1579, L. Guyet, conservée à la BNF
  19. Maurice Bouvier-Ajam, Dagobert, Roi des Francs, Paris, Taillandier, , 563 p. (ISBN 979-10-210-3516-4), p.236.
  20. Revue historique et archéologique du Maine, « La sénéchaussée de La Flèche et les élections du tiers (1789) », sur Bibliothèque numérique de l'École Nationale des Chartes, tome liii, 1903 (consulté le ).
  21. Jean-René Becker, « La Bruère des origines à nos jours », .
  22. Archives communales de La Bruère
  23. « Les maires élus suite aux élections municipales de mars 2014 », sur le site de la Préfecture de la Sarthe (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  29. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00109694