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Fabio Aru

coureur cycliste italien

Fabio Aru, né le à San Gavino Monreale, est un coureur cycliste italien, professionnel de 2012 à 2021. Il a notamment remporté le Tour d'Espagne 2015 et des étapes sur les trois grands tours.

Fabio Aru
Fabio Aru lors du Tour d'Espagne 2015.
Informations
Surnom
Il cavaliere dei quatro mori (Le Chevalier des quatre Maures)
Naissance
Nationalité
Spécialité
Distinction
Équipes amateurs
2009Palazzago Elledent Rad Logistica
2010Palazzago Elledent Rad
2011Palazzago Elledent Rad Logistica-MCipollini
01.2012-07.2012[n 1]Palazzago Elledent Rad Logistica
Équipes professionnelles
08.2012-2017[n 2]Astana
2018-2020UAE Emirates
2021Qhubeka Assos
Principales victoires
1 championnat
Champion d'Italie sur route 2017
1 grand tour
Leader du classement général Tour d'Espagne 2015
6 étapes de grands tours
Tour d'Italie (3 étapes)
Tour d'Espagne (2 étapes)
Tour de France (1 étape)
1 classement annexe de grand tour
Classement du meilleur jeune
Leader du classement du meilleur jeune Tour d'Italie 2015

Biographie

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Jeunesse et carrière amateur

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Jusqu'à 15 ans, Fabio Aru pratique le football et le tennis dans sa ville Villacidro. Lassé par ces sports, il s'essaye au cyclisme. Il court en VTT et en cyclo-cross, dont il dispute les championnats d'Italie, d'Europe et du monde en catégorie juniors. Ce n'est qu'à 18 ans qu'il commence à courir sur route[1].

Dans la catégorie moins de 23 ans de 2009 à 2012, Fabio Aru est sous contrat avec l'équipe Palazzago, dirigée par le directeur sportif Olivano Locatelli[2],[3]. En 2011, il finit deuxième de Toscane-Terre de cyclisme à l'addition des places alors qu'il portait le maillot de leader avant la dernière étape[4]. Quelques mois plus tard, il gagne le Tour de la Vallée d'Aoste grâce à sa victoire dans le contre-la-montre qui conclut l'épreuve alors qu'il était second au classement général[5]. Ces performances lui permettent d'être convoité par plusieurs équipes dont trois de l'UCI World Tour[6]. Alors qu'il devait être stagiaire dans l'équipe Astana à partir du 1er août 2012[7], il signe tout compte fait un contrat professionnel[8].

En 2012, il remporte Toscane-Terre de cyclisme[9] et finit deuxième du Girobio[10]. En juillet, il termine son passage chez les amateurs en gagnant à nouveau le Tour de la Vallée d'Aoste.

Carrière professionnelle

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2012-2013 : les débuts

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Fabio Aru lors de la 8e étape du Tour d'Autriche 2013.

Il devient coureur professionnel le mois suivant chez Astana[11], au Tour du Colorado[8]. Le manager de l'équipe Giuseppe Martinelli dit de lui : « [c'est] un jeune homme au potentiel énorme, et je crois et j'espère qu'il sera à la hauteur de nos attentes. S'il donne vraiment tout, nous pourrions enfin voir en action un bon grimpeur tel que nous n'avons pas vu depuis quelques années[12]. » Au Tour du Colorado, il est deuxième d'une étape, à la Flagstaff Mountain (en).

En 2013, il est quatrième du Tour du Trentin en début d'année. Lors de la 3e étape de son premier Tour d'Italie, il prend le maillot blanc du meilleur jeune. Il le porte pendant quatre jours. Il est ensuite malade pendant plusieurs jours[13]. En fin de course, sous la neige, il est cinquième de la 20e étape, aux Tre Cime di Lavaredo, et prend la 42e place du classement général, en ayant aidé Vincenzo Nibali à s'y imposer. Il est ensuite huitième du Tour d'Autriche, septième des Trois vallées varésines.

2014, la révélation : troisième du Tour d'Italie et cinquième du Tour d'Espagne

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Durant les premiers mois de l'année 2014, Aru roule peu et prépare au mieux le Tour d'Italie. Il est vingtième du Tour de Catalogne puis septième du Tour du Trentin. Au Giro, le leader de l'équipe Astana est Michele Scarponi. Fabio Aru doit l'accompagner en montagne, tout en espérant pouvoir se tester[14]. Scarponi perd ses chances de victoire dès la première étape de montagne, à Montecopiolo, où il arrive avec dix minutes de retard sur les autres favoris. Aru, désormais cinquième au classement général, devient le leader de l'équipe[15]. Une semaine plus tard, il s'impose en solitaire à Montecampione, en accélérant deux fois durant les trois derniers kilomètres de l'ascension finale[16]. Ensuite, lors de la dix-neuvième étape disputée dans un contre-la-montre sur le Monte Grappa, il termine à dix-sept secondes du leader du classement général Nairo Quintana et s'empare du troisième rang occupé par Pierre Rolland[17]. Il conserve cette troisième place et signe son premier podium sur un grand tour.

Il reprend la compétition en août lors du Tour de Pologne afin de préparer le Tour d'Espagne. Propulsé leader sur la Vuelta, il remporte deux étapes et termine cinquième du général, confirmant son podium obtenu au Giro[18].

Il figure parmi une liste de onze coureurs sélectionnés pour la course en ligne des championnats du monde. Il y fait partie des chefs de file avec Vincenzo Nibali et Giovanni Visconti[19] et se classe finalement 34e. En fin de saison, il se classe quatrième de Milan-Turin et neuvième du Tour de Lombardie.

2015, la confirmation : second du Tour d'Italie et vainqueur du Tour d'Espagne

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Fabio Aru en rouge durant le Tour d'Espagne 2015.

Fabio Aru reprend la compétition en mars, lors de Paris-Nice, qu'il termine à la 39e place. À la fin de ce mois, il prend la sixième place du Tour de Catalogne. En mai, il est leader de l'équipe Astana au Tour d 'Italie. Avec ses coéquipiers, il est troisième de la première étape, un contre-la-montre par équipes. En prenant la troisième place de la cinquième étape, il s'installe à la deuxième place du classement général, derrière Alberto Contador. Lors de la treizième étape, ce dernier chute dans les derniers kilomètres, et perd le maillot rose au profit de Fabio Aru. Il récupère la première place du classement général dès le lendemain, tandis qu'Aru retrouve la deuxième place, avec désormais deux minutes et demie de retard. Les deux étapes suivantes sont remportées en altitude par Mikel Landa, équipier d'Aru. Lors de la seizième étape, ce dernier concède plus de deux minutes à Contador à la suite de l'accélération de l'Espagnol dans le Mortirolo et il est dépassé au classement général par Landa. Lors des deux dernières étapes de montagne (19e et 20e étapes), Fabio Aru s'impose à Cervinia et Sestrières. Cependant, il ne réussit pas à reprendre le maillot rose à Alberto Contador qui subit une défaillance dans le col du Finestre. Il reprend la deuxième place du classement général, à laquelle il termine ce Giro. Il s'adjuge le maillot blanc de meilleur jeune.

Fabio Aru décide de faire l'impasse sur le Tour de France pour pouvoir se concentrer sur la Vuelta en qualité de leader. Cependant, le Tour en demi-teinte réalisé par son compatriote Vincenzo Nibali le contraint à partager son rôle de leader, son coéquipier Mikel Landa pouvant servir de leader alternatif. Dès la deuxième étape, Nibali est exclu après avoir été tracté par une voiture et Landa perd beaucoup de temps. Aru reste donc le dernier atout pour Astana. Lors de la onzième étape, l'équipe réalise un coup de force, Aru finissant deuxième derrière Landa et prenant le maillot rouge. Joaquim Rodríguez refait cependant son retard étape après étape, et reprend le maillot de leader pour une seconde lors de la seizième étape. Tom Dumoulin s'impose cependant lors du contre-la-montre de la 17e étape, en s'adjugeant l'étape et le maillot rouge. Il possède alors trois secondes d'avance sur Fabio Aru au classement général, écart porté à six secondes à l'issue de la 19e étape. Lors de la vingtième étape, bien aidé par son équipe et notamment Landa, Aru attaque à plus de quarante kilomètres de l'arrivée et fait craquer le maillot rouge, Dumoulin. Il reprend donc la tête du classement général et remporte le lendemain son premier grand Tour, cette Vuelta 2015. À la suite de cette victoire il prolonge son contrat avec la formation Astana[20].

2016 : saison en demi-teinte

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Fidèle à son programme de carrière, il est temps pour le Sarde de s'attaquer au Tour de France pour la première fois. Sa préparation est marquée par une victoire d'étape au Critérium du Dauphiné. Auteur d'une performance digne de son statut pendant la majeure partie du Tour, Aru tombe malade à la fin de la course et explose lors des dernières étapes et notamment la 19e au Bettex au-dessus de Saint-Gervais. Aru finit la course sans avoir mis en place son habituel tempérament offensif et en ressort déçu, 13e à 19 min 20 s de Christopher Froome.

2017 : champion d'Italie, port du maillot jaune sur le Tour de France

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Aru sur le Tour de France 2017 avec le maillot de champion d'Italie.

En cette année de centième Tour d'Italie, Fabio Aru fait de cette course son objectif, d'autant que le départ est donné dans sa Sardaigne natale. Toute sa préparation est axée sur cette course, mais, à trois semaines du début de la compétition, il chute et se blesse au genou droit à l'occasion d'un stage d'altitude. La mort dans l'âme, et en plus marqué par la mort de son coéquipier Michele Scarponi, il doit déclarer forfait pour ce Giro qu'il attendait tant[21].

Ses espoirs sont donc déplacés sur le Tour de France. Aru reprend la compétition au Critérium du Dauphiné[22], qu'il termine à la cinquième place en contribuant à la victoire de son coéquipier Jakob Fuglsang[23]. Fin juin, il remporte le titre de champion d'Italie grâce à une attaque dans une montée à 16,9 km de l'arrivée.

Lors du Tour de France, il remporte la cinquième étape menant à la Planche des Belles Filles, après avoir attaqué dans la montée finale. Lors de la douzième étape, où il se classe troisième à Peyragudes, il parvient à mettre la main sur le maillot jaune, porté jusque-là par Chris Froome, pour la première fois de sa carrière. Affaibli par les abandons de ses principaux coéquipiers en montagne, Jakob Fuglsang et Dario Cataldo, tous deux victimes de chutes[24], il attrape alors une bronchite lors de la 14e étape et est victime d'une cassure du peloton sur le final à Rodez qui lui fait perdre son maillot jaune qui retourne sur les épaules de Christopher Froome. Lors des deux étapes alpestres, vers Serre-Chevalier et le col de l'Izoard, il perd une minute et demie sur Chris Froome et lors du contre-la-montre de Marseille, il concède encore une minute et treize secondes au maillot jaune et termine cinquième du classement général, à min 7 s de Froome.

Il s'aligne sur le Tour d'Espagne mais termine loin, 13e au classement général.

2018 : changement d'équipe, année vierge de résultats

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En 2018, il quitte l'équipe Astana pour rejoindre l'équipe UAE Emirates. Il s'aligne sur le Tour d'Italie avec l'ambition de se battre pour la victoire, mais il ne pèse pas sur la course pour finalement abandonner lors de la 19e étape. Après une longue période d'absence des courses, il revient sur le Tour de Wallonie en vue de sa participation au Tour d'Espagne[25]. Il se classe dixième de la course, puis également dixième du Tour de Pologne. Lors de la Vuelta, il est souvent en difficulté dans les étapes de montagne et accuse plusieurs minutes de retard au cours des deux premières semaines. Il termine finalement l'épreuve à la 23e place, après notamment une lourde chute dans une descente lors de la dix-septième étape[26].

Initialement présélectionné pour la course en ligne des championnats du monde 2018, Aru décline sa sélection en raison de sa méforme[27].

Son début de saison 2019 est une nouvelle fois tourné vers le Tour d'Italie. Comme en 2015, lorsqu'il y avait terminé deuxième, il envisage un programme allégé, ne comprenant que 14 jours de course. Ce programme initial comprend des manches du Challenge de Majorque, où il prend la 8e place du Trofeo Ses Salines-Felanitx, le Tour de l'Algarve (29e du classement général) et le Tour de Catalogne[28]. Il ajoute finalement Paris-Nice à son programme. En difficulté lors des deux premières étapes, 126e puis 147e et à plus de 17 minutes du maillot jaune Dylan Groenewegen, il abandonne le troisième jour. Le 24 mars, son équipe annonce qu'il souffre d’une sténose de l’artère iliaque de la jambe gauche[29]. Opéré le 1er avril, il doit observer une période de convalescence de plusieurs mois et déclare forfait pour le Giro.

Il reprend la compétition sur le Grand Prix de Lugano (22e) où ses coéquipiers Diego Ulissi et Aleksandr Riabushenko s'adjugent les deux premières places. Y réalisant une course encourageante, il s'aligne sur le Tour de Suisse alors qu'il était initialement prévu sur le Tour de Slovénie[30]. Il y termine 10e de l'étape reine dont l'arrivée est adjugée au col du Saint-Gothard et remonte à la huitième place du classement général, qu'il conclura finalement à la 21e place[31].

Malgré une première partie de saison tronquée par son opération, il est au départ du Tour de France. Quatorzième du classement général, il est satisfait de sa performance, qu'il n'aurait pas imaginé si bonne quelques semaines auparavant. Bien qu'il ne soit pas encore au sommet de sa forme, il envisage le Tour d'Espagne avec ambition[32]. Lors du contre-la-montre par équipes inaugural, son équipe part à la faute, une piscine percée ayant mouillée la chaussée[33]. Le lendemain, il termine 5e de l'étape, lui permettant de passer de la 129e à la 14e place au classement général. Huitième de la septième étape, il se hisse à la 10e position du général avant de voir sa forme se dégrader. Gêné par une blessure musculaire, il ne prend pas le départ de la treizième étape. Il était alors tombé à la 54e position au général[34].

Pour la première fois depuis 2013, il lance sa saison en Amérique du Sud, sur le Tour Colombia (12e du général), sa seule course avant que la saison ne soit suspendue à cause de la pandémie de Covid-19. Il reprend la compétition sur le Tour de Burgos (9e du général), enchaînant par le Mont Ventoux Dénivelé Challenges (5e) et le Tour de l'Ain (10e du général). Vingt-et-unième du Tour du Piémont, où Diego Ulissi termine 2e, il connaît une mauvaise journée sur le Tour de Lombardie où il abandonne avant de s'élancer sur le Tour de France en tant qu'équipier de Tadej Pogačar. En difficulté lors de la neuvième étape, il abandonne sans pouvoir expliquer sa méforme, auteur de performances encourageantes avant la course et ayant des données d'entraînement lui permettant d'être optimiste[35].

En fin de contrat avec la formation émiratie, l'équipe NTT, devenant Qhubeka Assos en 2021, annonce son arrivée le 3 décembre[36]. Durant l'hiver, il revient au cylo-cross, se classant 10e du championnat d’Italie.

2021 : Qhubeka Assos

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Sous ses nouvelles couleurs, il innove une nouvelle fois lors de son début de saison, découvrant les courses françaises du mois de février avec le Tour de la Provence (18e), le Tour des Alpes-Maritimes et du Var (27e), la Classic de l'Ardèche (25e) et la Drôme Classic (32e) où il passe à l'offensive dans le final[37]. En mars, pour la troisième fois de sa carrière, il est au départ de Paris-Nice (26e au général). Il retrouve les routes françaises en juin à l'occasion du Critérium du Dauphiné. Il y réalise des performances décevantes, incapable de peser sur la course, terminant à 9 minutes de Mark Padun lors de la septième étape à La Plagne puis à plus de 10 minutes de l'Ukrainien le lendemain aux Gets. Ne se sentant pas prêt physiquement pour se confronter au Tour de France, il préfère y renoncer[38]. Début juillet, sur la première étape du Sibiu Cycling Tour, il est devancé par Giovanni Aleotti lors d'une arrivée au sommet, à Păltiniș. Son jeune compatriote le devancera également au classement général final. Un mois plus tard, il réalise deux tops 10 sur le Tour de Burgos lui permettant de prendre la deuxième place au général, derrière Mikel Landa.

Désireux de se rapprocher de sa famille, il annonce le 12 août 2021 mettre un terme à sa carrière après le Tour d’Espagne[39].

Palmarès et classements mondiaux

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Palmarès amateur

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Palmarès professionnel

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Résultats sur les grands tours

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Tour de France

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4 participations

Tour d'Italie

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4 participations

Tour d'Espagne

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6 participations

Classements mondiaux

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Année 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
UCI World Tour 216e[40] 17e[41] 5e[42] 102e[43] 26e[44]
UCI Europe Tour 266e[45] 117e[46] nc[47] 68e[48] 123e[49]
Légende : nc = non classé

Distinctions

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Notes et références

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  1. Du 1er janvier 2012 au 31 juillet 2012
  2. Du 1er août 2012

Références

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  1. (it) « Conosciamo meglio... Fabio Aru », sur spaziociclismo.it, (consulté le )
  2. (it) « Io, invalido a 21 anni. Mi dicevano: prendi i farmaci o non finisci la corsa », sur corriere.it
  3. (it) « Doping nel ciclismo, arrestati due manager », sur corriere.it
  4. Alexandre Philippon, « C. nations de Toscane #5 : Aru pleure, Preidler rit », sur velochrono.fr,
  5. Alexandre Rolin, « Fabio Aru termine en trombe », sur cyclismactu.net,
  6. Jerome Christiaens, « Aru encore au moins un an chez les amateurs », sur velochrono.fr,
  7. Alexandre Mignot, « Astana s'assure les services de Fabio Aru », sur cyclismactu.net,
  8. a et b « Fabio Aru signe pour 2 ans chez Astana », sur cyclismactu.net,
  9. Nicolas Gachet, « Toscane-Terre de Cyclisme - Et. 5 : Classements », sur directvelo.com,
  10. Alexandre Mignot, « Pozzo l'étape, Dombrowski vainqueur final », sur cyclismactu.net,
  11. « Fabio Aru », sur memoire-du-cyclisme.eu
  12. (en) « Neo-pro Aru signs with Astana », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  13. (en) « Aru looking for further progress at 2014 Giro d’Italia », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  14. (en) « Aru unsure of limits ahead of Giro d'Italia », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  15. (en) « Scarponi's Giro d'Italia hopes fade on the road to Montecopiolo », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  16. (en) « Aru explores his limits at Giro d’Italia », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  17. (en) « Giro d'Italia - King Quintana soars ahead with Monte Grappa ITT win », sur eurosport.yahoo.com, (consulté le )
  18. Fabio Aru : "C'est juste le début" sur 100pour100-velo.com
  19. (en) Stephen Farrand, « Nibali, Visconti and Aru confirmed for Italian team for World Championships », sur cyclingnews.com,
  20. « le journal des transferts », sur velo101.com, (consulté le )
  21. « Fabio Aru, blessé, déclare forfait pour le Giro », sur eurosport.fr, (consulté le )
  22. (en) « Aru to return to racing at Criterium du Dauphine », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  23. (en) « Aru reassured by Dauphine showing ahead of Tour de France », sur cyclingnews.com, (consulté le )
  24. « Tour de France : Fabio Aru, capitaine abandonné », sur ledauphine.com, (consulté le )
  25. Giro di Vallonia: torna Fabio Aru, in sella per ritrovarsi e puntare la Vuelta
  26. Cuissard arraché et fesses écorchées: le calvaire de Fabio Aru au Tour d’Espagne
  27. AFP, « Mondiaux 2018: Fabio Aru, en manque de forme, renonce à participer », sur eurosport.fr,
  28. (en) Cycling News 01 January 2019, « Aru returns to light race programme ahead of Giro d'Italia », sur cyclingnews.com (consulté le )
  29. « Bientôt opéré de l’artère iliaque, Fabio Aru fait une croix sur le Giro », sur VéloPro.fr, (consulté le )
  30. (en) Cycling News 12 June 2019, « Aru continues comeback at Tour de Suisse », sur cyclingnews.com (consulté le )
  31. (en-US) « Fabio Aru tenth on Queen stage of the Tour of Switzerland », sur UAE team Emirates, (consulté le )
  32. (en) Cycling News 15 August 2019, « Aru takes heart from comeback and aims high at Vuelta a Espana », sur cyclingnews.com (consulté le )
  33. Nico, « Vuelta : Une piscine responsable de la chute des Jumbo-Visma et UAE Emirates », sur Dicodusport, (consulté le )
  34. « Tour d'Espagne : Blessé, Fabio Aru abandonne la Vuelta », sur eurosport.fr,
  35. « Tour de France : Fabio Aru "Je suis comme coincé dans un trou" », sur velo-club.net
  36. (en) « Fabio Aru signs for Team Qhubeka ASSOS »,
  37. « Fabio Aru : « Je veux retrouver mon meilleur niveau » - Actualité », sur DirectVelo (consulté le )
  38. « Tour de France : Fabio Aru déclare forfait », sur Eurosport, (consulté le )
  39. « Fabio Aru (Qhubeka NextHash) prendra sa retraite après la Vuelta », sur L'Équipe (consulté le )
  40. (en) « UCI WorldTour Ranking - 2013 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  41. (en) « UCI WorldTour Ranking - 2014 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  42. (en) « UCI WorldTour Ranking - 2015 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  43. (en) « UCI WorldTour Ranking - 2016 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  44. (en) « UCI WorldTour Ranking - 2017 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  45. (en) « UCI Europe Tour Ranking - 2010 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  46. (en) « UCI Europe Tour Ranking - 2011 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
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  48. (en) « UCI Europe Tour Ranking - 2016 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )
  49. (en) « UCI Europe Tour Ranking - 2017 - Individual », sur dataride.uci.ch, UCI (consulté le )

Liens externes

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