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Dominion

territoire dépendant de l'empire britannique

Un dominion est un État membre autonome de l'Empire britannique puis du Commonwealth. Avant la Première Guerre mondiale, les dominions ne sont pas pleinement indépendants, le Royaume-Uni gardant la souveraineté sur les relations internationales, la diplomatie, la guerre, la citoyenneté, la plus haute instance judiciaire et la Constitution.

Carte des dominions à la fin du XIXe siècle.
Carte de l'Empire britannique sous la reine Victoria, à la fin du XIXe siècle. Le mot « dominions » désigne l'ensemble des territoires appartenant à la Couronne.

Après la Première Guerre mondiale, les dominions sont les premières anciennes colonies à devenir indépendantes grâce au Statut de Westminster de 1931. Après la Seconde Guerre mondiale, la plupart des anciennes colonies obtiennent l'autonomie. Certains dominions deviennent des républiques et d'autres deviennent des royaumes du Commonwealth, les dominions obtiennent tous les pouvoirs relatifs à la souveraineté, et le terme dominion tombe en désuétude.

Histoire

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Un dominion est un pays issu de la colonisation britannique pouvant gérer lui-même ses finances, sa politique intérieure (à part quelques « règles éthiques de base » imposées par l'entité dominante) et son commerce (à l'exception des exigences de la métropole, là encore). Néanmoins, initialement, le gouvernement ne peut gérer les affaires étrangères, cette fonction étant assurée par le gouvernement du Royaume-Uni. Il a droit à une force armée se rapportant en dernier lieu à l'entité dominante, donc, par exemple, l'armée canadienne fait partie intégrante de l'armée britannique jusqu'en 1917.

Antécédents

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Le Canada est le premier pays de l'Empire britannique à acquérir le statut de « dominion » le [1],[2],[3]. Selon le préambule de la Loi constitutionnelle de 1867 du parlement britannique, les provinces canadiennes have expressed their Desire to be federally united into One Dominion under the Crown of the United Kingdom of Great Britain and Ireland (« ont exprimé le désir de contracter une Union Fédérale pour ne former qu'une seule et même Puissance (Dominion) sous la couronne du Royaume-Uni de la Grande-Bretagne et d'Irlande »)[2],[4],[5]. Le mot kingdom (« royaume »), préféré par les politiciens canadiens, a été évité de peur de contrarier les États-Unis[2]. Au lieu d'un Kingdom of Canada (« royaume du Canada »), Samuel Leonard Tilley, un politicien du Nouveau-Brunswick, a promu le terme « Dominion ». Il s'est inspiré de la formulation du Psaume 72 en anglais, verset 8 : He shall have dominion also from sea to sea, and from the river unto the ends of the earth (« Il dominera d'une mer à l'autre, et du fleuve aux extrémités de la terre »)[6],[note 1].

Conférence impériale de 1907

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Proclamation royale d'Édouard VII, , renommant la Colony of New Zealand (« colonie de Nouvelle-Zélande ») en le Dominion of New Zealand (« dominion de Nouvelle-Zélande »), publiée dans la New Zealand Gazette (en) le .

De la Conférence impériale de 1907 a émergé la notion de « dominion » en tant qu'entité dont le statut était intermédiaire entre un statut colonial et un statut indépendant[6]. À cette époque, diverses étiquettes ont été proposées : le premier ministre de Nouvelle-Zélande, Joseph Ward, a suggéré des self-governing colonies (« colonies autonomes ») mais le premier ministre du Canada, Wilfrid Laurier, a proposé des self-governing dominions beyond the seas (« dominions autonomes au-delà des mers »). Alfred Deakin, premier ministre d'Australie, a proposé des British Dominions possessing responsible government (« dominions britanniques possédant un gouvernement responsable ») et les self-governing dominions (« dominions autonomes ») ont été jugés acceptables et, sur l'insistance de Laurier, un seul mot, « dominion », a été préféré à « commonwealth » (le nom sous laquelle l'Australie était devenue une fédération), puisque, comme Deakin l'a convenu, la désignation de « dominion » (Canada, unifié en 1867) était plus ancienne que « commonwealth » (Australie, unifiée en 1901)[6].

À la demande de Joseph Ward, qui écrivit au secrétaire d'État aux Colonies, Victor Bruce, 9e comte d'Elgin en , le nom officiel de la Nouvelle-Zélande fut changé par proclamation royale : de « Colony of New Zealand » (« Colonie de Nouvelle-Zélande ») en « Dominion of New Zealand » (« Dominion de Nouvelle-Zélande »). Ward cherchait ainsi à imiter les titres existants de « Dominion of Canada » et « Commonwealth of Australia ». Ward espérait ainsi dissiper l'idée que la Nouvelle-Zélande faisait partie de l'Australie[7],[8]. Le changement était d'une importance minime. Les parlementaires néo-zélandais ont cessé d'être connus sous le nom de Members of the House of Representatives (« membres de la Chambre des représentants ») et sont devenus à la place des Members of Parliament (« membres du Parlement »). Le chef du gouvernement, connu comme « premier », est devenu « prime minister ». L'attribution du statut de Dominion n'a pas rendu la Nouvelle-Zélande plus indépendante[8].

Au sein du bureau des Colonies britannique (en anglais : Colonial Office), un nouveau département des Dominions est créé en décembre 1907, l'une des trois branches dans lesquelles le Colonial Office fut réorganisé. Ce nouveau département était responsable des relations britanniques avec les Dominions[9].

En 1907, les Dominions étaient ainsi : le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, Terre-Neuve, la colonie du Cap, le Natal et le Transvaal. En 1910, les quatre colonies autonomes d'Afrique du Sud, comprenant alors l'ancien État libre d'Orange, se sont unifiées pour devenir l'Union d'Afrique du Sud fédérale. Ainsi la liste des Dominions fut réduite à cinq : Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Terre-Neuve, et Afrique du Sud[6].

Première Guerre mondiale

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Imperial War Cabinet (« cabinet de guerre impérial »), au 10 Downing Street, le . Les premiers ministres britannique, canadien, néo-zélandais et sud-africain sont présents (David Lloyd George, Robert Borden, William Massey, et Jan Smuts).

Au début de la Première Guerre mondiale, le roi britannique déclare la guerre au nom de tout l'empire. Les cinq Dominions déterminaient leur propre niveau d'implication dans l'effort de guerre, mais ils ne jouaient initialement aucun rôle dans la détermination de la politique ou de la stratégie de la guerre. Peu à peu, les gouvernements des Dominions se sont davantage impliqués dans la direction de l'effort de guerre de l'Empire britannique. David Lloyd George, arrivé au pouvoir à Westminster à la fin de 1916, a établi la Imperial War Conference (en) qui s'est réunie en 1917, et le Imperial War Cabinet (« cabinet de guerre impérial »), qui s'est réuni en 1918. (L'Inde, bien que n'étant pas un Dominion, était également représentée.)[10].

La neuvième résolution de la Imperial War Conference déclara que les Dominions étaient « autonomous nations of an Imperial Commonwealth » (« les nations autonomes d'un Commonwealth impérial ») et qu'ils possédaient un « right ... to an adequate voice in foreign policy and in foreign relations » (« droit […] à une voix satisfaisante sur le plan des politiques étrangères et des relations externes »)[10].

Entre-deux-guerres

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Traité anglo-irlandais

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L'État libre d'Irlande (anciennement l'éphémère Irlande du Sud) a acquis le statut de Dominion à sa création en 1922. L'état irlandais était donc le sixième Dominion[6].

Conférence impériale de 1926

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Groupe de huit hommes en costume de soirée. Le roi est assis au milieu entouré par ses premiers ministres. 
Le roi George V et ses premiers ministres lors de la conférence impériale de 1926. Assis de gauche à droite : Stanley Baldwin (Royaume-Uni), George V, William Lyon Mackenzie King (Canada) ; debout de gauche à droite : Walter Stanley Monroe (en) (Terre-Neuve), Gordon Coates (Nouvelle-Zélande), Stanley Bruce (Australie), James B. Hertzog (Afrique du Sud), William T. Cosgrave (État libre d'Irlande).

En 1925, un nouveau Dominions Office en français : « bureau des Dominions » fut créé au sein du gouvernement britannique, éliminant la responsabilité ministérielle des Dominions du bureau des Colonies et du secrétaire d'État aux Colonies. Un secrétaire d'État aux Dominions a été nommé en conséquence[11]. Le département des Dominions au sein du Colonial Office devint ainsi un ministère distinct, le bureau des Dominions[9]. Entre et , Leo Amery était secrétaire d'État au Dominions Office parallèlement à son mandat au Colonial Office. Nommé secrétaire aux Colonies par Stanley Baldwin en 1924, Amery avait auparavant promu l'idée d'un ministère britannique distinct pour les Dominions, avec un statut quasi-diplomatique[12].

Ruiné par des dettes aggravées par la Grande Dépression, le gouvernement de Terre-Neuve s'effondre et est contraint d'acquérir le statut colonial sous le règne de la Commission de gouvernement[13].

Statut de Westminster de 1931

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Après-guerre

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L'Inde et le Pakistan ont acquis le statut de dominion le , et Ceylan (rebaptisé Sri Lanka en 1972) le .

Deux référendums en 1948 (en) ont déterminé le statut de Terre-Neuve. Le premier n'a pas été concluant, montrant le mécontentement à l'égard de la Commission de gouvernement. Lors du deuxième référendum sur l'opportunité de revenir au statut de dominion, 48 % des électeurs étaient en faveur du rétablissement du dominion de Terre-Neuve, mais 52 % ont voté pour la fédération avec le Canada. Terre-Neuve a été absorbée par le Canada à minuit le [13].

Décolonisation

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Plusieurs colonies nouvellement indépendantes du Royaume-Uni sont formellement des dominions pendant la période allant de la fin des années 1950 au début des années 1990. Leurs Constitutions, avec un régime parlementaire de type Westminster et le monarque britannique comme chef d'État, sont pour la plupart remplacées en moins d'une génération par des Constitutions républicaines. Toutefois, ces pays n'ont de dominions que le nom et constituent dans les faits des royaumes du Commonwealth[14].

En Afrique, le dominion du Ghana (ancienne Côte-de-l'Or) existe de 1957 à 1960, date à laquelle il devient la république du Ghana. La Fédération du Nigeria est établie en tant que dominion en 1960, puis devient la république fédérale du Nigeria en 1963. Le dominion de Sierra Leone, indépendant en 1961, devient une république dix ans plus tard[15]. Le Kenya est érigé en dominion lors de son indépendance en 1963, mais la république est proclamée l'année suivante. En Océanie, le dominion des Fidji, fondé en 1970, est remplacé par la république des Fidji en 1987 à la suite de deux coups d'État militaires[16].

Au XXIe siècle, ces États sont pleinement souverains et ont totalement coupé les derniers liens juridiques avec le Royaume-Uni, mais plusieurs de ces pays restent des monarchies constitutionnelles avec pour chef d'État le roi Charles III, qui est également à la tête du Commonwealth des Nations. Cependant, être membre du Commonwealth n'implique pas avoir conservé la monarchie : par exemple, l'Inde est devenue une république en restant dans le Commonwealth.

En outre, « Dominion du Canada » reste le nom officiel du Canada, selon les termes de la loi constitutionnelle de 1867[17]. Cette appellation est cependant abandonnée dès le début des années 1960 et le terme « dominion » n'apparaît ni dans la loi de 1982 organisant le rapatriement de la Constitution ni dans la Charte canadienne des droits et libertés. De nos jours, l'expression est encore utilisée occasionnellement dans des documents juridiques[18].

Liste des dominions

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Les États suivants ont été, à divers moments de leur histoire, des dominions :

Pays De À[note 2] Statut
Drapeau du Canada  Canada 1867 Érection en royaume du Commonwealth.
Drapeau de l'Australie  Australie 1901 Érection en royaume du Commonwealth.
Drapeau de la Nouvelle-Zélande  Nouvelle-Zélande 1907 Érection en royaume du Commonwealth.
Drapeau de Terre-Neuve  Terre-Neuve 1907 1934 Incorporée au Canada en 1949.
Drapeau de la Colonie du Cap  Colonie du Cap 1907 1910 Fédération sous le nom d'Union d'Afrique du Sud.
Drapeau d'Afrique du Sud  Natal 1907 1910 Fédération sous le nom d'Union d'Afrique du Sud.
Drapeau d'Afrique du Sud  Transvaal 1907 1910 Fédération sous le nom d'Union d'Afrique du Sud.
Drapeau : Union d'Afrique du Sud  Afrique du Sud 1910 1961 Création d'une république.
Drapeau de l'Irlande  Irlande 1922 1937 Création d'une république.
Drapeau de l'Inde  Inde 1947 1950 Création d'une république fédérale.
Drapeau du Pakistan  Pakistan 1947 1956 Création d'une république fédérale.
Drapeau de Ceylan  Ceylan 1948 1972 Création d'une république sous le nom de Sri Lanka.
Drapeau du Ghana  Ghana 1957[19] 1960 Création d'une république.
Drapeau du Nigeria  Nigeria 1960[20] 1963 Création d'une république fédérale.
Drapeau du Kenya  Kenya 1963[21] 1964 Création d'une république.
Drapeau du Tanganyika  Tanganyika 1961[22] 1962 Création d'une république sous le nom de Tanzanie par fusion avec Zanzibar.
Drapeau de Sierra Leone  Sierra Leone 1961 1971[23] Création d'une république.
Drapeau de l'Ouganda  Ouganda 1962[24] 1963 Création d'une république.
Drapeau de la Gambie  Gambie 1965[25] 1970 Création d'une république.
Drapeau de Maurice  Maurice[26] 1968 1992 Création d'une république.
Drapeau des Fidji  Fidji 1970[6] 1987 Création d'une république.

La déclaration Balfour de 1926 et le Statut de Westminster de 1931 abolissent les derniers pouvoirs qu'avait conservés le gouvernement britannique sur les pays en question, qui deviennent ainsi totalement souverains ou obtiennent le pouvoir d'exécuter cette transition au moment voulu. C'est la naissance du Commonwealth des Nations, dont chacun des membres doit être perçu sur un pied d'égalité avec les autres, y compris avec le Royaume-Uni.

La transition des dominions vers l'indépendance est progressive. En effet, le Statut de Westminster de 1931 demande à chaque dominion de faire approuver sa future Constitution par le Royaume-Uni, après quoi il n'aurait plus de comptes à lui rendre. Cette transition dure cinquante ans pour le Canada jusqu'à la signature de neuf provinces consentantes en et de la reine en . Auparavant, l'indépendance judiciaire du Canada (abolition de la possibilité d'un appel au Royaume-Uni) n'est arrivée qu'en 1949, et la citoyenneté canadienne n'est créée qu'en 1947.

Notes et références

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  1. en latin : Et dominabitur a mari usque ad mare et a flumine usque ad terminos orbis terrarum
  2. Aucun changement constitutionnel ou législatif unique n'a aboli le statut des dominions. La proclamation de l'accession au trône d'Élisabeth II en 1952 fait référence à des « royaumes » et les Royal Style and Titles Acts de 1953 remplacent les références aux dominions dans les différents titres de la reine par le terme « royaumes », après quoi la notion de « dominion » tombe en désuétude. Aujourd'hui, les pays partageant le même monarque que le Royaume-Uni sont désignés comme des royaumes du Commonwealth (à l'exception peut-être du Canada ; voir également Décolonisation).

Références

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  1. (en) Anne Kerr et Edmund Wright, « dominion », dans A Dictionary of World History, Oxford University Press, , 3e éd. (ISBN 978-0-19-968569-1, lire en ligne) « … A country in the British empire that, between 1867 and 1947, had achieved a degree of autonomy but still owed allegiance to the British crown. The first country to call itself a dominion was Canada (1867), followed in 1907 by New Zealand. Australia called itself a Commonwealth (1901), South Africa a Union (1910). After World War II the concept became obsolete as the Commonwealth of Nations included countries that were republics and did not owe allegiance to the crown, … »
  2. a b et c (en) J. E. Hodgetts, « dominion », dans Gerald Hallowell, The Oxford Companion to Canadian History, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-541559-9, lire en ligne) « The title conferred on Canada by the preamble to the Constitution Act, 1867, whereby the provinces declare 'their desire to be federally united into one Dominion under the Crown of the United Kingdom'. The title was chosen over the founding fathers' preference for 'Kingdom', allegedly to mollify Canada's republican neighbour but still represent the founding monarchical principle. Beginning in the 1950s, as an affirmation of independent status and to make a break with the colonial past, a homegrown governor general was appointed, a national flag adopted, and 'dominion' gradually dropped from official and popular usage. … the Constitution Act, 1982, retains the title and requires a constitutional amendment to alter it. »
  3. (en) « Dominions », dans Susie Dent, Brewer's Dictionary of Phrase & Fable, Chambers Harrap Publishers, , 19e éd. (lire en ligne) « … From the formation of the Dominion of Canada (1867) the word also came to be applied to the self-governing units of the British Empire as they were formed and their relations with the mother country were handled by the Dominions Office. As the word 'empire' came to be replaced by that of commonwealth, the Dominions Office became the Commonwealth Relations Office in 1947 and the Commonwealth Office in … »
  4. « LOI CONSTITUTIONNELLE DE 1867 », sur Site Web de la législation (Justice), (consulté le )
  5. « CONSTITUTION ACT, 1867 », sur Justice Laws Website, (consulté le )
  6. a b c d e et f (en) W. David McIntyre, « The strange death of dominion status », The Journal of Imperial and Commonwealth History, vol. 27, no 2,‎ , p. 193–212 (ISSN 0308-6534 et 1743-9329, DOI 10.1080/03086539908583064, lire en ligne, consulté le )
  7. (en) « Politics & Government > Political milestones > Dominion status > Page 2 : Becoming a dominion », sur New Zealand History, New Zealand Ministry for Culture and Heritage (consulté le )
  8. a et b (en) « Politics & Government > Political milestones > Dominion status > Page 5 : What changed? », sur New Zealand History, New Zealand Ministry for Culture and Heritage (consulté le )
  9. a et b (en) Peter Dennis, Jeffrey Grey, Ewan Morris et Robin Prior, « Imperial Conferences », dans The Oxford Companion to Australian Military History, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-551784-2, DOI 10.1093/acref/9780195517842.001.0001/acref-9780195517842-e-597, lire en ligne)
  10. a et b « Commonwealth », sur L'Encyclopédie Canadienne (consulté le )
  11. (en-GB) John Cannon et Robert Crowcroft, « Colonial Office », dans A Dictionary of British History, Oxford University Press, , 3e éd. (ISBN 978-0-19-175802-7, DOI 10.1093/acref/9780191758027.001.0001/acref-9780191758027-e-849, lire en ligne)
  12. (en-GB) Deborah Lavin, Amery, Leopold Charles Maurice Stennett (1873–1955), politician and journalist, Oxford University Press, (DOI 10.1093/ref:odnb/30401, lire en ligne)
  13. a et b « Terre-Neuve-et-Labrador », sur L'Encyclopédie Canadienne (consulté le )
  14. (en) Brandon Jernigan, « British Empire », dans Richard M. Juang et Noelle Morrissette, Africa and the Americas : Culture, Politics, and History, ABC-CLIO, , p. 204.
  15. (en) Solomon E. Berewa, A New Perspective on Governance, Leadership, Conflict and Nation Building in Sierra Leone, Bloomington, AuthorHouse, (ISBN 978-1-4678-8886-8), p. 66.
  16. (en) « Fiji: Polity Style: 1970-2021 », sur archontology.org (consulté le ).
  17. (en) Roger O'Toole (éditeurs : Hvithamar, Annika ; Warburg, Margit ; Jacobsen, Brian Arly), Holy nations and global identities : civil religion, nationalism, and globalisation, Leyde, Brill, , 307 p. (ISBN 978-90-04-17828-1, lire en ligne), « Dominion of the Gods : Religious continuity and change in a Canadian context », p. 137.
  18. « Dominion du Canada », sur thecanadianencyclopedia.ca (consulté le ).
  19. (en) J. Da Graça, Heads of State and Government, Springer, , 2e éd. (ISBN 978-1-349-65771-1, lire en ligne), p. 389-390
  20. (en) J. N. C. Hill, Nigeria Since Independence: Forever Fragile?, Palgrave Macmillan UK, (ISBN 978-0-230-29852-1, lire en ligne), p. 146, note 22
  21. (en) Sosteness Francis Materu, The Post-Election Violence in Kenya: Domestic and International Legal Responses, Springer, (ISBN 978-94-6265-041-1, lire en ligne), p. 20-21
  22. (en) J. Da Graça, Heads of State and Government, Springer, , 2e éd. (ISBN 978-1-349-65771-1, lire en ligne), p. 917
  23. (en) Solomon E. Berewa, A New Perspective on Governance, Leadership, Conflict and Nation Building in Sierra Leone, Bloomington, AuthorHouse, (ISBN 978-1-4678-8886-8, lire en ligne), p. 66, 191
  24. (en) J. Da Graça et John Da Graça, Heads of State and Government, Springer, , 2e éd. (ISBN 978-1-349-65771-1, lire en ligne), p. 937
  25. (en) J. Da Graça, Heads of State and Government, Springer, , 2e éd. (ISBN 978-1-349-65771-1, lire en ligne), p. 355
  26. (en) Brandon Jernigan, « British Empire », dans Richard M. Juang et Noelle Morrissette, Africa and the Americas: Culture, Politics, and History, t. I, Santa Barbara, ABC-CLIO, , 200-204 p. (ISBN 978-1-85109-446-2, lire en ligne), p. 204

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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