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Chenon

commune française du département de la Charente

Chenon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Chenon
Chenon
Le château de Chenon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Martine Mainguet
2020-2026
Code postal 16460
Code commune 16095
Démographie
Gentilé Chenonais
Population
municipale
127 hab. (2021 en évolution de −7,97 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 34″ nord, 0° 14′ 19″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 118 m
Superficie 10,48 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Chenon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Chenon
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Chenon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Chenon

Ses habitants sont les Chenonais et les Chenonaises[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Chenon est une commune du Nord-Charente, située à mi-chemin entre Mansle et Ruffec le long de la Charente. La commune de Chenon est la plus septentrionale du canton de Mansle.

Le bourg de Chenon est situé à 9 km au nord-est de Mansle, 10 km au sud de Ruffec, et 33 km au nord d'Angoulême[2].

La route nationale 10 de Paris à Hendaye en forme la limite occidentale sur une distance d'environ un kilomètre ; l'angle sud-ouest est traversé par la D 27, route de Courcôme à Aunac, qui a un échangeur sur la N 10 aux Maisons Rouges[3].

La gare la plus proche est celle de Ruffec, desservie par des TER et TGV à destination d'Angoulême, Poitiers, Paris et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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La population agglomérée de la commune comprend, outre le bourg, les hameaux des Plantins, des Babauds, des Turcats, de la Quessoterie, des Oiseaux, des Petits, des Cajets, des Renons, et des Geais. Tous ces hameaux sont échelonnés le long de la route de Verteuil-sur-Charente à Aunac. Les quelques hameaux de la commune sont : Grosbout, dans le sud ; Durand, sur la Charente ; les Maisons Rouges, sur la RN 10 et Garnaud.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Chenon
Verteuil-sur-Charente Poursac
Lonnes Chenon 
Aunac-sur-Charente

Géologie et relief

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Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, le Callovien occupe la surface communale. Le sol est un calcaire marno-argileux. Des grèzes ou groies du Quaternaire couvrent une petite zone à l'ouest, ainsi que des altérites sous forme d'argile rouge à pisolithes de fer. La vallée de la Charente, à l'est, est couverte par des alluvions dont les plus anciennes ont formé des terrasses comme au bourg[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un bas plateau, d'une altitude moyenne de 100 m, bordé à l'est par la vallée de la Charente, et entaillé de quelques combes, comme la combe de Quessot au nord.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 118 m, situé à l'extrémité sud-ouest. Le point le plus bas est à 70 m, situé le long de la Charente en limite sud. Le bourg, construit dans la vallée, s'étage entre 75 et 105 m d'altitude (à la mairie)[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, l'Argent-Or, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est limitée au nord et à l'est par la Charente dans sa section entre Condac et Mansle, et se trouve entièrement sur sa rive droite. D'une longueur totale de 381,4 km, ce fleuve prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Chéronnac, et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé 117 communes[9]. Le fleuve comporte de petits bras au niveau du bourg, délimitant des îles et irriguant des jardins et peupleraies[3].

L'Argent-Or, d'une longueur totale de 3 km, prend sa source dans la commune de Saint-Laurent-de-Céris et se jette dans la Charente sur la commune, après avoir traversé 7 communes[10].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Chenon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), forêts (8,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), zones urbanisées (3,1 %), zones humides intérieures (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chenon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente et l'Argent-Or. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999[20],[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chenon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en aléa moyen ou fort, soit 62 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 1]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Toponymie

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Le nom est attesté en 1280 avec la forme latinisée Cenomo[26].

L'origine du nom de Chenon remonterait à un personnage gallo-romain Canus auquel est apposé le suffixe -magus (champ ou marché), ce qui correspondrait à Canomagus, le « champ de Canus »[27],[28].

Histoire

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Le préhistorien charentais Chauvet signalait en 1884 le dolmen de la Grelaudière et d'autres dolmens sur tumulus. Si le dolmen de La Grelaudière fut détruit par son propriétaire en 1896, la nécropole de Chenon, située au Bois de la Roche, a fait l'objet d'une publication[29]. Ces tumuli s'alignaient en direction du sud, jusqu'à la Pierre Levée, et à l'est sur les Coteaux Blancs surplombant la Charente[30].

Sous l'Ancien Régime, Chenon était un fief dépendant de la baronnie de Verteuil et qui, depuis le XVe siècle, a appartenu à la famille Desmiers de Chenon; cette famille descendait de Jean Desmiers, seigneur du Breuil, qui vivait au XIIIe siècle. L'un d'eux, Alexandre, fut un compagnon d'armes protestant de Henri de Navarre, futur Henri IV, et, lors de l'abjuration de ce prince, il préféra se retirer dans ses terres que de renier sa religion[31].

Au début du XXe siècle, il y avait deux moulins sur la Charente, dont l'un a été converti en micro-centrale électrique et fournissait l'éclairage aux communes de Chenon, Aunac et Verteuil[31].

Administration

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Mairie de Chenon 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1794 1795 André Pérot    
1795 1796 Ménard    
1796 1840 Pierre Bernard    
1840 1848 Pierre Silvestre    
1848 1848 Daurin    
1849 1859 Jean Alligant    
1859 1884 Pierre Bonnaud    
1884 1888 André Delaprade    
1888 1900 Pierre Bernard    
1900 1918 Ludovic Pérot    
1919 1928 André Dupuis    
1928 1947 Félix Lambert    
1947 1971 Émile Reignier    
1971 1989 Robert Nadaud    
1989 1989 Jacques Arignon    
1989 2001 Fernand Rainaud    
2001 2008 Michel Sicard    
2008 2014 Gilles Méral SE Agent Éducation nationale
2014 En cours Brigitte Vergez SE Retraitée Fonction publique

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 127 habitants[Note 2], en évolution de −7,97 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
436478521560591507575523505
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
504501428407389398395372346
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
326326283327288294238243217
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
202185178143149157156151138
2020 2021 - - - - - - -
128127-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 14 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 53,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 63 hommes pour 69 femmes, soit un taux de 52,27 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
3,0 
16,4 
75-89 ans
16,4 
36,1 
60-74 ans
32,8 
36,1 
45-59 ans
23,9 
0,0 
30-44 ans
6,0 
1,6 
15-29 ans
11,9 
8,2 
0-14 ans
6,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

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Agriculture

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La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].

Entreprises

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Plusieurs entreprises sont installées sur la commune (P.M.R, carrosseries Ballet, pièces détachées de machines à vendanger Bourdais S.A), grâce en partie à la proximité de la RN 10, axe Bordeaux - Paris.

Lieux et monuments

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Le château

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Le château.

Le château de Chenon possède un corps de logis du XVe siècle centré d'une tourelle polygonale renfermant l'escalier à vis et flanqué de deux tours rondes, l'une à toit en poivrière, l'autre arasée. Les ornementations des ouvertures signent le XVe siècle. Il a été inscrit monument historique le 16 décembre 1987[39].

L'église Saint-Antoine

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L'église paroissiale Saint-Antoine-le-Grand (XIIe siècle) jouxte le château. Elle a été entièrement restaurée en 2007 avec des techniques et matériaux utilisés à l'époque de sa construction, dans une optique de préservation du patrimoine communal. À cette occasion, de magnifiques vitraux retraçant la vie de saint Antoine ont été créés et posés.

Outre quelques pierres tombales (XVIe et XVIIe siècles), l'église abrite également le monument aux morts de la commune ainsi que des vestiges de fresques, parmi lesquelles on retrouve une représentation du blason de la famille Desmier, liée par son histoire à la localité.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Chenon » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Chenon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « la Charente »
  10. Sandre, « l'Argent-Or »
  11. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chenon », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chenon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 220
  27. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 185.
  29. Edmond Gauron et Jean Massaud (préf. Bernard Vandermeersch), La nécropole de Chenon, vol. XVIIIe supplément à Gallia Préhistoire, Éditions CNRS,
  30. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 140-142
  31. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 126-127
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chenon (16095) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  39. « Château de Chenon », notice no PA00104293, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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