[go: up one dir, main page]
More Web Proxy on the site http://driver.im/

Caudron C.714

avion militaire Caudron-Renault

Le Caudron C.714 est un avion de chasse français de la fin des années 1930. Il est l'expression française la plus aboutie de la recherche d'un chasseur léger de coût réduit compatible avec une production de guerre.

Caudron C.714
Vue de l'avion.
Caudron Cyclone, Salon de l'aéronautique, France, 1938

Constructeur Société des avions Caudron
Rôle Avion de chasse
Statut retrait du service
Premier vol
Mise en service
Nombre construits 90
Équipage
1 pilote
Motorisation
Moteur Renault 12R-03 de 19 litres de cylindrée
Nombre 1
Type 12 cylindres en V à 60°, refroidissement par air et suralimentation.
Puissance unitaire 450 à 507 ch
Dimensions
vue en plan de l’avion
Envergure 8,97 m
Longueur 8,63 m
Hauteur 2,87 m
Surface alaire 12,50 m2
Masses
À vide 1 400 kg
Carburant 150 kg
Maximale 1 750 kg
Performances
Vitesse maximale 488 km/h (à 5 000 m)
Vitesse de décrochage 117 km/h
Plafond 9 400 m
Vitesse ascensionnelle 10 m/s 600 m/min
Rayon d'action à 320 km/h : 450 km
Charge alaire 140 kg/m2
Rapport poids/puissance 3,88 à 3,45 kg/ch
Armement
Interne 4 mitrailleuses MAC 34 de 7,5 mm en voilure

Ses principales qualités étaient une aérodynamique très favorable qui lui conférait une vitesse élevée, malgré un moteur Renault de seulement 450 ch, une consommation modeste de carburant, un faible poids et sa facilité de construction.

Ce monomoteur de chasse est inspiré des avions de compétition réalisés par Marcel Riffard.

Origines

modifier

Le programme C1 de 1934

modifier

Le 13 juillet 1934, le Service technique de l'aéronautique (STAé) lança un programme d'avion de chasse monoplace, dit « C1 », pour remplacer les Dewoitine D.500 et Loire 46. Ce programme fut modifié à plusieurs reprises et figé le 16 novembre 1935[1]. Il donna naissance aux Loire 250, Dewoitine D.513, Loire-Nieuport LN 161, Morane-Saulnier MS.405 et Bloch MB.150[2].

La firme Caudron participa au segment léger du programme C1[3]. L'appareil devait être équipé d'un moteur de 450 ch à 500 ch, avec une vitesse maximale de 450 km/h, une autonomie de 2h 30 à 320 km/h, une montée à 4 000 m en moins de 6 min, 8 000 m en moins de 15 min et 10 000 m en moins de 19 min. L'armement pouvait être constitué de 4 mitrailleuses de 7,5 mm ou 1 canon de 20 mm et 2 mitrailleuses.

Les prototypes Caudron

modifier

Les études sur un chasseur léger dérivé des modèles de compétition[4] débutèrent en 1935 chez Caudron[5].

Le monoplace de chasse léger Caudron-Renault C. 710[6] était dérivé du Caudron C.460 de compétition. Cet avion à train fixe atteignait 435 km/h avec deux maquettes de canons de 20 mm et le nouveau moteur Renault 12R, d'une puissance de 420 ch[7].

Caudron fit voler cet avion pour la première fois le 27 juin 1936[8]. Il subit à partir du 15 juillet 1936 de nombreux essais au Centre d'Essais de Matériels Aériens (CEMA)[9].

Le C. 710 fut montré au public durant la Fête de l'Air, à Villacoublay, le [10].

Une version plus puissante fut présentée sur la base de Villacoublay le , avec un moteur porté à 450 ch[11]. Les performances annoncées étaient sensiblement améliorées[12] :

Altitude temps de montée en min taux moyen en m/s vitesse en km/h
0 / / 390
2000 2 min 41 s 12,42 430
4000 4 min 33 s 14,65 460
8000 11 min 27 s 11,64 /

Ce modèle est essayé par l'Aviation soviétique en 1938[13].

Le Caudron C.712 R fut construit en 1936 pour battre le record de vitesse de 567 km/h, obtenu par Howard Hughes[14] sur l'appareil Hughes H-1 Special 1B Racer[15] et gagner les primes délivrées par le Ministère de l'Air en cas de succès.

L'appareil était constitué d'un fuselage de C. 710 à pare-brise abaissé, de la voilure et de l'empennage horizontal du C. 560. Le moteur V 12 Renault était porté à 730 ch par modification de la compression et l'utilisation d'un mélange "super-indétonant"[16].

L'avion fut transféré en camion à Istres le 16 décembre 1936[14] pour effectuer la tentative de record aux mains de Raymond Delmotte[17].

Les conditions atmosphériques empêchèrent les vols jusqu'au 26 décembre[18]. Après un décollage sur un kilomètre en 37 secondes[19], l'avion atteint la vitesse de 520 km/h à 60 % de sa puissance et grimpa à 4 000 m en 2 min[20]. Des problèmes d'admission d'air provoqués par la vitesse limitèrent le régime du moteur et empêchèrent de battre le record de vitesse.

Une seconde tentative eut lieu au mois d'avril 1937 à Istres[21]. Les conditions météorologiques étaient idéales le 24 avril 1937 et Raymond Delmotte fit décoller le C. 712 en 12 secondes sur 300 m. L'avion atteint 620 km/h puis d'importantes vibrations se déclarèrent et obligèrent Delmotte à se parachuter. Une pierre avait frappé un aileron de profondeur au décollage, provoqué la rupture de son longeron et la destruction du plan de profondeur.

Un nouveau prototype de Caudron C.712 R fut développé à partir de la fin de l'année 1937, avec pour objectif une vitesse de 700 km/h[22]. L'avion fut renommé C. 714 R pour entretenir une confusion avec l'avion de chasse C.714, la construction ralentit faute de décision ministérielle puis fut suspendue avec l'entrée en guerre[23]. Le C. 712/714 R a été caché durant la guerre sous le hall d'exposition Renault des Champs-Élysées.

Les performances du C. 710 restaient inférieures aux demandes du programme de chasseur C1 de 1934 et Caudron-Renault développa le C. 713[24] à train d'atterrissage rétractable, doté d'un moteur Renault 12R de 450 ch et d'un canon de 20 mm dans chaque aile.

Cet avion présentait les performances suivantes[25]:

 
Caudron C.713
Altitude temps de montée en min taux moyen en m/s vitesse en km/h
0 / / 390
1000 2 min 12 s 7,57 409
2000 4 min 49 s 6,92 431
3000 7 min 11 s 6,96 451
4000 9 min 25 s 8,6 470
5000 11 min 46 s 7,08 465
6000 14 min 52 s 6,76 459
7000 18 min 58 s 6,15 451

Le C. 713 pouvait atteindre 700 km/h en léger piqué et une vitesse en palier supérieure aux premiers modèles du programme C1 de 1934, les Bloch MB. 151 de 920 ch[26] et Morane-Saulnier MS 405 de 860 ch[27].

L'avion servit de prototype de définition du Caudron C. 714.

Le C. 714

modifier

Le prototype du C.714 Cyclone fit son vol inaugural le .

Description[28]

modifier

L'avion est construit en grande partie en bois, avec un moteur en V, une voilure basse monoplan cantilever, un cockpit fermé et un train d'atterrissage escamotable.

Plans alaires

modifier

L'aile est constituée de deux longerons-caissons et de nervures. Elle est couverte d'un revêtement travaillant en contreplaqué de bouleau, entoilé et enduit de façon à obtenir un poli parfait. Les longerons sont construits en bois de limbo[29] et de spruce, les nervures en contreplaqué de bouleau et en spruce. Les ailerons et les volets de courbure ont une structure en duralumin, recouverte de toile pour les premiers et d'une tôle de magnésium pour les seconds.

Le train d'atterrissage Messier[30] est large de 2,53 m et s'efface dans l'aile. Il est masqué par une tôle fixée à l'extérieur des jambes d'atterrissage à amortisseur oléo-pneumatique Bille[31]. Ces dernières sont dotées d'un pneu à basse pression et d'un frein. Une béquille en acier est montée à l'extrémité arrière du fuselage.

Les gouvernails de direction et de profondeur ont une structure en duralumin et sont entoilés. Les plans mobiles sont équilibrés et compensés. Ils sont amortis contre les vibrations, articulés sur des roulements à billes et disposent de petits flettners réglables en vol.

Fuselage

modifier

Le fuselage forme une poutre constituée de longerons, de montants et de traverses en spruce, renforcés aux jonctions et recouverts par des plaques de contreplaqué de bouleau. Il est entoilé sur les flancs et couvert sur le dos et le ventre de tôles de magnésium boulonnées et amovibles. À l'avant, un bâti soudé en tubes d'acier au chrome-molybdène relie la structure au moteur posé sur des blocs de caoutchouc. Le carénage du moteur en tôle de magnésium assure une circulation d'air interne et des capots clipsés permettent l'accès aux organes mécaniques.

La partie avant du fuselage est adaptée aux formes du moteur et la partie arrière présente des flancs verticaux et s'affine jusqu'à l'extrémité. L'ensemble est dessiné avec une recherche d'efficience aérodynamique.

Le poste de pilotage est placé en arrière de l'aile et dispose de grandes fenêtres latérales, le tout pour assurer une bonne visibilité. L'accès au poste s'effectue par le toit.

Motorisation

modifier

Le moteur est un modèle Renault 12 R 03[32], constitué de l'assemblage de deux moteurs 6Q à 6 cylindres en ligne de 220 ch et 9,5 litres de cylindrée. Ce 12 cylindres en V inversé est suralimenté par compresseur et refroidi par air. Il présente une cylindrée de 19 l et un poids à vide de 439 kg. La puissance nominale de 450 ch, à 2500 tr/min, pouvait être portée à 507 ch au décollage pendant 3 min. Il actionne une hélice tripale Ratier à commande électrique et vitesse constante et est alimenté par des réservoirs protégés en duralumin d'une capacité de 200 litres d'essence. Le carburateur alimentant le moteur permet le vol sous g négatif[33]. La consommation de carburant est de 118 kg/h à vitesse maximale et de 60 kg/h à 370 km/h.

Armement et équipement

modifier
  • Armement

L'avion peut recevoir comme armement deux canons Hispano-Suiza de 20 mm ou quatre mitrailleuses de 7,5 mm MAC 34, placés dans les ailes.
Le tir des quatre MAC 34 permet de délivrer 80 projectiles par seconde (4 × 1200[34] coups/min : 4800 coups/min) ou 0,992 kg, avec la balle lourde mle 1933 D (balle de 12,35 g pour armes automatiques)[35]. Des carènes profilées sous l'aile contiennent un chargeur de 300 coups par arme, soit un total de 1 200 projectiles, ou 15 secondes de tir à la dotation maximale[36].

  • Équipement

Le pilote dispose d'un chauffage, d'une aération, d'un inhalateur d'oxygène à bouteille, d'un éclairage pour les vols de nuit et d'une radio émetteur/récepteur sur ondes ultra-courtes Radio-Industrie RI 537[37], avec deux antennes pour émettre et recevoir simultanément.

Performances détaillées du C. 714

modifier

Selon les données publiées en 1939[38], l'avion est capable de voler à 700 km/h en léger piqué et présente un plafond théorique de 9 400 m et pratique de 9 100 m. La vitesse d'atterrissage est de 117 km/h et celle de croisière de 320 km/h. Le CEMA[39] mesure aux essais une vitesse de 390 km/h au niveau du sol et 479 km/h à 4 500 m, avec un exemplaire doté d'un moteur Renault 12R01, au poids de 1 715 kg. Avec un moteur 12R03, la vitesse maximale est de 488 km/h à 5 000 m.

Altitude en m temps de montée en min (publié) taux moyen en m/s (publié) vitesse en km/h (publié) temps de montée en min (CEMA - moteur 12R01)
0 / / 404 /
1000 1 min 40 s 10 420 /
2000 3 min 20 s 10 440 3 min 28 s
3000 5 min 00 s 10 463 /
4000 6 min 45 s 9,87 487 7 min 02 s
5000 8 min 34 s 9,72 480 9 min
6000 10 min 40 s 9,37 470 11 min 22 s
7000 13 min 40 s 8,53 455 15 min
8000 / / / 19 min 57 s
9000 / / / 29 min 12 s

Les variations entre les mesures effectués par le constructeur et les services d'état sont généralement liées à une préparation par le constructeur (état de surface parfait, poids minimal de munitions et de carburant...) et des essais officiels à pleine charge (équipement de bord complet, plein de munitions et de carburant..)[40].

Comparatif avec les chasseurs de l'Armée de l'Air et les avions des armées étrangères

modifier

Les avions présentés correspondent aux principaux types en service dans l'Armée de l'Air, ou chez ses alliés ou ses adversaires, durant la Campagne de France.

  • Armée de l'Air
Type Vitesse (km/h) Plafond (m) Armement
Koolhoven F.K.58[41] 475 10000 4 × 7,5 mm
Bloch MB. 151[42] 483 10000 4 × 7,5 mm
Morane-Saulnier MS.406[43] 485 9850 20 mm et 2 × 7,5 mm
Curtiss H-75 A1[44] 486 9700 4 × 7,5 mm
Curtiss H-75 A3[45] 500 10000 6 × 7,5 mm
Bloch MB. 152[46] 470 - 515 10000 2 × 20 mm et 2 × 7,5 mm
Dewoitine D.520[47] 535 10250 20 mm et 4 × 7,5 mm
  • Avions étrangers
Type Vitesse (km/h) Plafond (m) Armement[48]
Gloster Gladiator II[49] 414 9995 4 × 7,7 mm
Heinkel 111 H[50] 415 8500 (plafond opérationnel) 3 × 7,92 mm
Dornier Do 17Z[51] 423 8150 (plafond opérationnel) 3 × 7,92 mm
Fiat CR.42 Falco[52] 441 10100 2 × 12,7 mm
Fiat G.50 Freccia[53] 470 10750 2 × 12,7 mm
Macchi M.C.200[54] 503 8900 (plafond opérationnel) 2 × 12,7 mm
Messerschmitt Bf 110C2[55] 518 9500 2 × 20 mm et 5 × 7,92 mm
Hawker Hurricane I 510[47]/527[56] 10120 8 × 7,7 mm
Messerschmitt Bf 109E[57] 530/571 10300 4 × 7,92 mm ou 2 × 20 mm et 2 × 7,92 mm

Le C. 714 atteignait une vitesse en palier supérieure au Bloch MB. 151, aux premières versions du Bloch MB. 152, au Koolhoven F.K.58, comparable aux Curtiss H-75 A1 et Morane-Saulnier MS.406. Le temps de montée de l'avion à 7 000 m est supérieur au Curtiss H-75 A1 (11 minutes ou 10,6 m/s) et inférieur au Morane Saulnier MS. 406 (18 minutes ou 6,48 m/s)[58].

Le plafond était inférieur à celui de tous les chasseurs de l'Armée de l'Air en mai 1940.

L'armement équivalait à celui des Bloch MB. 151, Curtiss H-75 A1 et Koolhoven F.K.58.

Le chasseur Caudron surclassait en vitesse le Gloster Gladiator, dont deux squadrons déployés en France en mai 1940 sont détruits en dix jours[59], mais reste inférieur au Hawker Hurricane.

Le C. 714 était doté de performances inférieures à ses adversaires directs en mai et juin 1940, le Messerschmitt Bf 109E et le Messerschmitt Bf 110C2. Le premier est mesuré à 571 km/h de vitesse maximale avec les volets fermés, à 530 km/h avec les volets ouverts et monte à 7 000 m en 10 min 02 s[57], le second à 514 km/h et 6000 m en 10 min 5 s[55]. Ce chasseur pouvait toutefois parfaitement atteindre le Dornier Do 17 ou Heinkel 111, que ce soit en termes de vitesse ou d'altitude.

Le seul avion italien doté de performances supérieures en vitesse est le Macchi M.C.200.

Essais et présentations

modifier

Au cours des essais en vol constructeur, le pilote Roger Janin perdit deux ailerons en survitesse, mais il réussit un atterrissage au moteur et palonnier[60].

L'avion fut présenté par Raymond Delmotte en septembre 1938 au CEMA et débuta ses essais aux mains de Michel Détroyat[61]. L'avion est défini comme très maniable avec des performances légèrement supérieures au Morane-Saulnier MS 406[62]. Le lieutenant Constantin Rozanoff effectua les essais de tir à Cazaux en décembre 1938, qui se réalisèrent dans d'excellentes conditions[63].

L'avion fut montré en vol à Villacoublay par Roger Janin devant deux délégations britanniques, en octobre et au début de décembre 1938[64]. Il est exposé au XVIe Salon de l'aéronautique de Paris (25 novembre au 11 décembre 1938)[65].

Production[66]

modifier

Après les essais officiels, le Caudron Cyclone fut défini comme inapte au combat[67], la cellule étant considérée comme incapable de résister aux obus explosifs et la vitesse ascensionnelle paraissant insuffisante. Il fut construit pour une utilisation comme avion d'entraînement avancé.

Une série de 20 avions avec 120 options fut commandée en 1938 par le Ministère de l'Air pour en lancer la construction à la mi-1939. La commande est portée à 120 exemplaires fermes, puis réduite pour cause de performances insuffisantes.

La construction en série de l'appareil demandait 5000 h de travail et 83 à 90 exemplaires furent construits jusqu'en février 1940[68].

Pays utilisateurs

modifier
 
Caudron C.714 avec insignes finlandais

L'attaché français à Helsinki reçut le 28 décembre 1939 un télégramme annonçant une aide militaire à la Finlande. Elle comprenait pour les avions 50 Morane-Saulnier MS 406, bientôt augmentés de 80 Caudron CR 714, 46 Koolhoven F.K.58 et 62 Potez 633[69]. Les livraisons, inachevées, portèrent sur 30 Morane Saulnier MS. 406 et 6 Caudron[70], débarqués en caisse à Bergen.
Les avions furent affectés au régiment d'aviation LeR 3 équipé de Fokker D.XXI et équipèrent son quatrième escadron, le LLv 34[71]. Au vu de leur faible nombre, les avions furent utilisés avec des biplans plus anciens pour former une unité d'entraînement avancé, mais faute de pièces détachées, leur utilisation fut brève.

Un exemplaire fut versé à l'école des mécaniciens et les autres furent retirés du service et stockés en mai 1941[72].

Le lieutenant-colonel Lionel de Marmier fut chargé de faire la liaison avec le GC 1/145 Varsovie sous le commandement de Joseph Kępiński et vola sur C. 714. Le 3 juin 1940, il abattit en collaboration avec le lieutenant Czerwiński et le sous-lieutenant Żukowski deux Heinkel 111[73] au-dessus de Villacoublay et un autre avion au-dessus d’Étampes quelques jours plus tard[74].

Sept à neuf exemplaires sont pris en compte par l'Armée d'armistice pour l'entraînement et rapidement stockés[33].

 
Chasseur Caudron C.714 du Groupe de Chasse I/145, avec damier polonais, juin 1940

Les gouvernements français et britannique décidèrent de venir en aide à la Finlande attaquée par l'URSS et le gouvernement polonais en exil s'adjoignit à eux. La création d'un groupe de chasse polonais fut décidée à cette occasion.
L'unité débuta sa formation à Lyon Bron sur Morane-Saulnier MS.406 et Caudron C. 714. Elle était constituée de pilotes militaires, rompus aux tactiques allemandes depuis la Campagne de Pologne menée sur les PZL P.7 et PZL P.11 et particulièrement motivés.
La Finlande et l'URSS signèrent le 12 mars 1940 un cessez-le-feu, ce qui retira son but premier au futur escadron.

La formation du GC 1/145 Varsovie sur C.714

modifier

L'escadron "finlandais" devint le GC 1/145 Varsovie le 6 avril 1940, sous le commandement de Joseph Kępiński, assisté par Lionel de Marmier. Les Caudron C. 714 étaient sortis de stockage le 10 mai 1940 et le 18 mai, les pilotes du "Varsovie" les prirent en compte sur la base de Villacoublay[76]. La mise au point des Caudron n'était pas achevée et une équipe technique fut dépêchée. La fiabilisation des avions ne put être réalisée, faute de temps.

En conséquence, les commentaires des pilotes polonais furent peu élogieux : "Très délicat à piloter, décollages et atterrissages trop longs, vitesse ascensionnelle insuffisante, manque de souplesse aux ailerons, fonctionnement aléatoire du train, échauffement anormal du moteur, entretien délicat, fragilité chronique des vilebrequins, démarreurs vite hors d'usage". Ils apprécièrent toutefois "un armement bien concentré et une maniabilité en virage étonnante"[77].

Le capitaine Piotr Łaguna, second commandant du groupe I/145, remit aux autorités britanniques un rapport sur l'avion[78]. Il considérait le C. 714 comme un chasseur bien conçu mais constata l'absence de pièces détachées et de notices d'entretien et d'utilisation. Le seul manuel associé aux avions était un document publicitaire du constructeur.

L'avion était décrit comme un "parfait jouet volant" par ses pilotes.

Les combats

modifier

L'état-major français voulut interdire l'usage des avions mais le commandement polonais refusa d'attendre et obtint d'aller au combat.

Le groupe de combat I/145 fut opérationnel le 27 mai 1940, avec 31 pilotes, 125 mécaniciens, 34 avions et deux escadrilles. Il s'installa le 2 juin sur l'aérodrome de campagne de Dreux, aux infrastructures limitées, sous l'autorité du 21e groupement de Défense Aérienne du Territoire. Un groupe de quatre pilotes fut placé à Angers pour assurer la protection du gouvernement en exil et du général Sikorski.

Le Groupe "Varsovie" connut des combats intenses entre le 8 et le 10 juin au-dessus de Dreux. Il intercepta des raids de bombardiers Do 17 escortés de Messerschmitt Bf 109 et Bf 110. Les douze Caudron restants effectuèrent leur dernière action lors de l'évacuation de Dreux.

Le groupe de combat se posa à Sermaises puis se déplaça à Châteauroux-La Martinerie le 13 juin. Des Bloch MB 152 y remplacèrent les Caudron à bout de souffle le jour suivant. Les pilotes abandonnent leurs avions à Rochefort le 17 juin et embarquent pour l'Angleterre le 19 juin.

L'entretien déjà problématique des avions ne fut pas facilité par les déplacements permanents liés à l'avancée allemande, le quotidien de l'Armée de l'Air en mai-juin 1940[79]. Malgré ces problèmes techniques, le GC 1/145 revendiqua sur C. 714 la destruction du 27 mai au 13 juin de cinq Messerschmitt 110, cinq Messerschmitt 109 et cinq bombardier Dornier 17. Douze victoires furent homologuées par le commandement[80].

Le groupe de combat perdit au combat trois pilotes[81] et sept avions. Six appareils furent détruits au cours d'accidents[82] et les exemplaires en panne abandonnés au moment des évacuations d'aérodromes.

Une vingtaine d'appareils furent pris en charge par la Luftwaffe[33] et finirent comme leurres sur les bases aériennes[83].

Les successeurs C.760, C. 770 et C. 780[84]

modifier
 

Deux prototypes et un projet de chasseurs Caudron furent développés selon la même formule d'une excellente aérodynamique et d'une grande légèreté. Le fuselage était en métal, avec des ailes en bois, des moteurs de plus forte puissance pour hausser les performances et un armement alourdi. Ils volèrent en avril 1940.

Le Caudron C. 760 fut conçu autour d'un moteur Renault 12 cylindres en V inversé de 650 ch, mais reçut faute de disponibilité un moteur italien Isotta Fraschini de 730 ch. L'avion atteignit 570 km/h en palier et monta à 4 000 m en 5 min 25 s et 8 000 m en 12 min 30 s. Ces performances étaient équivalentes à celles du Messerschmitt Bf 109E[57]. Le prototype fut évacué en mai 1940 devant l'avancée allemande, puis saboté.

Le Caudron C. 770 était doté d'un moteur Renault 626 à 16 cylindres de 800 ch, dérivé du moteur 12R du C. 714 après une étude très rapide. Le capot moteur était modifié, avec des échappements latéraux, de même que l'aile. L'avion atteignit 590 km/h et monta à 4 000 m en 4 min 50 s au cours du premier vol. Le vilebrequin grippa mais le pilote sauva l'appareil. L'utilisation d'un moteur Hispano-Suiza 12Y45 de 920 ch fut envisagée pour continuer les vols. Le destin du C. 770 fut scellé par la réussite des essais du C. 760, doté d'un moteur fiable. Ce prototype subit le même sort final que le C. 760.

Le projet Caudron C. 780 était motorisé par un Renault 468 à 12 cylindres en V inversé porté à 500 ch[85], et armé de deux canons de 20 mm et 2 ou 4 mitrailleuses de 7,5 mm. Il ne put être achevé à temps pour les essais.

Performances détaillées [86]

modifier
Type C. 760 C. 770 C. 780
Moteur Renault 12 cylindres en V inversé de 650 ch / Isotta Fraschini Delta FC-40 à 12 cylindres de 730 ch à 4 000 m Renault 626 à 16 cylindres en V inversé de 800 ch à 4 000 m Renault 468 à 12 cylindres en V inversé de 500 ch
Envergure (m) 8,97 9 8,97
Longueur (m) 8,89 9,92 2,60
Hauteur (m) 2,90 2,92 8,50
Surface alaire (m2) 12,50 12,50 12,50
Poids à vide (kg) 1550 1740 1220
Poids en charge (kg) 2000 2250 1700
Vitesse maximale (km/h) à 5000 m 555/570 590 533
Vitesse de croisière (km/h) 470 506 /
Autonomie (km) 1570 1430 1330
Taux moyen de montée à 4 000 m (m/s) 12,30 13,79 /
Plafond (m) 10 300 10 350 9 700
Rapport poids/puissance (kg/ch) 2,74 2,82 3,4
Armement 6 × 7,5 mm MAC 34 6 × 7,5 mm MAC 34 4 × 7,5 mm MAC 34 et 2 canons automatiques Hispano-Suiza HS-404 de 20 mm

Exemplaires survivants et reconstitution

modifier

Exemplaires survivants

modifier
 
Caudron Cyclone C. 714, Finlande

Trois appareils ont survécu. Un exemplaire finlandais de Caudron C. 714 appartient au Keski-Suomen Ilmailumuseon (Musée finlandais de l'Aviation)[87] et a été transféré au musée de l'aviation polonaise de Kraków dans le cadre d'un prêt à long terme[88]. Un autre C. 714 est en restauration avec des éléments de C. 713 aux Ailes Anciennes du Bourget[89]. Le Caudron C. 712 de record est placé dans les réserves du Musée de l'air et de l'espace[23]

Reconstitution

modifier
 
La Ferte-Alais, 2004

Jean Noan, un ingénieur de la société Bertin SRC, a créé à titre privé une reconstitution du Caudron 760 Cyclone à partir de photos, de témoignages et de quelques restes de plans. Le C760 est une version sur-motorisée du C 714.

« Je suis parti de deux photos, puisque cet avion qui est le dernier de la lignée de ces machines est sorti en avril 1940. Lorsque je me suis trouvé face à ce projet, je ne me rendais pas compte probablement de l’étendue des travaux que cela pouvait représenter. »

La construction du chasseur a nécessité 12 ans et 25 000 heures de travail. Il a fallu trouver un moteur, un moteur Renault de 600 chevaux que Jean Noan a récupéré auprès de l’armée française.

L'immatriculation de l'avion qui est basé à Chavenay est F-AZJY. De nombreuses photos, notamment lors d'exhibitions à La Ferté-Alais, sont disponibles sur l'Internet[90].

Références

modifier
  1. Michel Cristesco, The M.Bloch 151 & 152. Profile no 201. Profile Publications, Leatherhead (UK), 1967p. 3
  2. Green 1974 : William Green, Dimensione Cielo no 23/I p. 13 à 26. Edizioni Bizzarri, Rome (1974), p. 13
  3. Comas, Ledet 2002
  4. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 30 juin 1936, no 789, p. 4, Gallica.Bnf [1]
  5. Les Ailes, Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 21 février 1935, no 714, Gallica.Bnf [2] ; Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 12 août 1937, no 843, p. 7, Les avions militaires, Gallica.Bnf [3]
  6. L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), mars 1938, no 226, p. 44-48 ; Don Berliner, Surviving Fighter Aircraft of World War Two: A Global Guide to Location and Types, éd. Casemate Publishers, 2011, (ISBN 1848842651), 9781848842656, p. 80-81
  7. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 21 mai 1936, no 779, p. 4, Notules techniques, Les productions Caudron-Renault, Gallica.Bnf [4]
  8. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 30 juillet 1936, no 789, p. 4, Gallica.Bnf [5]
  9. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 12 août 1937, no 843, p. 7, Gallica.Bnf [6]
  10. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 30 juillet 1936, no 789, p. 4, Gallica.Bnf [7] ; Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 12 août 1937, no 843, p. 7, Les Avions militaires, Le Caudron de chasse C-710, Gallica.Bnf [8] ; Fête de l'Air, Villacoublay, 18 juillet 1937, éd. P.A. Chavane & Cie, Paris, 1937, 62 p.
  11. L'Aérophile, Paris, (ISSN 0994-8929), décembre 1937, no 12, p. 266, Gallica.Bnf [9]
  12. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, juin 1938, no 6, p. 130, Gallica.Bnf [10]
  13. Les Ailes, Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 22 septembre 1938, no 901, p. 9, Gallica.Bnf [11]
  14. a et b Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 24 décembre 1936, no 810, p. 14, Gallica.Bnf [12]
  15. Hughes H-1 (Special 1B Racer) le 13 septembre 1935
  16. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 29 avril 1937, no 828, p. 3 et p. 8, Gallica.Bnf [13]
  17. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 19 novembre 1936, no 805, p. 18, Gallica.Bnf [14]
  18. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris 31 décembre 1936, no 811, p. 15, Gallica.Bnf [15]
  19. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 29 avril 1937, no 828, p. 3
  20. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 29 avril 1937, no 828, p. 8, Gallica.Bnf [16]
  21. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 6 mai 1937, no 829, p. 4, Delmotte se jette en parachute après avoir atteint 620 km/h [17]
  22. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 2 décembre 1937, no 859, p. 3-4 [18] ; Käsmann 1990 : p. 108 et 124
  23. a et b Accueil Les Réserves Les réserves du Musée de l'Air Caudron C.714 R no 01 [19]
  24. Les avions en essais, Le monoplace Caudron 713, Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 30 décembre 1937 no 863, p. 15 Gallica.Bnf [20] ; Caudron-Renault, Les avantages du monoplace de chasse léger, L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), décembre 1938, no 235, p. 304 ; Don Berliner, Surviving Fighter Aircraft of World War Two: A Global Guide to Location and Types, éd. Casemate Publishers, 2011, (ISBN 1848842651), 9781848842656, p. 80-81
  25. Caudron-Renault, Les avantages du monoplace de chasse léger, L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), décembre 1938, no 235, p. 304
  26. Bruno Parmentier, Aviafrance.com, 1999-01-09,Bloch MB-151, 1938, Chasseur, France [21]
  27. Bruno Parmentier, Aviafrance.com, 2007-02-04, Morane-Saulnier MS-405, 1935, Chasseur, France [22]
  28. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 23 février 1939, no 983, p. 9, L'avion de chasse Caudron "Cyclone", Gallica.Bnf ; Avion de chasse Caudron-Renault "Cyclone" (France), L'Aérophile, Paris, (ISSN 0994-8929), mars 1939, no 3, p. 56
  29. Aubreville 1950 : Terminalia superba ou limbo
  30. Association des AnCiens et des Actifs des sociétés Messier (ACAM), Description des premiers avions équipés par Messier, 2 - Premiers avions équipés par Messier (1927 à 1940), 69 - Caudron C-714 C1 "Cyclone" : Train direct escamotable hydrauliquement vers l'intérieur dans la voilure, à compas, construction soudée, course = 275 mm, amortisseur oléopneumatique avec bouteille d'air le long du caisson, roue 500x150 montée en fourche sur les premiers appareils, puis en 1/2 fourche, et frein à commande hydropneumatique Messier. Masse jambe sans roue ni frein = 24 kg. Encombrement svt Pr 304464, Ensemble no 41231, Nomenclature no 31231 - [23]
  31. Raymond Saladin, Philippe BILLE, Aviation Magazine, no 52, 15 juin 1962
  32. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 21 mai 1936, no 779, p. 4, Notules techniques, Les productions Caudron-Renault, Gallica.Bnf [24] ; Léglise et Gaudefroy 1939 : IIe Partie. — Industrie privée, p. 34 Renault (Société des Moteurs Renault pour l'Aviation), L'Aéronautique, no 236, janvier 1939, p. 37, Gallica Bnf [25]
  33. a b et c Wilson 1998 : p. 39
  34. Jean Moulin, Overblog, Les avions de la Guerre d'Algérie, 38 - Armements des aéronefs -2- : les mitrailleuses, 14 décembre 2009 - [26]
  35. http://www.armeetpassion.com, Variantes:Cartouche Mle 1929 D à balle lourde Mle 1933 D [27]
  36. Mihaly 1972b, p. 5-6
  37. Emmanuel de Chambost, La radioélectricité en France sous l'Occupation: la Compagnie générale de télégraphie sans fil, enfance de Thales, Historiques: Travaux, Harmattan, 2012, (ISBN 2336001969 et 9782336001968), p. 18
  38. Avion de chasse Caudron-Renault "Cyclone" (France), L'Aérophile, Paris, (ISSN 0994-8929), mars 1939, no 3, p. 56, moteur Renault V12R01 no 468, 507 ch au décollage et 450 ch à 3 500 m, Gallica Bnf [28]
  39. Milahy 1972b, p. 5, Mihaly et Robinson 2001, p. 237
  40. Jean-Louis Coroller et Michel Ledet (ill. Serge Jamois), Les avions POTEZ, Outreau, Lela Presse, coll. « Histoire de l'Aviation » (no 20), , 462 p. (ISBN 978-2-914017-49-7 et 2-914017-49-9), p. 62
  41. http://www.AVIATION-ANCIENNE.fr, Koolhoven FK-58
  42. Dassault Aviation, MB 150-157
  43. Axelrod, Kingston 2007 : p. 11
  44. Curtiss H-75, www.gc2-4.com [29] ; MINISTERE DE L'AIR. ETAT-MAJOR DE L'ARMEE DE L'AIR. NOTICE DE MANŒUVRE DE L'AVION CURTISS H.75 - A. 1. (MISE A JOUR AVEC L'ADDITIF no 1). EDITION PROVISOIRE. SECTION I. DEFINITION DES MISSIONS. B. LISTE DES MISSIONS ET DES CHARGEMENTS CORRESPONDANTS. I. Chasse de jour [30]
  45. Ketley 1999 : p. 92 ; Curtiss H-75, www.gc2-4.com
  46. Ketley 1999 : p. 92 ; Fredriksen 2001 : p. 49
  47. a et b Ketley 1999 : p. 92
  48. Axelrod, Kingston 2007
  49. Jackson 2010 : p. 18
  50. Lepage 2009 : p. 148-149
  51. Axelrod, Kingston 2007 : p. 12
  52. Bishop 2002 : p. 284 ; Berliner 2011 : p. 130
  53. Bishop 2002 : p. 284 ; Axelrod, Kingston 2007 : p. 15
  54. Murphy et McNiece 2008 : p. 100 ; Jackson 2010 : p. 21 ; Berliner 2011 : p. 133
  55. a et b WWIIaircraftperformance.org, Me110C
  56. Axelrod, Kingston 2007 : p. 15
  57. a b et c WWIIaircraftperformance.org, Me109 E
  58. ADDITIF No 1 A LA NOTICE DE MANŒUVRE DE L'AVION CURTISS H.75 A1. IIe PARTIE. PROCEDES DE COMBAT. CHAPITRE I. PROCEDE D'ATTAQUE PAR UN CURTISS H.75 D'UN BOMBARDIER ISOLE ET D'UN AVION DE CHASSE (MONOPLACE ET MULTIPLACE). 4e conclusion partielle [31]
  59. Axelrod, Kingston 2007 : p. 9
  60. Jacques Noetinger, Rigueur et audace aux essais en vol, Paris, Nouv. éd. latines, , 364 p. (ISBN 978-2-7233-0438-2, OCLC 463511308, lire en ligne), p. 53.
  61. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 22 septembre 1938 no 901, p. 9, Gallica.Bnf [32]
  62. Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 6 octobre 1938, no 903, p. 9, Gallica.Bnf [33] ; Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 3 novembre 1938 no 907, p. 9, Gallica.Bnf [34]
  63. Sur les terrains, Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 8 décembre 1938, no 912, p. 16, Gallica.Bnf [35] ; Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 22 décembre 1938, no 914, p. 9, [36] ; Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 29 décembre 1938, no 915, p. 9, Gallica.Bnf [37]
  64. visite à Villacoublay de la mission anglaise du maréchal Sir Cyrill Newall, Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 20 novembre 1938, no 905, p. 9, Gallica.Bnf [38] ; visite de Sir Kingsley Wood, ministre de l'air britannique, en présence de Guy de la Chambre, Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 12 novembre 1938 no 912, p. 16, Gallica.Bnf [39]
  65. L'Aérophile, Paris, (ISSN 0994-8929), octobre 1938, no 10), p. XXII et XXII [40]
  66. Société royale forestière de Belgique 1939 ; Page de couverture, Il faut faire flèche de tout bois, Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne, Paris, 30 mars 1939 no 928 Gallica.Bnf [41] ; Collectif Aéro-Club de France 1998
  67. Facon 1997 : Patrick Facon, L'Armée de l'air dans la tourmente: la bataille de France, 1939-1940, Collection Campagnes & stratégies : Grandes batailles, vol. 22, éd. Economica, 1997, (ISBN 2717833196), 9782717833195, 305 p. Facon 1997 : p. 205 ; Facon 2010 : p. 219 Facon 2010 : Patrick Facon, Batailles dans le ciel de France: mai-juin 1940, éd. Galodé, 2010, (ISBN 2355930880), 9782355930881, 239 p.
  68. John et Taylor 1981 : p. 161 ; Collectif Aéro-Club de France 1998 ; Association des AnCiens et des Actifs des sociétés Messier (ACAM), Description des premiers avions équipés par Messier, (1927 à 1940), 69 - Caudron C-714 C1 "Cyclone" : "La construction en série de l'appareil demande 5000 h de travail,...." - [42]
  69. Stenman, Davey 2014 : p. 60-61
  70. Ministère de la défense, Revue historique des armées No 217 – 4/1999 dossier : entre-deux-guerres et année 1939, p. 81 ; Stenman, Jong et Davey 2013 : p. 65
  71. Stenman, Jong et Davey 2013 : p. 65
  72. Keskinen, Stenman, Niska et Keskinen 1975 : p. 109
  73. Bieganski 1981 : p. 129
  74. Ciel de gloire.com, De MARMIER Lionel Alexandre Pierre [43] ; Guttman 2001 : p. 24 ; Guttman 2002 : p. 11
  75. Grzezia 2000 ; Gretzyngier 2013 : p. 17-18
  76. Cynk 1998 : p. 108
  77. Pierre-François Rivière in Icare, revue de l'aviation française éditée par le SNPL, no 183, 2002, 1939-40 / La Bataille de France, vol. XVI : les Polonais
  78. Piotr Laguna, Rapport sur le Caudron C. 714 (rédigé en Grande-Bretagne) in Comas, Ledet 2002
  79. Garraud 2001
  80. Garraud 2001 : note 37
  81. Grzezia 2000 : lieutenant Jean Obuchowski, sous-lieutenant Lech Lachowicki-Cechowicz et caporal chef Edouard Uchto, Dreux, 19 juin
  82. Accidents aériens (01.01.1934-22.06.1940), classement par date(www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr), p. 148, DIAP-GIV Lyon-Bron, FFREDORCZUK, p. 150, DIAP-GIV Lyon-Bron, FLAWOWSKI, p. 205, Base Polonaise de Dreux, FNIEWIACA André et DIAP-GIV Lyon-Bron, FWEDZEIK, p. 216, EAA.00.301 Villacoublay et p. 218, GC.01.145, Villacoublay
  83. Roba 2009 : p. 66
  84. Air Pictorial 1955 : p. 7 ; Motais 1956 : p. 9-10 ; Green 1960 : p. 43 et 192 ; Parrish, Atwood Marshall 1978 : p. 111 ; Gunston 1993 : p. 74 ; Comas, Ledet 2002 ; Don Berliner 2011 : p. 81
  85. Gunston 1986 : p. 130, prêt en avril 1940
  86. Motais 1956 : p. 10
  87. Berliner 2011 : p. 81, c/n CA556 ; Aviation Museum of Central Finland
  88. « Polish Aviation Museum gains unique WWII plane », sur thenews.pl (consulté le )
  89. Caudron CR-714 numéro 8537/5 CA-553, Foxalphazoulou.overblog.com, Les Caudron monoplans survivants, publié le 20 janvier 2013 par Le Vieux Fox'il [44]
  90. Par Olivier, « Caudron JN. C.760 (F-AZJY) », sur L'Echarpe Blanche, (consulté le )

Bibliographie

modifier
  • Le monoplace de chasse léger Caudron-Renault C. 710, L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), décembre 1937, no 223, p. 278-281, Gallica Bnf [45]
  • Le monoplace de chasse léger Caudron-Renault C. 710, L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), mars 1938, no 226, p. 44-48, Gallica Bnf [46]
  • Caudron-Renault, Les avantages du monoplace de chasse léger, L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), décembre 1938, no 235, p. 304, Gallica Bnf [47]
  • Léglise et Gaudefroy 1939 : Pierre Léglise, dessins de J. Gaudefroy, Les moteurs français au seizième Salon de Paris, L'Aéronautique, Gauthier-Villars, Paris, (ISSN 0755-8414), janvier 1939, no 236, p. 1-40, Gallica Bnf [48]
  • Avion de chasse Caudron-Renault "Cyclone" (France), L'Aérophile, Paris, (ISSN 0994-8929), mars 1939, no 3, p. 56, Gallica Bnf [49]
  • King 1939 : H. F. King, MILITARY AIRCRAFT of the WORLD. Their Functions, Characteristics and Possible Development, FIGHTERS, p. 307-311 et tableau Military aircraft of the world, Flight, 30 mars 1939. À télécharger en PDF sur Flightglobal/Archive [50]
  • Société royale forestière de Belgique, Bulletin, vol. 42, 1939, p. 264.
  • Flight 1940 : FIGHTERS Still More Power, Armement and Armour : 400 m.p.h. Attained : New Twin-Engined Designs, p. e et f, 14 mars 1940. À télécharger en PDF sur Flightglobal/Archive [51]
  • En faveur d'un avion de chasse léger (extrait de "The Aeroplane", novembre 1939), L'Aérophile, Paris, avril 1940, p. 90 - 91, Gallica Bnf [52].
  • Max Charles Emmanuel Champion de Nansouty, Charles Talansier, Albin Dumas, Jacques Dumas, Le Génie civil, vol. 117, éditions du Génie Civil et de la Métallurgie, Tour Palerme, 1941, p. vii, essais aérodynamiques de maquettes de CR 714.
  • Merle 1947 : Guy Du Merle, Construction des avions, éd. Dunod, 1947, p. 308 et suivantes, construction en bois.
  • Aubreville 1950 : A. Aubreville, Inspecteur Général des Eaux et Forêts de la France d'Outre-Mer, Assistance technique en matière forestière dans les pays tropicaux peu développés, Unasylva, Revue internationale des forêts et des produits forestiers, vol. 4, no 4, octobre-décembre 1950, éd. FAO - L'Organisation des Nations unies pour l'Alimentation et l'Agriculture.
  • Air Pictorial 1955 : Air Pictorial and Air Reserve Gazette, vol. 17, éd. Air League of the British Empire, 1955.
  • Motais 1956 : R. Motais, Projets et prototypes d'hier et d'aujourd'hui. Les Chasseurs Caudron-760, 770 et 780, Les Ailes, no 1565, 28 janvier 1956
  • Green 1960 : William Green, War planes of the Second World War, vol. 1, éd. Macdonald, 1960.
  • J.N. 1969 : J. N., Caudron-Renault CR-714 C1, Aviation magazine international : les ailes, l'air et l'espace, Paris, 15 mars 1969, no 223, p. 80-81, Gallica Bnf [53]
  • Mihaly 1972a : Edouard Mihaly, Les chasseurs légers Caudron-Renault (1), Le Fanatique de l'aviation, no 33, mai 1972, p. 2
  • Mihaly 1972b : Edouard Mihaly, Les chasseurs légers Caudron-Renault (2), Le Fanatique de l'aviation, no 34, juin 1972, p. 2
  • Mihaly 1972c : Edouard Mihaly, Les chasseurs légers Caudron-Renault (3), Le Fanatique de l'aviation, no 35, juillet 1972, p. 2
  • Roux 1972 : Robert Roux, Caudron-Renault C714R, La guerre l'empêcha de faire ses preuves, Le Fanatique de l'aviation, no 36, septembre 1972, p. 7
  • Franco, Lanowski 1972 : Charles Franco et Witold Lanowski, J'ai piloté le Caudron-Renault 714 C-1, Le Fanatique de l'aviation, no 39, décembre 1972, p. 39
  • Green 1974 : William Green, Dimensione Cielo no 23/I p. 13 à 26. Edizioni Bizzarri, Rome 1974.
  • Keskinen, Stenman, Niska et Keskinen 1975 : Kari Stenman, Klaus Niska, Suomen ilmavoimien historia : Morane-Saulnier M.S. 406 & Caudron C: 714 / [piirrokset laat. Teuvo Berggren & Klaus Niska], Suomen Ilmavoimien Historia, vol. 4, éd. Tietoteos Publishing Company, 1975, (ISBN 9519035192), 9789519035192, 111 p.
  • Parrish, Atwood Marshall 1978 : Thomas D. Parrish, Samuel Lyman Atwood Marshall, The Simon and Schuster encyclopedia of World War II, éd. Simon and Schuster, 1978, 767 p.
  • Enzo Angelucci et Paolo Matricardi, Les avions, t. 3 : La Seconde Guerre mondiale - France, Allemagne, Angleterre, etc..., Elsevier Sequoia, coll. « Multiguide aviation », (ISBN 2-8003-0387-5), p. 258.
  • John et Taylor 1981 : Michael John et Haddrick Taylor, Warplanes of the World, 1918-1939, éd. Scribner, 1981, 192 p.
  • Bieganski 1981 : Witold Bieganski, Walki formacji polskich na Zachodzie, 1939-1945,Polski czyn zbrojny w II Wojnie Swiatowej, vol. 2, éd. Wojskowy Instytut Historyczny im. Wandy Wasilewskiej, 1981, (ISBN 8-311-06577-2 et 978-8-311-06577-2), 835 p.
  • Plessier 1984 : Francis Plessier, Une semi-maquette d'un avion français, Le Caudron 714, MRA, no 538 septembre 1984, p. 24-27.
  • Gunston 1986 : Bill Gunston, World Encyclopaedia of Aero Engines, éd. Patrick Stephens, 1986, (ISBN 0-850-59717-X et 978-0-850-59717-2), 185 p.
  • Perrett, Hogg 1989 : Bryan Perrett, Ian V. Hogg, Encyclopedia of the Second World War, éd. Longman, 1989, (ISBN 0-582-89328-3 et 978-0-582-89328-3), 447 p.
  • Käsmann 1990 : Ferdinand C. W. Käsmann, World speed record aircraft, éd. Putnam Aeronautical, 1990, (ISBN 0-851-77844-5 et 978-0-851-77844-0), 241 p.
  • Gunston 1993 : Bill Gunston, World Encyclopaedia of Aircraft Manufacturers: From the Pioneers to the Present Day, éd. Naval Institute Press, 1993, (ISBN 1-557-50939-5 et 978-1-557-50939-0), 336 p.
  • Patrick Facon (préf. Vincent Lanata), L'armée de l'air dans la tourmente : la bataille de France, Paris, Economica, coll. « Campagnes & stratégies » (no 22), , 305 p. (ISBN 2-7178-3319-6 et 2-7178-5047-3, BNF 36695360)
  • Cynk 1998 : Jerzy B. Cynk, The Polish Air Force at war: the official history, vol. 1, Schiffer military history, éd. Schiffer Pub., 1998, (ISBN 0-764-30559-X et 978-0-764-30559-7), 670 p.
  • Collectif Aéro-Club de France 1998 : Collectif de la commission Histoire, Arts et Lettres de l'Aéro-Club de France, Cent ans avec l'Aéro-Club de France - 1898-1998 - no 9669, 1998, éd. ADDIM.
  • Wilson 1998 : Stewart Wilson, Aircraft of World War II, éd. Aerospace Publications, 1998, (ISBN 1-875-67135-8 et 978-1-875-67135-9), 176 p.
  • Ketley 1999 : Barry Ketley, French Aces of World War 2, Osprey aircraft of the aces, vol. 28, éd. Osprey Publishing, 1999, (ISBN 1-855-32898-4 et 978-1-855-32898-3), 96 p.
  • Grzezia 2000 : Thaddée Grzezia, Un épisode de la Campagne de France : les aviateurs polonais à Rochefort (juin 1940), ROCCAFORTIS no 26, septembre 2000, p. 241-243.
  • Fredriksen 2001 : John C. Fredriksen, International Warbirds: An Illustrated Guide to World Military Aircraft, 1914-2000, éd. ABC-CLIO, 2001, (ISBN 1-576-07364-5 et 978-1-576-07364-3), 387 p.
  • Édouard Mihaly, Harry Robinson, Les avions Caudron Renault, Clichy, Larivière, coll. « Docavia » (no 43), , 304 p. (ISBN 2-907051-28-8, BNF 37648939)
  • Garraud 2001 : Garraud Philippe, « L'action de l'armée de l'air en 1939-1940 : facteurs structurels et conjoncturels d'une défaite », Guerres mondiales et conflits contemporains, 2/2001, no 202-203, p. 7-31 - [54]
  • (en) Jon Guttman, SPAD VII aces of World War 1, Oxford, Osprey Aviation, coll. « Osprey aircraft of the aces » (no 39), , 96 p. (ISBN 1-84176-222-9, EAN 978-1-841-76222-7, lire en ligne), p. 96.
  • Guttman 2002 : Jon Guttman, SPAD XII/XIII Aces of World War I, Aircraft of the Aces Series, vol. 47, Osprey aircraft of the aces, vol. 47, éd. Osprey Publishing, 2002, (ISBN 1-841-76316-0 et 978-1-841-76316-3), 96 p.
  • Comas, Ledet 2002 : Matthieu Comas et Michel Ledet, Les chasseurs Caudron CR-714 et dérivés, Avions Hors-série no 11, 2002, 112 p.
  • Rivière 2002 : Pierre-François Rivière, Icare, revue de l'aviation française éditée par le SNPL, no 183, 2002, 1939-40 / La Bataille de France, vol. XVI : les Polonais.
  • Bishop 2002 : Chris Bishop, The Encyclopedia of Weapons of World War II, éd. Sterling Publishing Company, Inc., 2002, (ISBN 1-586-63762-2 et 978-1-586-63762-0), 544 p.
  • Belcarz 2003 : Bartlomiej Belcarz, GC 1/145 in France 1940, ed. Mushroom Model Publications, 2003, (ISBN 83-917178-1-X), 96 p.
  • Belcarz 2004 : Bartlomiej Belcarz, Morane MS 406 C1, Caudron CR 714 C1 Cyclone, Bloch MB 151/152 C1, Polskie Skrzydla, vol. 2, éd. Wydawnictwo Stratus, 2004, (ISBN 8-389-45021-6 et 978-8-389-45021-0), 47 p.
  • Axelrod, Kingston 2007 : Alan Axelrod, Jack A. Kingston Encyclopedia of World War II, vol. 1, éd. H. W. Fowler, 2007, (ISBN 0-816-06022-3 et 978-0-816-06022-1), 924 p.
  • Murphy et McNiece 2008 : Justin D. Murphy, Matthew A. McNiece, Military Aircraft, 1919-1945: An Illustrated History of Their Impact, ABC-CLIO's weapons and warfare series, éd. ABC-CLIO, 2008, (ISBN 1-851-09498-9 et 978-1-851-09498-1), 348 p.
  • Lepage 2009 : Jean-Denis G.G. Lepage Aircraft of the Luftwaffe, 1935-1945: An Illustrated Guide, éd. McFarland, 2009, (ISBN 0-786-45280-3 et 978-0-786-45280-4), 407 p.
  • Roba 2009 : Jean-Louis Roba, Foreign Planes in the Service of the Luftwaffe (1938-1945), éd. Casemate Publishers, 2009, (ISBN 1-848-84081-0 et 978-1-848-84081-2), 223 p.
  • Jackson 2010 : Robert Jackson, The 101 Greatest Weapons of All Times, éd. The Rosen Publishing Group, 2010, (ISBN 1-435-83597-2 et 978-1-435-83597-9), 112 p.
  • Belcarz, Stenman 2010 : Bartlomiej Belcarz, Kari Stenman, Caudron Cr. 714 C1 Cyclone: The Ultimate Story, éd. Wydawncictwo Juszczak Artur Stratus, 2010, (ISBN 8-361-42126-2 et 978-8-361-42126-9), 180 p.
  • Facon 2010 : Patrick Facon, Batailles dans le ciel de France: mai-juin 1940, éd. Galodé, 2010, (ISBN 2-355-93088-0 et 978-2-355-93088-1), 239 p.
  • Berliner 2011 : Don Berliner, Surviving Fighter Aircraft of World War Two: A Global Guide to Location and Types, éd. Casemate Publishers, 2011, (ISBN 1-848-84265-1 et 978-1-848-84265-6), 160 p.
  • Higham 2012 : Robin Higham, Unflinching Zeal: The Air Battles Over France and Britain, May-October 1940, éd. Naval Institute Press, 2012, (ISBN 1-612-51111-2 et 978-1-612-51111-5), 317 p.
  • Stenman, Jong et Davey 2013 : Kari Stenman, Peter de Jong (traduction), Chris Davey (ill.), Fokker D.XXI Aces of World War 2, Aircraft of the Aces Series, vol. 112 de Osprey aircraft of the aces, éd. Osprey Publishing, 2013, (ISBN 1-780-96062-X et 978-1-780-96062-3), 96 p.
  • Gretzyngier 2013 : Robert Gretzyngier, Polish Aces of World War 2, Aircraft of the Aces vol. 21, éd. Osprey Publishing, 2013, (ISBN 1-472-80058-3 et 978-1-472-80058-9).
  • Stenman, Davey 2014 : Kari Stenman, Chris Davey, Morane-Saulnier MS.406 Aces, Aircraft of the Aces, vol. 121, éd. Osprey Publishing, 2014, (ISBN 1-782-00343-6 et 978-1-782-00343-4), 96 p.

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Photographies

modifier
  • Www.aviarmor.net, Caudron-Renault CR.714 “Cyclone” (site russe)
  • Www.luftarchiv.de, deux Caudron C. 714 sous livrée allemande [64] ou Luftarchiv. Beuteflugzeuge. Frankreich. Caudron Renault. Zwei C. 714 [65]
  • Forum.aviation-ancienne.fr
    • Photographies, Caudron - [66] - [67]
    • Installation des mitrailleuses, La Mitrailleuse MAC 34 et sa munition [68]
  • Sur les terrains
    • Odkrywca.pl, Caudron CR.714 (abrité sous hangar) [69]
    • Www.tarmacs.net, Un p'tit tour au CEV dans les années 1950-1960, Le Caudron Renault CR-714 C1 "Cyclone" [70]
  • Exemplaires en France
    • Les réserves du Musée de l'Air, Caudron C.714 R no 01 [71]
    • Photographies du Caudron Renault CR.714 no 5 (I-195) n/c 8537?, localisation : Ailes Anciennes, Le Bourget (Dugny) [72]
  • Exemplaire en Finlande
    • Archiwum.plastikowe.pl, Caudron C.714 Cyclone [73]
    • Air Britain, Caudron CR.714 Cyclone, CA-556, Paijat-Hame Aviation Museum [74]
    • Invisionfree.com, Caudron CR714: part I [75]

Dessins

modifier
  • Vues du Caudron C. 714 et d'avions français à l'échelle (Bas de la page): AILES LEGENDAIRES, AVIATION DE COMBAT (Le 8 mai 1940), Caudron Renault CR-714 Cyclone - [76]
  • Caudron Cr.714 Cyclone drawings download - [77]