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Arveyres

commune française du département de la Gironde

Arveyres est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Arveyres
Arveyres
La mairie.
Blason de Arveyres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
Maire
Mandat
Bernard Guilhem
2020-2026
Code postal 33500
Code commune 33015
Démographie
Gentilé Arveyrais
Population
municipale
2 029 hab. (2021 en évolution de +5,13 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 06″ nord, 0° 16′ 56″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 41 m
Superficie 17,27 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Libournais-Fronsadais
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Arveyres
Géolocalisation sur la carte : France
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Arveyres
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Arveyres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Arveyres
Liens
Site web arveyres.com

Géographie

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Localisation

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Arveyres se situe dans l'Entre-deux-Mers, en rive gauche de la Dordogne, dans l'aire d'attraction de Bordeaux et son unité urbaine, ainsi que dans la communauté d'agglomération du Libournais membre du Pays du Libournais. Le nord de son territoire est enveloppé par la boucle que forme la Dordogne, méandre lui-même entouré par les deux boucles autour de Fronsac et Libourne sur la rive opposée.

Arveyres se trouve sur la ligne Paris - Bordeaux et est accessible par l'autoroute A89 sortie no 8 et par la route nationale 89. Le viaduc des Barrails et le viaduc du Mascaret, traversés par l'autoroute, se situent sur la commune, ainsi que le viaduc ferroviaire d'Arveyres.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Fronsac, Cadarsac, Génissac, Libourne, Nérigean, Saint-Germain-du-Puch et Vayres.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 856 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 10,08 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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La Dordogne au port d'Arveyres.

Natura 2000

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La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Arveyres[9],[10]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[11].

Arveyres fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[12],[13], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[14].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Arveyres est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[17]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,6 %), prairies (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,2 %), eaux continentales[Note 4] (11,1 %), zones urbanisées (9,4 %), terres arables (2,7 %), forêts (0,4 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Arveyres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[23]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999, 2009 et 2021[25],[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arveyres.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 872 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 872 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d'affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 5] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[29]. À ce titre elle est susceptible d'être touchée par l'onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

Toponymie

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Le toponyme est documenté sous les formes latines Arveriis (1096), Arberiis (1235) ou romanes Arveyras (1362)… Le radical historique est donc arveri- / arberi-. La prononciation gasconne est [arˈβɛjrəs][31].

Histoire

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Il faut attendre la fin du XIe siècle pour que le lieu d'Arveyres apparaisse pour la première fois dans les textes. En 1092, Audenode, mère de Vigouroux de Gombaud, Seigneur de Vayres fait donation à l'abbaye de Saint-Jean d'Angély en Saintonge de son aleu d'Arveyres[32]. En 1170, la paroisse de Saint-Pierre d'Arveyres devient la propriété de l'ordre des Templiers de Saint-Jean de Jérusalem sur donation de Bertrand de Montaut, archevêque de Bordeaux[33]. Ces derniers y établissent la commanderie d'Arveyres au nord de la commune dont les ruines de la Maison Forte sont encore visibles. Le territoire d'Arveyres fut revendiqué à plusieurs reprises par les seigneurs de Vayres ainsi que par de nombreux monastères alentour (abbaye de Fayse, abbaye de la Sauve-Majeur...). La plaine d'Arveyres était un marais qui fut asséché au XVIIe siècle.

Politique et administration

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La commune d'Arveyres appartient à l'arrondissement de Libourne. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Libourne supprimé au nouveau canton du Libournais-Fronsadais[34],[35]. Arveyres fait également partie de la communauté d'agglomération du Libournais membre du Pays du Libournais.

Liste des maires

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1875   Jean Beylot   Négociant
1977 1995 Claire Jost    
mars 1995 2008 Yves Videau    
mars 2008 2014 Benoit Gheysens    
mars 2014 En cours
(au 30 avril 2014)
Bernard Guilhem UDI Retraité

Démographie

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Les habitants d'Arveyres sont appelés les Arveyrais[36].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 2 029 habitants[Note 6], en évolution de +5,13 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3781 2151 3831 3281 3771 4081 3251 4172 120
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4151 4781 4861 4791 4461 4741 4891 5401 566
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6391 6451 6391 6401 5291 5391 5181 5751 664
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 6051 7261 7571 8491 8191 6241 7891 8831 947
2021 - - - - - - - -
2 029--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Le territoire des communes de Vayres et d'Arveyres constitue, au sein du vignoble de l'Entre-deux-Mers, l'aire de production du graves-de-vayres, vin d'appellation d'origine contrôlée[41].

 
Commanderie d'Arveyres, février 2006.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Béatrice Chatelier est une actrice née en 1951 dans la commune.

Héraldique

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Blason de {{{commune}}}  Blason
D'azur à la lettre oméga capitale de sinople* chargée de deux aloses d'argent, l'une descendante à dextre et l'autre montante à senestre, encadrant en abîme une croix nouée et potencée de gueules*, le tout soutenu d'une grappe de raisin de pourpre tigée et feuillée de deux pièces aussi de sinople*.
Détails
Ces armes sont héraldiquement fautives : elles enfreignent la règle de contrariété des couleurs.
Officiel, présent sur le site internet de la commune

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Arveyres et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  10. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  11. Espèces, INPN, consulté le .
  12. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  13. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  14. Espèces, INPN, consulté le .
  15. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Arveyres », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arveyres », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. Article R214-112 du code de l’environnement
  29. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  31. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 47..
  32. (la) Cartulaire de Saint-Jean d'Angely.
  33. A.D Haute-Garonne, H Malte Bordeaux 26 n°1
  34. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
  35. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du Conseil départemental de la Gironde
  36. Nom des habitants d'Arveyres sur habitants.fr
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Cahier des charges de l'appellation graves-de-vayres