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Villey-le-Sec

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Villey-le-Sec
Villey-le-Sec
Vue du village enserré dans le fort.
Blason de Villey-le-Sec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Gilles Guyot
2020-2026
Code postal 54840
Code commune 54583
Démographie
Gentilé Trabecs, Trabèques[1]
Population
municipale
418 hab. (2021 en évolution de +0,97 % par rapport à 2015)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 35″ nord, 5° 58′ 39″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 340 m
Superficie 6,4 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Toul
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Villey-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : France
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Villey-le-Sec
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
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Villey-le-Sec
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Villey-le-Sec

Villey-le-Sec [vilɛ lə sɛk] est une commune française de Lorraine, située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie

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Le village est situé non loin de Nancy, dans le Toulois sur les boucles de la Moselle.

La route principale du village rejoint Dommartin-lès-Toul à Maron.

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 636 hectares comprend en 2011, plus de 54 % de terres arables et de prairies, 22 % de forêt et près de 11 % de surfaces en eau, 10 % de surfaces agricoles diverses et près de 5 % de zones industrielles et urbanisées[2]. Le bourg à l'aspect typique d'un village-tas de lorraine.

Le territoire est arrosé par la Moselle et son canal à grand gabarit sur environ 4 km[3]. (Fig. 1)

Fig. 1 - Villey-le-Sec (ban communal).

Hydrographie

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La commune est dans le bassin versant du Rhin, au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle et la Moselle canalisée[4],[Carte 1].

La Moselle, d'une longueur totale de 560 kilomètres dont 314 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[5].

La Moselle canalisée est un canal, chenal non navigable de 135 km qui relie la commune de Dieulouard à celle de Kœnigsmacker où il se jette dans la Moselle[6].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Villey-le-Sec[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Villey-le-Sec est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), forêts (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), eaux continentales[Note 4] (11,3 %), zones urbanisées (5,3 %), prairies (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le toponyme apparaît pour la première fois en 836 sous la forme Vitiliagus, puis Vitilacus en 869, et Videliacum au XIIe siècle : il est composé de l'anthroponyme latin Vitellius et du suffixe -acum. Ce type de toponyme est caractéristique de l'Antiquité tardive[19].

Le qualificatif le Sec, qui rappelle la situation sur un plateau, à l'écart des cours d'eau, apparaît en 1369.

Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Villey-la-Montagne[20].

On a découvert des sépultures du Néolithique sur le territoire de la commune[21].

« Lors de la construction de la redoute de Chaudeney, en 1875, on découvrit, sous 0 m. 80 de terre, quatre bracelets de bronze et une épingle, au milieu de débris de bois et de charbons (F. Barthélemy)[22]. »

La datation de cette sépulture correspondrait au Halstatt final, d’après l'article de la Carte archéologique de Gaule, département 54[23]. La redoute de Chaudeney se trouve dans les faits, sur le ban de la commune de Villey-le-Sec[24]. En 1900, dans le bois communal, ont été découverts deux tumulus fouillés en 1904. Ces découvertes relatées par J. Beaupré sont aujourd’hui mises en relation avec des habitats de plateau antérieurs à la conquête romaine de la gaule, comme correspondant à des restes de nécropoles liées à ces occupations[25].

Le village est créé au VIIe siècle, par des moines venus de Toul. Il est une dépendance du chapitre de la cathédrale Saint-Étienne de Toul jusqu'au XVIIIe siècle[26].

En , le Jacobite Pierre André O'Heguerty, ancien premier conseiller au commandement suprême de l'Île Bourbon, son directeur général du commerce, membre de l'Académie Stanislas depuis sa fondation en 1750 et dont il deviendra sous-directeur puis directeur, achète la seigneurie de Villey-le-Sec. Cet homme sera tour à tour avocat, corsaire, armateur, spécialiste dans la finance, écrivain, et espion au service des rois Stuart en exil[27],[28]. Il recevra le jeune prétendant au trois trônes d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande, Charles Edwdard Stuart dans son château de Villey-le-Sec. Son fils, Charles Daniel O'Heguerty, ruiné, vendra la seigneurie un peu avant la Révolution à François Louis Vallet de Bain, qui est Grand Maître des Eaux et forêts de France.

Le fort de Villey-le-Sec est un ensemble de fortins et de casemates construit dans les années 1874-1879, représentant une surface de 40 000 m2. Il avait la particularité de fortifier le village dans son ensemble.

Une partie du village a été détruite à la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'église a été reconstruite en 1955.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001   Claude Prévot    
juillet 2005 mars 2014 Michel Colin    
mars 2014 octobre 2018 Dominique Perrin    
novembre 2018 mai 2020 Jean-Marie Hornut    
mai 2020 En cours Gilles Guyot[29]    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 418 habitants[Note 5], en évolution de +0,97 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
266337344364396420425456428
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
401418378741566666640759804
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
918680279263264239193161216
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
162214233239340399405416414
2020 2021 - - - - - - -
420418-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

E. Grosse évoque, dans son ouvrage, l'économie rurale et viticole du village au XIXe siècle en ces mots : « 618 hect. dont 350 en labours, 40 en bois, 41 en Près et 82 en vignes, dont les produits sont assez estimés[33].(cf. carte historique du vignoble lorrain) »

Secteur primaire ou Agriculture

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Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[34]), la commune de Villey-le-Sec était majoritairement orientée[Note 6] sur la production de céréales et d'oléagineux sur une surface agricole utilisée[Note 7] d'environ 160 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en hausse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est renforcé de 37 à 59 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus qu' 1 exploitation agricole ayant son/leur siège dans la commune employant 2 unités de travail[Note 8],(3 exploitations/ 2 unités en 1988) ce qui place cette commune parmi celles ou l'activité agricole faible se maintenait malgré tout.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Batterie Sud.

Équipements culturels

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Villey-le-Sec Blason
D'azur à la bande cousue de gueules chargée de la lettre capitale V entre une tête de crosse en chef et une croix de Lorraine en pointe, le tout d'or et posé à plomb, accompagnée en chef d'une tour d'argent, et en pointe d'une église de même.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur. La crosse symbolise l'évêché de Toul et la croix le duché de Lorraine[36].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
  • Chollet J. (2015) - Les O'Heguerty, francs-maçons, agents secrets à la cour du roi Stanislas, Ed.Gérard Louis, Haroué, 224 p.
  • Chollet J. et Andriot C. (2016) - Les Mystères de la franc-maçonnerie à Lunéville, Ed. Gérard Louis, Haroué, 368 p.
  • Jolin R. et Uriot J.-P. (1981) - « Villey-le-Sec, un village du Toulois à travers les âges », Études touloises, no 22 p. 1-17, p. 18-36, p. 37-49 et p. 50-64 et no 24 p. 65-80, p. 81-93 et p. 94-99, Cercle d'études locales du Toulois, Toul

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  7. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  8. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  1. « Réseau hydrographique de Villey-le-Sec » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  3. « La moselle [A---0060] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Villey-le-Sec », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « la Moselle »
  6. Sandre, « la Moselle canalisée »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Villey-le-Sec et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villey-le-Sec ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Si Chaligny m’était conté... L’histoire avant l’histoire
  22. Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 44.
  23. « Carte archéologique de la Gaule, 54. Meurthe et Moselle », sur lcdpu.fr (consulté le ).
  24. J. Beaupré, « Les tumulus hallstattiens à sépultures marniennes superposées de Chaudeney (Meurthe-et-Moselle) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 1, no 9,‎ , p. 311–318 (DOI 10.3406/bspf.1904.11298, lire en ligne, consulté le ).
  25. Sylvie DEFFRESSIGNE et Marie-Pierre KOENIG (Inrap) UMR 7044, Promenade archéologique dans la boucle de la Moselle à l’âge du Fer (lire en ligne).
  26. Lepage, Henri, 1814-1887., Le Département de la Meurthe : statistique historique et administrative, Paris, Berger-Levrault, , 725 p. (ISBN 2-7013-0186-6 et 9782701301860, OCLC 5891314, lire en ligne), p. 613

    « Villey-le-Sec, qui faisait anciennement partie du domaine de l'évêque de Toul, fut donné au chapitre de la cathédrale de cette ville, par l'évêque Ludelme, en 898. »

    .
  27. CHOLLET Jack, Les O'Heguerty, francs-maçons, agents secrets à la cour de Stanislas., Haroué 54740, Gérard Louis, , 220 p. (ISBN 978-2-35763-085-7).
  28. CHOLLET Jack et ANDRIOT Cédric, Les Mystères de la Franc-maçonnerie à Lunéville : enquête sur la franc-maçonnerie, de la première loge en Lorraine ducale du XVIIIe siècle à nos jours, Haroué 54740, Gérard Louis, , 363 p. (ISBN 978-2-35763-098-7).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 576.
  34. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  35. Antoine de (1866-1958) Auteur du texte Mahuet, Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine : ouvrage orné de 10 portraits, 8 planches et 195 blasons : par le Cte A. de Mahuet,..., (lire en ligne), p. 47.
  36. « U.C.G.L. les blasons de Meurthe et Moselle », sur genealogie-lorraine.fr via Wikiwix (consulté le ).