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Viviers-le-Gras

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Viviers-le-Gras
Viviers-le-Gras
La fontaine publique.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau[1]
Intercommunalité Vosges Côté Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jacques Lemarquis
2020-2026
Code postal 88260
Code commune 88517
Démographie
Gentilé Vivarois, Vivaroises
Population
municipale
189 hab. (2021 en évolution de −1,56 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 07′ 33″ nord, 5° 56′ 27″ est
Altitude 36 m
Min. 293 m
Max. 455 m
Superficie 9,04 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Vittel - Contrexéville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Darney
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Viviers-le-Gras
Géolocalisation sur la carte : France
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Viviers-le-Gras
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Viviers-le-Gras
Géolocalisation sur la carte : Vosges
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Viviers-le-Gras

Viviers-le-Gras est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Vivarois.

Géographie

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Localisation

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La commune est située à 9 km au sud de Contrexéville par le col du Haut de Salin (403 m). Le Gras désigne aussi l'affluent droit de la Saône qui y prend sa source.

Géologie et relief

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Espaces naturels[2],[3] :

Ruisseaux Le Sicherey et le Zouneau à Provenchères-lès-Darney,
Vôge et Bassigny.

Commune située dans une zone 2 de sismicité faible[4].

Hydrographie et les eaux souterraines

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Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Réseau hydrographique

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La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse et pour partie dans le le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par la Mause, le Sicherey et le Zouneau[5],[Carte 1].

La Mause, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Gignéville et se jette dans la Saône à Monthureux-sur-Saône, après avoir traversé cinq communes[6].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Viviers-le-Gras[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 2] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[7].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Viviers : du latin vivarium (« vivier »)[8].

Lors de la guerre de Trente Ans, les Suédois, venus par l’Alsace en 1635, assiégèrent le village voisin de Saint-Baslemont, incendièrent Nonville et pillèrent Bleurville[9]. Les Vivarois s’enfuirent et vécurent plus d’un an dans les forêts avoisinantes, sous les roches. En 1637, les Suédois détruisirent le village avant de repartir. Le village fut reconstruit dans la vallée.

Une épidémie de peste s’est déclarée en France en 1720. La maladie s’étendit dans tout l’arrondissement de Mirecourt et atteignit Viviers où l’on déplora de nombreux décès. Par crainte de la contagion les habitants de Viviers enterrèrent leurs morts en dehors du cimetière, à côté de la forêt, cet endroit prit le nom de Champ des morts[10].

Lors de l'épidémie de choléra qui ravagea la France au milieu du XIXe siècle, on dénombra 32 victimes à Viviers pour la seule année 1854.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1935 1939 André Garnier   Mobilisé en 1939 puis fait prisonnier
  mars 1988 André Garnier   Député (1951-1956)
mars 1988 janvier 2008 Gabriel Perrin   Scieur de bois (1926-2008)
Décédé au cours de mandat
mars 2008 avril 2014 Jean-François Durand    
avril 2014 2020 Bruno Belgeri    
juin 2020 En cours Jacques Lemarquis   [11]

Budget et fiscalité 2022

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La mairie.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[12] :

  • total des produits de fonctionnement : 122 000 , soit 589  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 111 000 , soit 542  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 20 000 , soit 97  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 38 000 , soit 186  par habitant ;
  • endettement : 153 000 , soit 748  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 18,91 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 46,41 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 22,36 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 410 [13].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 968 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lignéville », sur la commune de Lignéville à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 3],[17],[18].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Au , Viviers-le-Gras est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[22]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,1 %), prairies (33,1 %), terres arables (27,5 %), zones urbanisées (4,2 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Par délibération du 09 Février 2021, les 60 communes de la Communauté de Communes des Vosges Côté Sud-Ouest (CCVCSO) se sont engagées dans l'élaboration d'un Plan local d'urbanisme intercommunal valant Programme local de l'habitat (PLUI-H)[26],[27].

Plan paysage de la communauté de communes : Agriculture et sylviculture.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
  • Culture et élevage associés.
  • Culture de fruits à pépins et à noyau.
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Exploitation forestière.
  • Hébergements et restauration à Contrexéville, Vittel, Dombasle-devant-Darney, Monthureux-sur-Saône, Bulgnéville, Claudon, Gironcourt-sur-Vraine, Châtenois.
  • Chambres d'hôtes
  • Commerces et services de proximité.
  • Carrière de grès ornemental du « Haron »[28].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 189 habitants[Note 5], en évolution de −1,56 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
383430440466466480473457356
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
344335335302287270261246247
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
234208194187183166174200227
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 -
203192200185167183198189-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignement[33] :

  • école maternelle[34]  ;
  • école primaire de Provenchères-lès-Darney ;
  • collèges de monthureux sur Saône ;
  • lycées le plus proche Contrexéville.

Professionnels et établissements de santé[35] :

  • Médecins à Contrexéville, Vittel, Martigny-les-Bains, Darney, Monthureux-sur-Saône, Bulgnéville, Lamarche, Remoncourt, Lerrain, Mont-lès-Lamarche, Vrécourt.
  • Pharmacies à Contrexéville, Vittel, Martigny-les-Bains, Darney, Monthureux-sur-Saône, Bulgnéville.
  • Hôpitaux à Vittel, Lamarche, Ville-sur-Illon.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église[37] comporte une partie romane du XIIe siècle (le clocher) et le reste de style gothique flamboyant de la fin du XVe siècle et du début du XVIe siècle. Le trésor sacré a été saisi au dépouillement de l'an II et comportait principalement des vases d'argent. Elle a été édifiée en l'honneur de saint Élophe, patron de la paroisse. À l’extérieur de l'église, au-dessus de la porte latérale, un cadran solaire a été tracé à une hauteur d'environ trois mètres.On peut remarquer l'inscription de la date : 1687, et des lettres : P.A.R.I.M.
En 1936, l'abbé Cascaret, curé de la paroisse, fit transporter deux statues, provenant de la cour du presbytère, de chaque côté de la porte latérale de l'église. L'une, en pierre dure, représente la Vierge et date du XIVe siècle ; la seconde représente saint Élophe, elle fut sculptée en 1600. En 1983, on déplora la disparition de la statue de la Vierge ; par mesure de sécurité, on décida d'installer l'autre statue à l'intérieur de l'église[38].
  • La chapelle est la réplique de celle du Haut du Roc. La première messe fut célébrée le dimanche par l'abbé Daval. Cette chapelle fut construite à côté de magnifiques fontaines datant du XVIIIe siècle. Vendue par la commune en 2019, elle nécessite des travaux urgents de rénovation[39],[40].
  • Fontaines et lavoirs[41],[42],[43].
  • Le moulin du bas[44] : Au début du XXe siècle, son propriétaire, M. Rouvenach, entreprit des transformations dont il pensait faire profiter son fils, mais seulement la guerre de 1914-1918 allait en décider autrement. Son fils ayant été tué au combat, il décida de mettre en gérance son moulin pendant plusieurs années, après quoi il le vendit.
  • Le moulin du Haut : Son dernier propriétaire fut Ernest Rodier. Comme il n'avait pas de descendance masculine pour reprendre la meunerie, il ne fit pas de modernisations à son moulin et arrêta à sa retraite en . Après son décès, sa veuve quitta le moulin pour vivre dans le village. Le moulin inhabité se détériora et s'effondra petit à petit. En face, un bâtiment qui avait été construit plus tard pour servir aux animaux a été racheté par M. Ribière, qui l'a entièrement aménagé en une magnifique demeure.
  • Fermes et maisons d'ouvriers : Datées de 1714, de 1779 ou du XIXe siècle, 26 maisons figurent dans la base Mérimée du ministère de la Culture, enquête thématique régionale (architecture rurale de Lorraine : Vôge méridionale)[45].
  • Monument aux morts[46] : Conflits commémorés 1870-1871 et 1914-1918.

Personnalités liées à la commune

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  • André Garnier, maire, conseiller général et député.
  • Ernest Albert, Capitaine au 13e escadron du train des équipages militaires[47],[48].

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La ligne de partage des eaux entre le le bassin versant de la Meuse et le bassin versant de la Saône est représentée par une ligne verte en tirets-points.
  2. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Viviers-le-Gras » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Changement de département ou d'arrondissement pour les communes du département des Vosges de 1930 à 2013, sur le site de l'Insee. Consulté le 14 janvier 2014.
  2. Biodiversité
  3. Plan paysage. Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne
  4. Informations sur les risques naturels et technologiques
  5. « Fiche communale de Viviers-le-Gras », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  6. Sandre, « la Mause »
  7. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. Étymologie
  9. guerre de Trente Ans
  10. Généralités historiques
  11. Mairie, sur www.amf.asso.fr/
  12. Les comptes de la commune
  13. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Viviers-le-Gras et Lignéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  21. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Viviers-le-Gras ».
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. Plan Local d'Urbanisme Intercommunal (PLUI-h) / Projet de territoire)
  27. Parcelle couverte par le Plan local d'urbanisme (PLUi) des Vosges Côté Sud Ouest partie A. Patrimoine bâti, paysager ou éléments de paysages à protéger pour des motifs d'ordre culturel, historique, architectural ou écologique
  28. Carrière de grès ornemental du « Haron ». Communes de Viviers-le Gras et Provenchères-lès-Darney
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Établissements d'enseignements
  34. École maternelle
  35. Professionnels et établissements de santé
  36. Paroisse Saint-Basle-de-la-Plaine
  37. Église Saint-Elophe : Façade ouest et clocher
  38. Monographie communale. Enquête sur les antiquités, monuments, objets mobiliers, curiosités naturelles et sites pittoresques.
  39. Chapelle de Viviers-le-Gras : restauration, effondrement… quel devenir pour sa toiture ?, Vosges Matin, 19 janvier 2022
  40. Vosges Côté "Qualité résidentielle, patrimoniale et architecturale". Le constat : un patrimoine bâti ancien nécessitant des rénovations et une remise en état
  41. Fontaine - lavoir - abreuvoir, sur inventaire-strasbourg.grandest.fr/
  42. Lavoir
  43. Fontaine-Lavoir à Viviers-le-Gras
  44. Les évènements marquants à travers les temps
  45. « fermes et maisons d'ouvrier de la commune de Viviers-le-Gras », notice no IA88000918, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Nos ancêtres dans la grande guerre
  47. Dictionnaire biographique des Vosges, Henri Jouve
  48. Historique du 13e escadron du train des équipages militaires : campagne 1914-1918