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Rosny-sous-Bois

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Rosny-sous-Bois
Rosny-sous-Bois
L'ancienne mairie.
Blason de Rosny-sous-Bois
Blason
Rosny-sous-Bois
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-Saint-Denis
Arrondissement Le Raincy
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris - Grand Est
Maire
Mandat
Jean-Paul Fauconnet (LR)
2020-2026
Code postal 93110
Code commune 93064
Démographie
Gentilé Rosnéens
Population
municipale
45 655 hab. (2021 en évolution de +2,07 % par rapport à 2015)
Densité 7 725 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 23″ nord, 2° 29′ 07″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 116 m
Superficie 5,91 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Montreuil-1
Législatives 8e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Rosny-sous-Bois
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Rosny-sous-Bois
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Rosny-sous-Bois
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Rosny-sous-Bois
Liens
Site web rosnysousbois.fr

Rosny-sous-Bois [ʁonisubwɑ][1] est une commune française située en Île-de-France, à l'est de Paris, dans le département de la Seine-Saint-Denis.

Géographie

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Description

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Située à l'est de Paris, à 12 km du centre de la capitale et à 6 km de la porte de Bagnolet, la ville s'étend sur une vallée et les flancs de deux plateaux, dont celui d'Avron.

La ville est située dans le Sud de la Seine-Saint-Denis et est limitrophe du Val-de-Marne avec Fontenay-sous-Bois. Par la route, l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle est situé à 18 km au nord-est, tandis que l'aéroport de Paris-Orly est situé à 23 km au sud-ouest.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bondy, Montreuil, Neuilly-Plaisance, Noisy-le-Sec, Villemomble et Fontenay-sous-Bois.

Hydrographie

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Sur l'un des flancs du coteau, une petite rivière, le ru du Moleret, prend sa source à Rosny, puis devient la Molette avant de se jeter dans le Rouillon à Dugny. En raison de l'urbanisation du secteur, cette rivière a été busée et n'apparaît plus au niveau du sol. Le territoire est également drainé, vers la Marne, par l'ancien ru de la Fontaine du Vaisseau. L'aqueduc de la Dhuis traverse également le territoire communal.

Transports et déplacements

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Rosny-sous-Bois est traversée par l'A86 et l'A3, qui sont accessibles par l'échangeur de Rosny. La ville hébergeait le Centre national d'information routière, chargé d'informer les automobilistes sur les conditions de circulation, jusqu'à sa fermeture en 2016.

Deux gares de la ligne E du RER desservent la ville :

Trois stations de la ligne 11 du métro de Paris desservent la ville :

La commune de Rosny-sous-Bois est desservie par de nombreuses lignes du réseau de bus RATP. La ville possède également le réseau de bus Titus, aux dessertes exclusivement intracommunales.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 653 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E
Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 1,9 4 6,2 9,8 13,1 15,1 14,7 11,2 8,5 5 2,6 7,8
Température moyenne (°C) 4,9 5,4 8,5 11,5 15,1 18,4 20,7 20,4 16,6 12,7 8,1 5,4 12,3
Température maximale moyenne (°C) 7,7 9 13,1 16,8 20,4 23,8 26,2 26,2 22 16,9 11,3 8,1 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−17
17.01.1985
−12,5
08.02.1991
−9,5
13.03.13
−4,3
06.04.21
−0,6
06.05.19
4
04.06.01
7,5
31.07.15
5
30.08.1986
1,5
30.09.18
−4,5
30.10.1997
−8,7
24.11.1998
−8,9
29.12.1996
−17
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,6
28.01.02
21,4
27.02.19
26,9
31.03.21
29,9
20.04.18
33,1
27.05.05
38,3
27.06.11
42,5
25.07.19
40,5
12.08.03
36,3
08.09.23
29,7
03.10.11
22,5
08.11.15
18
07.12.00
42,5
2019
Précipitations (mm) 57,7 50,6 51,5 50,2 72,4 62,4 64,4 60,4 52,2 60,5 62,8 76,1 721,2
Source : « Fiche 93050001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Rosny-sous-Bois est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

La ville de Rosny-sous-Bois compte 4 quartiers :

  • Centre-Ville - Plateau d'Avron - Beauséjour : situé au centre et à l'est de la ville. Le centre-ville comprend de nombreux commerces, la mairie de la ville et une piscine municipale ainsi qu'un conservatoire, un théâtre/cinéma et une fabrique artistique et numérique. Le Plateau d'Avron est essentiellement un quartier pavillonnaire et abrite un complexe sportif ainsi que l'École Nationale des Arts du Cirque. Beauséjour est un quartier pavillonnaire au nord-est de la ville.
  • Marnaudes - Bois Perrier : situé au nord de la ville. Ce quartier est connu pour y abriter un des plus grands centre-commerciaux français, Westfield Rosny 2. Le quartier est essentiellement résidentiel puis également industriel avec la Zone d'Activités Montgolfier au nord de la ville.
  • La Boissière-Côteaux Beauclair : situé à l'ouest de la ville. Ce quartier abrite le deuxième plus important centre-commercial de la commune, le centre commercial Domus ainsi que le golf, des hôtels ainsi que plusieurs quartiers résidentiels.
  • Rosny Sud : situé au sud et sud-est de la ville. Ce quartier est exclusivement résidentiel, et abrite quelques boutiques, plusieurs établissements scolaires et un marché. Rosny-Sud comprend les quartiers de la Justice, des Boutours ou encore du Pré-Gentil.
Logements[13] Nombre en 2007 % en 2007 nombre en 2012 % en 2012 nombre en 2017 % en 2017
Total 17 701 100 % 18 304 100 % 20 598 100 %
Résidences principales 16 664 94,1 % 17 080 93,3 % 18 826 91,4 %
→ Dont HLM 2 719 16,3 % 3 802 22,3 % 4586 24,4 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
125 0,7 % 75 0,4 % 280 1,4 %
Logements vacants[Note 4] 911 5,1 % 1 149 6,3 % 1 493 7,2 %
Dont :
→ maisons 3 650 20,6 % 3 610 19,7 % 3 747 18,2 %
→ appartements 13 861 78,3 % 14 442 78,9 % 16 768 81,4 %

Rosny-Sous-Bois comporte plusieurs ensembles de logements sociaux et, depuis 2006, connaît de nombreuses destructions d'immeubles des années 1960 pour reconstruire de nouveaux immeubles résidentiels neufs, dans divers quartiers de la ville. La même année, le nouveau quartier Les Portes de Rosny était en construction.

Malgré ces démolitions, un effort soutenu de construction de nouveaux logements entre 2007 et 2017, essentiellement des appartements, permet à la ville de presque atteindre ses obligations en matière de taux de logements social issues de la Loi SRU, ce qui était loin d'être le cas en 2008[14]. Toutefois la croissance du nombre de logements vacants sur la même période amène à s'interroger sur l'adéquation du parc de logements aux besoins de la population.

Panneau d'entrée dans Rosny depuis Fontenay-sous-Bois.

Le lieu est connu sous divers noms selon l'époque : Redomatum, Rodoniacum en 1163 ; Rooneio, Roonio, Rodonio au XIIIe siècle ; Rosny en 1344 ; Rooniaco au XVe siècle ; Rôni en 1740[15].

Au XVIIIe siècle, apparaît la mention « sous le bois » ou « sous le bois de Vincennes » ; le nom actuel de « Rosny-sous-Bois » est pris officiellement en 1897[16].

Rosny sur la Carte des Chasses du Roi (vers 1764-1774).

L'existence d'un village mérovingien est attestée par des fouilles menées à côté de l'église Sainte-Geneviève.

En 1163, une bulle du pape Alexandre III fait mention de Rodoniacum : « l'église avec le village autour » ainsi que la terre appartenaient à l'abbaye de Sainte Geneviève. L'abbé de Sainte-Geneviève devait, chaque année, donner au roi six oies blanches pour le fief que le domaine royal avait à Rosny[17]. Selon un manuscrit de 1291, Les Miracula sanctae Genovefae post mortem relatent qu’en 866, les religieux qui rapportent les reliques de sainte Geneviève de Marizy (Aisne), où la châsse de la sainte avait été abritée en 861 pour la soustraire aux Normands, s’arrêtent à Rosny-sous-Bois.

La commune se dote dès 1834 d'une salle d'asile, la première dénomination de ce qui deviendra les écoles maternelles[18].

La Redoute de la Boissière est édifiée en 1831 et constituait un des éléments de la défense de Paris. Pendant la guerre franco-allemande de 1870, la redoute est utilisée durant le siège de Paris[19] et le plateau d'Avron a été un des hauts lieux de la défense de Paris.

Le Fort de Rosny, construit de 1840 à 1846, est l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers qui protégeaient la capitale

La première gare desservit la commune à partir de 1856. En 1912 elle fut remplacée par le bâtiment actuel.

La ligne Paris-Mulhouse est mise en service en 1852, et une première gare dessert Rosny en 1856[Note 5]. Dans les dernières années du XIXe siècle, Rosny était desservie par une petite vingtaine de trains dans chaque sens, mettant la commune à 25 minutes de Paris.

Historiquement la ville s'est développée par ses cultures maraîchères et par l'exploitation du gypse. À la fin du XIXe siècle, 487 hectares sont encore cultivés, sur les 629 que compte la commune[20] :

En 1894, la commune engage la construction de l'école du centre sur un terrain acquis de la Compagnie des chemins de fer de l'Est pour remplacer l'équipement précédent qui n'avait que deux classes. En 1904 l'école est agrandie d'une aile pour les filles ainsi que de locaux pour l'école maternelle[18].

Cultures à la fin du XIXe siècle Surface (en hectares) Culture Surface (en hectares)
Froment 9 ha Avoine 15 ha
Haricots 10 ha Pomme de terre 55 ha
Carottes 12 ha Choux 110 ha
Asperges 50 ha Oignons, poireaux 28 ha
Oseille, persil 22 ha Chicorée, pissenlit 36 ha
Autres légumes 17 ha Luzerne 8 ha
Autres fourragères 6 ha Pommiers, poiriers 37 ha
Pêchers, abricotiers 3 ha Pruniers, cerisiers 7 ha
Framboisiers, cassissiers, groseilliers 9 ha Cultures maraîchères 8 ha
Cultures familiales 5 ha

Les carrières de gypse sont exploitées dès au moins 1640 dans le secteur de la rue Rochebrune. Cette exploitation a pris fin au début des années 1990., mais laisse des séquelles qui ont fait s'effondrer plusieurs habitations qui se trouvaient au-dessus. Il reste une entrée des carrières de gypse dans le parc Jean-Decesari.

Le Fort de Rosny a abrité entre 1901 et 1920 le 5e bataillon du 4e régiment de zouaves[21], et abrite depuis 1921 le Centre technique et scientifique ainsi que d'autres services de la gendarmerie nationale[22]. La rue du 4e-Zouaves leur rend hommage.

Rosny est desservie au débit du XXe siècle par trois lignes de tramways exploités par la compagnie des Chemins de fer nogentais :

Ces lignes sont transformées en lignes d'autobus entre 1935 et 1937.

Afin de satisfaire aux besoins de logements de la commune, en pleine expansion, un office public d'habitations à bon marché est créé par décret, à la demande de la Ville, le . Sa première réalisation est un ensemble de 6 bâtiments de 6 étages, l'actuelle résidence du Général-Leclerc, inauguré en 1933. En , quelques dizaines de familles gitanes s'installent sur les contreforts de la Redoute de la Boissière. Petit à petit, elles s'y sédentariseront et le campement deviendra plus important et moins précaire, engendrant parfois des relations un peu tendues avec le voisinage.

La Redoute est détruite en 1966 et son site réutilisé par des tours de logement.

En août 1971 débute la construction du centre commercial Rosny 2. « À l'époque de son inauguration, Rosny 2 fut considéré comme le premier centre commercial de l'Est parisien par rapport à son volume, son architecture, ainsi qu'à la présence conjuguée de 2 grands magasins que sont La Samaritaine et le B.H.V »[23].

Politique et administration

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L'hôtel de ville.

Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du [24], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif au . Rattachée initialement à l'arrondissement de Bobigny, la commune est intégrée à l'arrondissement du Raincy par un arrêté du préfet d'Île-de-France du [25]

Pour l'élection des députés, la ville est rattachée depuis 1988 à la huitième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

Elle faisait partie de 1793 à 1801 du canton de Montreuil, année où elle intègre le canton de Vincennes, puis, en 1893, le canton de Noisy-le-Sec du département de la Seine. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, elle devient le chef-lieu du canton de Rosny-sous-Bois[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Montreuil-1.

Intercommunalité

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Dans le cadre du développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune, qui n'était donc membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre, a été intégrée[27].

La commune a également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris - Grand Est[28] dans le cadre de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoyant la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale.

Tendances politiques et résultats

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Pour les échéances électorales de 2007, Rosny-sous-Bois fait partie des 82 communes[29] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter.

À la suite d'un contentieux à l'occasion des élections municipales de 2008, Philippe Vachieri, a été radié en 2010 de la liste électorale de Rosny-sous-Bois. En effet, saisi d'un recours en radiation par l'avocat Ivan Itzkovitch, conseiller municipal URAM, le juge d'instance a considéré que Monsieur Vachieri ne remplissait pas les conditions légales pour être inscrit sur les listes électorales de la ville[30]. Le jugement a été annulé le par la Cour de cassation, Philippe Vachieri a été réinscrit sur la liste électorale. Le jugement tel qu'il a été rédigé par le tribunal d'instance a été cassé pour des raisons de forme (inversement de la charge de la preuve). L'affaire est passée à nouveau en jugement devant le tribunal de Pantin[31]. Le Tribunal d'instance de Pantin, par décision du , rejette le recours devant le Tribunal de M. Itzkovitch demandant la radiation de M. Vachieri de la liste électorale pour l'année 2010.

Après les élections électorales de 2011, deux recours ont été déposés devant le tribunal administratif de Montreuil contre l'élection de Claude Capillon comme conseiller général pour dépassement des comptes de campagne[32]. Les deux recours ont été rejetés sur le fond, le droit électoral n'ayant pas été enfreint, l'élection de Claude Capillon au Conseil Général a donc été validée[33].

Lors des élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste UMP-UDI conduite par Claude Capillon a été élue au deuxième tour avec 49,43 % des suffrages exprimés, devant la liste d'union de la gauche et des écologistes conduite par Philippe Vachieri (30,40 %), la liste du Front national conduite par Daniel Bousselaire (10,49 %) et celle du MoDem conduite par Pierre-Olivier Carel (9,65 %). Vu le taux considérable d'abstention de 51,29% au premier et de 50,88% au deuxième tour le maire a été élu par 23% des inscrits au deuxième tour[34].

Lors des Élections départementales de 2015 dans la Seine-Saint-Denis, les électeurs rosnéens ont voté à 61,41 % pour les candidats Claude Capillon et Manon Laporte (UMP), devançant le binôme Frédéric Molossi & Magalie Thibault (38,59 % des suffrages exprimés), qui ont néanmoins remportés l'élection sur l'ensemble du canton de Montreuil-1[35].

Au second tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste LR diss. - DVD menée par Jean-Paul Fauconnet — qui bénéficiait de la fusion avec la liste MoDem - MRSL - PRG - NC du 1er tour menée par Pierre-Olivier Carel — a obtenu la majorité des suffrages exprimés, avec 2 600 voix (34,10 %, 29 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant de 46 voix celle LR - LREM - UDI - SL menée par le maire sortant Claude Capillon, qui a obtenu 2 554 voix (33,50 %, 7 conseillers municipaux).

Une troisième liste, PS - EÉLV - PCF - G·s, menée par Magalie Thibault suit avec 2 469 voix (32,38 %, 7 conseillers municipaux élus), lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, où 66,46 % des électeurs se sont abstenus[36].

Administration municipale

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Le conseil municipal est composé de quarante-trois conseillers municipaux dont le maire et ses adjoints[37].

Liste des maires

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Liste des maires successifs de Rosny-sous-Bois[38]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790   Jean-Jacques Bureau    
1791 1792 Jean-Jacques Bureau    
1792 1793 Louis-Pierre Pillier    
1793 1795 Louis-Pierre Pillier    
1795 1799 Memmie Lenain    
1799 1806 Ferdinand de Crécy    
1815 1833 Edme de Nanteuil    
1833 1841 Jean Bonnet-Cibie    
1842 1843 Pierre, Alexandre Epaulard    
1843 1852 Marie Victor Valleray    
1852 1859 Pierre Gardebled    
1859 1862 Pierre Lebarbier de Tinan    
1862 1871 Adolphe, Henri Ancelin    
1871 1888 Paul Cavare    
1888 1888 Louis Grandin    
1888 1896 Paul Cavare    
1896 1900 Jean-Pierre Estieu    
1900 1908 Denis, Jean Descroix    
1908 1918 Emile Auxerre    
1918 1920 Léon Morguet    
1920 1925 Léon Morguet    
mai 1925 mai 1929 Joseph Zipper[39] SFIO Employé de commerce
mai 1929 mai 1935 Auguste Maublanc[40] SFIO puis
Soc. indé.
Inspecteur d'assurances
mai 1935 février 1940 Charles Gebel   Décédé en fonction
février 1940 1944 Henri Peltier   ancien adjoint de Ch. Gebel, nommé par le Gouvernement de Vichy[41]
1944 mai 1945 Charles Durand Socialiste Membre du mouvement de résistance Front national,
Faisant fonction de maire
mai 1945 1947 Guinet[42] PCF  
1947 1950 Philibert Hoffmann[Note 6],[43]   Chef de bureau à la SNCF, résistant
1950 1953 Louis Goustille   Directeur d'école[18]
1953 1964 Philibert Hoffmann[Note 6],[43] UNR Décédé en fonction
mai 1964 juillet 1968 Gabriel Marie Seyer UNR-UDT Médecin
Décédé en fonction
1968 1971 Georges Abegg UDR  
mars 1971[44] 1983 Roger Daviet PCF Conseiller général de Rosny-sous-Bois (1967 → 1985)
mars 1983[45] 23 mai 2010[46] Claude Pernès UDF,
puis NC
ingénieur en marketing
Conseiller régional d'Île-de-France (2004 → 2010)
Conseiller général de Rosny-sous-Bois (1985 → 2004),
Président de l'Association des maires de l'Île-de-France, vice-président de l'AMF
Décédé en fonction
juin 2010[47] juillet 2020 Claude Capillon LR Directeur commercial
Conseiller général de Rosny-sous-Bois (2004 → 2015)
Vice-président (2016 → 2019) puis président (2019 → 2020) de l'EPT Grand Paris - Grand Est
juillet 2020[48],[49] En cours
(au 6 mars 2021)
Jean-Paul Fauconnet LR Cadre associatif

Distinctions et labels

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Panneau Ville Internet.
Stèle aux 10 ans du jumelage avec Übach-Palenberg.

Entre 2010 et 2014, la commune de Rosny-sous-Bois avait été récompensée par le label « Ville Internet @@@@@ »[50]. Après 2014, la ville n'a plus participé au concours.

Après avoir reçu une 1re fleur en 1998, puis une 2e en 1999, la ville a vu ses efforts de fleurissement reconnus par l'attribution d'une 3e fleur lors du concours des villes et villages fleuris de 2003. Cette distinction a été maintenue en 2019[51].

En 2023, selon le classement du Journal du Dimanche, la ville est classée première ville où il fait bon vivre en Seine-Saint-Denis[52].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[53],[Note 7].

En 2021, la commune comptait 45 655 habitants[Note 8], en évolution de +2,07 % par rapport à 2015 (Seine-Saint-Denis : +4,77 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6939367808228959481 0751 0041 014
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0182 1561 6051 6841 9241 7452 4002 6033 245
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 3295 8376 9338 06110 85614 47714 69114 27016 491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
21 00130 70535 78436 97037 48939 10541 17441 25445 411
2021 - - - - - - - -
45 655--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'enseignement public de Rosny-sous-Bois dépend du Rectorat de Créteil[55] et de l'Inspection départementale de l’Éducation nationale (6e circonscription) rue de La Boissière. La ville accueille 9 écoles (maternelle et primaire), 3 collèges et 2 lycées, ainsi qu’une école de la deuxième chance[Quand ?].

La ville accueille également l’École nationale des Arts du cirque de Rosny-sous-Bois, créée en 1983, et son chapiteau[56].

Le centre-ville accueille un nouveau cinéma qui fait également office de théâtre : l'espace Georges Simenon, en plus du cinéma UGC Rosny-Sous-Bois au centre commercial Rosny 2.

Elle dispose également de la Fabrique artistique et numérique, qui forme les rosnéens aux pratiques artistiques, informatiques, robotiques…

La commune abrite un centre médico-social municipal Paul-Schmierer, regroupant cinq médecins généralistes et dix-huit médecins spécialisés[réf. nécessaire].

Construite à la fin des années 1960, la clinique Hoffmann ferme en 2016 malgré le manque de médecins[57].

Le centre nautique et sportif Claude-Bernard.
Le siège d'Air China en 2011.

Selon l'Insee, au recensement de 2017, la commune comptait 14559 emplois.

Pôle d'emplois tertiaires, la ville de Rosny-sous-Bois est aussi le siège du centre technique de la Gendarmerie Nationale[réf. nécessaire]. Il accueillait les laboratoires de l'IRCGN, l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie, avant leur déménagement à Pontoise en 2005, ainsi que le centre national d'information routière (Bison Futé) avant sa clôture[réf. nécessaire].

En 2007, les principaux employeurs sont, selon la CCIP :

  • Commune de Rosny-sous-Bois – 1 050 emplois – services publics
  • Carrefour – 650 emplois – grande distribution
  • Leroy Merlin – 250 emplois – grande distribution bricolage
  • Caisse nationale d'Assurances vieillesse – 250 emplois – services publics
  • Laboratoires Coloplast – 250 emplois – services privés

Revenu de la population et fiscalité

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En 2018, le revenu fiscal médian par foyer était de 24 371 €. Ce chiffre est supérieur à la moyenne départementale (21 463 €).

En 2017, le taux de chômage de la commune atteint 10,6 %. Il est nettement inférieur à la moyenne départementale qui, elle, s’élève à 18,4 %[58].

Commerces et centres commerciaux

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En plus des nombreux commerces du centre-ville et des commerces de proximité au sein des différents quartiers, la ville accueille depuis les années 1970 le plus grand centre commercial du département de Seine-Saint-Denis, le centre commercial Westfield Rosny 2. Un projet d'extension du centre prévoit une augmentation de 50 pour cent de la surface commerciale. Ce projet est contesté par une association écologiste pour ses possibles conséquences environnementales[59].

Depuis 2006, un nouveau centre commercial, le centre commercial Domus, a été ouvert à Rosny. Il fait partie des plus grands centres commerciaux d'Europe consacrés à l'équipement de la maison.[réf. nécessaire]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Sainte Geneviève
Église Sainte-Geneviève.
Le parc Decésari, lieu de détente des Rosnéens.
  • Le musée communal Louis-Émile-Auxerre (l’Histoire de Rosny), 7 rue Saint-Claude, abrité dans une belle maison bourgeoise en meulière du début du XXe siècle[62]
  • L’église Sainte-Geneviève édifiée par Claude Naissant en 1857-1860, édifiée sur les ruines d'une église du XIIIe siècle démolie en 1857[Note 9], avec des vitraux dans le chœur et les chapelles latérales dessinés par Lusson en 1859 et une charpente décorative. Une châsse renfermant des reliques de sainte Geneviève y est honorée.
  • L’église Saint-Laurent construite en 1930 par Albert Chauvel, avec un fronton de pierres meulières et de briques.
  • La chapelle Notre-Dame-de-la-Visitation construite en 1969 par Jean de Mailly en béton, à l'instar de l'église Notre-Dame du Raincy.
  • La statue Le Cep, square Richard-Gardebled, créée vers 1930 par Raymond Couvègnes. Cette œuvre, constituée d'un nu féminin ayant un cep à sa main gauche, rappelle le passé viticole de la commune, remplacé, dès le XIXe siècle, par de l'arboriculture.
    En mars 2000, 1100 pieds de sauvignon et de chardonnay ont été replantés dans le parc Decésari à l’emplacement même des vignes d’autrefois. En 2019, près de 1 000 litres de vin ont été mis en bouteilles.
  • Le cinéma Le Trianon, antérieur à 1914, a été démoli en 2009 pour laisser place à un nouveau projet immobilier.
  • La gare, datant de 1910.
  • Le golf municipal de la ville.
  • Le parc Jean-Decésari, parc communal situé en face de l'hôtel de ville. Le parc a été aménagé au pied de la colline du Plateau d'Avron, qui permet, au belvédère du parc, d'admirer la ville de Rosny-sous-Bois ainsi que ses alentours. Le parc est un lieu de détente, de pique-nique, et est équipé d'un skatepark, d'une aire de détente pour les chiens, de mini-fontaines et d'aires de jeux pour les enfants. Le parc connaît une assez bonne affluence lors des week-ends ensoleillés et pendant les vacances scolaires[63].
  • Le cimetière communal de Rosny-sous-Bois et l'ancien cimetière de Rosny-sous-Bois.

Personnalités liées à la commune

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Stèle aux époux Gardebled.
armes de Rosny-sous-Bois

Les armes de Rosny-sous-Bois se blasonnent ainsi :
D'azur à l'aigle essorante d'argent tenant dans sa serre dextre un rameau d'olivier d'or posé en pal.
Ce sont celles de la famille Le Ragois, qui a notamment bâti le château d'Avron.

Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  5. La gare de Noisy-le-Sec, ouverte en 1849, a donc été la première gare desservant la ville.
  6. a et b Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. L'église Saint-Geneviève avait été transformée en temple de la Raison sous la Révolution

Références

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  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Rosny-sous-Bois et Neuilly-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Neuilly-sur-M. » (commune de Neuilly-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Neuilly-sur-M. » (commune de Neuilly-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Rosny-sous-Bois ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  13. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
  14. Blandine Seigle, « Cinq villes du 93 n'ont pas rempli leurs objectifs », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Rosny-sous-Bois est un cas particulier : la ville est passée de 18,5 % à 17,2 % de logements sociaux et apparaît en négatif dans notre tableau, car 241 logements ont été « déconventionnés » dans le quartier du Bois-Perrier, c'est-à-dire que le bailleur a souhaité sortir du cadre social pour se transformer en location privée (…) Rosny-sous-Bois, qui est engagé dans des opérations de renouvellement urbain notamment dans le quartier Mermoz ne sera donc pas sanctionné ».
  15. SOURCE : http://www.atlas-patrimoine93.fr/pg-html/bases_doc/inventaire/fiche.php?idfic=064s022 Atlas du patrimoine de Seine-Saint-Denis
  16. Le patrimoine des communes de Seine-Saint-Denis, collection « Le patrimoine des communes de France », Flohic Éditions, 1994, p. 286
  17. Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti
  18. a b et c « L’école du centre : un établissement centenaire, cœur du patrimoine éducatif Rosnéen : Pépite n°13 – Septembre 2020 marque le retour en classe de nombreux élèves et étudiants. L’occasion pour nous, de revenir sur l’histoire de l’un des établissements scolaires les plus anciens de Rosny-sous-Bois », Patrimoine et histoire, sur rosnysousbois.fr, (consulté le ).
  19. La Guerre de France en 1870-71, Charles de Mazade, Revue des Deux Mondes, 2e période, tome 105
  20. État des communes du département de la Seine à la fin du XIXe siècle, volume Rosny-sous-Bois, Paris, Montévrain
  21. Historique du 4ee RZ
  22. Visite de Rosny-sous-Bois
  23. « Centre commercial Westfield Rosny 2 », Immeubles et villes, PSS - Paris SkyScrapers, (consulté le ).
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  25. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissement du département de Seine-Saint-Denis », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01,‎ , p. 25-26 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  28. Décret n° 2015-1662 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Noisy-le-Grand sur Légifrance.
  29. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr.
  30. TI Bobigny 16 février 2009 ITZKOVITCH C/ VACHIERI.
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  32. « Recours contre l'élection de Capillon », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).
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  44. F K., « ROSNY-SOUS-BOIS : l'homme qui a supprimé la " tache blanche " du " département rouge " », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « M. Roger Daviet, quarante ans, conseiller général communiste de Seine - Saint - Denis, est un homme heureux. Il ne cherche pas à cacher sa satisfaction, un perpétuel sourire retrousse sa courte moustache. Élu dimanche dernier, à Rosny-sous-Bois, à la tête d'une liste d'union de la gauche, il sera certainement désigné comme maire par son conseil municipal ».
  45. Kim Larouss, « Un bon vendeur a gagné à Rosny-sous-Bois », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La peine est maintenant accomplie, la vie reprend son cours normal dans cette ville de 37 000 habitants qui s'est réveillée au lendemain du 6 mars 1983 avec de nouveaux hommes à la direction des affaires. Entre-temps, de 1971 à 1983, l'union de la gauche a assuré une sorte d'intérim. Pour bien signifier que l'affaire est définitivement réglée, la nouvelle équipe municipale a, dès sa première réunion, évincé le buste de Jean Jaurès qui présidait aux débats du conseil. Marianne a réintégré son socle ».
  46. « La mort de Claude Pernès : Le maire (Nouveau Centre) de Rosny-sous-Bois a succombé à une maladie à l'âge de 66 ans. Le monde politique salue une personnalité chaleureuse et consensuelle », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Pernès a connu tous les niveaux de la politique locale. Elu maire à 29 ans, en 1983, il a enchaîné cinq mandats sans interruption, ce qui fait de lui l'un des plus anciens maires du département. Il a occupé également durant quatre mandats le poste de conseiller général, avant de passer la main en 2004 à Claude Capillon, pour devenir conseiller régional. Placé en cinquième position sur la liste UMP des dernières élections régionales, il n'a pas conservé son poste ».
  47. « Claude Capillon élu maire de Rosny », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne).
  48. Elsa Marnette, « Rosny : accusé de « trahison », un adjoint privé de délégations : Jean-Paul Fauconnet (LR), élu de la majorité depuis 1983, dit « envisager » se présenter aux élections municipales de 2020 », Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu pour la première fois en 1983, sur la liste de Claude Pernès, et a été de tous les mandats depuis. Mais ce retrait de délégations ne signe pour l'instant pas la fin de sa carrière politique. C'est parce qu'il nourrit des ambitions quant aux élections municipales de 2020 que Claude Capillon a décidé de lui retirer ses responsabilités ».
  49. « Compte-rendu de la séance du samedi 4 juillet 2020 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Les comptes-rendus du conseil municipal, Mairie de Rosny-sous-bois consulté le=21 mai 2021.
  50. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 17/12/2009.
  51. « Ville Fleurie », Prix, concours et labels, sur rosny93.fr (consulté le ).
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  53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  55. Bienvenue sur le site de l'académie de Créteil
  56. Site de l'ENACR
  57. Sébastien Thomas, « Rosny-sous-Bois : faute d’argent et de médecins, la clinique Hoffmann ferme ses portes », sur Le Parisien, (consulté le ).
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  59. Elsa Marnette, « Extension du centre commercial Rosny 2 : des écolos en guerre contre ce futur «monstre» », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  60. Centre de découverte du Chemin de Fer en Île-de-France
  61. ROSNY-RAIL - Le Rosnéen Ferrovipathe
  62. www.rosny93.fr [PDF].
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Bibliographie

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  • Fernand Bournon (dir.), Rosny-sous-Bois : notice historique et renseignements administratifs, Montévrain, Imprimerie typographique de l'École d'Alembert, coll. « État des communes à la fin du XIXe siècle », , 92 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
  • Bernard Devaux, Le Fort de Rosny et son histoire, Paris, édition des amis du vieux Rosny, 1989.
  • Le patrimoine des Communes de la Seine-saint-Denis, Flohic éditions, 1994, (ISBN 2-908958-77-5)
  • Société d'histoire de Rosny-sous-Bois, Rosny-sous-Bois : de Rodoniacum à nos jours, Rosny-sous-Bois, Société d'histoire de Rosny-sous-Bois, , 287 p. (ISBN 2-9508599-0-9, BNF 35765104, SUDOC 003585794).
  • Plaquette Le Glacis fortifié de Paris et l’aménagement de l’Île-de-France éditée par l'IAURIF, collection Note rapide sur le Patrimoine, no 270, .

Articles connexes

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Liens externes

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