[go: up one dir, main page]
More Web Proxy on the site http://driver.im/Aller au contenu

Réseau Mithridate

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Réseau Mithridate
Histoire
Fondation
Cadre
Type
Réseau ou mouvement de la Résistance françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Organisation
Fondateur

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Le réseau de résistance Mithridate, fondé dès par Pierre Herbinger à la requête du service britannique de renseignement MI6, fut l’un des plus importants de la Seconde Guerre mondiale. Il rassembla plus de 1 600 agents répartis sur tout le territoire français, la Belgique et le Nord de l’Italie.

Réseau franco-britannique, Mithridate n'est pourtant rattaché au Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) français qu'en janvier 1942[1]. C’est un réseau de renseignements militaires chargé de fournir aux états-majors les indications nécessaires pour précéder ou accompagner les opérations de guerre.

Il fut opérationnel jusqu’en 1945. Il compta 1 987 agents homologués dont 127 morts pour la France et 208 déportés rentrés vivants[1]. Quatre de ses membres ont été faits compagnon de la Libération : André Aalberg, Laure Diebold, Pierre-Jean Herbinger et François Binoche[2].

Le 14 mai 1944, Yves Farge fait détruire le fichier du STO de Versailles, grâce aux informations des infiltrés du réseau Mithridate[3].

Membres du réseau

[modifier | modifier le code]
  • André Aalberg (1913-1943), alias « Jean Louis », « Dieudonné » ou « Lucien Navarron », secrétaire général puis chef-adjoint du réseau, arrêté le 10 octobre 1943 ;
  • Jean Baumel (1907-1977), chef de section, arrêté par la Gestapo en février 1944 et déporté à Auschwitz.
  • François Etienne Binoche (1911-1997)[4] ;
  • Louis Borrou (1923-1944)[5];
  • Marcel Félix Brzostowski (1923-1995)[6], alias « Mickey », arrêté le 17 juin 1942 à Bas Ruy par Bourgoin, Isère. Condamné par le Tribunal d'Etat (section de Lyon) le 23 septembre 1943 à 6 ans de travaux forcés. Interné dans les prisons de Clermont-Ferrand, de Lyon puis d'Eysses [7]et enfin au camp de Compiègne. Déporté à Dachau, puis Kottern. Status résistant déporté, sous-lieutenant des FFC;
  • Henriette Cabot (1899-1968), (née Baube)[8] dite "la dame des 4 boules". Infirmière de la Croix rouge Résistante. Chevalier de la légion d'Honneur. Croix de guerre 1939-1945. Croix du combattant volontaire. Médaille de la résistance.
  • Roger Cannaud (1923-1944)[9];
  • Charles Caudron (1908-1951)[10], alias « Bengali », FFC, FFI, FFL, commandant, réseau Mithridate. Ordre de la Libération[11].
  • Robert Antoine Michel Challard (1915-1944)[12];
  • Georges Cornaille (1889-)[13]; réseau ISOLE
  • Jack René André Couturaud[14] (1917-1972), décoré de la légion d'honneur à sa mort le 8 janvier 1973. Après avoir pris part à la Campagne de Belgique, Monsieur Couturaud est fait prisonnier en mai 1940. Réformé au Stalag 1 B, il rejoint la France et participe en 1943 et 1944 à diverses missions comme agent des Forces Françaises Combattantes (Réseau Mithridate). Outre sa participation à l'action de la résistance, il apporte un concours actif à la réalisation, dans des conditions précaires de 150 ambulances commandées par la Défense passive (Ministère de l'intérieur) pour être affectées aux villes côtières soumises aux bombardements aériens[15].
  • Pierre Ernest Adrien Dejean (1912-1944)[16], arrêté par la Gestapo le 2 septembre 1944, mort en déportation à Alkloven le 18 août 1944 ;
  • Claude Derieux (1913-1958)[17], arrêté le 14 novembre 1943, interné à la prison Montluc, déporté à Buchenwald;
  • Isidore Despradelle (1905-1944)[18] ;
  • Laure Diebold (1915-1965), alias « Mona » et « Mado », secrétaire de Jean Moulin, arrêtée le 18 juillet 1942, relâchée puis arrêtée de nouveau le 24 septembre 1943, déportée à Ravensbrück ;
  • Frédéric Donet (1891-1980)[19], alias « Laflèche », chef-adjoint des réseaux Mithridate à partir de fin 1943, arrêté le 19 mai 1944 lors de l'opération Ayesha, libéré à Bruxelles en septembre ;
  • Jacqueline Fleury (1923-2019), alias "Tamanini" [20],[21] arrêtée en août 1943, déportée à Ravensbrück et Buchenwald le 15 août 1944, rapatriée le 30 mai 1945.
  • Jean Joseph Xavier Emile Ganeval (1894-1981)[22], arrêté à Lyon le 14 novembre 1943, interné à la prison Montluc puis déporté à Buchenwald ;
  • Camille Georges Jousse (1887-1945), arrêté par la Gestapo, déporté en janvier 1944, mort en déportation le 22 avril 1945 à Buchenwald[23] ;
  • Rogatien Gautier (1917-1998)[24] alias « Roddy », chef-radio du réseau, arrêté le 19 mai 1944 lors de l'opération Ayesha, libéré à Bruxelles en septembre ; Décoration : Rosette de l'Ordre de la Libération[25]
  • Émile De Gorter (1922-1944)[26], agent de liaison et de renseignement, exécuté sommairement le 20 août 1944 au Château de Vincennes ;
  • Maurice Goujard (1893-1945) [27],[28], arrêté le 17 octobre 1943 à Clermont-Ferrand , déporté à Bergen-Belsen;
  • Jean Marie Anselme Guet[29], responsable du secteur Nord et secrétaire général des réseaux Mithridate à partir de fin 1943, arrêté le 23 mai 1944, libéré à Bruxelles en septembre ;
  • André Horb (1921-1944), dit “André Wendling”[30], agent télégraphiste, abattu le 10 octobre 1944 à Saorge ;
  • Ferdinand Jegou (1919-1945)[31], mort en déportation ;
  • Paul Jules Georges Joyeux (1913-)[32], responsable des Vosges ;
  • Léon Jules (1897-1982)[33] ;
  • Stéphanie Kuder (1910-1986), dit "Murat", arrêtée le 25 novembre 1943, déportée à Ravensbrück, Hannover-Limmer et Bergen-Belsen
  • Gabriel Lacour (1897-1943)[34], alias “l’Aigle”, délégué général Zone Sud du réseau, fusillé le 20 décembre 1943 à Clermont-Ferrand ;
  • Jean-Marie Landry (1915-)[35], alias “André”, opérateur-radio ;
  • Léon Claude Laumin (1911-2004)[36]. Boucher à Clermont-Ferrand. En 1943, après avoir entreposé pour lui dans son commerce, durant plusieurs mois, des vivres pour ses troupes, il prend une part active dans l'évasion de son chef en novembre 1943, Charles Caudron (alias « Bengali », commandant)[37],[38]; celui-ci est en fuite après son arrestation par la Gestapo. Il le soigne et le cache durant 2 mois. Décoré de la Croix de guerre 1939-1945 (étoile d'argent) et Croix du combattant volontaire de la Résistance[39].
  • Georges Laurent (1910-1944)[40], alias “Zozo” ou “René”, exécuté sommairement le 9 juillet 1944 au lieu-dit "Le Coudert" , à Riom-ès-Montagnes ;
  • Jean Longueville (1893-)[41], alias « Lambert » ;
  • André Lourioux (1920-1943)[42], fusillé le 16 avril 1943 à Angers (Maine-et-Loire) ; réseau ISOLE
  • Henri François Mailhebiau (1920-1944)[43] ;
  • Pierre Marcel Marie (1920-1998)[44], agent du réseau à Versailles puis responsable du secteur Sud-Loire ;
  • Clément Henri Aimé Meis (1912-2010)[45], alias « Aimé », opérateur-radio, arrêté le 17 octobre 1943 à Clermont-Ferrand, déporté à Buchenwald ;
  • André Fernand Mérand (1915-1943)[46], arrêté le 2 novembre 1942 à Châtelaillon-Plage (Charente-Inférieure), fusillé le 16 avril 1943 à Angers ;
  • Paul Noël Mioche (1917-)[47], déporté à Dachau ;
  • Fernand Morneau (1920-1944)[48], fusillé le 24 août 1944 dans les fossés du fort de Seclin ;
  • Paul Paris (1893-1945)[49], arrestation à Paris par la Gestapo le 3 mai 1944, déportation le 21 mai 1944 et arrivée à Neuengamme - Sandbostel le 24 mai 1944 (matricule : 30375), décès dans le même camp le 17 avril 1945 ;
  • Jean Pescay (1909-)[50], alias “Marseille” puis “Jean-Jean”, chef du secteur de Toulouse ;
  • Anet Marius Pourtier (1896-1943)[51], mort sous la torture le 17 novembre 1943 à Clermont-Ferrand ou Chamalieres ;
  • Jean Louis Probst (1918-1996)[52], alias “Jeannot”, arrêté le 11 janvier 1944 à Toulouse, évadé dans la nuit du 3 au 4 mars 1944 de la prison d’Agen ;
  • René Stahl (1913-1944)[53], alias “René”, arrêté le 23 mai 1944 à Paris et fusillé le 24 août 1944 dans les fossés du fort de Seclin ;
  • Michel (Jules Joseph) et Charles (Louis Gaston) Stoven[54],[55],arrêtés à Renescure le 19 mai 1944 lors de l'opération Ayesha, déportés et exécutés à Brandebourg-sur-la-Havel le 25 septembre 1944 ;
  • Lucien Félix Eugène Trapier (1903-1975)[56],[57] ;
  • Robert François Raymond Vecchierini (1901-1944)[58], arrêté le 24 juin 1944 à Valenciennes et fusillé le 24 août 1944 dans les fossés du fort de Seclin ;
  • Paul Weil (1910-1980)[59], le 14 décembre 1942, déporté à Buchenwald.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. ↑ a et b 'La Mémoire des Français Libres, tome III, page 1121 (extrait du n° spécial de juin 1958)
  2. ↑ Cités sur le site de l'ordre de la Libération.
  3. ↑ Raphaël Spina : Histoire du STO, chap. 25 §13
  4. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 60889 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 709973 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 53 ».
  5. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 74830 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  6. ↑ Service Historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 95819 Service Historique de la Défense, Caen SHD AC 21 P 719124
  7. ↑ Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie, « Prison d'Eysses », sur ajpn.org.
  8. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 38228 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  9. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 104282 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  10. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 112406 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  11. ↑ « Base des médaillés de la résistance », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  12. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 104282 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  13. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 142754 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  14. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 149038 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  15. ↑ Archives nationales, « N° de Notice : c-334009 », sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr.
  16. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 166342 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  17. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 176806 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 633292 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  18. ↑ « Service historique de la Défense, Caen - AC 21 P 443 285 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  19. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 189078 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 139 9 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 636053 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 32 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  20. ↑ Maxime François, « Seine-Saint-Denis : Jacqueline Tamanini, résistante de la première heure, est morte », sur leparisien.fr, (consulté le )
  21. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 225907 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  22. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 241704 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 611212 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 56 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  23. ↑ « Titres, homologations et services pour faits de résistance - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  24. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 248070 », Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 248070 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 528 6 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 81, sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  25. ↑ « Base des Médailles du Service Historique de la Défense », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  26. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 165474 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  27. ↑ « Enseigner la mémoire ? - Histoire et mémoire de la déportation - La famille Probst-Goujard, une famille de résistants-déportés marnais au service du réseau Mithridate en zone sud - Dossier mis en ligne par Jean-Pierre et Jocelyne Husson », sur pedagogie.ac-reims.fr (consulté le ).
  28. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 264795 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  29. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 275753 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 139 19 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 621135 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 47 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  30. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 602420 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  31. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 308946 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 576524 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  32. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 313658 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR P 28 4 518 3 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  33. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 314236 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 577885 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  34. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 327578 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  35. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 335711 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 585425 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  36. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 341781 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  37. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 112406 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  38. ↑ « Un Français Libre parmi 63128 - Charles François Joseph Caudron », sur francaislibres.net
  39. ↑ « Un Français Libre parmi 63128 - Léon Claude Laumin »
  40. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 342568 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  41. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 376114 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 126 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  42. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 378476 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  43. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 384534 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  44. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 394198 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 142 127 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  45. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 409127 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 142 109 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 595518 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 75 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  46. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 411272 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  47. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 420816 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  48. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 432065 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 601672 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  49. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 458172 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 655458 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 65 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  50. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 470441 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 4 142 110 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 658541 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 92 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  51. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 489054 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 650697 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  52. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 491770 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 651431 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  53. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 556046 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 677633 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  54. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 557715 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 678617 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 111 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  55. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 557716 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 678618 Service historique de la Défense, Vincennes SHD/ GR 28 P 11 111 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  56. ↑ « Recensement Insee », sur Match ID.
  57. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 576753 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  58. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 587696 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 687074 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.
  59. ↑ « Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 601862 Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 691710 », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr.

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Rogatien Gautier (aut.) et Jacqueline Fournier (dir.), Agent Number One : réseau Mithridate, 1940-1945, Éd. France-Empire, Paris, 2003, 322 p. (ISBN 2-7048-0968-2)

Liens externes

[modifier | modifier le code]

v · m
Impulsion et gouvernement
France libre
Résistance intérieure
Libération
Hommages
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Réseau_Mithridate&oldid=219765456 ».