[go: up one dir, main page]
More Web Proxy on the site http://driver.im/Aller au contenu

Prignac

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Prignac
Prignac
L'Antenne (rivière) à Prignac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saint-Jean-d'Angély
Intercommunalité Vals de Saintonge Communauté
Maire
Mandat
Bruno Mapal
2023-2026
Code postal 17160
Code commune 17290
Démographie
Gentilé Prignacais
Population
municipale
289 hab. (2021 en évolution de −3,02 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 49″ nord, 0° 21′ 20″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 38 m
Superficie 6,77 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matha
Législatives 3e circonscription de la Charente-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Prignac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Prignac
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Charente-Maritime
Prignac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Prignac

Prignac est une commune française située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Prignac est un village de Saintonge qui jouxte par le sud Matha et se trouve à 15 km à vol d'oiseau au nord de Cognac (Charente), à 24 km ,au nord-est de Saintes, 18 km au sud-ouest de Saint-Jean-d'Angély et 45 km au nord-ouest d'Angoulême.

La commune se trouve dans la zone d'emploi de Cognac et le bassin de vie de Matha[I 1].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Courcerac, Matha, Mons et Thors.

Communes limitrophes de Prignac[1]
Matha
Courcerac Prignac[1] Thors
Mons

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 6,77 km2 ; son altitude varie de 16 à 3 mètres[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune.
La confluence du Briou et de l'Antenne.

La commune est drainée par l'Antenne, un affluent en la rive droite du fleuve la Charente, qu'elle rejoint en aval de la ville de Cognac.

La Veine du Sause constitue la limite nord-ouest du territoire communal, qui est également drainé par la Node et le Brioui.

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Le site Natura 2000 de la vallée de l’Antenne, qui comprend une partie du territoire communal, est une zone spéciale de conservation située en Charente-Maritime et en Charente, dans la vallée de l’Antenne, affluent de rive droite de la Charente. Il couvre l’ensemble de la rivière et la majeure partie de ses affluents, dont le Briou.

Il a été proposé en pour 1 173 ha et validé le pour 1 208 ha[4].

La vallée a été intégrée comme site Natura 2000 car elle abrite sept habitats naturels d’intérêt communautaire et que sont présentes dix-neuf espèces d’intérêt communautaire dont certaines sont jugées prioritaires : le vison d'Europe, des chauves-souris (chiroptères), et un insecte, la rosalie des Alpes[5].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

La Vallée de l'Antenne est également cataloguée comme ZNIEFF de type 2[Note 2].

Au , Prignac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle est située hors unité urbaine[7] et hors attraction des villes[8],[9].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,3 %), zones agricoles hétérogènes (28,5 %), forêts (16,4 %), cultures permanentes (15,3 %), prairies (4,3 %), mines, décharges et chantiers (3,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 154, alors qu'il était de 151 en 2016 et de 139 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 6,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Prignac en 2021 en comparaison avec celle de la Charente-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (3,3 %) par rapport au département (22,3 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Prignac en 2021.
Typologie Prignac[I 3] Charente-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,2 70,9 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,3 22,3 9,7
Logements vacants (en %) 6,5 6,8 8,1

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Prignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Antenne et le Briou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[13],[11].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Prignac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 164 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[11].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Le toponymes est issu d'un nom de propriétaire gallo-romain Prunius, ou Prinius, suivi du suffixe -acum.

L'état des paroisses de 1686 nous apprend que la paroisse du Prignac a pour seigneur Jacques-Henry de Pons, marquis de La Case, seigneur de Thors, gouverneur de Cognac, comporte 62 feux et que la terre, marécageuse, y est de peu de rapport[17].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1943 dans l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély du département de la Charente-Maritime[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Matha[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Matha[I 1] porté de 25 à 63 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Charente-Maritime.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Prignac était membre de la communauté de communes du Pays de Matha, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes dénommée Vals de Saintonge Communauté, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1797 1806 M. David    
1806 1820 François Maurin    
1820 1833 Joseph de Bonnegens    
1833 1844 François Maurin    
1844 1848 François Etourneau    
1848 1854 Jean Etourneau    
1854 1862 Pierre Drahonnet    
1862 1882 Jean Cruchon    
1882 1888 Amédée Hard    
1888 1892 Louis Lamiraud    
1892 1908 Aimé Peuchaud    
1908 1912 Arthur Wan Pers    
1912 1919 Ulysse Cruchon    
1919 1925 Gustave Mesnard    
1925 1956 Arthur Berthonneau    
1956 1971 Antonin Guillot    
1971 1983 Maurice Ballotte    
1983 2008 Jacques Fouasseau    
2008 2023[19],[20] Yves-Luc Gaillard DVD Agriculteur
Démissionnaire
mars 2023[21] En cours
(au 30 novembre 2023)
Bruno Mapal   Entrepreneur


Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Population et société

[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Prignacais et les Prignacaises[22].

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 289 habitants[Note 3], en évolution de −3,02 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
413431318421452429424403464
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
462453436416405377361350355
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
344322296278279254259255270
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
269280276268260256284306275
2014 2019 2021 - - - - - -
297294289------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Tumulus de la Cabane Rouge : tumulus arasé visible uniquement par photographie aérienne se composant d'un enclos allongé entouré de structures circulaires[26].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[3].
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d « Commune de Prignac », sur insee.fr (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Prignac - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Prignac - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la Charente-Maritime - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  4. Fiche d’information Vallée de l’Antenne sur le site de la DIREN Nouvelle-Aquitaine
  5. (fr) FR5400473 - Vallée de l’Antenne (INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel.
  6. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  7. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Prignac », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Prignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. Histoire passion
  18. « Les maires de Prignac », sur francegenweb.org (consulté le ).
  19. « Prignac. Le maire annonce sa démission par surprise sur une application », L'Angérien libre,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Les habitants de la commune ont appris, d’une bien curieuse façon, que leur maire démissionnait. D’ailleurs, nombreux sont sans doute ceux qui ne sont pas encore au courant ».
  20. « Charente-Maritime : trois candidats pour une place au conseil municipal de Prignac », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. Les gentilés de Charente-Maritime
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Jean-Sébastien Pourtaud et Yves Olivet, Dolmens, menhirs, tumulus et pierres de légendes de Charente-Maritime, Rioux-Martin, Le Croît Vif, , 231 p. (ISBN 9782361995294), p. 117