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Saint-Mars-d'Égrenne

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Saint-Mars-d'Égrenne
Saint-Mars-d'Égrenne
L'église Saint-Médard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité Communauté de communes Andaine-Passais
Maire
Mandat
Daniel Boulent
2020-2026
Code postal 61350
Code commune 61421
Démographie
Gentilé Médardais
Population
municipale
646 hab. (2021 en évolution de −4,58 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 37″ nord, 0° 43′ 47″ ouest
Altitude Min. 113 m
Max. 201 m
Superficie 25,06 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Domfront en Poiraie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bagnoles de l'Orne Normandie
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Mars-d'Égrenne
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Saint-Mars-d'Égrenne
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Saint-Mars-d'Égrenne

Saint-Mars-d'Égrenne est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 646 habitants[Note 1] (les Médardais).

Géographie

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Le bourg du Passais se situe au sud-ouest du département de l'Orne et de la région Normandie, dans la région naturelle bocagère du Domfrontais. Son bourg est à 6 km au nord de Passais, à 8 km au sud-est de Domfront, à 11 km à l'est du Teilleul et à 20 km au sud-est de Mortain[1].

Communes limitrophes de Saint-Mars-d'Égrenne[2]
Saint-Georges-de-Rouelley (sur 25 m) (Manche),
Saint-Cyr-du-Bailleul (Manche)
Saint-Roch-sur-Égrenne, La Haute-Chapelle (sur 200 m) Saint-Gilles-des-Marais,
La Haute-Chapelle,
Domfront
Saint-Cyr-du-Bailleul (Manche) Saint-Mars-d'Égrenne[2] Torchamp
Mantilly (Orne) Passais (Orne) Saint-Fraimbault (Orne)

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune à 5 400 km à vol d'oiseau[6], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Saint-Mars-d'Égrenne est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Domfront en Poiraie, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,2 %), terres arables (25,4 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), zones urbanisées (2,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Medardus de Egrenna en 1381[15].

En effet la paroisse est dédiée à Médard de Noyon, évêque du VIe siècle, comme pour la plupart des Saint-Mars[16].

L'Égrenne est la rivière qui traverse le nord-est du territoire.

Selon le Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies (1902, p : 4212), Mards est un diminutif de Médard, devenu Mars dans le vocabulaire des historiens géographes. D'où le nom de Saint-Mars donné à une commune qui n'avait pour raison d'être que l'église patronnée par saint Médard.

Le hameau de l'Air Souvre : sans doute pour °l'aire souvre, « l'aire / la place vide d'en haut ». Le second élément est dans ce cas issu du latin superus « qui est en haut, supérieur », d’où le gallo-roman °SÚPERU > a.f. °sovre, °souvre, °seuvre, °sevre, etc.[17].

Village millénaire

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Avant l'an 700 et avant l'an 890, ce lieu serait déjà mentionné[18].

Vers le début du XIe siècle un chevalier Achard (970-1035), descendant d'une famille de petite noblesse d'épée originaire de Montpellier, vint se fixer dans le pays domfrontais.

À cette époque, la forêt d'Andaine couvrait tout le territoire de l'actuel Passais, communes de Saint-Mars et de Saint-Roch comprises.

Ayant décidé de former un domaine le chevalier Achard (c'était probablement son prénom) opéra un "perthuis" (ouverture) dans la forêt de Passais à l'endroit même de l'actuel hameau le Pertuis situé dans la commune de Saint-Mars-d'Égrenne. Il y fit construire le premier manoir de sa famille -Le Perthuis-Achard ; ce n'est plus qu'une maison de ferme aujourd'hui.

Avec le temps les Achard agrandirent leur domaine et l'étendirent jusqu'aux portes de Domfront, établissant des cultures sur les territoires actuels de Saint-Mars, de Saint-Gilles et de la Haute-Chapelle. Acquérant ainsi, et dès le milieu du XIe siècle, tous les droits seigneuriaux sur cette grande étendue de bois et sur les terres qui s'y défrichaient.

Le comte Guillaume de Bellême, devenu maître du pays, reconnut leur noblesse et les laissa jouir des privilèges possédés jusque-là. Il nommera le chevalier Achard gouverneur de Domfront, le premier à porter le titre, dont il venait de construire l'enceinte de fortification (en 1014 selon l'historien F. Liard).

Le chevalier Achard, surnommé Achard le Riche ou Achard de Domfront, fera construire dans le premier tiers du XIe siècle (probablement vers 1020) une première église dédiée à saint Médard , un saint souvent invoqué contre les rages de dents.

Ce faisant il donnera naissance au hameau de Saint-Mars-d'Égrenne stratégiquement situé en orée de forêt, sur la route qui va de Domfront au mont Saint-Michel. Les pèlerins, riches et pauvres, se trouvant à passer par là en partance ou en provenance du mont Saint-Michel, faisaient des offrandes et laissaient de généreuses oboles, pour les plus fortunés d'entre eux.

L'importance stratégique de Saint-Mars était confirmée par les nombreux et célèbres personnages du Moyen Âge qui, dans leurs périples de Domfront au Mont Saint-Michel, y faisaient halte en entrée ou en sortie de forêt. Parmi eux on peut citer Guillaume-le-Conquérant, Henri ler et Henri II rois d'Angleterre, Éléonore de Guyenne, Charles VIII, Charles IX et Catherine de Médicis. Le Cercle d'études nouvelles d'anthropologie en fait un lieu en lien avec la matière de Bretagne et les cycles arthuriens[19].

L'église de Saint-Mars, comme d'ailleurs toutes les églises des communes avoisinantes, souffrira des effets des guerres de religion qui avaient secoué la Normandie du XIVe au XVIe siècle. Elle sera détruite et reconstruite à plusieurs reprises, la dernière ayant été effectuée vers le tournant du siècle dernier.

Comme elle avait déjà été déclarée en ruine vers la fin du XIe siècle par l'ermite Bernard d'Abbeville qui vint s'installer dans le bourg, il est probable que sa première destruction survint vers 1048 lors du pillage perpétré dans le Passais par les soldats angevins de Geoffroy Martel comte d'Anjou qui prit la forteresse de Domfront par les armes et s'y installa, avant d'être chassé par Guillaume-le-Bâtard.

Deux documents historiques conservés à la Bibliothèque nationale de France (BNF) attestent de l'antériorité millénaire de l'église de Saint-Mars et par voie de conséquence du village lui-même :

  1. La vie de l'ermite saint Bernard d'Abbeville relatée par l'abbé Angot qui raconte que vers la fin du XIe siècle et sur les conseils de saint Vital, grand chef des ermites, bâtisseur du prieuré de Dompierre, un ermite du nom de Bernard d'Abbeville (abbé de Tiron) s'installa comme tourneur sur bois à Saint-Mars-d'Egrenne à côté d'une église en ruine[20].
  2. La lettre de donation datée de , par laquelle « Jean comte d'Anjou et du Maine, duc de Normandie, fils aîné du roi de France » abandonne le patronage de l'église de Saint-Mars-d'Égrenne à Guy de Laval évêque du Mans[21].

Politique et administration

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1792   Pierre Chorin    
vers an X vers 1812 André Julien Pierre Hamard    
vers 1813   Jeean Baptiste Levêque    
vers 1867   Jeean Baptiste Levêque Lacroix    
vers 1870   Louis Ange Achard des Hautes-Noës (1815-1900)   Propriétaire
vers 1903   Marcel de Gallery Dumanoir (1837-)   Propriétaire, rentier
vers 1926   Michel René Chaufard    
? mars 2001 Jeannine Gilbert    
mars 2001 mars 2014 Joël Gontier SE Menuisier
mars 2014[22] En cours Daniel Boulent SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[22].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 646 habitants[Note 3], en évolution de −4,58 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Saint-Mars-d'Égrenne a compté jusqu'à 2 522 habitants en 1806.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2422 2472 5222 1892 3492 4032 2702 2692 210
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1102 1002 0261 8241 7871 7231 6531 6071 635
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6051 5461 4291 2711 2521 2661 2571 1501 095
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
965866762816769697726717682
2015 2020 2021 - - - - - -
677653646------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Religieux
Civils
  • Manoir de la Bonelière, construction du XVIe siècle, possède un livre d'heure richement décoré, et un jardin médiéval, visites sur demande.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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  • Émile Onfray, ( - 1953, à Saint-Mars-d'Égrenne), prêtre, pionnier du syndicalisme agricole d'inspiration chrétienne, dans le département de l'Orne.[réf. nécessaire]

Bibliographie

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  • Annie Renoux, Les pouvoirs locaux dans la France du centre et de l’ouest (VIIIe-XIe siècles), Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne), « Aux sources du pouvoir châtelain de Geoffroi “Seigneur de Mayenne, le plus fort homme du Maine” (c. 1040-1098)» », p. 61-89

Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Saint-Mars-d'Égrenne et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune 00) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Deauville » (commune 00) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Mars-d'Égrenne ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Domfront en Poiraie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France : Tome 3, page 1559, (ISBN 2600028846).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  17. Dominique Fournier, « Notes de toponymie normande : champs / contre-champs », Histoire et Traditions Populaires, no 85,‎ .
  18. Annie Renoux-Aux sources du pouvoir châtelain de Geoffroi “Seigneur de Mayenne, le plus fort homme du Maine” (c. 1040-1098)» 2005, p. 61-89(fig.5).
  19. « Au pays de Lancelot du Lac, dépliant - imaginouest Georges Bertin », sur sites.google.com (consulté le ).
  20. Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne (1900- 1910) par l'abbé Angot.
  21. La maison de Laval, 1020-1605 – T.2 par Paul de Farcy - Éditeur Alphonse Picard et fils, Paris 1898.
  22. a et b « Saint-Mars-d'Egrenne (61350) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Œuvres mobilières à Saint-Mars-d'Égrenne », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. cinemagie creations, « Brocéliande en Normandie (documentaire) », (consulté le ).