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Montregard

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montregard
Montregard
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Yssingeaux
Intercommunalité Haut Pays du Velay communauté
Maire
Mandat
Gilles Jury
2020-2026
Code postal 43290
Code commune 43142
Démographie
Gentilé Morganais
Population
municipale
597 hab. (2021 en évolution de −1,65 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 33″ nord, 4° 20′ 50″ est
Altitude Min. 859 m
Max. 1 142 m
Superficie 39,93 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Boutières
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Montregard
Géolocalisation sur la carte : France
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Montregard
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
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Montregard
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Montregard
Liens
Site web montregard.fr

Montregard [mɔ̃ʁəɡaʁ] est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Située à 1 000 mètres d'altitude, la commune couvre 39,9 km2 et comptait 607 habitants en 2015, ce qui donne une densité de 15,5 habitants par km2.

Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Montregard se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 49 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 23 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture, et à 9 km de Tence[3], bureau centralisateur du canton des Boutières dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Montfaucon-en-Velay (3,9 km), Le Mas-de-Tence (4,2 km), Raucoules (5,2 km), Dunières (6,3 km), Saint-André-en-Vivarais (6,6 km), Tence (6,6 km), Saint-Julien-Molhesabate (7,0 km), Saint-Bonnet-le-Froid (7,2 km).

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 061 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Romain-Lachalm », sur la commune de Saint-Romain-Lachalm à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 9,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 923,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Montregard est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,5 %), prairies (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,1 %), zones urbanisées (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 433, alors qu'il était de 440 en 2013 et de 416 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 59,6 % étaient des résidences principales, 24,4 % des résidences secondaires et 16 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montregard en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (24,4 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,1 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Montregard en 2018.
Typologie Montregard[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 59,6 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 24,4 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 16 12,4 8,2

À l’époque antique un site gallo-romain est répertorié sur l’emplacement de la future localité de Montregard.

Aux VIIIe et IXe siècles, Montregard autrefois dénommé Mircorio est cité dans les « églises mères » du Velay pour son baptistère Saint-Jean et sa basilique Saint-Loup.

Entre 1014 et 1031, le seigneur de Montregard était Guidon issu de la famille alleutière des Artaud.

Entre 1016 et 1030, Guidon et son épouse Cathaburge espérant obtenir la divine miséricorde donnent au monastère de Chamalières un manse situé à Montregard dans le hameau des Bruyères.

En 1030, le même Guidon donne à l’abbaye de St-Chaffre un autre manse situé à Montregard, qui est intégré à l'aisis de Beaudiner. Vers 1130, le seigneur de Montregard est Arthaud de Beaudiner.

En 1267, mention du « château » de Montregard dans une bulle du pape Clément IV. Montregard sera une possession des Beaudiner au moins jusqu’au XIVe siècle.

En 1638, Saint François Régis a sauvé la bourgade de la peste en prêchant. Il convertit au Christianisme Louise de Romezin, épouse d'un banné de Boissy, dont le fils devient en 1693 maire du village.

Le , à l'occasion des inventaires qui ont suivi la séparation de l'Église et de l'État, des affrontements ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les habitants du village. Un manifestant, André Régis, est grièvement blessé ; il décèdera le [15]. C'est l'un des deux morts recensés lors des inventaires de 1906 (le deuxième étant Géry Ghysel, de Boeschepe, dans le département du Nord).

En 1988, lors de la fête des anciens combattants d'Afrique du Nord, une parodie de ratonnade est organisée dans le Village[16].

La mairie actuelle fut construite avec les pierres d'une tour de garde de l'ancien château qui se trouvait au lieu-dit : Le Château.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Montregard est membre de la communauté de communes du Pays de Montfaucon[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Montfaucon-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Boutières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[18].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Marcel Souvignet ? Agriculteur
maire en 1877 1896 Hyppolite Delolme    
maire en 1978 ? Jean-Paul Riocreux RPR Professeur, conseiller général
mars 1989 mars 2008 Jacky Rocher DVD  
mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Achard    
mars 2014 En cours
(au 27 août 2014)
Gilles Jury[19]    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 597 habitants[Note 3], en évolution de −1,65 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7761 8571 9441 9711 9361 8411 7751 7431 744
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6561 6081 6331 5191 7051 7511 9301 8651 774
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7561 8111 7051 5011 5141 3181 2461 131985
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
903841696599581594610612605
2017 2021 - - - - - - -
596597-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 323 hommes pour 268 femmes, soit un taux de 54,65 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,4 
10,7 
75-89 ans
10,2 
20,7 
60-74 ans
19,5 
21,9 
45-59 ans
23,3 
16,3 
30-44 ans
17,1 
11,5 
15-29 ans
11,4 
18,7 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

En 2018, la commune compte 534 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 1 120 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 540 [I 9] (20 800  dans le département[I 10]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 11] 6,2 % 6,6 % 7,1 %
Département[I 12] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 682 personnes, parmi lesquelles on compte 73,5 % d'actifs (66,5 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 26,5 % d'inactifs[Note 5],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 14]. Elle compte 693 emplois en 2018, contre 663 en 2013 et 680 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 459, soit un indicateur de concentration d'emploi de 150,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,2 %[I 15].

Sur ces 459 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 156 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 81,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 11,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Montregard Autrefois Montregard Aujourd'hui : Les crois L’ancien Château Le centre Le paysage
Montregard autrefois (place de l'église).
Montregard autrefois (place de l'église).
le calvaire (vue de la route)
le calvaire (vue du côté nord)
Les restes d’un château médiéval (le puits) au hameau du Château.
La mairie
paysage en direction de Dunières
Montregard autrefois (rue du Lizieux).
la croie de Birol
Les restes d’un château médiéval (les fondations) au hameau du Château.
L'église
vue sur le hameau de Cursou depuis la statue de saint Régis
Montregard autrefois (monument aux morts).
une croie (à côté du calvaire)
statue de saint Régis à l’emplacement de l'ancien château
  • Belvédère et Table d'orientation située au calvaire avec vue sur la chaîne des Sucs, le mont Mézenc, le mont Gerbier-de-Jonc, le Lisieux, les monts du Forez ;
  • Les différents lavoirs et fontaines ;
  • Les différentes croix étendues dans toute la commune ;
  • La statue du paresseux à côté de la mairie ;
  • La statue de saint Régis : érigée sur une éminence surplombant le lieu-dit du Château (panorama grandiose). C'est de cet endroit même que saint François Régis a chassé la Peste ;
  • Le four banal (fabrication et vente de pain 4 fois par an) ;
  • La maison de Louise de Romezin ;
  • Le château de Marcoux : ancienne demeure du seigneur de Marcoux et de Louise de Romezin, il fut construit au XVIe siècle, agrandi au XIXe siècle et restauré en 1996 (possibilité de location ; toutes réceptions, mariages, cocktails...) ;
  • Les restes d’un château médiéval (le puits et les fondations) au hameau du Château ;
  • L'église Saint-Jean-Baptiste du XVIIe siècle fréquenté par Saint François Régis et les restes de son cloître transformés en maisons ;
  • Les trois moulins le long du ruisseau le Trifoulou (traduction : Trois moulins en patois local) ;
  • Salle multi-activités (pouvant être loué) ;
  • Nouveau jardin public ;
  • Une école privée (Saint-Joseph) ;
  • Un terrain de football ;
  • Une nouvelle bibliothèque ;
  • La miellerie du Trifoulou à Fours (visite possible) ;
  • Des zones d’activités.
  • Un terrain de jeu dans la commune composé: d’une tyrolienne, d’un toboggan et d’une balançoire;

Manifestations

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  • En août organisé par le comité des fêtes rurales de Montregard :

Matin : vente de pain cuit au feu de bois dans le four à pain du village.

Toute la journée : foire - brocante - animations diverses.

  • Un pique-nique géant avec concours de pétanque et de coinche en juin.
  • Des journées caritatives organisé par le comité des fêtes rurales de Montregard pour le Téléthon et pour différentes associations.
  • Des banquets des classes.
  • Différents matchs de football toute l'année.
  • Organisations de journées par différentes associations (familles rurales...).
  • La fête de la musique en juin.
  • Vente de fleurs en mai.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Montregard ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Montregard » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montregard - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montregard - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montregard (43142) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montfaucon-en-Velay » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montfaucon-en-Velay » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montfaucon-en-Velay » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Montregard et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Montregard et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Montregard et Tence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Montregard », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Montregard et Saint-Romain-Lachalm », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Romain-Lachalm », sur la commune de Saint-Romain-Lachalm - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saint-Romain-Lachalm », sur la commune de Saint-Romain-Lachalm - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Les incidents de la Haute-Loire : Obsèques d'André Régis, à Montregard », Le Petit Journal, supplément illustré, no 803,‎ (lire en ligne).
  16. Gastaut, Yvan, « Le racisme anti-maghrébin et les séquelles de la guerre d'Algérie », Hommes & Migrations, Persée, vol. 1174, no 1,‎ , p. 35–42 (DOI 10.3406/homig.1994.2173, lire en ligne, consulté le ).
  17. « communauté de communes du Pays de Montfaucon - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  18. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  19. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Reginald Henry, « De Jemmapes à l’exil, le général de Banne (1744-1811) », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,‎ .

Articles connexes

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Liens externes

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