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Le Fleix

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Le Fleix
Le Fleix
La mairie au centre du Fleix.
Blason de Le Fleix
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Lionel Lacombe
2023-2026
Code postal 24130
Code commune 24182
Démographie
Population
municipale
1 493 hab. (2021 en évolution de −1,32 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 32″ nord, 0° 14′ 38″ est
Altitude Min. 6 m
Max. 157 m
Superficie 18,05 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Bergerac
(banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de la Force
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Le Fleix
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Le Fleix
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Le Fleix
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Le Fleix

Le Fleix [lə flɛ] est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est connue pour la paix du Fleix qui y fut signée le , au cours des guerres de Religion, et aussi pour être le berceau de la famille de Jacques Reclus.

Géographie

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Généralités

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Plan de 1778.

Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, la commune du Fleix est limitrophe du département de la Gironde. Elle est incluse dans l'unité urbaine de Bergerac et dans son aire d'attraction. Elle est bordée au sud par la Dordogne en un lieu où celle-ci fait une inflexion prononcée. C'est probablement à cette caractéristique que la commune doit son nom qui viendrait du latin flexus[1],[2].

Elle est implantée dans une plaine alluviale, bordée au nord et à l'ouest par des collines argilo-calcaires. Ces dernières obligent la Dordogne à effectuer un quasi demi-tour. En amont de ce méandre, le lit de la rivière, large et peu profond, permettait le passage à gué en période de basses eaux.

Ses coteaux ensoleillés se prêtent particulièrement bien à la culture de la vigne[2].

À l'intersection de la route départementale (RD) 20 (axe Libourne - Bergerac) et de la RD 32 (axe Sainte-Foy-la-Grande - Mussidan)[2] le bourg du Fleix se situe, en distances orthodromiques, quatre kilomètres et demi au nord-est de Sainte-Foy-la-Grande et seize kilomètres au sud-sud-est de Montpon-Ménestérol.

Entre Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt et Saint-Pierre-d'Eyraud, le sentier de grande randonnée GR 6D borde ou traverse le territoire communal sur p!us de dix kilomètres, dont un kilomètre et demi à l'ouest faisant tronçon commun avec le GR 646.

Communes limitrophes

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Le Fleix est limitrophe de quatre autres communes, dont une en Gironde. Au sud-ouest, le territoire de Pineuilh, en Gironde, est éloigné de moins de 350 mètres.


Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Le Fleix est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique du Fleix.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 6 m et 157 m[7],[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[10]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[11],[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,05 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,99 km2[5].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne, la Gouyne, le Barailler, la Charente, la Gane, la Patiole, la Rode, le ruisseau du Bigounin, le ruisseau du Cluzeau, le ruisseau du Peytavit, la Vieille Gouyne et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 42 km de longueur totale[17],[Carte 1].

La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18],[19]. Elle borde la commune au sud sur près de six kilomètres, face à Saint-Avit-Saint-Nazaire.

Défluent de l'Eyraud et affluent de rive droite de la Dordogne, le Barailler, sert de limite naturelle à la commune à l'extrême sud-est sur environ 500 mètres, face à Saint-Pierre-d'Eyraud.

Son affluent de rive droite, la Gouyne, ainsi que son bras occidental appelé la Vielle Gouyne, servent également de limite naturelle au nord-est et à l'est sur cinq kilomètres, face à la même commune.

Au nord-est, le ruisseau du Cluzeau — affluent de rive droite de la Gouyne — forme la limite communale sur près de 800 mètres, face à Monfaucon. Son affluent de rive droite le ruisseau du Bigounin sert de limite territoriale au sud avec Monfaucon sur deux kilomètres et demi.

Quatre autres affluents de rive droite de la Dordogne prennent leur source sur la commune qu'ils baignent :

  • la Gane sur près de cinq kilomètres ;
  • la Charente sur plus d'un kilomètre et demi ;
  • la Patiole sur près de deux kilomètres et demi ;
  • à l'extrême sud-ouest, la Rode qui sert sur toute sa longueur, soit près de deux kilomètres, de limite communale face à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 794 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt à 4 km à vol d'oiseau[25], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

Milieux naturels et biodiversité

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Cygnes sur la Dordogne, en aval du pont.

Natura 2000

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La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Le Fleix[29],[30]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[31].

Le Fleix fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[32],[33], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[34].

Au , Le Fleix est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[36],[37]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[37]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,5 %), cultures permanentes (20,5 %), terres arables (11 %), zones urbanisées (6,3 %), eaux continentales[Note 4] (4,3 %), prairies (3,2 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune du Fleix est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[43]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[44]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2000 et 2008[45],[41]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne », couvrant 9 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[46],[47].

Le Fleix est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[48]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[49],[50].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Fleix.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[51]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[52]. 96,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[53].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005, 2009, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[41].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[55].

En occitan, la commune porte le nom de Lo Flèis[56].

Préhistoire

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À l’époque mésolithique, atelier magdalénien sur les coteaux de Gabastou et de Malivert. À l’âge du fer : tumulus au sommet du coteau de l'Ermitage.

Castrum (l'Ermitage) et plusieurs villas (traces à Malivert, la Brûlerie, etc.).

Pierre de Saffarius.

Époques moderne et contemporaine

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Plaque en hommage à trois résistants maquisards tués le 7 juin 1944.
  • 1577 : séjour de Catherine de Médicis et de sa fille Marguerite de Valois dite la « Reine Margot ».
  • 1580 : au château « vieux », conférences préliminaires au traité du Fleix. La paix du Fleix, ou « paix des amoureux », est signée le , et met fin à la septième guerre de Religion[2].
  • 1591 : abandon du château « vieux » à la mort de Germain-Gaston de Foix, marquis de Tranz, et comte de Gurson et du Fleix.
  • 1620-1630 : construction du château « neuf » pour Frédéric de Foix (petit-fils du marquis de Tranz).
  • 1777 : acquisition par Jean-Louis de Rossane, seigneur des Ondes, Monac, ? de la seigneurie du Fleix.
  • 1783 : levée du plan terrier. Indications des Moulins nef, de la Moulinasse, de la Brûlerie, des Faïenceries.
  • 1794 : début de la destruction du château « neuf »[2].
  • 1805 : transformation du pavillon restant du château « neuf » en temple protestant[2].
  • 1857-1858 : construction du viaduc du Mignon (30 arches)[2] pour supporter la route départementale 20.
  • 1861 : construction du port.
  • 1881 : construction de la rampe d'accès au bac.

Le , trois jeunes maquisards de la commune sont tués par les Allemands[57].

Le , six Juifs de Sainte-Foy-la-Grande sont arrêtés par des Français portant un uniforme allemand, puis assassinés le lendemain au Fleix, dans le bois de Souléiou[58].

Politique et administration

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Intercommunalité

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Fin 2001, Le Fleix intègre dès sa création la communauté de communes Dordogne-Eyraud-Lidoire. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[59],[60].

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981 ? René Chauvin    
         
  2001 Philippe Averseng    
mars 2001 mars 2008 Jacques Dessaigne    
mars 2008 mars 2014 François Dupuy SE[61] Retraité de la gendarmerie
mars 2014 avril 2016[Note 7] Marie-Claude Serres[62]   Enseignante retraitée
juillet 2016 avril 2023 Lionel Filet[Note 8] DVG Retraité administration publique
avril 2023 juin 2023 Lionel Lacombe   Premier adjoint faisant fonction de maire
Agriculteur
juin 2023[63] En cours Lionel Lacombe   Agriculteur

Équipements et services publics

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Enseignement

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École publique.

Le Fleix compte deux écoles[2] :

Le Fleix présente une offre de soins importante grâce à son Pôle médical et paramédical du Vignoble[65]. Depuis , ce dernier réunit une vingtaine de professionnels de santé : médecins généralistes, kinésithérapeutes, pharmacien, ostéopathe, chirurgien-dentiste, psychologue, pédicure podologue…

Dans le domaine judiciaire, Le Fleix relève[66] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[68].

En 2021, la commune comptait 1 493 habitants[Note 9], en évolution de −1,32 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3961 1871 1681 2861 6001 5051 5521 5201 507
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5261 5091 5111 4171 4421 4231 3011 2151 258
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2681 2091 1871 1271 1191 1591 2031 1861 188
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1291 2531 2241 2411 2781 3451 4081 4251 487
2018 2021 - - - - - - -
1 4791 493-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[69].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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  • Floralies au port du Fleix (en mai ou juin).
  • Fête votive, traditionnellement le 1er week-end d'août (130e édition en 2024)[70].

Le village compte un certain nombre d'associations sportives :

  • Aikido
  • Judo : Judo-club fleixois.
  • Tennis : Tennis-club fleixois.
  • Jeux d'échecs : « La Tour infernale ».

Parmi les infrastructures, on trouve un stade municipal et des terrains de tennis.

L'intérieur du temple protestant.
  • Église catholique
  • Église protestante - église réformée
Coureau chargé de barriques au port du Fleix en 1913.
L'ancien port du Fleix de nos jours.

Le port fut très actif avec le transport du vin et du bois.

Autrefois tournée vers la rivière, l'économie est maintenant surtout vinicole. On compte notamment la Cave coopérative de l’Union vinicole de Bergerac, ainsi que des exploitations de fruits et légumes.

Commerces et services

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Nombreux commerces et services de proximité : alimentation générale, pharmacie, boulangerie, boucherie, restaurant, bar-tabac-presse-loto, électroménager, coiffeur, motoculture, garage auto… La ville peut aussi compter sur la présence d'artisans : maçon, électricien, chauffagiste, peintre, entreprise de nettoyage, artificier.

Un marché a lieu chaque jeudi matin[2].

En 2015[71], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 609 personnes, soit 40,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (74) a augmenté par rapport à 2010 (57) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,2 %.

Établissements

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Au , la commune compte 139 établissements[72], dont 72 au niveau des commerces, transports ou services, vingt-sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, douze dans la construction, et onze dans l'industrie[73].

Entreprises

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  • Dans le secteur des services, parmi les entreprises ayant leur siège social en Dordogne, la « SARL Brézac artifices » (activités récréatives et de loisirs), implantée au Fleix, se classe 12e avec 7 655 k€, quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[74].
  • La « Briqueterie Durand Art et Sol » est la dernière tuilerie du département. Labellisée Entreprise du patrimoine vivant depuis 2013, elle est spécialisée dans les carrelages et terres cuites, notamment pour la réfection d'édifices protégés au titre des monuments historiques[75]. Elle a cessé son activité en après que sa facture de gaz annuelle est passée de 3 000 à 20 000 euros[76].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Il y eut deux châteaux, le château médiéval « dit château vieux » qui fut détruit après 1591, dont il reste un vestige de la muraille, et le château « neuf » construit au XVIIe siècle et qui fut la demeure occasionnelle de Frédéric de Foix. Il fut vendu à la Révolution française, servit un temps de carrière de pierre et finalement en 1805 devint le temple protestant, inscrit au titre des monuments historiques en 1968[77] (dans le pavillon principal du second château) XVIIe siècle. Consacré en 1805. Son état actuel date de 1899.

La commune compte plusieurs autres monuments ou lieux d'intérêt :

  • l'église Saint-Étienne, romane agrandie en 1854 dans le style néogothique ;
  • le viaduc du Mignon (1857-1858) ;
  • le pont sur la Dordogne ;
  • le port est déjà attesté dans la charte de 1403. Son état actuel date de son aménagement en 1861 ;
  • la rue du Port, avec ses maisons anciennes et pittoresques, typiques de la région, et ses trois mystérieux canons plantés dans le sol[2].
  • circuit de visite à pied illustré par un réseau de panneaux historiques en français, anglais, occitan. Par exemple, sur les berges, l'un d'eux est installé près d'une passerelle enjambant un ruisseau ; il rappelle la présence du moulin du seigneur, ou « moulinasse », sans doute construit à l'époque du château « neuf », vendu comme bien national à la Révolution, utilisé jusqu'à la fin du XIXe siècle et depuis réaménagé en logement privé[78].

Personnalités liées à la commune

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Plaque en hommage à Jean-Jacques Gourd, Isaac Gourd et Émilie Gourd.
  • Jean-Jacques Gourd (1850-1909), pasteur et philosophe, recteur de l'université de Genève, est né au Fleix. Son père Isaac Gourd fut instituteur dans cette commune de 1844 à 1869. La fille de Jean-Jacques Gourd est la féministe Émilie Gourd (1879-1946). Une plaque commémorative leur rend hommage rue de la Passagère, au croisement avec la rue du Port-et-des-Canons.
  • Jacques Reclus (1796-1882), né au Fleix, est un pasteur protestant.
  • Marie Médard (1921-2013), bibliothécaire et résistante française, a passé son enfance au Fleix, où son père était pasteur protestant.

Distinctions culturelles

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Le Fleix fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'or à la croix de sable chargée de cinq coquilles d'argent, et aux deuxième et troisième quartiers de sinople à un chevron diminué d'argent, surmonté d'un pont à quatre arches de même.
Commentaires : Le conseil municipal a adopté les armoiries du Fleix le 20 juin 1997. Le chevron symbolise la courbure de la Dordogne à l'endroit où se trouve Le Fleix, le pont représente le viaduc du Mignon. D'or à la croix de sable chargée de cinq coquilles d'argent est le blason de Jean Ier de Grailly, avec l'accord de sa famille[79].

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Abbé Th. Pécout, curé du Fleix, Souvenirs Historiques & Biographiques sur la Contrée du Fleix, 1884. Réédition Graphie-service, 24150 Bayac, 1986.
  • Léonie Gardeau, Gurson Montaigne Terres d'Histoire, Éditions du Roc de Bourzac, 1992.
  • Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[54].
  7. Décédée en fonctions. Source : V.D., « Marie-Claude-Serres, maire du Fleix, n'est plus », Sud Ouest édition Périgueux, 21 avril 2016, p. 13.
  8. Démissionnaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique du Fleix » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Christian Chevillot et Eneko Hiriart, « L' oppidum gaulois de Malivert (Le Fleix). Nouvelles observations », Documents d'archéologie et d'histoire périgourdines, no 35,‎ , p. 131 (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  2. a b c d e f g h i et j « Historique », sur lefleix.fr (consulté le ).
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique du Fleix » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune du Fleix », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune du Fleix », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  17. « Fiche communale du Fleix », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  18. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'Ambès » sur Géoportail (consulté le 1 août 2022)..
  19. Sandre, « la Dordogne »
  20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  24. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  26. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  28. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  32. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  33. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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