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École militaire interarmes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis EMIA)
École militaire interarmes
Histoire
Fondation
1942
1961
Statut
Type
Nom officiel
École militaire interarmes
Directeur
Lieutenant-colonel Frédéric Chamault
Devise
Le travail pour loi,
l'honneur comme guide
Membre de
Site web
Localisation
Pays
Campus
Camp de Coëtquidan
Ville
Localisation sur la carte du Morbihan
voir sur la carte du Morbihan
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France

En France, l'École militaire interarmes (E.M.IA.) est l'école militaire chargée de la formation des officiers de l'Armée de Terre issus du recrutement interne, c'est-à-dire issus des rangs des sous-officiers et des militaires du rang. L'E.M.IA. est l'équivalent de l'École militaire de l'Air (E.M.A.) de l'Armée de l'Air et de l'Espace et de l'École militaire de la Flotte (E.M.F.) de la Marine nationale. Sa devise est « Le travail pour loi, l'honneur comme guide ».

L'E.M.IA. est implantée à Guer (Morbihan) et fait partie de l'Académie militaire de Saint-Cyr / Coëtquidan (A.M.S.-C. / C.) tout comme l'Ecole spéciale militaire (E.S.M.), chargée la formation des officiers de l'armée de Terre issus du recrutement externe, et l'Ecole militaire des aspirants de Coëtquidan (E.M.A.C.) chargée, entre autres, de la formation des officiers sous contrat.

Elle relève du commandement des écoles de Coëtquidan et de la direction des ressources humaines de l'Armée de terre (DRHAT).

L'EMIA recrute ses élèves parmi les sous-officiers d'active et les militaires du rang (depuis 2010) sélectionnés par concours. Les élèves-officiers suivent une formation de deux ans. À l'issue de la première année, ils sont nommés au grade de sous-lieutenant, puis de lieutenant à la fin de la seconde année. Les lieutenants nouvellement promus complètent alors leur formation pendant une année supplémentaire dans l'école d'application de leur choix (Draguignan pour l'artillerie et l'infanterie, Saumur pour l'arme blindée-cavalerie, Angers pour le génie, etc.)[1].

L'EMIA est l'héritière des différentes « écoles d'armes » du XIXe siècle, qui formaient des officiers issus des corps de troupe.

La plus importante de ces écoles d'armes, l’école militaire d'infanterie de Saint-Maixent (EMI), est fusionnée avec l'école spéciale militaire de Saint-Cyr (ESM) en novembre 1942 dans l'école des élèves-aspirants de Cherchell, créée après l'occupation allemande de la zone Sud. En décembre 1944 l'École militaire de Cherchell prend le nom d’« École militaire interarmes » (EMIA). Elle s'installe après la guerre en juin 1945 à Coëtquidan, les bâtiments de l'ancienne école de Saint-Cyr, à Saint-Cyr-l'École ayant été détruits dans des bombardements.

La nouvelle école, qui prend en 1947 le nom d'« École spéciale militaire interarmes » (ESMIA), forme à la fois, selon l'idée d'amalgame de son fondateur le général de Lattre de Tassigny, des officiers issus du concours externe et des officiers issus du recrutement interne.

Ce système fonctionne jusqu'en 1961, date à laquelle on sépare la formation des officiers « directs », confiée à la nouvelle école spéciale militaire de Saint-Cyr (ESM), et celle des officiers « semi-direct », confiés à l'EMIA[2]. Selon Michel Goya[3], cette dissociation s'explique par la volonté de préserver les jeunes « directs » du contact avec les vétérans de la guerre d'Algérie, l'objectif étant de faire table rase d'un passé traumatisant pour construire une armée nouvelle et résolument moderne.

Recrutement

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Insigne de béret de l'EMIA.

Longtemps, les candidats ont été sélectionnés à l'École militaire de Strasbourg. L'EMS comportait deux filières : le bataillon du concours unique des services (CUS) et le peloton préparatoire au concours de l'EMIA (PPEMIA). Les élèves de l'EMS avaient également la possibilité de se présenter à un concours d'ingénieurs auxiliaires de l'armement[Quoi ?].

Aujourd'hui

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Le concours pour entrer à l'École militaire interarmes[4] nécessite quatre conditions : être âgé de 35 ans maximum, être titulaire d'un baccalauréat (admission sur concours) ou d'une licence (admission sur titre), être militaire non-officier de trois ans de service minimum au 1er janvier de l'année du concours et enfin être apte physiquement.

Les épreuves dépendent du choix de la filière pour les épreuves écrites. Les épreuves orales et physiques sont communes à toutes les filières. Après s'être inscrit au concours dans son unité, le candidat doit choisir l'une des trois filières pour l'examen : sciences (SI), langues (L), économie (ES). Ensuite, les candidats doivent d'abord passer une série d'épreuves écrites pour être admissibles, puis passer une série d'oraux et d'épreuves physiques pour être admis.

  1. Les épreuves écrites[5] sont constitués de deux épreuves communes. Une épreuve de synthèse d'une durée de quatre heures, l'épreuve consiste en une synthèse portant sur un sujet relatif au monde de la défense, il s'agit de vérifier l'aptitude du candidat à analyser et à rédiger. Une épreuve de langue anglaise d'une durée de deux heures, l'épreuve écrite de langue anglaise comporte deux parties. Elle vise à vérifier la compétence linguistique et l'expression écrite. Puis, en fonction de la filière, deux épreuves spécifiques, pour les SI, il s'agit d'une épreuve de mathématiques et d'analyse de processus d'une durée de quatre heures et d'une épreuve de sciences physiques d'une durée de quatre heures. Pour les L, il s'agit d'une épreuve d'histoire des relations internationales et géopolitique d'une durée de quatre heures et d'une épreuve de langue vivante autre que l'anglais d'une durée de trois heures. Pour les ES, il s'agit d'une épreuve de sciences économiques d'une durée de trois heures et d'une épreuve de mathématiques appliquées d'une durée de trois heures[6].
  2. Les épreuves orales[7] sont communes à toutes les filières. La première épreuve est une épreuve d'aptitude aux fonctions d'officiers, cette épreuve comporte un entretien du candidat avec le président du jury, une personnalité scientifique ou universitaire et un officier supérieur examinateur sur un sujet tiré au sort de culture générale. La seconde épreuve est une épreuve de connaissances militaires, cette épreuve consiste en une interrogation orale de chaque candidat par le colonel adjoint du président et deux officiers supérieurs examinateurs. La dernière épreuve est une épreuve de langue anglaise. Il existe aussi une épreuve de langue vivante optionnelle[6].
  3. Les épreuves physiques consistent à grimper une corde (l'épreuve consiste à grimper en style libre deux fois une hauteur de cinq mètres mesurée à partir du sol dans les délais les plus courts), un test de type « Cooper », effectué sur piste, une épreuve de natation de 100 mètres nage libre et 10 mètres en apnée (en piscine, avec ou sans virage, après un départ plongé ou sauté depuis le plot de départ), une épreuve d'abdominaux et enfin un parcours d'obstacle[6].

Il existe aussi un concours sur titre pour les personnels déjà titulaires d'un diplôme de niveau minimum de baccalauréat plus deux ans. Les élèves sélectionnés ne passent pas les épreuves écrites et vont directement passer les épreuves orales et physiques[8].

Diplômes universitaires

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Tous les élèves officiers obtiennent à leur sortie de l’école le diplôme de l’Ecole Militaire Interarmes qui leur confère le grade de licence (180 ECTS), validé par le ministère de l’enseignement et de la recherche[9].

Stages, diplômes et brevets spécifiques

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Dans le même temps, les élèves officiers passent de nombreux stages militaires qui leur donnent des qualifications spécifiques :

Cérémonie de remise des sabres et casoars aux élèves officiers des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan en 2011.

Le drapeau de l'école militaire interarmes porte sur sa cravate la croix de chevalier de la Légion d'Honneur (depuis 2011), la croix de guerre 1939-1945 avec palme et la croix de guerre TOE avec palme. En outre la croix de guerre 1939-1945 avec palme de l'école militaire de Cherchell est également épinglée sur cette cravate (elle comporte, en plus de la palme, une agrafe marquée « Cherchell »).

Les élèves de l'EMIA sont surnommés les « dolos », d'après la marque de corned beef des anciennes rations de combat qui représente un bœuf (un « bœuf » étant en langage argotique militaire un soldat rustique, dur à la tâche et pas toujours très fin). Les élèves de l'EMIA ont commencé à revendiquer cette appellation dans le courant des années 1970. Lors des cérémonies, ils portent la Tenue de Parade, dite « TP », ainsi que le sabre modèle 1974 F1 inspiré du Sabre de cavalerie légère modèle An IX. Il fut dessiné par le général de Boissieu. Lors des activités de tradition ils portent le calot bleu ciel[10] a fin liseré et fond rouge, hérité de l'ESMIA. Malgré une légende tenace, ils ne portent pas celui des cadets de l'École de Cherchell, qui comporte, lui, un fin liseré jonquille.

Les chants de tradition de l'EMIA sont La Prière, Sarie Marès et le Dolo Cornu[11].

Une phrase populaire : « Dolo un jour, Dolo toujours ! ».

Conservation des archives

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Début 2016, afin de permettre la conservation des archives numériques des promotions de l'École militaire interarmes, la 54e promotion a créé un site internet permettant d'archiver les sites des promotions afin d'éviter les disparitions malencontreuses de cet historique[12],[13].

Promotion EMIA / ESMIA avant 1961

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Promotion EMIA - École de CHERCHELL
1re 1944-1945 Promotion Rhin Français
Promotions EMIA - Saint-Cyr Coëtquidan
1re 03/07/1945 - 16/12/1945 Promotion VICTOIRE[14]
2e 05/03/1946 - 01/05/1947 Promotion INDOCHINE[15]
Promotions ESMIA - Saint-Cyr Coëtquidan
1re 1945 - 1947 Promotion NOUVEAU BAHUT[16]
2e 1946 - 1948 Promotion Général LECLERC
3e 1947 - 1949 Promotion RHIN ET DANUBE[17]
4e 1948 - 1950 Promotion Général Aubert Frère[18]
5e 1949 - 1951 Promotion GARIGLIANO[19]
6e 1950 - 1952 Promotion EXTREME-ORIENT[20]
7e 1951 - 1953 Promotion Maréchal DE LATTRE
8e 1952 - 1954 Promotion Union Française
9e 1953 - 1955 Promotion Ceux de Diên Biên Phu
10e 1954 - 1956 Promotion Lieutenant-colonel AMILAKVARI
11e 1955 - 1957 Promotion Franchet d'Espèrey
12e 1956 - 1958 Promotion Général LAPERRINE
13e 1957 - 1959 Promotion Terre d'Afrique
14e 1958 - 1960 Promotion Maréchal BUGEAUD[21]
15e 1959 - 1961 Promotion Lieutenant-colonel JEANPIERRE[22]

Promotions EMIA depuis 1961

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Élèves de l'École militaire interarmes pendant le défilé du 14 juillet 2007 sur les Champs-Élysées.
Promotions à un an :
1er 1961-1962 Capitaine Bourgin[23]
2e 1962-1963 Serment de Koufra
3e 1963-1964 Belvédère[24]
4e 1964-1965 André Zirnheld[25].
5e 1965-1966 Cinquantenaire de Verdun
6e 1966-1967 Connétable du Guesclin[26]
7e 1967-1968 Narvik[27]
8e 1968-1969 Libération de Strasbourg[28].
9e 1969-1970 Plateau des Glières[29].
10e 1970-1971 Général Kœnig[30].
11e 1971-1972 Souvenir[31]
12e 1972-1973 Général Marceau[32]
13e 1973-1974 Général Brosset[33]
14e 1974-1975 Capitaine Cazaux[34]
15e 1975-1976 Capitaine Cardonne[35]
16e 1976-1977 Capitaine de Belsunce[36]
17e 1977-1978 Lieutenant Chezeau[37]
18e 1978-1979 Général Laurier
19e 1979-1980 Lieutenant-colonel Broche[38]
20e 1980-1981 Capitaine Cozette[39]
21e 1981-1982 Centenaire[40]
22e 1982-1983 Lieutenant Leclerc de Hauteclocque
23e 1983-1984 Lieutenant Borgniet[41].
24e 1984-1985 Lieutenant Bernard de Lattre de Tassigny.
25e 1985-1986 Lieutenant Lhuillier][42].
Les gardes au drapeau de l'École militaire interarmes (EMIA) et de l'École militaire du corps technique et administratif (EMCTA), défilé du sur les Champs-Élysées, Paris. Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, remettra, le , la Croix de la Légion d'honneur au drapeau de l’EMIA, à l’occasion de la journée du Cinquantenaire de cette école.
Promotions à deux ans :
26e 1986-1988 Dalat[43]
27e 1987-1989 Capitaine Legrand[44]
28e 1988-1990 Valmy
29e 1989-1991 Bataillon de Corée[45].
30e 1990-1992 Général Daboval
31e 1991-1993 Capitaine Barrès[46]
32e 1992-1994 Combats de Tu-Lê
33e 1993-1995 Capitaine Maine
34e 1994-1996 Cadets de Cherchell
35e 1995-1997 Lieutenant Schaffar[47]
36e 1996-1998 Général Gandoët[48]
37e 1997-1999 Grande Guerre
38e 1998-2000 Général Berge[49]
39e 1999-2001 Campagne d'Italie
40e 2000-2002 Capitaine Coignet
41e 2001-2003 Capitaine Biancamaria[50]
42e 2002-2004 Lieutenant de Ferrières
43e 2003-2005 Général de Lanlay
44e 2004-2006 Colonel Guéguen[51]
45e 2005-2007 Colonel Delcourt
46e 2006-2008 Lieutenant Antoine de la Bâtie[52]
47e 2007-2009 Général de Corps d'armée Alain Le Ray
48e 2008-2010 Capitaine Flores
49e 2009-2011 Colonel du Puy-Montbrun[53]
50e 2010-2012 Général Bigeard
51e 2011-2013 Maréchal Bessières
52e 2012-2014 Ceux d'Afghanistan[54]
53e 2013-2015 Général Delayen[55]
54e 2014-2016 Lieutenant Nungesser[56]
55e 2015-2017 Colonel Vallette d'Osia[57]
56e 2016-2018 Lieutenant-colonel Mairet[58]
57e 2017-2019 Général Lucien Le Boudec
58e 2018-2020 Uskub[59]
59e 2019-2021 Armée des Alpes[60]
60e 2020-2022 Général Eblé[61]
61e 2021-2023 Gergovie[62]
62e 2022-2024 Chef de bataillon Dupin[63]
63e 2023-2025 Ceux du Sahel[64]

Culture populaire

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En , paraît le premier album d'une bande dessinée consacrée à l'EMIA :

  • Nelson Castillo, Matthieu Sylvain, Rémi Le Capon et Patrice Buendia, EMIA : Frères d'armes, Paris/Marcinelle/impr. en Belgique, Zéphyr Éditions, , 56 p. (ISBN 978-2-36118-194-9)

Notes et références

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  1. « Scolarité de l’Ecole Militaire Interarmes. », sur st-cyr.terre.defense.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Historique de l’Ecole Militaire Interarmes. », sur st-cyr.terre.defense.gouv.fr (consulté le ).
  3. Michel Goya, Sous le feu, Tallandier, , p.229.
  4. « Le concours pour entrer à l'École Militaire InterArmes : Condition d'accés ».
  5. « Le concours pour entrer à l'École Militaire InterArmes : épreuves écrites ».
  6. a b et c « Concours sur épreuves d'admission à l'école militaire interarmes » [PDF].
  7. « Le concours pour entrer à l'École Militaire InterArmes : épreuves orales ».
  8. « Concours sur titres d'admission à l'École militaire interarmes » [PDF].
  9. « Qualifications et diplômes à l'EMIA. », sur st-cyr.terre.defense.gouv.fr (consulté le ).
  10. Le port de ce calot a été réintroduit à l'EMIA en 1988 par la Promotion VALMY sur proposition de l'EOA LABROSSE.
  11. « Les Chants de l'EMIA », sur dolos.chez.com (consulté le ).
  12. « Le mamouth: Un nouveau chantier pour la Nungesser », sur lemamouth.blogspot.fr (consulté le ).
  13. « L'EMIA face au devoir de conservation du patrimoine des promotions », sur lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr (consulté le ).
  14. « Page de la promotion Victoire - Site promotions E.M.I.A. ».
  15. « Page de la promotion Indochine - Site promotions E.M.I.A. ».
  16. « Page de la promotion Nouveau Bahut - Site promotions E.M.I.A. ».
  17. « Page de la promotion Rhin et Danube - Site promotions E.M.I.A. ».
  18. « Page de la promotion Général FRERE - Site promotions E.M.I.A. ».
  19. « Page de la promotion Garigliano - Site promotions E.M.I.A. ».
  20. « Page de la promotion Extrême Orient - Site promotions E.M.I.A. ».
  21. « Page de la promotion Maréchal BUGEAUD - Site promotions E.M.I.A. ».
  22. « Page de la promotion Lieutenant-colonel JEANPIERRE - Site promotions E.M.I.A. ».
  23. « Page de la promotion Capitaine Bourgin - Site promotions E.M.I.A. ».
  24. « Page de la promotion Belvédère- Site promotions E.M.I.A. ».
  25. « Site de la promotion Zirnheld ».
  26. « Site de la promotion Connétable du Guesclin - Site promotions E.M.I.A. ».
  27. « Page de la promotion Narvik - Site promotions E.M.I.A. ».
  28. « Page de la promotion Libération de Strasbourg - Site promotions E.M.I.A. ».
  29. « Page de la promotion Plateau des Glières - Site promotions E.M.I.A. ».
  30. « Site de la promotion Général Kœnig ».
  31. « Page de la promotion Souvenir - Site promotions E.M.I.A. ».
  32. « Page de la promotion Général Marceau ».
  33. « Site de la promotion Général Brosset ».
  34. « Site de la promotion Capitaine Cazaux ».
  35. « Site de la promotion Capitaine Cardonne ».
  36. « Site de la promotion Capitaine de Belsunce ».
  37. « Site de la promotion Lieutenant Chezeau ».
  38. « Page de la promotion Lieutenant-colonel Broche - Site promotions E.M.I.A. ».
  39. « Site de la promotion Capitaine Cozette ».
  40. « Site de la promotion Centenaire ».
  41. « Page de la promotion Lieutenant Borgniet - Site promotions E.M.I.A. ».
  42. « Page de la promotion Lieutenant Lhuillier - Site promotions E.M.I.A. ».
  43. « Page de la promotion Dalat ».
  44. « Site de la promotion Capitaine Legrand ».
  45. « Page de la promotion Bataillon de Corée - Site promotions E.M.I.A. ».
  46. « Site de la promotion Capitaine Barrès ».
  47. « Site de la promotion Lieutenant Schaffar ».
  48. « Page de la promotion Général Gandoët ».
  49. « Page de la promotion Général Berge ».
  50. « Site de la promotion Capitaine Biancamaria ».
  51. « Page de la promotion Colonel Guéguen ».
  52. Le nom est à portée symbolique, Antoine-Dejean-de-la-Bâtie fait partie des victimes de l'attentat du poste Drakkar en 1983 à Beyrouth durant la guerre du Liban. Voir « "Nous saluerons le Président, pas el-Assad" », sur Le JDD, et « 20 heures de France 2 [9e minute] », sur YouTube / INA, .
  53. « Page de la promotion Colonel du Puy-Montbrun ».
  54. « Page de la promotion Ceux d'Afghanistan ».
  55. « Page de la promotion général Delayen », sur promotions-emia.fr.
  56. « Site de la promotion Lieutenant Nungesser », sur emia54.promotions-emia.fr.
  57. « Site de la promotion Colonel Vallette d'Osia », sur emia55.fr.
  58. « Site de la promotion Lieutenant-colonel MAIRET », sur emia56.promotions-emia.fr.
  59. Chant de la Promotion 2018-2020 : Uskub, 24 juillet 2019, (écouter en ligne) (nISSM)
  60. « Page de la promotion Armée des Alpes », sur promotions-emia.fr.
  61. « Page de la promotion Général Eblé », sur promotions-emia.fr.
  62. « Page de la promotion Gergovie », sur promotions-emia.fr.
  63. « Page de la promotion Chef de bataillon DUPIN », sur promotions-emia.fr.
  64. « Page de la promotion Ceux du Sahel », sur promotions-emia.fr.

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Bibliographie

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  • Ministère de la Défense, Force et Courage : histoire et traditions de l'École militaire interarmes de 1873 à nos jours, Guer, École militaire interarmes, , 125 p. (ISBN 978-2-11-089165-5 et 2-11-089165-3)

Articles connexes

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Liens externes

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