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Brech

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Brec'h
Brech
La chapelle Notre-Dame-de-Grâce.
Blason de Brec'h
Blason
Brech
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
Maire
Mandat
Fabrice Robelet
2020-2026
Code postal 56400
Code commune 56023
Démographie
Gentilé Bréchois, Bréchoise
Population
municipale
6 924 hab. (2021 en évolution de +3,95 % par rapport à 2015)
Densité 169 hab./km2
Population
agglomération
43 981 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 43′ 17″ nord, 2° 59′ 40″ ouest
Altitude 45 m
Min. 0 m
Max. 66 m
Superficie 40,86 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Auray
(banlieue)
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pluvigner
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Brec'h
Géolocalisation sur la carte : France
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Brec'h
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
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Brec'h
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Brec'h
Liens
Site web Site officiel
Vue du parc du Domaine de Mane Er Hoêt

Brec'h [bʁɛk] (nommée également Brech) est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie

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Communes limitrophes

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Description

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Relief et hydrographie

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Le relief de la commune forme un plan incliné vers le sud-est, les altitudes variant entre 66 mètres (au nord-ouest du finage communal, près de Mané er Groëz, et le niveau de la mer atteint dans l'angle sud-est du territoire communal, là où le Loc'h quitte le territoire communal au niveau du pont ferroviaire de Toul er Goug. Le bourg est vers 50 mètres d'altitude, excentré dans la partie est de la commune.

Le Loc'h (Amont de la Rivière d'Auray)

Le territoire communal a la forme d'un grand rectangle dont la longueur est dans le sens nord-sud. Il est limité à l'est par le Loc'h (partie amont de la Rivière d'Auray), qui sert de limite communale avec Pluneret, et son affluent de rive droite le Ruisseau de Pont-Christ, qui sépare Brech de Pluvigner côté nord. À l'est de la commune, le Ruisseau de Tréavrec (affluent du Ruisseau de Kerlino) sépare Brech de Landaul et le Ruisseau de l'Étang du Crannic, qui alimente l'Étang du Crannic ; c'est aussi un affluent du Ruisseau du Moulin de Cochelin, tous les deux servant un temps de limite communale avec Locoal-Mendon : ces modestes cours d'eau se jetant dans l'extrême-nord-est de la Rivière d'Étel. La vallée du Loc'h présente un relief rocheux assez accidenté par endroits, présentant un dénivelé de près d'une trentaine de mètres, notamment vers Tréauray.

La vallée du Loc'h au niveau de la commune de Brech

Paysages et habitat

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La commune de Brech présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formées de hameaux (dénommés villages) et fermes isolées. Mais ce paysage a été fortement modifié depuis la seconde moitié du XXe siècle par la périurbanisation , notamment dans la partie sud-est de la commune, autour de la Chartreuse d'Auray (l'agglomération d'Auray déborde côté nord au-delà de la voie ferrée qui sert à cet endroit de limite communale) dans les quartiers de Kerlois, Kerblois et Kerberluet et côté ouest (Quartier de la Paix, Toul Chignanet, Léaulet). Dans une moindre mesure, la périurbanisation concerne aussi les alentours du bourg de Brech. La rurbanisation concerne plusieurs hameaux qui ont beaucoup grossi par la création de lotissements ou de maisons individuelles à leur périphérie, comme Bonerfaven. Lann Palvern, Lannerheü, ou des créations de lotissements ex nihilo, sans hameau préexistant, comme à Corn er Hoët, lotissement constitué de vastes parcelles constituant un cadre de vie agréable (menacé par les nouvelles dispositions du Plan local d'urbanisme selon des résidants)[1]. Les parties nord et nord-ouest du territoire communal ont davantage conservé leur caractère rural traditionnel, comme ceux de Trévec, Calan, Kerguibran, etc.., ou encore celui de Saint-Dégan, situé, lui, au sud-est du bourg, à proximité de la vallée du Loc'h.

Le territoire communal est traversé par plusieurs voies ferrées, principalement celle de Paris-Montparnasse à Quimper, mais aussi la ligne d'Auray à Pontivy d'une part, la Ligne d'Auray à Quiberon d'autre part, qui s'embranchent sur la ligne principale et s'en séparent sur le territoire de Brech. La gare d'Auray était même située sur le territoire de Brech avant les modifications territoriales survenues en 1864 ; elle reste limitrophe de Brech désormais.

La voie express RN 165, de Nantes et Vannes à Lorient et Quimper, traverse la partie sud-ouest de la commune, qui est desservie par l'échangeur n°34, dit de Kerstran, au niveau duquel s'embranche la RD 768 (ancienne Route nationale 168), qui traverse la commune en passant à l'ouest du bourg et continue en direction de Pluvigner, Baud et Pontivy.

La zone d'activités industrielles et commerciales de Kerstran s'est développée aux alentours de cet échangeur.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auray à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Lieux-dits et écarts

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Il existe de nombreux écarts et lieux-dits dont la plupart sont habités. Saint-Dégan (Saint-Dégan (en 1427), Cendegan (en 1815), Saint-Dégan (en 1839) est le plus vaste hameau de la commune de Brec'h, peut-être fondé, au VIe siècle, par saint Dégan[9], disciple de saint Pétroc de Bodmin (ou saint Perreux, Perec ou Pereg en breton). Au XVe siècle Cendegan est une frairie, sous le patronage de saint Laurent. (Il est mentionné, une ancienne chapelle Saint-Laurent datant de 1890)

  • Bonerfaven
  • Le Beudrec
  • Botergollec
  • Brégoharne
  • Brézéhan
  • Calan
  • Corn er Hoet
  • Kerberdery
  • Kerdrain
  • Keryaquer ( ou Keriaquer )
  • Kerglas
  • Kergornic
  • Kerguéro
  • Kerizan
  • Kermané
  • Kermainguy
  • Kerstran
  • Kervalh
  • Lann er Rheu
  • Lann Palvern
  • Mané-Salut
  • Magouero la lande
  • Penhoet
  • Saint-Dégan
  • Saint-Guérin (1676 : Saint-Quirin, 1676 : Saint-Quirin, XVIIIe siècle : Digantel, 1815 : Rigantêl, 1839 : Saint Guérin)
  • Tréavrec
  • Treumer
  • Toulchignanet


Au , Brech est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Auray[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,9 %), terres arables (31,2 %), forêts (16,8 %), zones urbanisées (6,6 %), prairies (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), eaux continentales[Note 4] (1,4 %), zones humides côtières (1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Préhistoire et Antiquité

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Le lec'h christianisé de Saint-Dégan.

Deux dolmens ruinés se trouvent sur le territoire communal, l'un à Kerhouarin, l'autre à Brégoarn. Un lec'h, christianisé par des gravures, se trouve à Saint-Dégan, où il sert de pilier d'angle à un bâtiment[18].

Un dépôt gaulois a été mis au jour en 1888 près du village de Guervec. Daté du Ier siècle av. J.-C., le dépôt, attribué aux Vénètes, contient un ensemble de petits billons armoricains et d'objets de parure en pâte de verre polychrome et métallique, en bronze et en or[19].

La voie romaine allant de Vannes à Quimper passait par Saint-Dégan, puis au nord de la Villeneuve et au sud de l'étang du Crannic[20].

Au XIIe siècle la paroisse de Brech perd 149 hectares au profit de la paroisse nouvellement créée de Saint-Gildas-d'Auray[20].

Le prieuré de femmes de Notre-Dame de Kerléano, dépendant de l'abbaye de Saint-Sulpice du diocèse de Rennes, fut fondé à la fin du XIIe siècle ; à une date indéterminée les religieuses furent rappelées à l'abbaye-mère, qui conserva toutefois le bénéfice de Kerléano et de biens l'entourant jusqu'à la Révolution[20].

Un trésor de Brec'h, dissimulé entre 1322 et 1328, comprenait des monnaies royales anglaises et françaises en nombre quasiment égal[21].

Le , la bataille d'Auray se déroule sur le plateau de Rostevel, près du marais de Kerzo sur le territoire de la paroisse de Brech.

Le futur duc Jean de Montfort[22] triomphe de son rival Charles de Blois. Celui-ci est tué, tandis que son second, le chevalier Bertrand Du Guesclin, est fait prisonnier. Cette victoire met fin à la guerre de Succession de Bretagne. Jean de Montfort, désormais Jean IV de Bretagne, fonda le une chapelle, nommée "Saint-Michel-du-Champ", dotée de 8 chapelains (leur cédant notamment pour leur entretien la châtellenie de Lanvaux), à l'endroit où s'étaient déroulés les combats, « afin d'importer la miséricorde de Dieu pour ceux qui avaient perdu la vie ». Cette chapelle était aussi destinée à accueillir les assemblées de l'Ordre de l'Hermine, qu'il créa alors[23]. Le duc François II donna en 1480 la capelle et l'établissement religieux aux Chartreux ; il prit alors le nom de "Chartreuse d'Auray".

Époque moderne

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La paroisse, qui dépendait du doyenné de Pou-Belz, faisait partie des relais mentionné en 1648 sur la carte des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Elle possédait 11 chapelles ( Notre-Dame-des-Fleurs (dans le bourg), Saint-Jacques (proche du bourg), Sainte-Marie-Madeleine, Saint-Goal (hameau de Calan), Saint-Laurent (à Saint-Dégan), Saint-Clément (près de Kerhouarin), Notre-Dame-de-Grâces ( à Tréavrec), Saint-Quirin (à Saint-Guérin), Saint-Pierre-et-Saint-Paul (près de Brégoarn) et Saint-Cado (au Reclus, désormais en Auray) qui, avec l'église paroissiale, constituaient les 12 frairies de la paroisse ; celle-ci possédait aussi 6 chapellenies (Saint-Sébastien, Saint-Jacques, Saint-Laurent, Saint-Joseph, Saint-Julien et Saint-Jean)[20].

En 1759 une ordonnance royale de Louis XV ordonne à la paroisse de Brech de fournir 42 hommes pour servir de garde-côtes[24].

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Brech en 1778 :

« Brech ; sur une hauteur ; à 4 lieues à l'Ouest-Nord-Ouest de Vannes, son évêché ; à 22 lieues ½ de Rennes et à 1 lieue ¼ d'Auray, sa subdélégation et son ressort. On y compte 2 200 communiants[Note 5]. La cure est à l'Ordinaire ; le Roi est le seigneur de la paroisse. Son territoire, couvert de bois, est divisé en vallons et collines. On y voit des terres fertiles en froment, seigle et menus grains, des prairies et des landes[23]. »

Révolution française

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Jean-Pierre Thorin, curé de Brech depuis 1751 prêta d'abord le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé en septembre 1792, puis il se rétracta, devenant donc prêtre réfractaire ; il fut alors emprisonné jusqu'en décembre 1796[25].

En , à proximité du marais de Kerzo, près de mille émigrés royalistes et chouans sont fusillés après l8’échec du débarquement de Quiberon. Dans le « Champ des Martyrs », un mausolée, la Chapelle expiatoire du Champ-des-Martyrs, est édifié en 1828 en commémoration.

La Chartreuse fut vendue comme bien national.

Jean-Louis Béard, maire de Brech depuis 1796, signale aux autorités l'existence à Landaul d'une auberge mal famée, fréquente par Joachim Kermorvant, dit Marmousse, originaire de Kerguengoch en Brech, qui se qualifie de "chef de légion de l'armée catholique" et qui serait en relation avec Georges Cadoudal ; il fut amnistié en 1802[26].

Le XIXe siècle

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Bonaparte, alors Premier Consul, demande le 15 prairial an XI ( à son ministre de la justice Régnier de demander des renseignements sur les maires et curés de Brech et des communes voisines, « ainsi que sur la situation de l'esprit public de ces communes et ceux des habitants qui pourraient être soupçonnés » de correspondre avec Georges Cadoudal[27].

En 1808 le curé d'Auray, Albert Deshayes, rachète la Chartreuse, qui devint une maison de retraite pour les Sœurs de la Sagesse et une institution accueillant des sourdes-muettes[25].

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Brech en 1843 :

« Brech, commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale ; chef-lieu de perception. (...) Principaux villages : Kergoarec, le Boulat, Pengal, le Haut et le Bas-Kerguiberon, Lesclus, Kerlan, Kerdréan, Talhouet, la Madelaine (chapelle), le Grand et le Peti-Bezit, Kerliguen, le Rozo, Saint-Pierre et Saint-Paul (chapelles), la Chartreuse, Kermoëlo, le Granic, Cendegan (chapelle), Saint-Jacques (chapelle), Saint-Quirin, le Parco. Superficie totale ; 4 439 hectares 58 ares, dont (...) terres labourables 1 635 ha, prés et pâturages 472 ha, bois 166 ha, Landes et incultes 2 033 ha (...) Il y a foire à Saint-Quirin le 24 mars, le lundi qui suit le premier dimanche de mai. Géologie : dans presque toute la commune constitution granitique. On parle le breton[28]. »

Le Conseil municipal d'Auray demande dans une délibération en date du l'annexion à Auray d'une partie du territoire des communes de Brech et de Pluneret, arguant : «  La ville d'Auray n'a pour ainsi dire aucun territoire. Une partie de son agglomération est située en Brech et se trouve comprise dans le canton de Pluvigner ; c'est là qu'est située la station des deux chemins de fer improprement appelée jusqu'à ce jour gare d'Auray. Du côté de Saint-Goustan, une partie du faubourg dépend de la commune de Pluneret »[29]. Le Conseil général approuva l'annexion en 1864 à Auray « de la gare dite Gare d'Auray, sise sur la commune de Brech, ainsi que de la section entière de cette dernière commune, comprise entre la ville d'Auray et le chemin de fer, à partir du viaduc de Kermadio jusqu'en face de la Chartreuse et se dirigeant de là vers la commune de Crach, en englobant les villages de Kerperdrix, de Kerudo, de la partie du village de Kerbois, située en Brech, et les villages de la Ville-Neuve, de Kerléano, jusqu'à la limite de la commune de Crach, et de toute la partie de Pluneret agglomérée au faubourg de Saint-Goustan jusqu'à la route de Sainte-Anne »[30].

Une épidémie de dysenterie fit 30 malades (dont 15 moururent) à Brech en 1876. Le docteur Alfred Fouquet explique la propagation de la maladie par les conditions de vie déplorables des habitants de la région qui « ne prennent absolument aucun soin, soit de leur propreté, soit de celle de leurs maisons. Ils jettent les selles des malades devant leur porte et parfois les vident dans la maison même, au milieu des cochons et des poulets, au milieu desquels ils grouillent. (...) Ils se refusent d'ailleurs à prendre aucun médicament »[31].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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La vallée de Tréauray : pont sur le Loc'h entre Sainte-Anne-d'Auray et Auray (actuelle D 120) vers 1900.

Comme dans d'autres communes voisines, le l'inventaire des biens d'église ne put avoir lieu à Brech « où la résistance est organisée »[32].

La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Brec'h porte les noms de 102 soldats originaires de la commune morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[33].

Un soldat originaire de Brec'h, Joseph Rio[34], du 72e régiment d'infanterie, a été fusillé pour l'exemple le à Somme-Yèvre (Marne) pour « abandon de poste par mutilation volontaire »[35].

L'Entre-deux-guerres

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En 1919 à l'école des filles les classes sont obscures, exigües et surchargées ; une cloison de carton sépare les classes, « les leçons faites dans l'une s'entendent dans les autres (...) Le matériel scolaire est dans un état de vétusté sans nom et manque en partie »[36].

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Brec'h porte les noms de 15 personnes originaires de la commune mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[33].

L'après-Seconde-guerre-mondiale

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Un soldat originaire de Brec'h, André Audic, est mort pour la France pendant la guerre d'Algérie[33].

XXIe siècle

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En , le prince Louis de Bourbon se rend à Brec'h, avec son épouse la princesse Marie-Marguerite, lors de sa visite officielle dans le Morbihan. Il y annonce alors le financement de la restauration de la chapelle expiatoire du Champ-des-Martyrs par la Maison de Bourbon[37].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Brec en 1260, Brech en 1387, 1453, 1550 et 1636, ainsi que sous la forme Bray en 1636 également[38].

Brec'h en breton[38].

Brec'h, en breton, signifie « mont ». Il se retrouve aussi sous une forme diminuée Bre- comme à Brelevenez ainsi que dans de nombreux autres toponymes[réf. souhaitée].

En français le nom de la commune s'écrit souvent Brec'h, même si la dénomination de la commune est Brec'h d'un point de vue administratif (tel que répertorié par le Code officiel géographique de l'Insee[39]). Il se prononce « brèque »[40].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Julien Lorho    
1791 1792 Michel Auffret    
1792 1794 Guy Le Germain    
1796 1816 Joseph Louis Marie Béard[Note 6]   Avocat au Parlement de Bretagne.
1816 1830 Jean-Marie Le Guennec[Note 7]    
1830 1833 François Coriton[Note 8]    
1833 1837 Julien Gauter[Note 9]    
1837 1848 Jean Le Boulch    
1848 1874 Joseph Le Boulch[Note 10]    
1874 1875 Joseph-Marie Le Bourser[Note 11]    
1875 1877 Joseph-Marie Le Boulch    
1878 1878 Louis Audic    
1878 1919 Joseph Le Boulch    
1919 1934 François Robic[Note 12]    
1935 octobre 1947 Jean-Michel Auffret[a] Rad. puis SFIO Cultivateur
octobre 1947 mai 1953 François Robic[Note 13] MRP Fils de François Robic, maire entre 1919 et 1934.
mai 1953 mars 1983 Paul Gautier DVD Maire honoraire
mars 1983 mars 1989 Raymond Le Blay DVD  
mars 1989 mars 2014 Paul Baudic PS puis DVG Inspecteur des PTT retraité
mars 2014
Réélu en 2020[41]
En cours Fabrice Robelet DVD Infirmier
Conseiller départemental de Pluvigner (depuis 2015)
Président de l'Association des maires du Morbihan (depuis 2023)

Politique de développement durable

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La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[42].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

En 2021, la commune comptait 6 924 habitants[Note 14], en évolution de +3,95 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0912 1152 1102 4162 3542 3142 5052 3662 511
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2502 4992 0672 1582 2242 2332 2412 1992 356
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3762 3712 4932 4972 7102 9352 9783 2193 062
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 9222 9093 0793 5543 9904 5005 9486 5406 635
2021 - - - - - - - -
6 924--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Langue bretonne

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L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le .

Le label Ya d’ar brezhoneg de niveau 1 a été remis à la commune le .

À la rentrée 2016, 114 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue publique de l'école Pont-Douar (soit 23,4 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[47].

Culture locale et patrimoine

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Monuments religieux

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Église et chapelles

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  • Église paroissiale Saint-André (XIIe – XIXe siècle). Le clocher date de 1896. À l'intérieur, la nef romane à trois vaisseaux, longue de 5 travées, plus une travée de croisée, est couverte de charpente. Elle ouvre sur les bas-côtés par des arcs de plein cintre à double rouleaux retombant sur des piles carrées accolées de colonnes engagées à chapiteaux sous la face interne de l'arc. La croisée est marquée par un arc d'un diamètre supérieur, sans accentuation. Les 24 chapiteaux romans sont majoritairement sculptés de décors végétaux, de têtes d'animaux, de masques organisés sur le modèle corinthien[48]. L'un d'eux est orné de deux bustes portés par un socle mouluré inspiré des modèles antiques. Un autre chapiteau se détache de la série très homogène : il est sculpté de personnages en pieds très stylisés (corps plat d’où sortent deux petites jambes, tête ovoïde) avec une facture très différente. La netteté du modelé des chapiteaux pourrait laisser supposer une forte restauration au XIXe siècle, si ce n'est une recréation à partir de modèles romans[49]. Le chœur à chevet plat date du XVIe siècle et est occupé par un grand retable . Les bas-côtés ont été reconstruits au XVIIIe siècle[50],[51].
  • La chartreuse d'Auray construite en 1382 en mémoire des morts de la bataille d'Auray ; elle abrite la chapelle sépulcrale, inaugurée en 1829,qui conserve la mémoire des royalistes jugés et fusillés entre le et le à quelques mètres de là, sur les bords du Loc'h.
  • La chapelle expiatoire du Champ-des-Martyrs, construite en souvenir des royalistes bretons exécutés en 1795, inaugurée aussi en 1829[52].
  • La chapelle Saint-Guérin ou Saint-Quirin, située dans le village de Saint-Guérin, construite au XVIIe siècle ; cette ancienne chapelle seigneuriale dépendait de la seigneurie de Kérivalan qui était la propriété de la famille de Robien (les armes de Sébastien de Robien sont sur le pignon ouest de la chapelle)[53].
  • La chapelle Notre-Dame-de-la-Route (Kervalh) construite en 1963 avec des pierres récupérées dans des chapelles ruinées (Saint-Paul, Saint-Pierre de Brégoharn et la chapelle de la Madeleine) ; de style moderne avec son architecture anguleuse caractéristique de l'après-guerre, elle est située dans le village de Mané-Salut.

Calvaires et croix

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  • Calvaire du bourg ;
  • Calvaire de Toulbahadeu ;
  • Calvaire de Tréavrec ;
  • Croix de la rue du Champ-des-Martyrs ;

Monuments civils

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Fontaines et puits

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Brech : puits près du hameau de Saint-Guérin.
  • Fontaine du Champ des Martyrs ;
  • Fontaine de Saint-Guérin ;
  • Puits de Saint-Dégan ;
  • Puits de Saint-Guérin ;
  • Fontaine de Saint Goal, à Calan ;
  • Fontaine de Tréavrec'h ;
  • Fontaine et lavoir de Saint Jacques ;
  • Deux puits à Brézéhan.
  • Le moulin à eau d'Estaing datant du XVe siècle.
  • Le moulin de Treuroux qui était utilisé pour le broyage des céréales destinées au bétail.
  • Le moulin de Keryaquer, qui est aujourd'hui quasiment en ruine.

Maisons et manoirs

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Brech, dans ses divers hameaux (notamment Saint-Dégan[54], Saint-Guérin[55]) possède de nombreuses maisons rurales anciennes, notamment des chaumières. Des manoirs comme ceux de Kervivalan et la Villeneuve sont des sièges d'anciennes seigneuries.

Archéologie

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  • Le pont romain, situé entre Kerglas et Kerberluet, construit à l'époque gallo-romaine.

Un verger conservatoire de 6 hectares, dominant la vallée du Loc'h, a été acquis en 1992 par le Conseil général du Morbihan. Un parcours pédagogique le long du Loc’h, « le circuit de l’eau », ainsi qu'un rucher pédagogique ont été aussi créés[57].

  • L’étang, et la vallée de Tréauray au creux de laquelle coule la rivière du Loc’h.
  • Les moulins de Treuroux et d’Estaing qui longent la rivière du Loc’h.
  • L'écomusée de Saint-Dégan composé de maisons rurales datant du XVIIe au XXe siècle.
  • Le verger conservatoire de Saint-Dégan présentant plus de 200 variétés de pommes à cidre, et d’autres arbres fruitiers (poires, fruits à noyau).
  • Le Champ des Martyrs où de nombreux chouans et émigrés qui avaient participé à l'expédition de Quiberon ont été fusillés en aout 1795 par les troupes républicaines du général Hoche, et enterrés. Leurs ossements se trouvent aujourd’hui dans le mausolée de La Chartreuse.
  • La Chartreuse construite en 1382 en mémoire des combattants tombés pendant la guerre de Succession de Bretagne (1341-1364).

L’ordre des Chartreux fondé par saint Bruno s’y installe en 1482 et est chassé en 1791.

  • La chapelle Saint-Quirin du XVIIe siècle, son retable classique attribué aux maîtres lavallois, sa fontaine miraculeuse et son pardon le 4e dimanche de juillet.
  • L’église Saint-André qui a conservé des chapiteaux sculptés du XIIe siècle, de style roman.
  • Les randonnées : le circuit de Saint-Dégan (7,5 km) et le chemin des demoiselles bleues (4,7 km), présents dans le « Carnet de balades au cœur du pays d’Auray » en vente dans les offices de tourisme.

Il n'est pas possible de faire le tour du Loc'h, une partie des berges étant propriété privée du « Domaine de Mane Er Hoët ».

  • Le Domaine de Mane er Hoët est très anciennement occupé ; des vestiges gallo-romains furent trouvés et sont actuellement exposés au musée de Vannes. Il existe aussi au sein de cette propriété un des derniers chemins creux du Morbihan dont on suppose qu'il suit le tracé d'une des anciennes voies romaines. Le parc possède une grande variété d'essences typiques de la région. Il est quadrillé par de nombreux murs balisant les anciennes parcelles dont certains remontent à 500 ans. Le Domaine de Mané er Hoët n'est pas ouvert au public.
  • Brec'h propose une aire de camping-cars à l'entrée du bourg en venant de Corn Er Hoët. On y trouve un point d'eau et un petit panorama sur l'étang du Pont Douar.
  • On trouve au bourg de Brec'h quelques lieux publics : une boulangerie qui est présente à Brec'h depuis 105 ans (où les générations d'une famille de boulangers se succèdent), deux bars, le Moana et le bar breton, la médiathèque, ainsi qu'un cabinet de kinésithérapie.
  • Une aire de pique-nique est située à Kérivallan, sur la D 768 qui relie Auray et Pluvigner.

Personnalités liées à la commune

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  • Georges Cadoudal (1771-1804), figure de la chouannerie en Bretagne. Il naquit et vécut au manoir de Kerléano (à l'époque, hameau de la commune de Brech ; désormais dans celle d'Auray).
  • Mike Birch (1931-2022), navigateur canadien, a vécu dans le village et s'y est éteint.

Héraldique

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Si la commune de Brec'h ne possède pas d'armoiries en propre, l'armorial de Bretagne mentionne un seigneur de Brec'h portant les suivantes : « Ecartelé de d'or et de gueules, à la bordure engrélée, de l'un en l'autre »

Brec'h
Blason de Brec'h Blason
Écartelé d' or et de gueules, à la bordure engrêlée de l'un en l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Auray comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Personnes en âge de communier.
  6. Joseph Louis Marie Bénard, né le à Port-Louis (Morbihan), décédé le à Auray.
  7. Probablement Jean-Marie Le Guennec, né vers 1776, décédé le à Brech.
  8. François Coriton, né vers 1785, décédé le au bourg de Brech.
  9. Julien Gautier, né le à Kerbellec en Brech, décédé le à Kerbellec en Brech.
  10. Joseph Le Boulch, né le , décédé le à Saint-Guérin en Brech.
  11. Joseph-Marie Le Bourser, né le à Brech, décédé le à Auray.
  12. François Robic, né le à Botulen en Brech.
  13. François Robic, né le à Brech, décédé le à Penhoët en Brech.
  14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. Jean-Michel Auffret, né le à Brech, décédé le à Brech. Notice Maitron : [1]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Résidence Corn er Hoet : un cadre de vie menacé », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Brech et Auray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Auray » (commune d'Auray) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Auray » (commune d'Auray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. Autres toponymies apparentées à Saint-Dégan, en Bretagne : Lannegant (= « ermitage de Degan »), Lanrivain (22480). Et un hameau de la commune de Guégon(56120) nommé Bodegon
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Auray », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Brech ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Lec'h christianisé, Saint-Dégan (Brec'h) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
  19. Michel Clément; Patrick Galliou, Le dépôt gaulois de Brec'h (Morbihan), Revue Archéologique de l'Ouest, , pp 65-71 (lire en ligne).
  20. a b c et d « Étymologie et histoire de Brec'h », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  21. Gildas Salaün, "Les trésors monétaires médiévaux", in "Trésors enfouis de l'âge du fer à la Révolution", Musée d'Histoire et d'Archéologie de Vannes, éditions Locus Solus, 2013, (ISBN 978-2-36833-016-6).
  22. les historiens le désignent sous les noms de « Jean II » ou « Jean IV »
  23. a et b Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), pages 104 à 114.
  24. France, Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne, (lire en ligne).
  25. a et b « La paroisse de Brech ou Brec'h », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
  26. Émile Sageret, Le Morbihan et la chouannerie morbihannaise sous le Consulat. : Tome 3, Paris, A. Picard et fils, 1910-1918 (lire en ligne), pages 391 et 392.
  27. Napoléon Ier, Correspondance de Napoléon I, t. 8, 1858-1869 (lire en ligne), page 427.
  28. A. Marteville et P.Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, Rennes, Molliex, (lire en ligne), page 109.
  29. Morbihan. Conseil général, « Projet d'annexion à la commune d'Auray de parties des communes de Brech et de Pluneret », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , pages 50 et 51 (lire en ligne, consulté le ).
  30. Morbihan. Conseil général, « Projet d'annexion à la commune d'Auray de parties des communes de Brech et de Pluneret », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , pages 132 et 133 (lire en ligne, consulté le ).
  31. Docteur Alfred Fouquet, « Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan. », (consulté le ).
  32. « Dépêches télégraphiques. Vannes », Journal Le Temps,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. a b et c Memorialgenweb.org - Brec'h : monument aux morts
  34. Né en 1886 à Brec'h
  35. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
  36. M. Cancouet, « Palais scolaires », L'École émancipée : revue pédagogique hebdomadaire,‎ , page 10 (lire en ligne, consulté le ).
  37. « L'image du jour », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
  38. a et b Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, (ISBN 978-2-86843-153-0), p. 30
  39. Brec'h sur le site de l'Insee
  40. « Noms de lieux : le casse-tête breton », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  41. « Municipales à Brec’h. Fabrice Robelet réélu », sur Ouest-France, (consulté le ).
  42. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Brec'h, consultée le 26 octobre 2017
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
  48. Marc Décéneux, La Bretagne romane, Ouest France, .
  49. Anne Autissier, La sculpture romane en Bretagne, XIe – XIIe siècles, Presses universitaires de Rennes, , p 259-260.
  50. « InfoBretagne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  51. « Petit-patrimoine ».
  52. Virginie Jamin, « Le Champ-des-Martyrs, un lieu chargé d'histoire », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. « Chapelle Saint-Quirin, ancienne chapelle du manoir de Kerivallan, Saint-Guérin (Brec'h) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
  54. « Écart dit village de Saint-Dégan (Brec'h) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
  55. « Écart dit village de Saint-Guérin (Brec'h) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
  56. Site officiel de l'écomusée
  57. https://www.brech.fr/culture/lecomusee-de-saint-degan/.

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Seigneurie de Kéristès en Brec'h, Calan et autres, cotes 59 J 28 à 59 J 33 > Fonds de Jean de La Monneraye, (59 J), Archives I&V.

Article connexe

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Liens externes

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