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Chamborand

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Chamborand
Chamborand
Paysage aux environs de Chamborand.
Blason de Chamborand
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes de Bénévent-Grand-Bourg
Maire
Mandat
Jean-François Lebon
2020-2026
Code postal 23240
Code commune 23047
Démographie
Gentilé Chamborantais
Population
municipale
244 hab. (2021 en évolution de −1,61 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 09′ 24″ nord, 1° 34′ 23″ est
Altitude Min. 340 m
Max. 479 m
Superficie 11,18 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction La Souterraine
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand-Bourg
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Chamborand
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Chamborand
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Chamborand
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Chamborand
Liens
Site web chamborand.com/

Chamborand est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine. Les habitants de Chamborand sont les "Chamborantais", Chamborand s'écrivant autrefois "Chamborant".

Géographie

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Localisation

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Hydrographie

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Le territoire de la commune est traversé par le Peyroux, affluent de la Gartempe.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique limousin et le climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 001 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bénévent-l'Abbaye à 6,08 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Chamborand est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Souterraine, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,9 %), prairies (34,2 %), forêts (21,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Transports en commun

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chamborand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chamborand.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 34,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 182 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 39 sont en aléa moyen ou fort, soit 21 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chamborand est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[17].

La mine d’or de La Petite-Faye

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Le gisement aurifère de La Petite-Faye est exploité par les Gaulois Lémovices. L’exploitation de la mine d'or s’arrête après la conquête romaine[18]. Elle reprend à l’époque mérovingienne, contemporaine de l’orfèvre saint Éloi, évêque de Noyon mais originaire de Chaptelat. À cette époque, l’extraction d’or est probablement le fait de mineurs-paysans. La dernière époque d'exploitation de ce gisement date des années 1950[19].

Famille de Moras

Le château et ses dépendances échurent en 1566 à la famille de Moras, barons d'extraction Napolitaine.

Fabien de Morra (ou de Moras), légataire de son père par son testament du 15 avril 1555. Comme son frère César, il obtint des lettres de naturalité française le 20 juillet 1565, après avoir été reconnu noble par lettres de 1565. Avec son frère César, il acquit par contrat du 22 (ou 2) septembre 1566, la part qu’Antoine Faulcon, chevalier, seigneur des Lèzes et Françoise Chauvet sa femme, avaient obtenu en la terre de Chamborant (Creuse) par suite du partage que firent entre eux les héritiers de Chamborant le 7 juillet 1559.

Françoise avait reçu le tiers de la terre de Chamborant avec le château et « le vol du chapon ». César et sa femme acquirent peu après de Louise Chauvet et de Charles d’Eschizadour son mari, la portion qui leur était échue. Le 19 avril 1593, sa femme et lui cédèrent à leurs quatre fils Antoine, Horace, Gaspard et Charles des droits sur cette terre auxquels prétendait Guy Brachet, seigneur de Peyrusse.

Il rendit hommage pour Chamborant le 13 septembre 1595 à Paul de Couhé seigneur de la Roche-Agait, vicomte de Bridiers. En 1597, il tenait en confidence[Quoi ?] l’abbaye de Bénévent (Creuse). Le 9 mars 1598 dans une transaction, César, frère de Dèce alors mort, confirma les aliénations qu’il avait déjà faites, entre autres la pension due à ladite abbaye au titre de la commanderie de Lascroux (Le Grand-Bourg, Creuse). Le conflit entre les abbés de Bénévent et la famille de Moras commencé avec l’abbé Paul Pélisson, se continua avec Jean-Baptiste de la Croix de Saint-Vallier, évêque de Québec (Canada), seigneur abbé de Bénévent. La même année 1598, César reçut quittance de Philippe Roussel, abbé de Bénévent « de tous les revenus qu’il pouvait avoir perçus de ladite abbaye de Bénévent.» Le 27 septembre 1598, il acheta le quart des dîmes de la paroisse de Chamborant aux auteurs de Francois-Léonard de Bony, chevalier, seigneur de Ventenat (en Châteauponsac Haute-Vienne).

Il existe de très nombreux descendants de la famille de Moras (Morra) en France et en Amérique (Canada, Amérique du Sud).

Politique et administration

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Découpage territorial

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Le Limousin est l'une des 26 régions françaises, et est composé des trois départements : Corrèze, Creuse et Haute-Vienne. Situé presque en totalité sur le Massif central, au 1er janvier 2005, il regroupait 724 243 habitants sur près de 17 000 km2. Ses habitants sont appelés les Limousins.

Jean-Paul Denanot est président du Conseil régional du Limousin depuis 2004.

Département

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Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , essentiellement à partir de l'ancienne province de la Marche. Ses habitants sont appelés les Creusois. Les conseillers généraux sont élus dans le cadre des cantons pour une durée 6 ans. Dans la Creuse, il y a 27 cantons et donc 27 conseillers généraux. Ces derniers élisent en leur sein le président du conseil général de la Creuse. Depuis 2001, c'est Jean-Jacques Lozach, conseiller général de Bourganeuf, qui en est le président.

Le conseiller général du canton de Le Grand-Bourg est Didier Bardet (PS) depuis 2011.

Circonscription

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Chamborand appartenait à la 1re circonscription composée des cantons de Bénévent-l'Abbaye, Bonnat, Bourganeuf, Dun-le-Palestel, Le Grand-Bourg, Guéret-Nord, Guéret-Sud-Est, Guéret-Sud-Ouest, Saint-Vaury et La Souterraine jusqu'aux élections de juin 2012.

Depuis le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, la Creuse ne comporte plus qu'une seule circonscription. Lors des élections législatives françaises de 2012, Michel Vergnier qui était le député (PS) de la 1re circonscription depuis 1997 a été élu député de la Creuse face à Jean Auclair qui était le député (UMP) de la deuxième circonscription.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Marcel Pateyron PCF  
avant 1995 2007 André Bouteille    
mars 2008 2013 Thomas Bernard[20] (décédé)    
2013
(Réélu en 2020[21])
En cours Jean-François Lebon DVD Chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 244 habitants[Note 2], en évolution de −1,61 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
473513493664592614590626632
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
596634700732760797791793744
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
748768724637593524504430387
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
381310283277266237235234243
2018 2021 - - - - - - -
240244-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Donjon inscrit au titre des monuments historiques en 1939[26].
  • Château (propriété privée)
  • Église Saint-Martial de Chamborand
  • Etang de la Chaise: Il s'étend au pied du donjon, et du hameau de La Chaise.
  • Ancienne mine d'or : elle est située près du hameau de La petite Faye[27], elle a fonctionné jusqu'en 1962, actuellement, il ne reste que de vieux bâtiments ruinés, c'est une propriété privée.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D’or au lion de sable armé et lampassé de gueules.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chamborand et Bénévent-l'Abbaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Benevent_sapc » (commune de Bénévent-l'Abbaye) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Benevent_sapc » (commune de Bénévent-l'Abbaye) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Souterraine », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chamborand », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chamborand », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  18. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), op. cit., p. 33.
  19. Cauuet, op. cit., p. 35.
  20. Source : préfecture de la Creuse
  21. « Jean-François Lebon a été réélu maire de Chamborand (Creuse). », sur La Montagne, (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Notice no PA00100034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. http://sigminesfrance.brgm.fr/telechargement/gites_inventaire/La_Petite-Faye.pdf

Articles connexes

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Liens externes

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