Cinquantième film de la réalisatrice Alanis Obomsawin, Le chemin de la guérison rend compte de l’enrichissement d’une communauté crie du Manitoba grâce à l’éducation. À Norway House, l’école Helen Betty Osborne bénéficie d’un financement dont jouissent peu d’établissements autochtones. L’œuvre transmet un message d’espoir : avec un encadrement scolaire adéquat, intégrant leur histoire, leur langue et leur culture, les jeunes Autochtones peuvent réaliser leurs aspirations.
Cinquantième film de la réalisatrice Alanis Obomsawin, Le chemin de la guérison rend compte de l’enrichissement d’une communauté crie du Manitoba grâce à l’éducation. À Norway House, l’école Helen Betty Osborne bénéficie d’un financement dont jouissent peu d’établissements autochtones. L’œuvre transmet un message d’espoir : avec un encadrement scolaire adéquat, intégrant leur histoire, leur langue et leur culture, les jeunes Autochtones peuvent réaliser leurs aspirations.
Ce film pourrait alimenter des recherches et des discussions sur l’éducation autochtone. Comment la colonisation a-t-elle sapé l’éducation traditionnelle des peuples autochtones? Comment peut-on rétablir les méthodes ancestrales d’éducation autochtones afin de former des citoyennes et des citoyens compétents et actifs qui préservent leur intégrité culturelle tout en coexistant avec la population générale? Donnez des exemples d’éducation traditionnelle. Quel est l’objectif de cette éducation? Comment l’éducation peut-elle répondre aux besoins des peuples autochtones? Documentez-vous sur les méthodes pédagogiques des Autochtones et expliquez en quoi l’éducation autochtone pourrait profiter à tous les Canadiens et Canadiennes. Comment les attitudes et les croyances du personnel enseignant et des intervenants et intervenantes en éducation peuvent-elles contribuer à l’estime de soi et aux niveaux de réussite des peuples autochtones? À quoi ressemble une communauté des Premières Nations prospère et comment maintenir cette prospérité?